Vos plus beaux poèmes

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Archive du journal au 27/12/2014.

Sommaire

Bienvenue

4 mai 2005 à 15h11

Bienvenue sur le journal de vos plus beaux poèmes.

et si un jour...

20 avril 2007 à 22h01

j'en ai caresser des dessous de table
imaginant que c'était ton visage
et j'en ai bus des vers glaçé
les yeux rivé sur un mur où tétais appuyer
je me suis imaginer les bouts de toi
qui riait à coté de moi
mais tout s'en va ailleurs ici ou en bas
j'ai plus d'espoire et c'est bien ça qui ne me tue pas
et si une nuit où la foule nous bouscule
et si un de ces jours de douce canicules
nos yeux se recroisent
même par pur hazard
et si cette nuit on s'échange des bouts de phrases
si nos corps nus échangent une dernière phase
c'est pas pour ça que je pardonnerais
le mal qui m'habite à chaque seconde que dieu crée
ca serra mon corps qui accomplira les actes que tu lui dicte
ca fait bien longtemps que mon coeur adopte les mauvaises conduites
comme une poupée rester trop longtemps dans ton coffre à jouet
quand tu me prendras pour jouer avec moi je serrais encore là
mais mn mâme et mon coeur ne serront plus là, ne serront plus là...

sur ce piano

20 avril 2007 à 22h02

Assise à ce piano
seule assise dans le noir
j'écorche chaque note d'espoire
Sur mon visage y coule
mes larmes, et j'ai la cher de poule
j'écoute du craig armstrong
Et je tourne en rond
Je revois les scènes
Tu t'approches de moi
tu me parles tout bas
tu me dis ces mots là
au quels je ne crois pas
et puis tu t'en vas
en me disant tout était faux
Et les notes sur ce piano
me tournent le dos
et le tiens est juste là
j'arrive à le toucher sous mes doigts
Pendant que le piano fredonne ces airs là
mes yeux se perd sur le tapis vert
il y a encore une trace de ma colère
quand tu m'as dis que tu partais
depuis je sursaute à chaque "ré"
j'en ai froid dans le dos
car je ne toucherais plus ta peau
Assise là sur ce piano
je relis ces mots écorchés sur le bureau
"je ne reviendrais plus"
je compose des mélodies
des "do" des "ré" des "la" des "si"
pour qu'elle ettoufe ta voix
mais elle résonne encore en moi
et je crie "ne pars pas, ne pars pas"
mais tu ne reviendras pas, pas cette fois...

le temps en trop

20 avril 2007 à 22h03

J'ai doublé le temps d'attende
Et triplé le vide de ton absence
En forcent à effacer ton indifférence
Avec mes phrases en trop je t'ai fais offense
J'ai doublé la mise le temps d'une phrase
Je voudrais y revenir mais il est trop tard
J'ai envahis ton envie de me fuir
A force de trop vouloir te suivre
Effrayer avec l'encombrement de mes envies
T'es parti le plus loin possible de ma vie

Mais le temps n'a pas de raison
Lorsque l'envie de toi me prend
Je sais que j'ai perdu la raison
Lorsque l'envie de toi me prend
Mais le temps n'a pas raison
Lorsqu'il éloigne l'envie de toi qui me prend
J'en ai perdu la raison

J'aurais pas du te tirer par la main
Mais comprend moi j'avais trop de chagrin
J'aurais du laisser le temps faire son travail
Au lieu de trop en faire jusqu'à ce que tu t'en ailles
Mais il y a des jours où je perds la raison
Comprend moi je le mal de toi suite à ton abandon
J'ai rallongé les heures avant que tu reviennes
Et les minutes je ne les comptes plus, même les anciennes
A force de trop vouloir en faire
J'ai fini par te faire taire
Et à chaque fois que j'ose penser à toi
Je sais que tu t'éloignes un peu plus de moi

Mais le temps n'a pas de raison
Lorsque l'envie de toi me prend
Je sais que j'ai perdu la raison
Lorsque l'envie de toi me prend
Mais le temps n'a pas raison
Lorsqu'il éloigne l'envie de toi qui me prend
J'en ai perdu la raison

Et je contemple tes vas et viens
En augmentant petit à petit mon chagrin
J'attends que le temps me rende forte
Pour qu'un jour tu frappes à ma porte
Car plus je m'approche de toi
Plus je sais que tu t'éloignes de moi
Plus je te force à revenir vers nous
Plus je sais que tu vas fuir je ne sais où
Mais comprend moi j'ai trop peur
Que lâchement tu ne reviennes plus hanter mes heures
J'en ai perdu les pensées à trop vouloir que tu reviennes
Et toi tu t'éloignes de moi un peu plus à chaque une des tiennes

Mais le temps n'a pas de raison
Lorsque l'envie de toi me prend
Je sais que j'ai perdu la raison
Lorsque l'envie de toi me prend
Mais le temps n'a pas raison
Lorsqu'il éloigne l'envie de toi qui me prend
J'en ai perdu la raison

songe d'une nuit de novembre

20 avril 2007 à 22h04

Dans le songe d'une nuit d'été, entre filaments de lumière,
Vaste demeure remplie de musique et ombre à paupière,
J'ai entre vu ce que la nature peu donner de plus beau
Entre son regard satirique, nul ne peux ignoré la résonance de ses mots
Aussi sots soient-ils, leur douce mélodie encombrait déjà mes sourires
Il était dans le camp de l'ennemi et je me suis imaginé le pire

Ne pouvons nous pas tomber amoureux de la caresse furtive d'une main déjà prise ?
Devons nous ignorer le poids du désir éphémère de cette douce surprise ?
Je me refuse d'être encore une fois la condamnée
Par ses avances brûlantes je me suis laissé allé
Et j'ai laisser la caresse de nos corps s'embrasée
Jusqu'à l'aurore, allongé à mes côtés, son tendre corps m'a envoûté
Oh ciel, qu'est-ce dont sur mon visage que ce sourire malice ?
Vas-tu faire de moi et de mon amour naissant, la plus belle des initiatrices ?
Laisse le donc dormir, son visage, sous ces ombres chinoises à l'air si paisible
Demain, à l'aube, fait que notre amour soit au grand jour possible
Je vais me reposer, sourire aux lèvres, cœur battant la chamade
Yeux étincelants, me rappelant chaque instant de cette folle promenade

Boule de feu dans le ciel, entre dans la chambre par la fenêtre
Chatouillant ma peau, réveillant mon cœur où je sens l'amour naître
Ses yeux n'ont jamais été aussi beaux que ce matin de novembre
Béate, je regarde son corps sortir de la chambre
Mais ciel dis moi, qu'est ce donc que ce visage hésitant ?
J'observe derrière mes sourcils froncés les yeux de celui que j'aime me dé tournants.
Quel est ce froid sur ma peau, cette incertitude prononcée ?
Pourquoi ce refrain des nuits sombres d'hiver chantonnent dans mon cœur brisé ?
Encore une fois, ces doux baisers, ces caresses voluptés
Me laisseraient-elles à nouveau infortunées ?

Avant ma marche funèbre je lui vole un dernier baiser
Mon cœur s'est glacé, mes yeux sont à nouveau vidés
Ciel, tu m'as volé ma lune, mais elle était si inconstante
Que je t'en pardonne, mais que ferrais-je sans les étoiles pour me surprendre ?
Où mon amour s'envolera-t-il si il ne peut se poser sur ses lèvres ?
Et toutes ces nuits horribles ont tout fait pour que j'en crève
Je comptais les secondes, les heures et aujourd'hui les mois qui sont derrière nous
le dérobée, le contournée, l'envoûtée, je serrais prête à tout
Aussi longs soient-ils, ces mois sans sommeil
Je me ferrais belle, pour être là à chacun de ses réveils
Je marcherais derrière celle qu'il aime tant
Je me bâterais avec mes démons par tout les temps
Je lui conjure de ne pas dérober mon espoir fou
Si il a eu tord de naître en moi que le temps l'emporte loin de nous
Et si la plus grande vertu du monde fait ma force
Si cette patience pour lui arrive à enlever son écorce
Qu'il promette à ma mort qu'elle sera belle et éternel
Et que mon amour je l'emporte au ciel
Même si je ne crois pas aux anges, je pourrais faire semblant
De croire en tout ça même si ma vie en dépend

Mais je me vois mourir sous ces piliers de larmes
Je ne lui en veux pas mais je lui tends l'arme
Celle qui atténuera les douleurs qu'il m'infliges
qu'il la prenne et qu'il me vise, doucement vers lui je me dirige
Qu'il tires plusieurs fois sur mon corps qui était sien
Car malgré sa pureté, sans son amour il n'est rien
Que ma souffrance dure des heures
Je le mérite de m'être donner sans pudeur
Car je suis sotte de l'avoir si vite aimé sans prudence
Que mon amour aussi furtif soit-il ne lui fasse pas offense
Je l'ai aimé bien plus qu'on puisse aimer lors d'une vie entière
Et je ne crois pas en Dieu, mais aujourd'hui je fais ma prière
Car de sa part, Il me faudrait bien trop de mots
Pour atténuer ma peine et réparer mes maux,
Que je préfère le laisser à son imprudence,
Il n'aura qu'à lever les yeux au ciel car je serrais devenue son étoile de la chance.

Le dormeur du val

22 avril 2007 à 14h48

C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Le dormeur du val
Arthur RIMBAUD

Quatre heures.

20 juin 2007 à 18h35

Il est quatre heures.
Le temps passe vite.
Trop.
Pourtant il est quatre heures.
Plus que quatre heures.
Et l’infini.
Sans personne.
Que faire ?
Rien
Tout.
Pourquoi ?
Irrémédiable.
Plus que quatre heures.
Et l’éphémère irrévocable.
Elle me dit
Plus que quatre heures.
Je lui dis
Aimer ?
Mais en vain.
Plus que quatre heures.
Il le faut
Communiquer
Toucher
Embrasser
Avant la fin.
Mais il est quatre heures.
Le temps presse.
Profiter ?
Oui,
Mais trop tard.
La question se pose,
Car la vie est courte.
Toujours aimer.
Et le montrer.
Il est huit heures.
Je vous aime.

mon secret

31 mai 2008 à 2h38

je ne t'oublie pas, car ma chere tu es mon coeur je te garde dans mon coeur.
aussi tout ce ke je fai je le fai pour toi
ma douce je ne veux pas d'autre monde car ma magnifique tu est mon monde
la racine de la racine le bourgeon du bourgeon le ciel du ciel d'un arbre apelé vie ou le secret ke nul ne connais.*

je ne t'égare pas ,car ma fleur tu es mon jour je t'observe chaque jour
aussi tout ce ke je pense je le pense pour toi
ma belle je ne veu pa d'otre rire car ma perle tu es mon rire
l'art de l'art, la peinture d'une peinture , le vers d'un vers d'un poeme apelé amour ou le secret ke nul ne conais .

coup de foudre

3 août 2008 à 13h50

Quand je t'ai vu pour la premier fois..
Je suis tout de suite tombé fou amoureux de toi
Comme dans la plupart des compte de fées
Dés que nos regards se sont croisés
Dés que ta main m'a effleurée...
J'ai tout de suite su que je t'aimerais pour l'éternité...

Mon coeur c'était endormi
Dans un endroit glacé
Et toi seul as su le réveiller
Tu l'as sauvé des ténèbres
Ou il s'était enfermé

Sans toi ma vie n'est rien
C'est avec toi que je suis bien
Je pense a toi ,je réve de toi
Je veux t'avoir toujour près de moi

ce n'est pas réèlement un poeme ces un citation

5 novembre 2008 à 17h17

aucune souffrance n'est pire que d'aimer quelqu un qui ne nous aime pas
mais voyait le bon coté des choses c'est qu il ne vous merite pas