tatonnement

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 27/12/2014.

Sommaire

Tourments

4 mai 2007 à 23h14

Mon autre journal a été supprimé alors j'en commence un autre...Je viens de finir la saison une de " the L word" j'adore! Je suis trop accro! J'aime particulièrement le personnage de Shane et surtout je la trouve magnifique! Je vais bientôt voir la saison 2 mais ma curiosité m'a poussé à aller lire les résumés des autres saisons alors j'ai d'autant plus hate de la visionner!

En ce moment j'écoute souvent l'album de Pauline Croze! Il est tout simplement sublime, je me retrouve dans plusieurs de ces chansons. Particulièrement dans le titre "Mise à nu" qui est d'ailleurs mon préféré.

Mes copines veulent me faire rencontrer un copain à elles mais ça fait trop coup arrangé à mon goût. De plus, je connais la fille avec qui il a voulu sortir et elle ne me ressemble pas particulièrement, c'est pratiquement mon opposé physiquement mais on est sur la même longueur d'onde sur le plan mental. A. me dit que je n'ai rien à perdre, alors je verrais bien...Je vais réfléchir un peu avant car je me pose une question en ce moment, et elle m'obstine. Je me demande si je ne suis pas lesbienne. Je me suis prise à "matter" d'autres filles, à fantasmer sur elles et à être terriblement attirée par elles. Je ne regarde même plus les garçons en ce moment. Peut-être est-ce une réaction à cause de mes echecs sentimentaux?
Il n'y en a une qui m'attire vraiment et je sais qu'elle est homo, je ne sais que faire.

**Tourments incessants...**
J'ai des diffilcultés à me concentrer et quand je décroche de la réalité, mes pensées se tournent vers elles. Le problème est que je ne peux en parler à personne, cela choquerai trop.
Que faire? Que dire?
Après tout, si j'ai le droit au bonheur, c'est peut-être avec une femme?

**Tourments incessants...**
C'est pour cela que je ne veux pas qu'elle me présente leur ami pour cela. Je ne sais pas où j'en suis dans mon orientation sexuelle, alors ce n'est pas pour rencontrer quelqu'un. Je veux être sûr avant.

**Tracas...!**

J'écoute Pauline Croze, cela m'aide à réfléchir. J e pense que je vais encore avoir du mal à m'endormir ce soir. Si je suis vraiment homo, comment je vais pouvoir l'annoncer à mes proches? S'ils m'aime ils doivent m'accepter comme je suis non? Je m'arrache les cheveux! C'est trop compliqué la vie!
Il faut que je sache absolument! Je vais peut-être bien rencontrer ce garçon finalement, les filles m'ont assuré que nos caractères s'accorderaient très bien.
Ho! Puis j'en sais rien! Je vais essayer de prendre du recul avec tout ça et je verrais à quoi j'en conclus.

**Reflection profonde...**

"La nuit porte conseil", alors interrogeons la.

Tourments suite

5 mai 2007 à 13h31

La nuite ne m'a pas porté conseil. Je réfléchis toujours.
J' écoute en boucle le titre Brother de "the Organ" , je l'adore et je m'évade avec lui.
J'ai découvert aujourd'hui le titre " raphael" de Carla bruni, il est pas mal.
J'essaie de penser à autre chose mais rien à faire toujours la même question revient:
Suis-je homo ou pas?
J'essaie de réfléchir si, auparavant, d'autres filles m'ont attiré et, je pense parfois oui, parfois non. Tout s'embrouille dans me tête, j'ai sans cesse envie de pleurer mais rien n'y fait, je n'y arrive pas. Foutue vie de merde où tout est compliqué!
Le pire étant de ne pouvoir en parler à personne.
Il est vrai que je n'ai pas été souvent attirée par des hommes mais...ho j'en n'ai mar, J'en sais rien, c'est terriblement frustrant!
L'idée de faire l'amour avec une femme ne me dégoute pas. J'en suis toujours au même point, et personne ne paut m'aider, seule moi peut le dire mais pour l'instant je me trouve dans un énorme brouillard, que je n'arrive pas à disperser.

Pour essayer de penser à autre chose, j'ai décidé de commencer un petit régime. L'idée de ne plus pouvoir manger de chocolat va m'occuper quelque temps, enfin, je l'espère. Et puis, je me sentirais peut-être mieux...Pff maigre consolation, mais je ne vois pas ce que je peux faire d'autres. On va attendre, comme on dit, "qui vivra, verra" mais j'aimerai quand même avoir une petite idée de ce que je vais voir pour pouvoir vivre en paix! Question...mais comment trouver la réponse?
Je vais attendre et essayer, je dis bien essayer de trouver la réponse même si cela ve être extrèmement difficile.

Fin du tourment

6 mai 2007 à 13h38

Je n'ai pas trouvé de réponse à ma question mais j'ai retrouvé une sorte de paix intérieure. Après tout, je suis comme je suis et je verrai comment ma vie évoluera. J'ai décidé de ne plus me prendre la tête, ça me bouffe trop sinon.

Ma décision de partir un an en Angleterre se révèle être de plus en plus sûr. Je veux vraiment partir, changer d'air. Cela me ferra du bien de voir des nouvelles têtes, de découvrir une autre culture. Même si mes parents ( surtout ma mère) sont réticents à ce projet, je veux vraiment y aller. Je partirai surement l'année prochaine.

J'ai mis en application mon premier jour de régime. Je m'aide du bouquin le régime des paresseuses. Dedans il y a pleins d'astuces et il aide à avoir une bonne alimentation. Je n'ai jamais réussi à tenir un régime jusqu'au bout alors ce livre est parfais car il explique qu'il faut manger de tout mais en petite quantité. On a même le droit au chocolat, mais bien sûr de temps en temps. Je ne dis à personne que je fais régime, comme ça si j'abandonne, personne ne pourra me faire de reproche. Et puis, c'est en quelques sorte un défi avec moi-même. J'ai pour objectif moins 5kg sur la balance pour fin juin. On verra bien ce que ça donne! Et même si je ne perd que 3kg c'est toujours sa en moins sur mes hanches ( petit sourire).

Je me demande bien qui va être élue ce soir. J'espère que les gens vont faire le bon choix.

Je vais terminer ma lettre pour Laure cet après-midi, sinon elle va encore grogner. Et puis je vais faire un peu de yoga aussi. Normalement j'ai du monde qui doit venir à la maison. Donc comme j'ai finis je vais tout de suite commencer à faire un peu de ménage, comme ça il peuvent arriver n'importe quand du moment que la maison est faite. Je reviendrais écrire dès que j'aurais le temps, donc ce sera sûrement mardi. Donc je te dis à mardi cher journal!

Vide

8 mai 2007 à 13h43

J'ai ce que l'on pourrait appeller l'angoisse de la page blanche. Je ne sais pas quoi écrire, j'ai la tête complètement vide, vide de toutes pensées, vide de sens, vide. Ce vide prend de le place, il prend la place de tout, de toutes reflexions logiques et censées.
Mes idées sonnent creuses et ne produisent plus ce son agréable de l'idée trouvée, de la satisfaction personnelle.
Je me cogne la tête, et seul le bruit de mon coeur qui bat sur mes tempes me revient.
Je sombre, tirée par une force dont j'ignore tout. Néant, trou noir. Je n'arrive pas à penser.
J'ai l'impression d'être entourée d'un épais brouillard dans lequel je me sens bien. Coupée du monde, de mes idées, de tout. N'être plus qu'un corps. Sentir son âme s'élever et partir. Partir dans un endroit où l'apparence charnel ne serait plus rien, et où le langage serait " de l'âme pour l'âme" ( Rimbaud). Cette endroit, ce serait mon paradis.

Zeugma

9 mai 2007 à 14h13

Elle est enfermée dans sa chambre et dans sa surdité.
Et elle souffre, elle souffre tant...

Le café reflète ses idées noires, elle en a tellement en ce moment. Une phrase lui revient, l'obsède, leit motiv infernal:
"Quand on voit la vie telle que Dieu l'a faite, il n'y a qu'à le remercier d'avoir fait la mort" (Musset)

Illusions, conneries, voilà ce qu'est la vie. Tout n'est que souffrance entrecoupé de quelques moments, que l'on pourrait appeler de " joie". Joie, ce mot sonne bien, il est pourtant si rare. Peut-on même le définir? Vague sensation, là, au creux de toi. Elle y pense. Elle la cherche désespérément.
Petite étincelle, allume toi...
Les larmes coulent le long de sa joue, purifiantes, cicatrisantes. Elle se calme enfin. Les larmes se sont arrêtées. Elle se lève, remet du mascara, se recoiffe, ajuste sa chemise. Elle sort, sourire aux lèvres, elle a remis son masque, pour que personne ne découvre son profond mal être...

Petite soirée

13 mai 2007 à 22h02

Hier soir, anniversaire d'une amie dans une salle. Il y avait bien evidemment pleins de gens que je connaissais pas. Déjà j'arrive, et je tombe que sur des têtes inconnus à l'entrée.
moi: " Euh...Bonjour!"
eux:"Bonjour, Elo est par là!"
Je pars et là, ricannement dans mon dos! Pourquoi suis-je venu moi?
Ha enfin voilà mes amis adorés! Je fais un gros bisous à tout le monde. Petite precision, la plupart des garçons étaient teints en blonde platine à cause d'un parie donc pas trop sexe. La soirée commence, on est installé en petits groupes. Bon allez, je commence à boire...J'ai bu toute la soirée du Passoa à l'ananas et j'ai déjà sifflé les 3/4 de la bouteille après 2h et je tenais toujours debout en marchant droit. Personne n'a rien remarqué. Tiens, je me suis fait une nouvelle copine! Ben tiens on se connait, on était dans le même groupe pendant le voyage en Russie. Sa y est, j'ai envie de fumer. Justement ma nouvelle copine étant la seule à fumer, on va s'en griller une afin de faire plus ample connaissance. Ha! Elle aussi adore danser! Alors que mes copines ne bougent pas leur cul de la chaise! Je me fais sérieusement réprimender par elles d'ailleurs car je fume et que c'est pas bien. Comme si je l'ignorais! Pas grave ma clope est fini. Allez hop, on va danser avec les garçons! Je dois dire que le Passoa m'aide sérieusement à me bouger! Mais non t'inquiète pas Pauline je bois presque rien! En tout cas, je m'eclate bien. Tiens il est pas mal le DJ. Je me repose un peu histoire de remplir mon verre et entraîne Cécile à venir danser avec nous. Je prends mon courage à deux mains et vais voir le DJ ( enfin avec mon taux d'alcoolémie c'est pas trop dur lol). J'entamme la discussion, il s'appelle Jeremy sa sonne bien non? Penser à lui demander son numéro à peu plus tard. Minuit!On ouvre les cadeaux!Entre temps, 2 mecs complétement mort dorment moitier et un s'obstine a vouloir se tenir debout alors qu'il n'arrive même pas à rester assis sur sa chaise!Bon bref, on s'en fou elle ouvre ses cadeaux! C'est bon elle ouvre le mien! Elle découvre la place pour aller voir Gad'elmaleh, elle me saute dessus trop contente, elle y va avec Nanou.
Son frère et sa belle-soeur arrivent. Ils ont vu des jeunes partir en courant quand ils sont arrivés. On va contrôler nos sacs, et là catastrophe: on s'est fait voler! Enfin les autres, moi rien! J'ai eu de la chance! Bref fin de soirée completement pourrie avec déposition au flic au passage. Avec tout ça, j'ai pas eu le numéro du beau Dj. Bon ben en faite je dois être bi moi. J'ai fais un test sur mon mag' et il dit la même chose! Enfin bref faut que je demande son numéro à Elo maintenant, ça fait chier. Elle va encore me dire qu'il est pas fait pour moi et gnagnagna...saoulante quoi!
Sinon Nanou s'est fait draguer par le mec qu'elle a repéré en debut de soirée donc elle est contente, mais le problème c'est que Elo l'adoooore aussi! Rude bataille qui s'anonce. Enfin m'en fou moi c'est le Dj qui m'interesse donc fin de l'histoire dans mon prochain écrit!

week-end de folie

5 juin 2007 à 18h59

J'ai passé un super bon week-end qui je dois dire était plus que chargé! Samedi soir, soirée chez P-G où l'on a fini en boite ac Em, Pep', Colline, Ma l'Or, les autres étant dans un sal état, ils n'ont pas pu rentrer. Le lendemain aprem je suis chez Elo avec Garry et Pauline on est allé à la fête Forraine puis on a passé une trop bonne soirée avec Nanou. On a joué les "tepu" et pris des photos. Le lendemain déjeuner avec pleins de gens de ma classe à la pizzeria, trop bien ri et trop bien mangé. Bref j'ai passé un week-end formidable, faut vraiment que je recommence à sortir plus , cela me manqué de ne plus bouger. Ha j'ai eu les résultat pour mon passage, pas de problèmes en vu pour l'année prochaine! Je vais super bien!

Tambouille et Lui

5 juillet 2007 à 17h25

J'ai encore raté, je m'étais promis de venir écrire plus souvent ici mais je n'y arrive toujours pas. Tellement de choses changent dans ma vie, je sais plus où j'en suis.

Ce week-end, j'ai encore fait la fête. Vendredi chez Carine et le lendemain chez ma meilleure amie. J'étais bourrée comme d'hab, encore une cuite au whisky-coca, une de plus. De toute façon, il n'y a que ça à faire en soirée, picoler et se dire qu'on est heureux parcequ'on est jeune et que l'on a la vie devant nous. Vendredi, j'ai pris du poppers, c'étais marrant. J'ai joué à "choux-fleur" aussi, ça m'a pris comme une envie de pisser. Alors on a joué entre bourré et je trichais pour gagner.

Samedi, je suis restée avec Mélo et le frère de ma meilleure amie toute la soirée. J'étais encore plus arrachée que la veille. Faut dire, tout le monde était défoncé, ben ouais, ça aide à s'amuser. Tu rigoles comme une conne et tu sais pas pourquoi, mais tu ris et t'aimes ça.
Et la soirée passe et tu as la tête qui tourne, qui tourne. Tu t'ennivres à en vomir, même si je n'ai pas vomi ce soir là, mais ce n'est pas le cas de tous. C'est pareil à chaque fois, quand je bois, j'aime tout le monde, alors je vais leur dire, leur faire des calins parce que la vie est belle quand je suis dans cet état. Ha non j'ai pas envie de dormir sur un matelas gonflable dans le ptit squatt de haut! Ha c'est gentil Romain de nous pretter ton lit avec Mélo. Ok tu dors par terre à côté de nous, pas de problèmes. Des papouilles? ok je t'en fais! Il est allongé qur le matelas, je pose ma tête sur son torse. J'entend son coeur battre de plus en plus fort, et là je sais: c'est l'homme de ma vie. Déjà avant je me posais la question, mais là c'est sûr, ce sera lui et pas un autre. Bon je suis crevée, je me pose dans le lit. Il vient avec moi. Je suis dans ses bras et je suis heureuse, une bouffée de joie m'envahie. Je lui caresse le torse, sa main mes seins. Je l'aime. Sa main descend plus bas, et la réalité me tombe dessus, brutal, cruelle, c'est le frère de ma Meilleure amie et je peux pas sortir avec. Il veut m'embrasser, je tourne la tête. Mon coeur me dit de ma laisser faire, mais ma tête me répète " frère d'Emilie". Alors je lui dit d'arrêter, il ne comprend pas, me demande pourquoi. Alors je lui rappelle qui il est. Il me lache, je sens son coeur s'éloigner ainsi que mon bonheur. Il me laisse vide dans ce lit, vide et triste. Ecoeuré de la vie, de ces conventions qui m'interdise d'être avec lui. Il se lève et va se coucher par terre sur le matelas. Je lui dit qu'il ne faut pas qu'il espère faire quelque chose avec Mélo. Il s'enerve, me dit qu'il " n'en à rien à battre d'elle! Que c'est moi qu'il veut"
Encore une partie de mon coeur arraché, je l'aime et lui aussi. Il m'a déjà demandé de me poser avec lui il y a deux ans, et j'avais déjà refusé pour la même raison. et pourtant aujourd'hui c'est une certitude, JE L'AIME , oui je l'aime de toute mon être. Je verrais comment les choses évolueront avec lui même si je sais que c'est vraiment Lui l'homme de ma vie.

Malgré ce bordel interieur, j'ai eu mon bac avec 14 de moyenne. Mes parents le savent pas, je leur parle pas. J'ai pas envie, ils m'ont encore pris la tête hier. Mon père a même voulu défonçer ma porte de chambre (car j'ai refusé de lui ouvrir) et que bien evidemment, s'il défoncait ma porte, il défonçait ma gueule apres. Je lui ai pas ouvert. Je suis sorti plus tard et me suis fais engueulé par ma mère. L'année prochaine je pars vivre en Angleterre, c'est mes dernières vacances avec eux, on part samedi et j'ai vraiment pas envie d'y aller. D'ailleurs, il me l'on rappellé à plusieurs reprises que je " n'étais vraiment pas obligé de venir". je sais pas comment le prendre, mais moi je le ressent négativement en tous cas. C'est pas grave, je L'aime et sa m'aide.

nostalgie

4 septembre 2007 à 13h22

Lui...Je crois que je l'aime toujours. Ce n'est même pas "je crois", j'en suis sûr.

Première fois

14 novembre 2007 à 20h09

Je suis devenue une femme, c'est officielle. Pourtant ça n'a rien changé dans ma vie, je suis toujours moi. C'est fou l'importance que l'on peut accorder à cela avant de le faire. Je ne suis plus vierge, mais je ne me sens pas encore totalement femme, mais je ne suis plus une ado non plus. Je vascille entre deux eaux. Mon souvenir de cela? J'ai eu mal, très mal. Il à 25 ans, j'en ai 17. Je l'ai rencontré en boite, je l'aime bien. J'ai décidé de plus le voir. Je suis toujours amoureuse de l'autre. Pourquoi? Parce que c'est lui. C'est voué à l'échec, j'le sais mais je l'aime.
Je pourrais raconter en détail comment ça s'est passé, mais j'en ai pas l'envie. C'étais pas terrible c'est tout. Je veux le faire avec Lui. Je sais que se sera bien, puisque je l'aime. Je garde ces détails dans ma tête. Une première fois ça s'oublie pas c'est sûr, mais la vraie première fois pour moi c'est quand on le fait avec quelqu'un qu'on aime vraiment *Lui,Lui,LUI*
Il m'obscède, pourquoi ? J'ai plus envie de me poser la question, c'est une évidence voilà tout.

Je voulais juste laisser une petite trace ici...

ho...

16 décembre 2007 à 17h47

Je viens d'avoir sa soeur au téléphone, je l'aime toujours, si ce n'est plus...J'ai relu les messages qu'il m'a envoyé il y a 3 ans où il me dit pour la première fois "je t'aime", depuis tout ce temps nous nous aimons, mais nous ne pouvons pas sortir ensemble, même si je suis certaine que c'est Lui l'Homme de Ma Vie. Sa soeur m'a dit que c'est le premier de classe, je suis fière de lui, avec toutes les conneries qu'il a faîtes, il se calme, enfin. Le 12 janvier, on faitl'anniversaire surprise d'une amie, je pense qu'il serra là, et encore une fois, on va flirter toute la soirée, peut-être même coucher ensemble, mais je sais que je ne peux pas me mettre avec lui, c'est le frère de ma meilleure amie, donc c'est impossible. Il n'est pas de mon avis, mais j'ai trop peur de la perdre ensuite. Je l'aime depuis 3 ans et les histoires avec les autres hommes ne marchent pas car je pense tout le temps à lui. J'ai peur qu'un jour il ne m'aime plus à force de m'avoir attendu, j'ai peur qu'il ne comprenne pas que je l'aime aussi mais que j'ai peur de l'après même je sais qu'un avenir sans lui n'est pas possible. Tout serait si simple si ce n'etais pas son frère, mais l'amour se veut toujours compliqué.

Dilemme incessant alors que je l'aime

Voilà

3 février 2008 à 18h11

Voilà, c'est fait. J'ai couché avec lors de la soirée. C'était bien. Je lui ai fais jurer de ne rien dire, surtout pas à sa soeur et il a promis. Le pire là-dedans? Je l'aime toujours et il y avait une autre fille avec nous dans la chambre. Enfin, elle était bourré, elle n'a rien entendu vu comment elle ronflait. Moi j'atais pas net non plus. J'ai fumé et bu toute la soirée. J'étais tellement déchirée à un moment que je n'arrivais plus à tenir mon verre. Il tombait de mes mains et je m'en suis mis pleins sur mon pantalon. Je devais avoir toujours quelqu'un pour me tenir et pour descendre les escaliers, c'était impossible seule. J'ai fumé mes premiers joins aussi, je voulais me rapprocher de lui. Au début de la soirée, sa mère l'a défoncé alors il est partit faire un tour, elle était complètement arraché elle aussi, comme toujours. Heureusement que tout le monde était dans un sale état car ça se voyait de trop que je l'aimais. A un moment, il y a même une fille que je connaissais pas avant qui m'a dit " Tu le kiff trop ça se voit!" Et malgrè mon état j'ai réussi à lui dire que non, alors que c'est parfaitement faux. Il m'a fais plaisir à un moment, car je lui ai demandé si je pouvais encore dormir cette nuit dans son lit, comme je fais à chaque soirée, et il m'a répondu que oui, "comme la dernière fois", mais il a dit aussi que là il voulait dormir avec moi. Je lui ai dit que, il devait dormir dans le lit à côté. Je n'arrêtais pas de lui prendre la main, lui me caressais les hanches, le ventre devant tout le monde, mais en essayant d'être discret quand même. Il m'a emmené dans la cuisine à un moment, j'etais derrière lui et je lui carressais le torse, c'était magique. En partant, nous étions dans la salle à manger et je lui demande de me donner la main, il me la prend et là arrive le copain d'Emilie, je crois qu'il n'a rien vu. Nous passons la soirée ensemble, il me donne son portable. Je lis ses messages, pleins de filles. Je crève de jalousie, il me dégoutte. Je m'isole dans le noir, les nuées d'alcool et de shit aidant à la reflexion. Je l'entend qui demande aux autres où je suis. Personne ne sait. Il entre dans le salon, ne me voit pas, chercher dans les autres pièces. Quand il repasse je lui demande s'il a perdu quelque chose. Il me dit qu'il va se coucher, je le suis dans sa chambre. Il se déshabille, se couche dans l'autre lit. Il me demande de venir me coucher. Je lui dit que non, j'attend qu'il s'endorme d'abord, il me dit qu'il m'attends. Je le connais, dans 5 minutes il va s'endormir. Je lui souhaite bonne nuit, il me dit " tu reviens hein!" je lui répond que oui, oui plus tard. Je retourne avec les autres, Maxime me fais une place à côté de lui, pour que je sois à côté du chauffage, ils jouent au Kinéto. Pas envie de jouer, je me sens déjà mal. Mais je joue quand même je dois passer le temps avant de retourner dans la chambre. Quand je perd je fais semblant de boire, je suis mal. Maxime est chiant, je me coucher, il me supplie de rester à côté de lui et de jouer. Putain tu comprends pas, c'est pas toi que j'aime. Je fais un bisou aux gens présents en bas et je vais me coucher. Il dort déjà, c'était sûr. Je me couche, l'éclaire avec mon portable. Il est beau.

...

Plus tard dans la matinée, Emile entre dans la chambre et me dit que Mélo veut dormir avec nous. Je lui dis que c'est hors de question, elle lui prend une couette et elle se demmerde. Puis mélo vient, elle est raide je lui dis " d'aller se faire foutre sale connasse". Elle me demande ce que je fais je lui réponds que je dormais. Elle part. Il est réveillé aussi. Il pose sa main sur mon lit, je la prends. Je suis soudain envahit d'une vague de froid, je tremble, je redescends sur terre. Il me demande si je suis réveillée. Je lui dit que oui, et que j'ai très froid. Il se lève pour allumer le chauffage. J'ai toujours froid. Il se lève de nouveau pour le mettre au maximum. Je tremble toujours, je sais plus comment il se retrouve dans mon lit. Je me colle à lui, je vais mieux. Il cherche à m'embrasser, je le repousse. Il me demande pourquoi, je lui donne tous mes arguments, il les écoutent et me dit: "et alors?" Je cède. Je passe les détails après mais je l'aime c'est certain.
J'ai pas la force de le dire là, plus tard peut-être. J'ai peur de gacher mon souvenir en mettant des mots dessus. En attendant, ces images m'aide à vivre et à surmonter cet obstacle entre nous. Ha, j'ai oublié de préciser que le fille est arrivée juste pendant notre premier baiser, nous étions sous la couette, elle a rien vu. Elle s'est couchée et n'a rien callé. Moi j'étais en extase.

Cadeau particulier

4 avril 2008 à 20h44

J'ai encore craqué. Lors de son anniversaire cette fois. J'ai bu peu cette fois, juste assez pour me sentir bien. Il n'a pas bu beaucoup non plus. Il y a tous ses potes, j'en connais quelques uns. Surtout Chouille, il était avec nous au collège. Il est beau, comme toujours. Je ne voulais pas cette fois, j'ai pas pu resister. Je suis restée avec un de ses potes toute la soirée, vraiment trop gentil. Je lui ai appris à faire des nattes, c'étais mignon.

...

A un moment de la soirée, il s'est assis sur moi. Lumière faible, gens bourrés, caresses sur sa peau. Ne pas craquer, mais je sais que c'est déjà trop tard. Ils veulent tous aller à quatre heures du mat' à la boulangerie chercher des croissants. Pas envie d'y aller, fais trop froid. J'y vais quand même. Quinze mecs, tous capuche sur la tête, avec des "nique ta race", on peut dire que ça trouble mon petit monde Hello kitty tout rose. Emile est complétement bourrée, elle agonise sur le lit du grenier. Presque que tout le monde est h.s. Moi j'ai plus rien, je suis crevée.

...

Moment du coucher. Je veux dormir sur le canapé. Il veut que je dorme avec lui. Je refuse, je veux une couverture. Il me dit qu'il n'en a pas à me prêter. J'accepte de dormir avec lui, de toute façon " on ne feras que dormir". Il y a deux de ses potes sur le matelas à côté avec nous. C'est un lit d'une personne, forcemment ça réduit la distance. Il me demande des papouilles dans le dos. J'entends son pote qui dit "Baise-la!" Il lui répond: " t'es beau!"
Un de ses potes se casse finalemnt chez lui, l'autre dors comme une masse. Il descend sa main. Je la lui remonte. Plusieurs tentatives de sa part, je le repousse en rigolant. Nous chahutons. Il redescend. " Non!" dis-je. " Allez, je suis sûr que tu en as envie..." "Non j'en ai pas envie". "Moi j'en ai envie..." Finalemnt je me laisse faire. Et là, il me "baise". Quelle conne je fais. C'est pas grave...C'est lui...et j'en avais envie...pure désir physique entre nous.

Bon anniversaire mon coeur...

Lendemain de soirée

4 mai 2008 à 17h34

Je vais commencer à croire que ce journal ne me sert qu'à raconter mes soirées, mais j'aime analyser les choses qui se passent dans ma vie. Surtout ce qui se passe pendant les soirées, les gens sont dans un état particulier, l'alcool aidant bien sûr. Donc hier, comme chaque samedi soir, soirée. Hier après-midi je me suis achetée un nouveau haut chez H&M, vraiment trop beau, mais très décolleté. Je me dis: "pas grave tant que tu croises pas J", ( il adore mes seins et voulait lâcher sa copine pour avoir le bonheur de les toucher car j'ai pas voulu car il était pris), bref je le croise. Il était heureux, faut dire que j'ai effectivement une poitrine généreuse. Tout le monde me parle de mes seins: les filles sont jalouses, les garçons adorent. Un peu trop parfois, ça en devient génant. Happy hour sympas, on se dirige tous chez D qui fait sa soirée. Rencontres avec pleins de nouvelles personnes, et bien sûr bisous à tous ceux que je connais déjà et que j'aime. Je rencontre Q. Premier contact? Il me renverse son verre de sangria sur le pied sans s'en rendre compte, il est bourré. Discute avec lui, les gens sont chiants, ils se font tout de suite des films quand tu discutes avec un garçon dans une soirée. Bref on s'isole dans la salle de bain, on se rapproche. Il est adorable. S a besoin de la salle de bain, on va s'isoler dans une chambre. On est sur le lit je lui fais des papouilles dans le dos, dans les cheuveux. Il m'en fais aussi. Il chercher à m'embrasser, je le repousse. Il me fait pleins de bisous dans le cou, j'adore. Il me dit qu'un bisou sur la bouche c'est rien, soit, on fait un bisou sur la bouche alors. J'ai encore la tête qui tourne à cause de l'alcool, lui va mieux. Ha, on a cassé son portable aussi, alors je dois un peu me faire pardonner. Les bisous s'enchaînent, mais juste des bisous très chastes, sans la langue. Je pose la tête sur son torse, j'adore entendre le coeur des garçons battre de plus en plus fort. Il en veut un vrai maintenant. Je lui donne X raisons pour refuser. Il m'en donne pour accepter. D'accord mais un seul alors. Mon Dieu, il embrasse bien. je m'allonge sur le ventre, il me fait pleins de bisous dans le dos, la nuque. Il doit partir, il se lève donc. Je lui dis: bisous! Et là il revient et m'embrasse, c'est encore mieux que le première fois. Le baiser dure longtemps, c'est génial. Là, il me dit: " J'ai envie de toi" dans l'oreille. Je lui répond que c'est pas bien. Il m'embrasse à nouveau et s'en va vraiment cette fois. Ai-je bien fais de refuser? Seul l'avenir me le dira, mais je sais que je l'aime vraiment bien.

Toujours lui

8 juillet 2008 à 20h47

Je pars en vacance avec lui, sa soeur, le copain de sa soeur. Je les rejoint en train la deuxième semaine. J'ai hâte, je l'aime de plus en plus, c'est plus possible. J'en ai parlé à une fille de ma classe et elle m'a dit que j'étais folle, que je devais aimé souffrir. Les gens ne comprennent pas, c'est beau car impossible. J'ai envie de pleurer, il me manque. J'ai couché avec hier soir. C'était la meilleure de toute. C'était beau, long et agréable. Je profite de tous ces instants où il n'appartient qu'à moi. Ce secret nous rapproche. Je lui dis qu'il a tout le temps envie en riant, et il me dit que c'est normal on ne peut être ensemble, enfin passer la nuit ensemble, qu'une fois tout les deux mois. On n'est censé n'être qu'amis aux yeux du monde, parfois même, on fait comme si l'on ne se connaissait pas quand on est dans le bus par exemple. Je suis surprise, il se souvient des autres fois avec precisions. On n'en reparle. C'est fou comme avec lui le sexe me paraît simple et naturel. Il sait ce que j'aime maintenant, alors c'est forcemment exquis, comme les moments sont rares, on en profite. Dans la chambre d'à côté, ma meilleure amie ( sa soeur ) avec son copain. Il voulait aussi passer à l'action avec elle. Elle voulait pas, elle l'a branlé pour avoir la paix. Elle me raconte ça le lendemain, et me dit que j'ai de la chance de pas être allé "au pays des schtroumphs", notre expression pour dire "faire l'amour". Je rigole, si elle savait. Nous on s'est amusé pendant plus de deux heures. Le lendemain, j'ai attendu que son copain parte bosser pour aller la rejoindre dans son lit, pour Le laisser dormir. Avant, on couché ensemble et il s'endormait. Maintenant, après, il m'embrasse, ma caresse, je L'aime <3, on s'endort ensemble même s'il dort avant moi. Je suis obligée de changer de lit, on peut pas se permettre de dormir dans le même lit. C'est affreux de pas pouvoir s'endormir dans ses bras. Bref, tout ça pour dire que le lendemain je regardais les clips sur le fauteuil avec un oreiller sur les genoux, et il est passé à côté de moi et m'a fais un bisou sur la joue , j'ai fermé les yeux, j'ai le coeur sans dessus-dessous. J'ai un copain pour lui, il a une copine. Ce baiser c'est sa façon de me dire qu'il m'aime malgrè notre environnement. Moi aussi mon coeur, même si je ne te le dis pas...

Mal de lui

30 novembre 2008 à 23h45

J'ai mal, mal de lui avoir dit ça alors que je pense le contraire. Mal de ne pas pouvoir le prendre dans mes bras, mal de ressentir ça quand je le vois, ces boules d'angoisses, ce mélange d'exitation et de tristesse, je t'aime si tu savais comme je t'aime. Je suis conne, trop conne. Je me mens, je te mens, ça ne mène à rien. Deux ans comme ça à nous aimer, à nous mentir, à nous cacher. Je ne supporte plus, c'est de plus en plus difficile. Alors que je souhaite de toute mon âme être avec toi. Quand tu avances, je recule et te pousse au lieu de te prendre la main et d'avancer avec toi. Ces préjugés, ces putain de préjugés et moi, moi qui n'est pas capable de les dépasser. Je suis conne, excuse moi...

R.A.S

4 décembre 2008 à 17h33

Hier, je me suis endormie en pensant à lui, aujoud'hui je me suis levée en pensant à lui. Il est tout le temps dans mon esprit. Je voudrais le lui dire, mais c'est trop dur, trop difficile à reconnaître que j'ai besoin de sa présence, besoin de cette sensation qu'il me provoque quand je vais le voir. Toutes mes pensées lui sont adressées. Et lui? Pense-t'il à moi? Je l'espère de tout coeur, même si je m'en veut toujours du dernier message que je lui ai envoyé. Il disait NON alors que je pensais très fort OUI. Ces fois où j'aurais pû tout changer avec ces deux petits mots chuchotés, comme un souffle léger: moi aussi...et sentir son coeur battre. Mais non, je me condamne au chagrin, je crois que j'aime vraiment souffrir.
J'ai demandé à A. de passer dans la semaine, j'ai besoin d'une présence masculine qui me réconforte. Mis à part lui, le moral est plutôt bon, exception faite de ma note de civil hier. J'ai hâte de le revoir, mais pour cela je dois faire le premier pas, et c'est le plus difficile. J'ai tout cassé, à moi de réparer.

Noël et lui

23 décembre 2008 à 18h11

Cela fait un moment que je n'ai pas écrit. Je pense toujours à lui, je dois sûrement aller dormir chez lui ce soir, j'ai hâte mais j'ai peur de sa réaction, même si c'est toujours la même, il reste de marbre. J'aimerais le secouer, lui parler de nous, mais c'est impossible. Il voulait venir me voir chez moi, dans mon appart' d'étudiante, à 250km de chez lui, il habite pas loin de chez mes parents, alors que l'argent coule pas à flots chez lui en ce moment. Je sais pas quoi en penser. Il m'aime? ou suis-je simplement là pour le faire jouïr? Questions qui restent toujours sans réponses, puisqu'il ne parle pas de ça. Quand je pense qu'il ne m'aime pas, ses messages me disent le contraire. Comment qualifier notre histoire? Peut-on même appeller ça "histoire"? Le problème est que quand je veux avancer, il revient, et sans le vouloir, il m'en empêche. Je me vois mal lui dire: "dis, tu m'aimes?", j'ai peur qu'il me renvoit à une réalité dure et froide par une réponse négative, ou le connaissant une abscence de réponse, et d'un autre côté je ne suis pas sûre d'avoir la force d'assumer si c'est une réponse positive, alors au final je préfère rester dans le brouillard, car pour la première fois, si j'étais aux yeux du monde avec lui, si je devais m'engager pour de vrai, et bien j'aurais peur, j'ai peur... J'ai peur de ses sentiments déjà forts qui m'attachent à lui mais qui sont bloqués d'une certaine façon. J'ai peur que ce soit trop fort et que ça bousille tout entre nous. Mais elle a raison quand elle me dit qu'un jour ça va s'essoufler, et que je louppe peut-être la plus belle chose de ma vie. C'est tellement simple ce genre de chose quand ça concerne les autres. Le pire est ce brouillard dans lequel je me trouve,mais dont j'ai la trouille de sortir.

Sinon je suis de retour chez mes parents pour les fêtes et j'ai déjà des difficultées à les supporter. Leurs ordres incessants m'agace au plus haut point! Ma colloc' me manque déjà très fort. J'ai terminé d'emballer leurs cadeaux, en espérant que ça leur conviendra. J'ai pas eu l'excitation habituelle de Noël cette année, pas d'euphorie particulière. Je crois que cette histoire a des répercutions sur la totalité de ma vie. Pourtant cette année, on est tous chez mes parents, j'ai pleins de cadeaux surprises ( sûrement décevants), et la soirée au champagne va être sympas, mais je sais pas, j'ai pas l'envie quoi. Je suis en quelque sorte blazée sans raisons particulières. En plus je dois prêter mon lit à ma tante et son mari et ça me fais chier de savoir que je suis chez moi et que je ne dors pas dans mon lit. J'ai même pas l'envie de fêter de nouvel an. J'en ai ras-le-bol de ces dates imposés, où PAF! parce que le calendrier l'a décidé, on doit être heureux et aimer la vie! Je préfère passer des moments comme ça sans évenements particuliers. Ce côté pessimite a ses bon côtés: si c'est bien je penserai que je suis mauvaise langue, si c'est pas terrible je ne serai pas déçue.

amour impossible

16 février 2009 à 18h06

Je suis aujourd'hui dans une sorte de tristesse, de mélancolie. Je l'ai vu hier, je suis allée chez lui voir sa soeur. Il a téléphoné pour demander si sa mère était là et j'ai répondu que non. Il a dit qu'il arrivait. Sa soeur m'a dit qu'il voulait sûrement revenir avec sa geuse pour baiser.Oui, il fallait m'y attendre, il est avec quelqu'un. J'ai laissé passer ma chance, une autre en a profiter. Même s'ils m'ont qu'il la prenait pour une conne, je n'y crois pas tellement. Hier donc, je me suis retrouvée avec eux deux dans le salon. Je suis restée étrangement calme. Je m'impressionne moi-même. Je suis parvenu à rester neutre et parfaitement indifférente, tenant une conversation normale. Je leur ait demandé ce qu'ils avaient fait de leur après-midi et il m'a répondu "dormir". J'ai compris tout de suite ce qu'il sous-entendait. Elle a répondu qu'ils n'avaient pas fait que ça quand même alors il a ri et puis a dit "un peu de sexe aussi!" et elle a rétorqué qu'il ne pensait qu'à ça. Elle a raison, je le connait. Je ne peux même pas mettre de mots sur ce que je ressens, et je m'aperçois finalement que c'est dénudé de sens un mot. Il a quand même eu la descence d'arriver deux heures après le coup de téléphone, ce qui m'a fait supposer qu'ils ont couché ensemble avant de venir, il m'a au moins épagner ça. Mais quoi? Je dois le remercier?! Il est tout de même venu discuter avec moi dans le salon et ça m'a fais plaisir de le voir. Je lui ai dis que je passais la semaine icin et j'espère secretement qu'il viendra me voir, même si je sais que je rêve tout debout. J'aimerai tant pleurer, libérer ce que j'ai en moi, mais je n'y parviens jamais, je ne pleure jamais. Je me suis résignée et j'ai compris que lui et moi ça ne sera que du sexe et voilà. Je sais que je peux l'avoir quand je le souhaite, mais ai-je vraiment envie que de cela? Mais de penser que c'est elle qui a droit à ses bras, son odeur, ça me tue. Je me retrouve dans le rôle désagréable d'une maîtresse alors que je n'en ai pas envie. J'ai dis que j'avais un copain, pour ne pas lui montrer mon attachement, alors que mes histoires ne marchent pas car je pense à lui. Et puis même si aujourd'hui je suis dans cet état, hier j'étais heureuse de le savoir heureux. Je crois que je l'aime tellement que je suis heureuse quand il est heureux même si c'est avec une autre.

Ma meilleure amie est dans un bordel sentimental inconcevable. Je me suis retrouvée hier entre elle et son mec. Son mec pleurait et la suppliait de rester avec lui alors qu'elle ne l'aime plus. Il lui disait des choses magnifiques, et je voyais que cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Il me faisait pitié d'un côté et je voulais le réconforter de l'autre mais je ne pouvais rien faire rapport à elle. Elle qui aime quelqu'un d'autre que lui après presque ans d'histoire. Pour une fois qu'elle ne tombe pas sur un connard, elle va le regretter, mais bon c'est sa vie je n'ai pas à juger. Moi, personne ne m'a jamais aimé au point de pleurer pour moi. J'ai trouvé ça très beau, et sa dureté à elle m'a fais très peur. Mais elle m'a dit qu'il pleurait tellement souvent en ce moment que ça ne lui faisait plus rien, mais elle m'a dit qu'au début ça lui avait fait le même effet que moi. Bien sûr je n'ai pas envie de faire pleurer quelqu'un, mais j'ai juste besoin d'une personne qui m'aime, et si possible lui mais ce n'est qu'un rêve, un amour impossible.

Amour physique

18 avril 2009 à 19h32

Mon journal n'est consacré qu'à lui pratiquement Quand je n'en parlerai plus, je serai guéris. Lui, moi. Moi, lui. Point. Je ne pourrai jamais dire "nous". C'est fou comme ce mot a de l'importance maintenant. Il a cet espèce de magnetisme sur moi, il m'obsède. Il me bouffe de l'intèrieur. Le pire est cette passivité dont je dois faire preuve. Le croiser, le voir avec elle.

Le week-end dernier j'étais chez lui pour voir sa soeur. Le lundi matin elle est partie. J'étais seule dans le salon, sa soeur venait d'entrer dans la salle de bain, elle en a toujours pour 3 heures. A peine sa copine partie, je reçois un message vide de lui sur mon portable, ce qui signifie "vient me voir". Il étais dans sa chambre. Je voulais une excuse valable pour aller le voir. Je sais qu'il a les messages illimités donc je suis allé lui emprunter son téléphone. Je me suis dépechée de lui faire la bise car en général ses bonjours dérapent, ou plus souvent ses au-revoir. Je dois le prendre comment moi? Sa copine part et il m'appelle. Il me laisse dans une confusion totale. J'en ai parlé à mes amies qui sont au courant de la situation, elles m'ont dit que j'avais bien fais de lui montrer que je ne lui appartenais pas. Je regrette maintenant. J'ai peur qu'il m'en veuille. Ensuite comme il écoutait la musique assez fortement je suis allée lui demander de la baisser. Il l'a baissé, ma regardé, un fait un espèce de "pfff" puis a fait son petit rire qui signifie "tu te fou de ma gueule..." Il s'est habillé puis est parti. Il est revenu dans la soirée, il a demandé à sa mère si j'étais toujours là, en l'entendant j'ai répondu que "oui!", il s'est changé puis est sorti de nouveau.

Je cherchais alors à qualifier ma relation. Pour l'instant je ne sais pas si c'est de l'amour réél ou non, mais je suis certaine d'une chose: je l'aime physiquement.

Confusion des genres

18 juin 2009 à 10h56

Je suis amoureuse d'une fille qui est hétéro, qui est elle-même amoureuse d'un bi, qui est lui même amoureux d'une lesbienne tout en continuant au fond à être amoureuse de lui, lui qui me prend pour une conne. La boucle est bouclée, je vais devenir folle, mais cette fois pour de vrai.