1 gramme de bonheur et 9 kilos d'incertitudes

Sujets du jour: amie, rencontre et homosexualité

Septembre 2007
Je rentre en seconde au lycée où je voulais aller, avec l'option que je voulais (option à éffectif limités). Seul soucis, je ne connais personne. Je me rends compte aujourd'hui que c'était un enorme avantage, car je suis allé voir les autres, faire leur connaissance.

Une connaissance d'ailleurs, qui a chamboulé ma vie: elle, Mégane, mon double. Il ne m'a fallut que d'une semaine pour qu'on se parle comme si on se connaissais depuis toujours. C'est incroyable, on voit ces p'tites histoires dans les magazines, à la télé, dans les témoignages etc. Mais là c'est moi. Une amitié, une vraie. Je n'oublis cependant pas Mathilde qui a toujours était, est toujours et restera à vie ma meilleure amie (depuis le primaire).

Et puis pleins d'autres choses me chamboulent, mieux ou moins bonnes:
*Une autre soit disant 'très bonne amie' qui balance des choses dans mon dos, qui monte les gens contre moi, qui me zappe total parce qu'on est plus dans le même lycée
*Marion qui m'avait avouer ses soupçons sur une attirance vers les filles... puis après m'avoir confirmer d'un "je pense sincérement être homosexuelle" (se qui ne me gène pas et qu'elle assume casi totalement... seul ses parents l'ignorent) se trouve une copine, copine par internet qu'elle finit par rencontrer et qu'elle embrasse à côter de moi dans la même journée. Ca m'a fait bizarre, très bizarre. Je ne m'attendais pas à se que ça me face si bizarre. Elle n'a jamais embrasser personne et la première personne c'est une fille à qui elle roule un mega palo. J'étais avec son cousin. Ca lui a fait bizarre aussi.

Note: P'tite présentation de moi (tout de même)
Prénom: On dira Ham (pour mon anonymat ^^)
Âge: 15 ans
Classe : Seconde dans un grand lycée public
Amoureuse ? Non... depuis la 6eme, pas de copain. T_T

Quand j'ai choisi cette otpion, je ne pensais pas que j'allais devenir passionnée. Les artistes, les oeuvres, les histoires, la technique, la beauté, l'intelligence, la fascination, le jugement... bref, l'art dans toute sa splendeur.

De Andy Warhol aux premières peintures préhistoriques, de Picasso à Bert Stern, de Michel-Ange à Rothko ou encore de Raphaël à Quarton...
Ils ne se ressemblent pas, ne se connaissent pas (ils ne se sont jamais rencontrés... mais il est évident que Bern Stern connaît Picasso et ses oeuvres) et pourtant l'art les lies, ils ont marqués l'histoire de leur empreintes, empreigné un tournant artistique. Pour la plupart peut reconnu en leur temps ils sont pourtant une icône pour nous aujourd'hui.

L'art n'a pas de limites, et plus on avance dans le temps plus les artistes veulent transgréssés les rêgles.

L'art évolue, jamais elle ne s'arrétera de grandir. Jamais elle ne s'arrêtera d'exister.

Parce que le monde lui même est une oeuvre d'art.

Ce soir je sors (Oui Oui!!). Faut dire que c'est l'anniversaire de ma cousine (que je considère comme ma soeur) qui a 16 ans =D !!

Bon, elle a dit à mes parents qu'on aller dans un bar/dance un p'tit truc qui craint pas mais on n'y va pas bien sur !! On va dans un endroit qu'on appel la source.
La Source n'est rien d'autre qu'une grande rue où se trouve un marchand d'alcool qui vend pas trop cher (enfin surtout la Bière) mais surtout qui vend à n'importe qui.
C'est le lieu de rendez vous des alcooliques qui était anonyme avant d'y aller et de se faire connaitre par tout un chacun. =D

Bref tout le monde y va quand il y a la Feria (en France bien sur ! Pour les jeunes la Feria c'est surtout s'amuser, danser, chanter et boire. Les corridas ont oublis souvent ^^). Et à la Feria beaucoup de gens se retrouve à la source.

Bref quoi qu'il en soit pour le Wanniversaire de ma cousine, il y aura pleins de gens dont pour la plupart j'ignore leur existence. Bref j'connais 4 personnes en tout, et encore !!

J'espère que je vais m'amuser et que je vais pas être une paumé parce que sinon c'est vraiment lourd... 

surtout que je dors chez ma cousine, que son copain dort chez elle aussi
et que ma cousine compte le rejoindre pendant la nuit dans son lit...
-_-'
Perso j'ai pas envie d'être témoin de leur ébats sexuels.

Si Dieu existe, il m'épargnera bien ça, non ?
Bon okay j'crois pas en Dieu mais je pourrais bien en venir à le vénérer tout les soirs si il me fait passer une exellente soirée et nuit (sachant que je n'ais pas de réserve en cire pour faire comme Ulysse dans l'Odysée: il bouche les oreilles ,avec de la cire, de ses compagnons sur le bateau pour qu'il n'entende pas le chant des maléfiques sirènes... et pour que je n'entende pas les gémissements de ma cousine... Berk.)

Et bien attendons demain pour que je conte mes mésaventures de ce soir.

Super soirée !! Je me suis trop bardée et j'ai rigoler comme une morue... bon, quand je rigolais j'étais pas forcément dans un état acceptable (c'est à dire que j'étais pas sobre) mais faut dire qu'avec de la smirnoff et du whisky coca... et ben au bout d'un moment ça fait effet (enfin surtout le whisky coca parce que la smirnoff c'est un peu comme de l'eau aromatisé, ou de l'alcool "bon" et faiblement alcoolisé).

Enfin je me suis surtout bardée parce que j'ai appellé un copain et une copine (même si j'avais déjà une copine avec nous)... résultat on s'est bien amusé, on a trop rigolé.

Ma cousine et son copain on fait crac crac mais j'ai rien entendu, je dormais... OUF !!
Parce que franchement je me passe bien d'entendre leurs gémissements (Berk !!).
Non pas que je suis coincée mais franchement voir ou entendre c'est presque la même chose
(sachant que je dormais sur la mésanine et que eux étaient en dessous),
Et quand c'est quelqu'un de notre famille très proche, casi soeur et bien... Bref.

Bref une super soirée !!

Bon ben si Dieu existe, merci quand même, ça fait plaiz' !!

-C'est qui Dieu ?
-Et ben tu vois, quand tu désire quelque chose de toute tes forces et de tout ton âme, et bien Dieu c'est le mec qui en a rien à foutre.

Ah, je suis pas très gentille avec lui quand même. Quoi qu'il en soit je respecte toutes les religions, mais c'est mon opinion de ne pas croire à ce type de science inexacte.

ART PRIMITIF

Présentation de cet art :

L’art primitif, appelé aussi art premier, désigne des productions artistiques (masques, peintures murales etc.) des sociétés catalogué dans le « traditionnel » c’est à dire les premières sociétés humaines qui ont fait des productions avec ou sans la conscience de faire de l’art.

L’art primitif à pour particularité d’être le moyen de communication de ces sociétés, c’est la seule traces qui restent d’elle car elles n’avaient aucune traces « écrites », ce sont des sociétés dites « sans écriture ». C’est un peu la seule façon de les comprendre par ces représentations et ces significations diverses.

Dans cet art primitif on peut y trouver toutes sortes d’art notamment l’art pariétal qui est celui des hommes préhistorique qui peignait sur les paroisses des cavernes mais aussi l’art africain où l’on retrouve en grande partie des masques et des statuettes avec des significations diverses pour la plupart religieuses et traditionnelles.

Présentation d’œuvre :

Ces têtes commémoratives viennent du royaume de Bénin (au sud de l’actuel Nigeria). Elles étaient coulées dans le bronze et incarnaient avant tout le caractère sacré du royaume.

Ici (voir image de tête d'une femme) , c’est une tête de la reine mère qui a été coulé sous l’ordre du roi après la mort de celle-ci. Ainsi plusieurs têtes sont coulées dans le bronze puis placé sur un autel érigé en son honneur. On apprend ainsi que la reine mère avait le cou encerclé de pesants colliers, une coiffure en résilles de corail qui était propre à son rang (souveraine). Les scarifications étaient souvent la marquer qu’elles étaient étrangères.

Cet art du Bénin est qualifié d’art Ifé.

Je me regarde dans le miroir. Je n'aime pas mon visage, ma maigreur, l'absence inexplicable de seins, mes boutons peut être même mes sourcils.

En fait je pense que j’ai envie de me plaindre. Juste envie d’avoir pitié de moi. Je regarde le ciel… Pourquoi IL ne fait rien ? A ce qu’il paraît, c’est LUI qui ma créer, ou du moins qui a créer mes ancêtres, la cause même de ma création. Pourquoi ? C’est vrai quoi !! Je ne LUI ais rien demander, je ne crois même pas en LUI. IL aurait pu me faire des formes, des seins… Non. Il semblerait que se soit impossible. De toute manière IL me fait chier. D’ailleurs pourquoi je dis IL ? Je ne crois même pas en cet être sublimé et vénérer toutes les fins de semaines… ridicule.

Non. J’ai besoin de me plaindre parce que je ne sais pas pourquoi je reste inerte, pudique, presque indifférente à mes problèmes et ceux qui m’entourent. J’encaisse, difficilement et puis au bout d’un temps ça passe. Doucement, mais ça passe. Je suis pudique de mes soucis, alors je ne dis rien, je souris et personne ne voit rien. Et puis je me plains : « Pourquoi ils s’en foutent que j’aille mal ? » mais je le sais, ils ne s’en foutent pas, ils l’ignorent parce que je fais tout pour ça.

Il n’y a qu’à Mat. à qui je dis tout, parce que c’est ainsi, elle ne sait jamais moquée, ne m’a jamais mise mal à l’aise et que ma confiance en elle est inégalable.

La fois dernière j’ai voulu dire à Meg. que j’allais mal, j’en suis venue, non sans me forcer à me confier, à lui parler de ma mère et sa rechute dépressive. Elle m’a écouté. Et puis y’a un mec de ma classe juste devant moi qui m’a sortis : « Tu dis que tu sais pas pourquoi elle pleure, tu penses au moins qu’elle a une bonne raison de pleurer ? »

La colère et la tristesse sont monter. De quoi il se mêle ? Alors je lui balance sèche : « Quand t’as perdu ton père à l’âge de 4 ans parce qu’il a décider de mettre fin à ses jours et que… » J’arrête et j’ajoute que « Oui » elle a de bonnes raisons de pleurer, je les ignore c’est tout. Puis il marmonne deux ou trois phrases ressemblants en gros à « Moi je connais ça, et se que tu dis c’est exagéré. ». J’ai hésiter à lui dire « Toi on s’en branle, mêle toi de tes affaires » ; je suis pas méchante mais…

Comment voulez vous qu’on vienne à se confier face à des gens aussi méprisants ?

Mat. n’est même pas au courrant. De toute façon je ne me plains pas, jamais, sauf à elle quand elle sent que quelque chose ne va pas. Elle ne le sait pas que ma mère va mal.

Personne ne sait comment je souffre de l’histoire avec Caro. Tout le monde dit « moi je pense » ou « pourquoi elles se sont disputés ». Je voudrais lui parler mais je lui en veux trop et elle ne fait rien pour arranger les choses, elles enfonce le clou.

J’en ais peut être marre.

Ce qui m’énerve le plus c’est que certaines personnes me voient drôle et « fofolle », comme si je ne possédais pas de sensibilité à côté de ça, comme si j’étais incapable d’être sérieuse, que ma vie aller parfaitement. Avant de faire le pitre, je suis comme tout le monde.

Voilà je me suis plainte… Ca va peut être mieux, ou peut être pas.

Donc voilà, dans deux jours je rentre en cours. Par conséquent je suis forcée et contrainte de travailler T_T !!

Je pars donc dans 20 min à une étude dirigée où je vais faire mes maths et ma physique. Pfffieu. J'en ais marre >_<' .

Citation de moi: Quand le courrage n'est plus là, fais une sieste c'est déjà ça !!

Je sais que ma citation c'est de la daube mais bon 

je suis pas très courageuse et c'est déjà ça

Non je ne vais pas vous faire un petit topo bien cucu sur les amies qui sèches les larmes, qui console, qui fond sourire et qui pose un cake au WC comme tout le monde quand ils ont la chiasse.

Non, je vais parler de Meg. et de ça façon non moins sympathique de m'appeler le matin au cas où je serais dans un profond sommeil et pas encore lever au aurore comme Madame. >_<

Donc ce matin, je dors paisiblement, fort fatiguée. Je suis en pleins rêve (je ne me rappel plus quoi d'ailleurs) et là, portable qui vibre bien assez fort pour faire danser le tango à ma table (qui vibre elle aussi).

Une sonnerie. Une seule. C'est un message. Je conçoit alors tout mes efforts pour soulever mon corps vers mon bureau. Je lève un bras, l'effort est fait, je me rendors sur le coup, laissant ma pensée divaguée vers le pays des rêves, là où tout est doux, calme, remplis de nuage et de pot de nutella à un kilo, je me sens paisible et ... BRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRH (le vibreur fait Bzzz mais là il est sur la table alors bon)

J'essaye de sortir un "Pu*ain j'en ais marre de ce portable de merd*" mais je suis trop fatiguée, je sors donc l'insulte dans ma tête et je conçoit toute mon énergie dans mes jambes cette fois ci =D, je manque de me prendre un mur car quand je me lève aussi vite, j'ai le vertige.

Je cours du mieux que je peux, j'attrape mon portable. Bi-bi-bip. Ca a raccrocher. T_T . Cette fois-ci j'embarque mon téléphone dans mon lit. A peine allongée, il re vibre, mon lit aussi par la même occasion.

-A... Rhhh (raclement de gorge pour sortir un son plus distinct) Allôô

-ALLÔ ??

-Oui...

-Ouais c'est moi (ouais de-suite je vois bien qui c'est. C'est toi. ^^)

-Tu m'as réveiller connasse.

-Oui mais c'est plus l'heure de dormir.

-Heu, tu...

-Ouais je t'appelle parce que tu sais pour le dossier à rendre, j'ai marqué les Cymphes et je voulais savoir si tu savais ce que c'était parce que j'ai pas trouvé.

-Les quoi ?

-Les Cymphes !! Dans la mythologie.

-Heuuu... C'est pas plutôt les Nymphes ?

Et voilà pourquoi je me fais réveiller le matin. POUR DES CYMPHES QUI SONT MÊME PAS DES CYMPHES MAIS DES NYMPHES. -_-' Vive les amis. ^^

On raconte qu'à la création du monde, chaque être était formé de deux corps, deux personnes qui était en parfaite harmonie. C'est deux corps fusionnées, et à eux ils ne formaient plus qu'un. Mais Dieu pris une épée et les sépara en deux.

Depuis on passe notre vie à chercher notre double perdu, pour vivre la parfaite harmonie.

Mais bien souvent on ne trouve qu'un semblant de ce double, on créer une forme d'harmonie, on essaye que ça perdure mais bien souvent, ça ne marche pas ou ce n'est qu'une sorte d'illusion.

Rare son ceux qui trouvent cette âme perdu on ne sait où.

Aujourd'hui je suis aller voir l'orthophoniste, ca avance, je progresse bien donc j'étais bien contente =P

Et pis l'orthodontiste, je redoute cet instant, comme chaque fois. Non pas que j'ai mal, mais c'est le début de mes malheurs. Comment dire ? Pour moi, c'est un gène permanent mon appareil et ces rendez-vous à la con, mais je ne peux pas le régler et je le vis assez mal.
Mais aujourd'hui c'était LE BONHEUR. Il m'enlève l'appareil à la prochaine séance normalement !! EN DECEMBRE.

Alors je sais, on peut penser que je suis ridicule mais pour moi c'est une libération. C'est la solution aux problèmes, c'est une liberté totale, c'est un apaisement intérieur. C'est peut être la fin de mes coups de tristesse avec ce fichu appareil de merd*. C'est comme si il me bloquait la vie.

J'étais sur-existée, ça en devenait ridicule mais bon, que voulez vous ? Je suis faite comme ça, et à la perspective de dents toutes belles j'étais sur un petit nuage.

Je suis faible. Faible. J'y est pensé, repensé. On est tous faible. On essaye de faire croire aux autres qu'on est forte mais on est faible, quand même, qu'on le veuille ou non.

Mais à vouloir jouer au fort on n'attire que l'indifférence des autres: "Tu es forte ? Très bien, alors démerde toi". Les gens croivent alors que nous ne connaissons pas les emmerdes, les soucis, les pleurs et les coups de blues. Ils croivent que nous ne pleurons jamais puisque quand nous sommes avec eux, nous rions tout le temps. Parce que nous sourions tout les jours, tout les matins.

Et puis on leur en veut. On leur en veux quand ils se disent être notre ami alors qu'ils ne savent même pas que nous allons mal, que nous pleurons tout les soirs, seul dans votre lit, seul face au destin. Et ils se disent notre ami... Mais pourtant c'est nous, et rien que nous qui brouillons les pistes, en disant "Oui ca va et toi ?" tout les matins au lieu de "Non là ça ne va pas", en cachant nos larmes sous nos cheveux et notre écharpe au lieu de crier notre mal-être...

Sourir tout les matins ca ne veux pas dire que ça va bien.

Objectif prochain: Arrêter de jouer au forte et pleurer.

Je pense que je veux me lancer des petits buts , des objectifs et des paris ... comme on le voit souvent dans ces bouquins pseudo-journaux intimes (tiens, tiens =D ) où ces jeunes filles se dressent des objectifs inutiles, stupides et dont l'intérêt m'échappe... Pourtant c'est ce que je vais faire puisqu'il semblerait que :

" Tant qu'on a pas essayer, on ne sait pas. "

Ceci ne marchant pas bien sur avec tout les statistiques et sciences exactes  
 (N'allais pas essayer des drogues  
 sous pretesque de ne pas savoir le degrés de nocivité sans avoir essayer)



Donc voilà mes prochains  objectifs , non moins  stupide  mais que voulez vous, qui ne tente rien n'a rien:

• Trouver un copain (N'allez pas me dire que ce n'est pas débile et déplacé !!)
  
• Oublier C. parce qu'elle est conne et n'en vaut pas la peine
  
• Me répéter plus souvent :

"Un de perdu, 10 de retrouvé"

• Arreter de me plaindre sur mon sort comme si j'étais une pauvre fille misérable à plaindre
  
• Garder de l'argent pour les cadeaux de Noël
  
• Arreter de fumez ou du moins faire une pose de 2 semaines pour décrocher un peu
  
• Travailler, travailler, travailler
  

Voilà, je ne vais certainement pas y arriver mais il faut bien que je m'accroche.

Bon en ce moment je me tape des notes de merde. Aujourd'hui, à 8 h j'arrive en retard en SVT et en plus il y a contrôle, contrôle que (ça devient une habitude) j'ignorais.
Si j'ai plus de 5/20 se sera le miracle et je pense que je pourrais me mettre à vénérer le Christ pour sa bonté (Oui je sais, je ne crois pas en son existence mais je pourrais bien m'y mettre à croire s'il décider de m'épargner une note catastrophique).

Résultat j'ai décidé de travailler un peu plus... Aujourd'hui j'ai bosser facilement plus de 2 heures. -_-'
En math j'ai loupé mon contrôle [ ... ] Ce ne sera que un de plus dans ma collection au dessus de mon étagère !

Mais le pire reste les notes en Langues, je dois tourner vers 8 de moyennes en Anglais et en Espagnol [ -_-' ] Et je veux aller en première Littéraire ! Humm' Bon d'un côté maintenant en Littéraire ils mettent (l'éducation nationale) toutes les Kiches qui auraient dû redoubler mais les parents ont montrés une trop vive opposition ... Alors on les envoies en Littéraire pour combler les trous et remplir les effectifs (nombres d'élèves dans une section).

M'enfin !! Seigneur Jesus Marie fais un miracle... Stp =D Bon je suis un peu hypocrite mais bon... Je ne sais pas si "Boudha" comprends ma langue ^^ Alors je m'adresse à toi =D

Amen.

Peter Pan à peur de grandir, Moi j'ai peur qu'on m'oublie, profondément peur.
Elle, elle m'a oublié. Une amie ? Je l'ignore mais je sais que j'ai bien fais d'arrêter, de l'oublier du moins essayer. Elle m'a surement oublier.

Mardi, je l'ais vu. Sensation étrange. Pas de bonjour, évidemment, on ne se parle plus. Ca faisait 2 mois. 2 mois que je n'avais pas vu ça tête. Elle n'a pas rit, pas sourit, je disais bonjour aux autres, elle aussi puis elle s'est éloigné car elle voyait bien qu'il y avait majoriterement des gens que je connaissais, c'était donc logique que je n'allais pas m'éloigner et qu'elle n'allait pas camper à deux pas de moi.

J'ai rit. Fort. Très fort. Pour qu'elle m'entende. C'était ma façon de dire: " Je me passe très bien de toi ". Mais je ne l'oublis pas, pas entièrement. Je pense déjà moins à elle," mon ancienne meilleure amie ". Peut être que d'ici 5 mois je l'aurais totalement oublié ? Je sais qu'elle ne viendra pas me voir, elle est trop fière. Et moi je n'irais pas, parce que je ne veux pas céder et surtout je veux voir si (un jour) elle fera le pas, si un jour elle se détachera de cette fierté. En d'autres termes: Jamais.

Ca fait du bien de parler de ça ... Je n'en ais jamais parler et que rarement à mes amis parce que " Pourquoi tu te prends la tête avec elle ? Elle n'en vaut pas la peine ! " . Alors j'oublie, je n'y pense plus, moins.

Aujourd'hui j'ai pleuré. J'ai pleuré en cours. C'était peut être le coup de trop. La réflexion qu'il n'aurait pas fallu sortir. Celle qui fait que j'ai beau me répéter: "Pleure pas !! T'es ridicule ! Juste pour ça en plus . Tu vas pas te laisser abattre par cette remarque qui n'est pas non plus au point d'être méprisante !!"
Et bien c'est trop tard. Une larme. Le ventre qui se serre. La bouche qui se crispe. Le cœur qui se contracte. Alors je détache vite mes cheveux, d'un coup, pour qu'on ne me voit pas. J'ai honte.

Il n'y a que mon voisin de table qui a capté mais je suppose qu'il ignore la raison de ses larmes ou alors il pense savoir mais il ignore.

J'ai repris mes esprits le plus vite possible, pour moi c'était une éternité mais je suppose que ça n'a du durer que 5 minutes. Juste le temps d'évacuer le "trop pleins".

Ce qui s'est passé:
Le prof est passé à côté de moi, c'était moins vingt (de la fin de l'heure) et je n'avais pas fais grand chose sur ma carte de géo parce que je cherchais dans le livre une grande carte avec les noms des pays pour m'y retrouver.
J'ai donc le droit à un : " Au bac vous n'y arriverais pas !! Regardez ! Il est moins vingt et vous n'en êtes que là ! Vous foutez rien ! Au lieu de rigoler !"

Et puis ensuite il me manque un pays, je lui demande et il me le montre en ajoutant: "Mais vous ne le voyez pas le A. sur la carte ?! C'est marqué, Là!" ce à quoi je réponds que non, je ne le savais pas.

Je lui demande un autre pays 5 minutes après, j'ai droit là aussi à: "Il y a un M. là !! Vous le faites exprès !! Vous ne savais rien, c'est pas possible !", mon cœur se serre, je lui réponds sèche: "Non, je ne le savais pas. Y'a 3 M. sur la carte je n'ais pas deviner !! Et non !! Je ne sais pas tout!" C'est là qu'il s'éloigne et que je détache mes cheveux.

J'en ais marre !! Je n'arrives à rien, je stress et les profs me prennent pour une retardé mentale. Tous des gros con !! Je suis là pour apprendre et on dirait que dès que je pose une question c'est parce que je suis conne de ne rien savoir.

Ce n'est pas la première fois que je me prends des remarques de ce genre même si cette fois ci ce n'était pas non plus exagéré. Je vais finir par ouvrir ma gueule, et ça va chiez.

En tout cas je n'avais qu'une envie c'était de sortir, de chialer un bon coup, de me dire que j'étais vraiment nulle et puis de résonner en me disant que je suis pitoyable de m'abattre sur ça comme si j'étais face à une fatalité ! Ce n'est pas une fatalité parce que je peux y remédier.

Al. (une amie) a rencontré Meg dont elle était jalouse parce que je m'étais fait une nouvelle amie que j'adorais et que je la voyait moins, elle, Al.. J'avais dit à Meg que Al. était jalouse, elle m'a dit qu'elle trouvait ça normal et que ça lui aurait fait pareil. Mais Al. est plus que jalouse, elle est possésive et je ne supporte pas les gens qui me collent et qui me demande à tout bout de champ: "Mais tu préfère Meg à moi ? Mais tu ne l'as connais que depuis 2/3 mois !! Moi ca fait 2 ans ! Tu l'aimes plus que moi ?"

Je suis donc obliger de lui dire que je l'aime autant en rejoutant un: "Mais toi c'est particulier, c'est pas pareil, c'est autre chose, t'es exceptionnelle" . Je le pense, mais je me sents ridicule de devoir ajouter ça pour la rassuré sur quelque chose de stupide: la préférence. En plus je considère Meg comme une meilleure amie, comme mon double. Je n'ais jamais eu de "coup de foudre" amicale comme ça ! Ca a toujours mit du temps, le temps de se connaitre. Mais là, on se ressemble énormément, on se comprend dessuite, dès la première seconde où on sait parler. Ce n'est pas pareil.

Je ne préfère personne, j'aime tout le monde.

C'est comme quand on hésite pour la tapisserie de sa chambre: Noir ou blanc ? On reflechis, on hésite, une fois c'est noir, une fois c'est blanc. Ca dure un temps jusqu'au jour où en se réveillant, on a décidé rouge.
Et bien en ce moment, mon état d'âme c'est la couleur d'une tapisserie. Noir ou blanc. Ca va ou ca ne va pas.
J'ai eu pas mal de problèmes familiaux en ce moment, notamment mon grand cousin qui a tenté de mettre fin à ses jours parce que la femme qu'il aimait était une grosse salope, manipulatrice, qui s'auto détruisait et donc le détruisait lui aussi.

Ca me fait chier même si j'arrive à prendre de la distance peut être par l'habitude. Je sais que dit comme ça, ça parait assez froid et barbare, mais ces 8 dernières années, j'ai tout vu.
Dans ma famille (du côté de ma mère) on s'est toujours aidé, on a toujours tendu la main aux gens de notre famille, tous ensembles. Y'en a qui appelle ça un clan... pour moi c'est une famille soudée.

Le pire dans tout ça, c'est l'état psychologique de leur deux enfants de 4 et 6 ans. Anéntis. Ils ont vu les pires choses. Ma famille va mettre un terme à tout ça, comment ? Jel'ignore mais il faudra bien que ça s'arretes un jour ou l'autre, avant Noël.