une vie pour comprendre

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 27/12/2014.

Sommaire

un dimanche comme un autre

25 octobre 2009 à 10h13

et bien voila, les vacances des enfants commence, pour mon fils Malcolm 9 ans et ma fille Dorina 5 ans et demi bientôt 6 ans au mois de novembre , le 15 novembre la même date anniversaire que mon grand-pére maternelle, celui qui a eut une importance capitale dans mon enfance.

ce matin et bien pour mon fils c' est jeu sur la plaistation 3, jeu de courses de voiture.
ma fille quand à elle joue la star en faisant des photos et mon mari joue lui aussi avec mon fils.

Et moi, je me replonge dans mes souvenirs souvent douloureux de mon enfance et plus heureux depuis que j' ai eut mes enfants.
Moi, c' est Florika, je vais vous parler un peu de moi.
je suis née le 6 mars 1969 à cannes, deja le jour de ma naissance cela commencé mal, il pleuvait neiger et il y avait des querelles au sujet de mon prénom et de qui serait ma marraine.

Je suis restée,2 jours sans être déclaré à la mairie, il y avait désaccord sur le choix du prénom, finalement c' est mon grand-pére maternel qui est allée à la mairie avec un de ses fils pour me prénomer Florika.

Deja j' étais plus la fille de mon grand-pére Louis que de mon propre père gerard .

la suite ne m' a pas donné tord.

Mes enfants viennent de partir avec leur pére pour faire du vélo.
Ma fille va apprendre à faire du vélo sans les petites roues.
Les vacances commencent et demain nous aurons Alizée à garder c' est une petites filles de deux que je garde car je suis assistante maternelle.
Alizée s' enttend trés bien avec mes enfants Malcolm et Dorina.

je me souviens...

25 octobre 2009 à 13h44

de mon grand-pére comme de la meilleure chose qui me soit arrivée dans mon enfance.
Il unissait les liens de famille entre ma mére déja malade et ses freres jean-jacques mon parrain et andré un autre frére de ma mére.

Mon plus vieux souvenirs j' ai cinq je suis sur le balcon avec mon grand pére maternel Louis et je me sens bien, je suis bien et je n' ai pas envie de partir de cette maison.

Maman va venir me chercher avec mon pére et je ne veut pas allez avec eux je ne veut pas rentrer avec eux.

J' ai retrouvé un équilibre et je n' ai pas envie d' assister à ses scénes de violences quand mon pére frappe ma mére, il boit.
sans doute pour oublier mais quand il boit il est violent et frappe ma mére et je ne me sens plus la force de voir ma mére, parler seule, délirer, entendre des voix et restrer figer prostrer immobile comme dans une autre réalité.

j' ai peur et je ne veut pas partir avec eux.
ma mére arrive elle est gentille ma apporter une poupée, mais je trouve mon pére froid et étranger.

ils viennnent me chercher et je part avec eux............

je suis déchirer de laisser mon grand-pére, je voudrais tellement rester avec lui.

le cirque

25 octobre 2009 à 16h58

quelques temps apres être retourner chez mes parents, un peu avant mes 6 ans, un demenagement avait eut lieu.
j' habitais maintenant dans un hlm, où les murs étaient tapissé de bleu dans la salle à manger, et ou toutes les pieces étaient bleus.
une dispute avait encore eut lieu avec mes parents.

ma mére m'interdisait de me rendre chez ma grand-mére paternelle , mon grand-pére maternel Louis, faisait le lien et essayé toujours d' arrondir les angles.

Eh bien ce jour la, où la veille j' avais encore assisté à une scéne de violence ou mon pére frappait ma mére jusqu' au sang parce qu' une fois de plus il était venu ivre..........ce jour la je me sentais appaiser

d' être avec mon grand-pére Louis.

je n' arrivais à mettre le nom sur ses peurs et cette grande angoisse interieure, je ne comprenais pas la maladie de ma mére et je pensais naîvement que je pourrais la sauver.

j' ai aimé cette mére, ma mére Liliane parce qu' elle était à part moi aussi d' ailleurs je me suis toujours sentie à part!
je ne comprenais ce qu' elle voyait et les voix qu' elle entendait pendant longtemps je n' ai pas pu mettre un nom sur cette maladie je ne pouvais pas en parler d' ailleurs, cela me faisait mal et souffrir.

je pleurais souvent j' étais sans doute une enfant dépressive.
ce jour la j' étais heureuse car j' allais avoir un petit bonheur, voir le cirque et dormir ce soir la chez mon grand-pére louis.

peu de temps apres ma mére allez être de nouveau interné en psychaitrie.

j' allais voir pour la premiere fois une unité de psychiatrie et ma mére y séjournée, je venais d' avoir 6 ans.

savoir réagir

25 octobre 2009 à 19h32

je suis seule avec ma mére, j' ai 6 ans.
elle est en pleine crise, elle entend des voix que je n' entend pas.mon grand-pére louis va venir, je ne sais pas comment réagir,j' entend son monologue, son visage figé et son regard vide et inexpressif.
qu' est ce que c' est que cette maladie.........quel est son nom?
comment réagir face à cela, je sais seulement que j' ai peur trés peur.

va t-elle me tuer ou bien se tuer? je sais seulement que mon pére absent il travaille à la poterie je vais devoir lui faire prendre ses médicaments en attendant le médecin et que peut être ce soir elle ne sera plus la mais en psychiatre dans une chambre.

en attendant je dois rester avec elle entendre sa litanie que dois-je faire je suis figée par la peur.

est-ce que toutes les mères réagissent comme cela ou bien seulement la mienne, je sais seulement que je dois allez dans son sens et surtout ne pas la contrarié sinon elle va vociférer des choses affreuses.

j' apprendrais plus tard à l' âge de 14 ans quand un médecin, viendra chez nous la voir en consultation qu' elle est schizopréne soignée!

son comportement le plus étrange elle reste figée fait ses besoins sur elle car elle ne prend plus ses médicaments et lorsqu' elle ne les prend pas et bien les crises de schizoprenie reviennent!

l' hopital psychiatrique

27 octobre 2009 à 9h08

Nous y sommes aprés la crise m' a mére vient d' être internée en psychiatrie.
Je suis avec mon oncle andré, le frére de ma mére et roseline sa femme.
Ils m' emmene voir ma mére, je haie les hôpitaux psychiatrique.

J' entend les cris des gens ces anonymes privés de liberté, ces laisser pour compte de la société.

Ma mère est la derniére ses murs, je vais la voir aujourd' hui.
je suis contente mais en même temps j' ai peur, quelle attitude dois-ja adopter?

dans le couloir, je vois un homme nu qui vocifère, la peur m' envahit du haut de mes 6 ans j' essaie de dominer mon angoisse.

enfin, je vois ma mère elle est la parmi ces gens certains sont plus malade qu' elle.

elle semble redevenu normale, elle me parle son regard est mon fixe et elle ne vocifère pas.
elle restera au moins un mois hospitalisé, cette fois mais il y aura de nombreuses hospitalisation par la suite pour schizoprenie.

je repart avec mon oncle et ma tante, je me sens soulagé mais au fond de moi j' ai toujours aussi peur de ne jamais revoir ma mére.

pendant, l' absence de ma mére j' habite chez le frere de maman, il s' appelle andré et sa femme roseline.
j' aime beaucoup mon oncle, mais je n' ai pas d' afinitées avec ma tante je sens qu' elle ne m' aime pas, du moins je la trouve très sévere.

la suite me donnera raison..........

aujourd' hui

28 octobre 2009 à 9h55

Maintenant j' ai 40 ans, oui je suis née au mois de mars mais cela vous le savais déja j' ai survécu à tout cela.
les séquelles je souffre d' un trouble de la personnalité et de phobie sociale, ce qui est paradoxale, c' est que je suis assistante maternelle.

je garde une petite fille de 2 ans à la maison, elle s' appelle Alizée, je

l' aime beaucoup elle est très amusante, voir rigolote.

j' ai un ami je vie maritalement qui s' appelle Sully et deux enfants Malcolm l' ainée de 9 ans et ma filleDdorina qui aura 6 ans le 15 novembre.

au début lorsque les parents sont venus me voir ,je suis agrée à la maison j' avais un peu peur de leur réactions mais en fait je suis tombée sur des gens tres gentil, la maman vient des phillipine et le papa est blanc originaire de lion.
( j' ai changé tous les prénoms et les noms afin que personne ne puisse se reconnaitre dans mon récit).

le parcours a été long pour moi et semé d' épreuves.
je regarde devant moi , vous livrer mon histoire me permet de me lib2rer elle ne m' appartiens plus.
je ne porte plus ce poid d' être marqué au fer rouge fille de schizoprene c' est lourd à porter.

 j' espére que ce temoignage pourra aidé des personnes dont le

pére ou la mére, frére ou soeur schizoprene permettra
de soulager les souffrances..

le malade souffre aussi beaucoup et ont ne sais pas toujours quoi faire.

mais revenons à mes 6 ans............

A la neige

28 octobre 2009 à 10h20

Je viens d' arriver chez mon oncle il habite à cannes près de la voie ferré, il est gentil.
Sa femme est là, elle va me donner le bain, elle brosse mes cheveux, et fait couler le bain.
Les adultes autour de moi ne savent pas comment se comporter avec moi, je pleure souvent , je suis triste seule la présence de mon grand-père me rassure vraiment.

J' aime beaucoup mon oncle mais je n' ai pas créer un lien aussi fort que celui que j' ai pu créer avec mon grand-pére.
je n' arrive pas à manifester des gestes affectueux,

j' ai beaucoup de mal , je suis pudique il est vrai.

Autour de moi, peu de gens manifestent de gestes tendres.
je viens de rentrer au cp, je suis dyslexique du moins cela sera diagnostiqué au ce1, je trouve le maitre très sèvere,
je suis pourtant une petite fille sage qui souhaite seulement
se faire aimer.

j' entend ma tante par alliance discuté avec mon oncle dans
la cuisine, elle lui dit combien elle me trouve sale, les cheveux plein de poux et les vêtements tachés, elle critique souvent
et je n' aime pas cela.
je sens que ce qu' elle fait est pour elle un devoir et que ce n' est pas avec le coeur, c' est du moins ce que je ressens.
c' est le week-end, elle m' a acheté des collants car nous
allons à la neige.

je ne suis jamais sortie aussi loin avec mes parents, quand je suis avec ma mére, je reste à côté d' elle, mon pére sort seul voir ses copains et rentre souvent ivre à 4 du matin.
je me sens mieux chez mon oncle plus libre, et aussi j' ai une existence propre que je n' ai pas chez moi.

Nous voila à la neige, c' est froid est tout blanc, je m' amuse beaucoup, nous allons resté tout le week end.
ensuite je vais devoir à la fin du mois retourner chez ma mére,

je je ne veux   pas y retourner.

j' ai trouvé un équilibre et de nouveau il va falloir rentre

chez moi et garder le secret.

je ne peut pas parler de ma mère je suis emmurée dans mon silence , si j' en parle à l' école ont risque de m' enlever de mon foyer je ne dis donc rien .

je ne suis pas ménagére!!!

10 novembre 2009 à 13h59

Je crois que depuis le plus loin que je me souvienne j' ai toujours détèsté faire le ménage.
mon père faisait des scènes horrible à ma mère sous prétexte qu' elle ne faisait pas le ménage.
Je suis une femme aujourd' hui à 40 ans , je me trouve en but au même problème.
Je dois faire le ménage, cette obligation et l' absence de choix me révulse!
mon ami me cherche toujours des disputes parce que je ne suis pas ordonnée et que je ne fait pas le ménage.
Derrière tout cela se cache un plus profond mal être je n' ai aucune envie de m' activée à quoique cela et cela depuis mon adolescence.
Ce n' est pas une question de volonté, mais plus le sentiment que

c' est trop, je n' ai pas réglé tout ce qui devait l' être.

je n' ai aucune énérgie, je me sens vide fatiguée, dèja parce que j' ai déja vécu enfant et ce poids la est toujours au fond de moi.
si seulement j' arrivais à l' évacuer tourner la page.
j' ai toujours ces images dans ma tête, l' appartement où je vivais avec mes parents devenu peu à peu un dépotoir, l' absence, de lien familiales, la coupure entre ma mère et ses frères .
la schizoprenie de ma mère l' alcoolisme de mon pére cette violence latente qui m' a envahit.

la peur de ressembler à cette mére, la volonté de ne surtout pas lui ressembler et l' envie de rien qui m' a envahit au décés de mon grand-pére.

au fond cette histoire de ménage c' est juste le reflet que je

n' arrive pas à faire mon ménage interne et cela reflete mon mal être à l' exterieur.

je ne suis bien qu' à ne rien faire, j' ai un côté baba-cool, et je comprend que cela puisse gener de voir que je réagis pas.
peut faudrait-il que j' avance plus et que j' évacue tout ce passé par l' écriture pour le livrer comme ont livre ses démons , ses parties et aux obscures.

si vous voulez me donner vos avis voici mon email:
beccaria2009@gmail.com

au parc

10 novembre 2009 à 14h11

je suis au parc avec mon grand-pére louis, ma mére, olga une vielle dame qui va m' apprendre à tricoté une écharpe bleu pour l' école.
il y aussi sylvie, de corse et valérie qui est mon amie d' enfance.
nous jouons à la poupée barbie.
c' est moi qui commande comme à mon habitude je fait la chef!
j' ai pris cette habitude depuis que maman est malade, je lui donne ces médicaments.
il y a eut hier soir encore une scénes de violence mon pére est rentrée ivre 4 du matin comme à son habitude ma mére à commençait à lui reprocher que ce n' était pas une heure pour rentrée, elle s' est reçue des coups.
Le visage en sang elle arbore aujourd' hui les marques de cette violence.
je hais mon pére, sa violence.
c' est déja dur pour moi de suporter d' être envahit par la maladie de ma mére.
les adultes ne savent pas se gerer eux mêmes comment moi à 6 ans pourrais-je y parvenir.

il y a d' abord tout ce qui me fait peur ma mére qui savait parlé italien français et parfois américain lorsqu' il venait la tante d' amérique.
et bien elle s' appauvrit intellectuellement, au final du temps elle ne s' est même plus écrire son prénom.

elle n' a plus de force et d' énergie pour faire quoique ce soit, je la voit parler seule elle parle de persécution au bien quand elle prend son traitement tout va bien mais sans...........
rien ne va plus.
il y a aussi il faut en parler le fait qu' elle ne fait plus face à la réalité elle ne travaille plus.
elle est handicapée à 80%.
elle ne prend plus soin d' elle ,elle ne se lave pas lorsqu' elle est en crise fait ses besoins sur elle.
il y a les incessants allez sretour en psychiatrie.

j' ai le sentiment de ne pas exister il n' y a pas de place pour moi sa fille.

depense compulsive

10 novembre 2009 à 18h38

j' ai toujours cette problèmatique d' achat compulsif.
j' ai toujours autant de mal à me limiter dans mes achats.
j' ai beau voir mon compte en banque et le montant afficher, rien n' y fait.
c' est comme si je devais combler absolument le vide absolue de ma vie et une insatisfaction permanente...........

oui j' achete du bien-être mais je me sens tout aussi coupable de mes achats intempestifs que cache-t-ils ?surtout je met dans des situations impossible rien ne m' arrête même pas

un découvert à la

banque, jusqu' à aujourd' hui me retrouver interdit bancaire!!

j' ai ce probleme avec l' argent, je prend plaisir à l' acte d' achat.
je m' achète sur des choses futiles comme surtout des vêtements certes j' en ai manqué enfant mais aujourd'hui cette peur est toujours la!

comme le probleme que j' ai avec le ménage, les deux problemes sont lies à mes problèmes internes.
j' ai enfin compris que j' ai été victime de parents toxiques.
j' arrive à être un peu independante, c' est un ensemble de choses qui ne va pas dans ma vie actuelle.

je n' ai pas le sentiment d' avoir une existence propre , je me sens sans identité, comme si j' avais était l' esclave de mes parents.
pour cette problematique liée au ménage qu' est ce qui fait que je ne peut pas agir? pourquoi? je ne peut pas y toucher?

pour les achats compulsifs comment les contrôler et en se qui concerne le traumatisme de mon enfance et la peur des autres,

c' est aussi difficile à gerer.

pas clair

10 novembre 2009 à 22h36

je me relis , je me rend compte que ce que j' exprime, n' est pas clair.
si ce que j' exprime n' est pas clair, c' est tout simplement que mon esprit n' est pas au clair et n' a pas fait le nettoyage interne.

je n' ai tout simplement pas saisi le sens des choses.
pourquoi ai-je vécu cette enfance, dans quel but et surtout quelle est ma mission ici sur cette terre.

j' ai le sentiment que nous ne sommes pas ici par hasard, avec mes parents j' ai joué un rôle comme dans une piece de theatre j' étais
la victime consentante de leur incapacité à gérer leur vies.

j' étais une esclave des temps moderne assujetti à, leur bien être.
j' ai joué le rôle qui mettait dévolu celui d' infirmiére , d' époux je comblé les absences de mon pére, de béquille aupres de ma mére.

mais je n' existait pas pour moi, je n' avaitt pas de place,

pour moi.

je me rend compte combien il était violent pour moi
de vivre aupres d' eux, sans liberté.

je n' étais pas libre toujours dedans, je souffrais de ce

manque de liberté.

est-ce que le passé peut expliquer le present? comment

vivre
avec et avançé, comment le classer et le laisser derriere soi comme s' il appartenait
à un autre, peut être que mon devoir est de témoigné
et de ne pas laissé dans l' oubli la personne que j' ai été.

afin du sortir du silence et de ne pus être la victime mais

devenir actrices de sa propre vie..............

l' absence de liberté

10 novembre 2009 à 23h01

je n' ai jamais été libre d' aimer, ma mére par son discours me conditionné.
je ne pouvais pas voir la famille de mon pére de ma grand-mére maternelle, je n' ai que peu souvenirs, celui d" un flan à la
vanille, d' un trajet en bus pour allez voir le parrain de mon pére, aveugle de naissance .
celui d' un repas lors de mes 14 ans lorsque ma mére une
nouvelle hospitalisé en psychiatrie, j' ai pu à ce moment

la manger chez ma grand-mére paternelle, presqu' une
inconnu pour moi.

le souvenir que j' en garde un plat de pommes de terres

au four avec des lardons gratiné, rien d' autre.

aujourd' hui encore je ne sais rien de ce quelle à vécu de

qui elle a été.

tout ce que je sais c' est que ma mére m' a empêche

de la connaitre, elle me disait que cette famille lui

avait fait beaucoup de mal.
j' avais donc un conflit interne si j' allais la-bas j' etais
deloyale à ma mére............

je ne jamais pu me debarasser de ce sentiment de
culpabilité encore une fois ont me positionner dans une
place d' adulte, elle me demandait de choisir, mais ce
n' était pas à moi de le faire.

j' aurais aimé que quelqu' un soit la pres de moi
pour me prendre dans ses bras, sentir la protection

d' un adulte mais je ne l' ai pas eut.

c' est à moi que l' ont a imposé le rôle d' adulte
à un âge qui n' était pas le mien...............

ne plus être victime mais l' actrice de sa vie

11 novembre 2009 à 14h47

En relisant mes textes je me suis rendue compte que je me considerais toujours comme une victime de mes parents déficients.
je ne suis plus une enfant , mais aujourd' hui je suis actrice de ma propre vie grace à vous qui me lisait.

j' ai pris conscience que j' ai j' ai un devoir de mémoire pour tous ceux et celle qui vont vivre ce que j' ai vécu ou bien qui le vive actuellement.
je deviens actrice car je sors de mon rôle de victime pour exprimer par des mots, mes MAUX.

la parole est libératrice et fait changer notre statut.
en approfondissent je me rend compte aussi, que pour mes problémes liés au ménage, c' est que j' angoisse de sentir le vide autour de moi.

c' est comme si ces traces de vie, des jeans, qui trainent des pantalons pas ranger me donner l' expression d' exister.
je vais me lancer un défi celui de toucher au choses à ranger, classer trier, jeter.
pendant une demi-heure demain matin, je vais me consacrer à un carré de la cuisine.

avant je ne pouvais pas y toucher d' où mon sentiment d' être à ce moment la prisonniere de ma vie spectatrice .
je veux sortir de mon rôle de victime ne plus être cette petite fille victime des délires et des idées de persecutions de sa mére et victimes des critiques de mon pére , tout ce que je faisait pour lui ne valait rien je n' avais aucune valeur à ses yeux.

je veux grandir m' affranchir de mon rôle de victime pour pouvoir gagner en autonomie, ne plus avoir des autres, je suis phobique sociale.

JE VEUX EXISTER POUR MOI MEME!

la prochaine fois je vous raconterais comment la peur au ventre je rentre chez mes parents pour voir que ma mère s' est échappée en chemise de nuit pour errer dans les rues.

l' errance...........

12 novembre 2009 à 15h38

l' école vient de se terminer, je sors de l' école pour rentrer chez moi.
toute la journée en classe je n' ai pas réussi à me concentrer.
je pense à ma mere comment vais-je la retrouver en rentrant ce soir chez moi.

j' arrive, la porte ouverte, je me sens inquiéte, j' appelle maman!!
personne ne me repond, je me dis qu' elle a du se couché.
j' entre un peu inquiéte pour me rendre compte que ma mére a disparu, volatilisée envolée.

je me sens à la fois soulagée et inquiète, où est-elle allez?!
le téléphone sonne je repond mon grand-pére louis m' informe de ne pas m' inquiétée, elle s' est échappée en chemise de nuit pour errer dans la ville.

on a avertit mon grand-pére, elle est une fois de plus internée en psychiatrie, mon, oncle viendra me chercher et prendre mes affaires pour dormir chez lui pres de la voie ferrée.

j' ai échappée à la corvée de devoir surveiller ma mére et de lui administrer ses médicaments.
j' ai peur je suis envahit par l' angoisse, tout cela me paralyse.

je sais cette fois que je ne veut pas aller la voir en psychiatrie, j' ai trop peur, la derniere fois ont lui a fait une radiographie du cerveau, personne n'a rien decelée.

qui est cette mére? quelle a été son enfance? qu' à t-elle vécu pour être dans cet état, plus je m' interroge et plus je m' inquiète.
elle restera une fois de plus un mois en psychiatrie entre temps des moments plus calme ou elle prend ses médicaments.

je l' entend dire constamment qu' elle n' est pas malade, mais elle parle de plus en plus souvent de se suicider.

je ne sais toujours pas comment réagir, je reste la petite fille sage qui joue avec ses poupées barbie, et la plus part du temps, je reste la à l' observer.

ma grand-mére maternelle est peu présente elle monte peu souvent nous voir chez nous, ma mére n' est proche que de mon grand-pére louis, c' est le seul qui a une influence possitive sur elle.

qui est ma mére?

13 novembre 2009 à 10h46

en m' interrogeant, en lui posant des questions j' ai pu accedé à son passée.
ma mére est l' ainée de 3 enfants, la seule fille elle est née au pontet dans un chateau, elle a deux freres, jaky et andré.

aucun des deux ne prend de nouvelles d' elle au début je pensais que c' était ma mére qui avait coupé les ponts avec sa famille.
puis je me suis rendue compte que ses fréres s' étaient éloignée
d' elle.
sans doute craignent-ils sa folie, comme si c' était une maladie
contagieuse et que l' ont pouvait l' attraper à son contact.

ma mére à vécu dans une petite ville des alpes maritimes v........,
elle s' occuper de ses fréres, pendant que ma grand-mére yvette travaillé et mon grand pére louis aussi.

ma grand-mére ne s' occuper pas de ses enfants

,'( c' est la perception de ma mére et ce ne

peut être pas la réalité).

ma grand-mére maternelle, c' était marié avec un sicilien ont

l' appeller la française , elle n' était pas accepter dans le clan des siciliens.

elle faisait des dettes par tout, n' était pas sérieuse, aprés son décés,

j' ai appris que mon parrain jacky, l' une des freres de ma mére,
l' avait attrappé au lit avec un autre homme.

il a gardé le secret pendant 40 ans, il ne parler plus avec ma grand-mére.

mon grand-pére faisait lui aussi des allés retour en psychaitrie,

 il a été interné de force avec camisole et c'est une de ses soeurs carmen qui l' a fait sortir de psychiatrie, car ma grand-mére voulait le faire interné à vie.

l' enfance de ma mére a été malheureuse elle se comportée, comme la mére de ses fréres.
c' est pourquoi je ne comprends pas comment aujourd' hui, ont ai pu la mettre à ce point à l' écart.

ma mére n' a pas la peste, elle est juste schizoprene, cela ne

s' attrape, ce n' est en aucun cas contagieux.

défi ménage

13 novembre 2009 à 10h59

je me suis lançée le défi, hier de nettoyé pendant une demi-heure une partie de la cuisine, j' en ai épprouvée une véritable angoisse.
pourtant la saleté me répugne, mais je n' arrive pas à y toucher ou bien trés difficilement.
je me dit qu' il faut que j' achéte des gants type chirurgicale.
a quoi est lié cette angoisse?pourquoi suis-je paralysée

à l' idée de nettoyer .

il y a chez moi un véritable blocage, de quoi ai-je peur?

pendant une demi-heure j'ai jeté d' abord dans un sac plastique

tout ce qui trainé, ce qui m' a fait gagner de la place.

la table de la cuisine est de nouveau libre, je me suis sentie
mal au début même tres mal.

cela me donne l' impression d' acceder à une autre
dimension, celle d' adulte peut être que fuis ce rôle

que j' en ai peur.

il est IMPORTAN QUE JE ME DISE, JE NE SUIS PAS MA

MERE.

JE SUIS LIBRE D' AGIR ET D AFFRONTER LA REALITE.

une demi-heure passe et j'ai réussi à vider la trable, ce matin
je me suis lançé toujours pendant une demi-heure j' ai vidé
un autre coin du vaisselier.

en y reflichissant bien cela me donne le sentiment que j' ai
peur des responsabilitées d' adulte

qu' est ce que la schizoprenie?

24 novembre 2009 à 14h25

En me relisant je me suis rendue compte que je ne décrivais pas la maladie de ma mére et que pour la faire comprendre par des néophites, je devais la décrire.
schizoprenie:
psychose caractérisée par la désagregation de la personnalité et par une perte de contact avec la réalité.
la schizoprenie affecte le plus souvent l' adolescent ou l' adulte avant l' âge de 40-45 ans.
causes
les causes de cette affection complexe demeurent tres controversées: perturbation de la relation mére-enfant, dysfonctionnement des circuits médiateurs cérébraux, disposition constitutionnelle ( sujet grand et mince, caractére schizoide-introverti, abstrait, avec repli sur soi).
symptômes et signes
la schizoprenie est caractérisée par une dissociation mentale, ou discordance, accompagnée d' en envahissement cahotique de l' imaginaire, se traduisant par des troubles affectifs, intellectuels

et psychomoteurs: sentiment contradictoires éprouvés vis-à-vis

d' un même objet( amour -haine), incapacité à agir, autisme, sentiment de ne plus se reconnaitre, délire,catatonie( ensemble des troubles moteurs psychomoteures caractérisée par une absence de réaction aux stimulation ectérieures, une immobilité absolue, un refus de manger, de parler).
etc.........
on distingue plusieurs formes de schizoprenie: schizoprenie simple: (inhibition, bizarrerie, marginalité); schizoprenie paranoide(délire flou, peurs insolites s' organisant autour de certains themes-peur d' effectuer certains gestes, peur de certaines couleurs- le malade ayant en ouytre l' impression que sa pensée est manoeuvrée de l' exterieur

harcelement moral de la belle-mére

27 novembre 2009 à 10h12

dés que j' ai rencontré mon mari, et qu' il m' a présenté à sa mère.
j' ai senti qu' avec sa mére cela ne passait pas.
au départ je m' étais dit qu' avec le temps elle m' aimerait,

mais ce  n' est toujours pas le cas.

je dois certainement avoir le profil de la victime idéal car peu de temps aprés m' avoir présenter à sa mére, j' ai eut droit à des piques!!
il faut préciser que je suis blanche et mon mari noir.
un jour que sa cousine me demander comment je trouver sa tante ainsi ma belle-soeur j' ai répondu que je les trouvé froide et guindé en ma présence!!

c' est comme si je devenait invisible, elle se parle entre elles et moi je n' existe pas.
A chaque visite elle me lançait des piques auxquelles je ne répondait
pas, bien evidement pas devant son fils et lorsque je répondait elle me disait qu' elle plaisanté, me traitant de raciste, immature et autres méchancetés.

heureusement que je le beau-père m' aimait bien, hélas il est décédé trop tôt.
je me remet en question et je me pose la question qu' ai je fait pour mériter cela?
le seul fait d' émettre une opinion autorise t-il les gens à nous maltraiter?
ce que je pense aujourd' hui apres toutes les histoires qu' il y a eut

j' ai fini par couper les ponts, de toute façon
elle est partie loin vivre sur son île son rocher. quelle y reste!!!!

donc la derniere fois, nous étions en voiture, ma fille de 6 ans n' a pas voulu lui faire un bisou, je me suis excusée auprés, d' elle.
d' ailleurs elle m' a "convoqué", comme ont convoque les gens au tribunal!

bref, elle a fait un cinéma pas possible, il y a tellement à dire que je pourrais en écrire des pages, je crois qu' avec mon passée j' étais la victime idéal pour se genre de personne.

ma belle mére jouit du malheur des autres, elle nous appelle à nous les blancs les culs blancs, elle aime semer la terreur, prend plaisir au conflit, procés avec de nombreuses personnes, fréquente des hommes blancs mais pas pour la même raison.........

au final je dirais qu' un couple mixte est rejeté par les blancs et les noirs.
ma belle-mére est une perverse narcissique, qui jouit du malheur des autres, elle rejette sa propre responsabilité accusant les autres de ses propres fautes.

mais maintenant tout va bien elle est sur son rocher et qu' elle y reste!!!

au derniere nouvelle elle est hospitalisée.. je ne lui souhaite pas de mal seulement qu' elle me fiche la paix!!

premiere page..........

27 novembre 2009 à 15h05

sur la première page en tête de mon autobiographie, cela peut paraitre prétentieux, mais cela me semble nécessaire de laisser une trace de soi.
qui suis-je? quelles sont mes qualités? mes défauts?mes talents.
en clair comment me qualifier je suis une femme de 40 ans beaucoup plus mère que femme.
petite dame de 1,60 m , les cheveux méchés blonds, ronde avec mes kilos de trop depuis mes grossesses.

j' aime prendre soin des miens, c' est d' ailleurs ce que j' ai toujours fait!
parce que pour moi cela a du sens!
mes qualités: dévouée, altruiste, mes défaut rancunière je l' avoue cela peut paraitre puérile, je suis susceptible et je n' aime pas les jugement négatifs critiques du moins je n' essaie pas d' en émettre sur les autres.

parfois " trop gentille", je deviens alors bonne poire, j' ai peur des autres également ont peut parler de phobie sociale ou de post-traumatisme.
j' essaie de parler le plus possible pour évacuer toutes ses horreurs et m' en détacher, prendre de la distance, ne plus être dans l' ombre et la dépendance des autres.

alors oui, mon style ne plait pas forcement, c' est noir, cela manque de forme.
je me demande quel peut être le sens de tout cela? un dessein superieur aux autres nous fait traverser ses étapes? dans quel but?
et quelle est ma mission ici?

mon devoir est un devoir de mémoire je dois temoigner pour sauver ou aider d' autres personnes à faire face à cette psychose qu' est la schizoprenie et surtout n' oublier pas d' écouter les malades, c' est tres important.

acheteuse compulsive!!!!!!!

27 novembre 2009 à 21h54

privé pendant 12 jours d' ordinateur pour cause de fausse manipulation.
je me suis sentie frustrée, donc insatisfaite, et pour combler cette insatisfaction.
je me suis comme d' habitude jeté sur mon addiction favorite, l' achat compulsif.

ex je vais au marché pour acheter une jupe festive pour ma fille, au final j' en achéte deux et un ensemble qui bien evidement n' était pas prévu.

tout cela est comme un rituel, bien entendu tout est dans son armoire bien plier, ce n' est pas même certains qu' elle portera tous ces vêtement pour moi l' essentiel, c' est qu' elle ne manque de rine.
quand je fait le compte des sweet-shirt elle en a 15 bien evidement 5 suffirais et bien moi, cela ne m' arrête pas.

je me suis calmée 3 semaines depuis que je suis interdite bancaire, mais à la moindre frustration je replonge dans mon addiction favorite, l' acte d' achat.
c' est pour moi, une vrai jouissance melé de culpabilitée.
donc ce mois-ci je retrouve encore une fois à découvert de- 50,48.

bien sur que je me sens mal d' être dans le rouge, c' est comme si tous ces objets tangibles étaient sensés me rassurer.
enfin ce mois-ci j' ai acheté une partie des cadeaux de noel pour mes enfants et mon mari, des decorations de noel dont j' aurais pu me passer, j' ai payé la réparation de l' ordinateur le reste est partie dans divers frais.

encore une fois je n' ai pas su m' arrêter me poser de limite et cela depuis l' âge de 16 ans, j' en ai aujourd' hui 40 ans cela n' a fait

qu' empirer.

comment faire pour arreter de depenser mon argent pour des futilitées?
je suis suivie par une psychologue, à cela s' ajoute des problemes de contact avec les gens phobie sociale, et probleme de poids.

je n' arrive pas à maigrir je mesure 1,60 pour 75 kig et malgres tout mes effort, ce poids ne part jamais!!!!

si quelqu' un à une solution merci de poster un message je le lirais avec attention

a plus tard.............

insatisfaction permanente.................

28 novembre 2009 à 15h53

au fond de moi tout au fond de moi, je ne suis jamais satisfaite de rien.
ma vie me semble banale, je n' ai pas eut une brillante réussite social,
quoique la réussite sociale je m' en fiche un peu.
pour moi cela ne fait pas le bonheur, tout l' argent du monde ne pourra jamais m' apporter le bonheur.........

l' amour inconditionnel de soi et des autres ne s' achète pas.
comment continuer à avancer dans une vie qui me parait vide

d' intéret, mais à part mes enfants , je n' ai pas construit de
vie personnelle valorisante.

enfant, je n' étais pas libre de m' amuser avec insouciance j' avais déja des charges, prendre soin de ma mére.
je n' ai pas pu développer d' aptitude valorisante en rien.
je ne sais pas nager, il a fallut que j' attende d' avoir 20 ans pour apprendre à faire du vélo, personne, n' y mon pére encore moins ma mére ne m' avait appris à en faire.

j' ai échoué lamentablement dans les études, du moins je les ai laissée tombée, je suis dyslexique, donc pendant des années j' ai fait des petits boulot mal payé peu valorisant.
ou bien je restée figée sur le canapé du salon chez mes parents à attendre je ne sais quoi.

au sortir de l' adolescence je n' ai plus pu agir, je me suis trouvée dans l' incapacité d' agir, j' ai fait une forte dépression avec envie de suicide mais je ne suis jamais passer à l' acte, la peur sans doute.

bref, mon enfance n' a été pour moi qu' un parcours d' échec, échèc de soi de sa réalisation personnelle, échèc dans les études, échec sentimental, deception amoureuse tres jeune, perte de

l' amour inconditionnel tres jeune mon grand-père maternel est mort un

24 décembre j' avais 12 ans.

le seul plaisir pour moi c' est de pouvoir écrire et me libérer de tout cela, je garde une culpabilité bien que j' ai compris depuis

que j' ai été manipulé par ma mére, celle de n' avoir pas pu connaître ma
grand-mére paternelle, ma mére m' empêcher
de la voir et au bout d' un certain je n' ai plus pu agir.

j' avais honte de moi et cette honte m' empêcher de me conduire dignement.
bref je n' ai rien d'exceptionnel, une vie banale ordinaire ou

l' amour n' a pas eut de place , la folie de ma mère ma envahit
j' ai vécu dans un monde de violence.

j' ai peur des gens des autres, je n' ai pas d' amis, juste des relations, je me protege mais tellement qu' au fond de moi
je ne vie pas mais au moins je ne souffre pas........!

se sentir seule

29 novembre 2009 à 20h48

avez-vous déja eut le sentiment d' être seule parmi du monde.
moi cela met arrivé bien souvent, d' ailleurs nous naissons seul et repartons seul.
la mort me fait peur,je l' avoue je n' y pense pas.
mais cela m' effraie souvent de me dire que je peut partir du jour au lendemain et laisser mes enfants de 6 ans et mon fils de 9 ans seul!!

je me demande souvent quel est le sens de tout ce que nous vivons, parfois cela m' echappe.
j' ai le sentiment de me conduire plus en enfant quand adulte.

toutes les taches dites adulte m' ennuie; comme celle de gerer un budget, se prendre en charge être autonome pour moi c' est flippant.
j' aurais aimer rester petite fille et ne jamais devenir adulte.

j' ai des responsabilités, j' essaie de m' occuper au mieux de mes enfants, je crois qu' ils est important de se sentir aimer inconditionnellement.

il m' a manqué cela dans ma jeunesse, mais je suis toujours la.
j' ai peur de ne pas être à la hauteur de ne pas pouvoir assumer mon rôle de mére de femme et de me prendre en charge.
mon comportement compulsif avec l' argent m' effraie, j' ai constaté que cela me calme un petit moment et je reviens à mes vieille habitude.
et je met également en danger l' adulte que je suis et ma famille avec mon comportement inconsidéré.
mais rien ne m' arrête même pas ma culpabilité n' y le sentiment de honte qui en découle.

des fois je me dis que j' aimerais que se soit finit que mes enfants soit grand éléver et que je sois au bout du chemin.
je me dit aussi que si je suis encore la , c' est que j' ai encore à apprendre de la vie.

encore faut il que je puisse avoir moins peur des autres.

on ne peut pas changer le passé

30 novembre 2009 à 9h48

je me relis bien souvent et je constate que je n' ai pas accepté certains de mes actes, mais avais-je le choix? non quand à 6 ans ma mére

m' interdit de voir ma grand-mère paternelle que si je n' obeis

pas je n' aurais plus rien........

la parade que j' avais trouvé c' était dans parler à mon grand-pére maternel, lui seul avait une influence sur ma mére.
a son décés, ma mére m' a interdit de voir ma marraine, ma grand-mère paternelle et tous les membres de la famille de mon pére.
j' avais 12 ans j' en ai eu beaucoup de peine, je ne pouvais pas en parler à mon pére, je n' avais pas assez créer de lien avec lui.

ma mére m' a placé dans le rôle de rebelle alors que moi je voulais juste unir les liens.
même si je n' aimais pas mon pére qui frappait ma mére, je voulais être juste.
par la suite je n' ai jamais plus revu ma grand-mére paternelle, elle est decedée à 88 ans et je peut dire, qu' elle m' est restée inconnue.

elle n' est jamais montée nous voir chez nous, n' y la soeur de mon pére d' ailleurs, est-ce ma mére ou ses fréres qui ont coupé les liens du côté maternel, je n' ai pas plus de lien.
je n' ai pas grandi avec mes cousins les seuls que je voyez c' était une fois par an chez ma grand-mére maternelle à la noel.

ma tante par alliance la roseline me gâcher tous mes noêl à

m' envoyer des piques.

les adultes sont aussi coupables c' étaient à eux à me sortir de la, le seul qui m' a aidé c' était mon grand-pére maternelle, il est mort

j' avais à peine douze .

si je pouvais le faire revivre je le ferais.
ma fille est née le 15 novembre à la même date anniversaire que lui, dois-je y voir un signe?

l' alcoolisme de mon pére

30 novembre 2009 à 10h02

l' image que j' ai de mon pére, mes premiers souvenirs.
un homme qui fume comme un pompier qui mange seul le midi à table, ma mére ne partage plus ces repas avec lui.
il sortait tous les week-en rentrant à 4 du matin ivre.

il buvait beaucoup, et si ma mére parlait elle se reçevait des coups, voila l' image que j' ai de mon pére.
quand il arrivait ivre il allez vomir dans les toilettes, avez des propos insultant pour moi et ma mére.

je ne sais rien de lui de son histoire, je sais qu' il a une soeur qu' il ne voit jamais.
il a vécu à la campagne pendant son enfance, ce qu' il aime, la pêche, la cueillette des champignons,les repas de famille, la terre, cultiver des plantes.
je l' ai vu toute sa vie s' échiner au travail méprisé et se battre pour un salaire de misére.

l' alcool à tout gâcher, je n' ai pas pu creer de lien avec lui pourquoi ne m' a-t-il jamais pris par la main pour m' emmener voir ma grand-mére paternelle.

je veux bien croire que lorsque ma mére à perdu la tête à ma naissance les deux famille se soit déclarer la guerre.
il me reste plein de questions auquel je ne pourrais jamais avoir les réponses car mon grand-pére maternel louis n' est plus la pour me les donner.

on était toujours ensemble mon grand-pére, louis, ma mère et moi , sa mort m' a anéantie, un vrai cataclysme, elle a signé la rupture des deux famille.

il y a toujours eut un silence lourd quand je me rendait chez mes grand-parents paternels, le peu de fois ou j' y allais je ne sentais pas à ma place, pas la bienvenue.

voir un victimologue?

8 décembre 2009 à 15h04

bonjour, cher journal,

je regardais une émission de télé, et sur une témoignage d' une victime qui présente les même symptômes que moi je me suis reconnue.
c' est à dire une victime agressée physiquement présenté des symptômes identique au mien:

-une incapacité à sortir de chez elle
-une peur du contact des autres
-une incapacité à agir

l' avocat lui a proposée de voir un victimologue.

bien je n' ai pas était agressée physiquement mais
psychologiquement.
je parlerais dans mon cas de maltraitance psychologique et que
j' étais dans le rôle de "victime".
comment en sortir et les clés pour en sortir?

culpabilité dûe à mes achats complusifs

8 décembre 2009 à 15h15

samedi, nous voila invités à une soirée mauricienne avec spectacle.
je n' ai rien à me mettre donc aprés le cours de danse de ma fille.
je décide de me rendre dans un magasin pour " voir" si un ensemble me plait pour la soirée.

je n' essaye rien mais ma fille voit un joli haut et me dit"

ho maman,
il est beau celui la.

effectivement sur le cintre ce haut violet avec un papillon
est fort plaisant.

n' y une n' y deux me voila, à la caisse non seulement avec le haut mais en plus le caleçon assorti et la veste violette col montant.

déja à la caisse je culpabilise, je n' aurait pas dû l' acheté.

une fois à la maison, j' essaie le caleçon qui ne me rendre

même pas  il s' arrête à mis cuisse le haut me grossit déja

que je ne suis pas mince .
même je me trouve ridicule et moche.

la veste me boudine et je fait bien mes 75 kilos dans cet ensemble.

je culpabilise encore plus dans les jours qui vont suivre je suis de nouveau prise d' une frénésie d' achat incontrôlée et je met en danger financièrement .
pourquoi est-ce que je met toujours "l' adulte" en moi en danger?

la culpabilité est"énorme", de plus je haie mon corps je me trouve immonde malgrès mon régime je ne perd rien.

hier encore ont m' a demandé tu attend un bébé?

j' ai répondu non je suis grosse naturellement!!!!

reveillon de noel et jour de l' an raté chez le jumeau demon mari

14 janvier 2010 à 12h05

vous vous souvenez je pense du peux de lien que j' ai avec la moche-famille, surtout la moche-mère '( belle-mére.)
a sa derniére visite il y a de cela deux ans elle a encore trouvé le moyen de me faire des histoires et de me chercher dispute .
bref, donc la nous voila a la noel, avec le jumeau de mon mari son neveu steeven, il a 4 mois une enorme tache de café sur le visage.
bref le reveillon, se passe en apparence bien.

mais voila je constate de petits détails qui me gé
ne, le jumeau fait le servie, il y a deux cuisses de dinde au plat principal, et bien devinez quoi, il sert les morceaux les meilleurs à son jumeau.
pour ma part j' ai droit à une aile, il n' y a rien à manger dedans et des pommes de terre brulées.
bien evidement moi cela m' arrive de rater mais moi je sers toujours les meilleurs morceaux aux invités.
ensuite j' ai eut droit à du blanc pendant que mon mari lui l" invité" se manger les deux cuisses de dinde.

puis nous avons reçu un colis de la "moche mére au seul nom de mon mari" ,ils ont oublié mon existence je n' existe pas .
ensuite le jumeau nous a envoyé les voeux encore une fois au seul nom de mon mari vraiment nulle cette famille.

puis le 31 decembre reveillon chez sa tante cela s' est bien passée.
vient enfin le 5 janvier jour anniversaire de mon mari, ont mange la galette chez jean-paul un des types de moche mére, et voila que la moche-soeur la belle soeur envoie ballader mon fils qui voulait jouer avec la couronne de la gallette des rois.
resultat mon fils en parle à son pére mon mari le dit au jumeau, puis la moche-soeur se permet de nous dire que nos enfants non pas d' education parce qu' ils ne font pas de bisous.

alors la c' est le pompon, je leur apprend à dire bonjour, mais pour ce qui est du bisou je ne les force pas je considere que c' est une marque d' affection et que ce n' est pas un dû, elle doit être consentie librement.

bref resultat le jumeau ne telephone plus et mauvaise nouvelle moche-mére va venir en fevrier