Journal à quatre mains

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 27/12/2014.

Sommaire

Viens, je t'emmène...

8 mai 2006 à 12h46

Toi qui as posé les yeux sur moi
Toi qui me parle pour que j'ai moins froid
Je te donnes tout ce que j'ai à moi
La clé d'un monde qui n'existe pas

Viens, je t'emmène
Où les étoiles retrouvent la lune en secret
Viens, je t'emmène
Où le soleil le soir va se reposer
J'ai tell'ment fermé les yeux
J'ai tell'ment rêvé
Que j'y suis arrivée

Viens, je t'emmène
Où les rivières vont boire et vont se cacher
Viens, je t'emmène
Où les nuages tristes vont s'amuser
J'ai tell'ment fermé les yeux
J'ai tell'ment rêvé
Que j'y suis arrivée
Plus loin, plus loin, plus loin que la baie de Yen Thaî
Plus loin, plus loin, plus loin que la mer de corail

Viens, je t'emmène
Derrière le miroir de l'autre côté
Viens, je t'emmène
Au pays du vent au pays des fées
J'ai tell'ment fermé les yeux
J'ai tell'ment rêvé
Que j'y suis arrivée

Viens, je t'emmène
Viens, je t'emmène

J'ai tellement fermé les yeux
J'ai tellemnt rêvé
Que j'y suis arrivé
Plus loin, plus loin, plus loin que la baie de Yen Thaî
Plus loin, plus loin, plus loin que la mer de corail

Viens, je t'emmène
Où l'illusion devient réalité
Viens, je t'emmène
Derrière le miroir de l'autre côté...

France Gall

Abécédaire

22 juin 2006 à 18h59

BOIS... je bois tes mots...
COI...l'émotion...
DOIGTS...tes doigts sur moi?
FOI...en Demain...
JOIE...le téléphone qui sonne
LOI...on s'en fout
MOI...sans toi?
NOIE...les larmes parfois....
POIDS...l'attente...
QUOI...d'autre?
ROI...le Mien
SOI...l'Ètre encore plus
TOI...Cadeau
VOIX...la tienne, une caresse
...

Pierre blanche

27 juin 2006 à 19h00

28/06/06

28 juin 2006

mercredi 28 juin 2006

mercredi vingt huit juin deux mille six

On se ressemble

29 juin 2006 à 19h02

Avec ce grand amour
Qui nous rassemble
Un peu plus chaque jour
On se ressemble
Avec nos chansons et nos joies
On se ressemble toi et moi

Ainsi que deux enfants
Aux yeux trop tendres
Trop longtemps séparés
Que l'on rassemble
Depuis que nous sommes ensembles
On se ressemble toi et moi

Chaque geste, chaque rire, chaque mot
Le cœur de l'autre bat
Comme dans un écho
Et lorsqu'on dort tous deux
Chacun dort avec la seule image
De l'autre au fond des yeux
{au Refrain}

Chaque nuit, chaque nuit
Le soleil nous fait plus frères
Et toujours nous fait plus pareil
Un jour nos cœurs
Ne feront plus qu'un
On ne pourra plus reconnaître
Le tien du mien

Si l'un de nous venait
À disparaître
On ne saura jamais
Celui qui reste
Tellement qu'on s'aime
Toi et moi
On se ressemble toi et moi
On se ressemble toi et moi
On se ressemble toi et moi
On se ressemble toi et moi
Toi et moi

France Gall

Moment

29 juin 2006 à 19h05

J'aimerais trouver des mots...
des mots pour enchâsser ce Moment...
Non pour le retenir, mais pour un instant l'admirer, l'offrir en partage...tout comme ces pierres précieuses, ces trésors que l'on sertit d'or pour mieux en révéler toute leur splendeur...
Je ne sais pas si ces mos existent et s'ils vont se laisser capter...

Je me souviens d'avoir ouvert les yeux et d'avoir contemplé l'or du soleil qui transperçait les douces feuilles du hêtre sous lequel nous avions trouvé refuge.
A cet instant, j'étais ces feuilles, j'étais la chaleur qui les caressait, j'étais la brise qui les berçait...parce qu'il y avait tes bras qui me berçaient, ton souffle qui me réchauffait, simplement Toi qui était là ...et que nulle part, nulle part, je ne voyais de limites

La déclaration

30 juin 2006 à 19h03

Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Quand je suis seule et que je peux inventer
Que tu es là tout près de moi
Je peux m'imaginer tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Je ne pourrai jamais te dire tout ça
Je voudrais tant mais je n'oserai pas
J'aime mieux mettre dans cette chanson
Une déclaration, ma déclaration

Une déclaration, ma déclaration
Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Je veux des souvenirs avec toi,
Des images avec toi,
Des voyages avec toi
Je me sens bien quand tu es là
Une déclaration, ma déclaration

J'aime quand tu es triste
Et que tu ne dis rien
Je t'aime quand je te parle
Et que tu ne m'écoutes pas
Je me sens bien, quand tu es là
Une déclaration, ma déclaration

D'après France Gall et Michel Berger

Espoir

1 juillet 2006 à 16h46

Ce que mon namoureux m'a offert:

Effacer le passé, on le peut toujours : c'est une affaire de regret, de désaveu, d'oubli. Mais on n'évite pas l'avenir.
Oscar Wilde

Dans la vie,il n'y a pas de solutions, il y a des forces en marche: il faut les créer et les solutions suivent.
St Exupéry

La clé

2 juillet 2006 à 16h44

Je viens de me promener chez Toi.
L'impression de te mettre à nue. Comme si tu étais devant moi...
J'ai trouvé des textes fermés, que j'ai lu.
J'ai lu tes craintes, tes peurs.
Je n'ai pas de mots pour cela.
Juste mes mots de tous les jours.
Juste me bras qui aimeraient,comme moi, te serrer.
J'ai l'impression de franchir des étapes, des paliers. Il y a eu Mercredi. Mais depuis Mercredi, quelque chose a changé. Etrangement, plus intense aujourd hui.

Combien tu me manques.
Quelle chance que tu puisses me manquer.

J'aimerais trouver les mots pour te dire combien tu es précieuse, combien tu m'es précieuse. Pour te dire tout ce que tu m'offres.
Tu es unique et merveilleuse.
Tu m'offres un demain.
Tu m'offres des mots jamais entendu.
Tu m'offres des sensations jamais découvertes.
Et je rêve de t'offrir tant de choses, tant d'amour, de passion, de tendresse, tant de bien être, de joie, de caresses, de rires...

Je t embrasse tendrement
Ton Namoureux...

pourquoi?

2 juillet 2006 à 22h11

Pourquoi je viens chez toi, là ce soir...
je ne sais pas....

ou plutot si, je sais besoin de toi...

ça devient grave :)

je suis content d avoir ta photo en Corse...je viens de la regarder à nouveau...
Et puis Rodin aussi...mais ça on en reparlera..

Bonne nuit Mariem...

Bizoux doux...

L'Egypte

17 juillet 2006 à 18h57

Hier, seule, sur mon canapé j'ai allumé la télé (fait rarissime!).
J'y ai vu quelques images de l'Egypte...
Les temples, les Pyramides, le Nil...

A voix basse, en mon coeur, je T'ai dit:
Un jour, nous irons ensemble là-bas...et nous visiterons aussi le Caire...

A 400 km de là, Tu m'écris, un peu plus tard:
Un jour, nous irons contempler les Pyramides.

ça s'appelle comment ça?

JE T'AIME

20 juillet 2006 à 11h30

Quelle magie, quelle sorcellerie, se cache derrière cet assemblage de quelques lettres?
Hier, en te les disant, j'ai eu la sensation de pénétrer une autre réalité.
Jamais je n'avais ressenti une telle chose ;
Ces mots se sont imposés à moi, et même si je les avais pressentis quelques jours auparavant j'avais résisté à la violence de les dire.
Et hier ce n'était plus possible ;
J'ai senti cette force monter de mes entrailles m'emportant tout entière avec elle ; j'étais toute concentrée en ces quelques lettres magiques. Avec un désir puissant de m'offrir à travers elles.

Je ne sais toujours pas ce qu'elles veulent dire, je ne comprends pas…
J'avais toujours hésité à les prononcer auparavant sentant bien leur pouvoir, leur intransigeance, leur absoluité…
Je ne pouvais pas les trahir en trahissant l'autre…

Mais hier, je te les ai offertes comme un bouquet aux milles promesses.
Les laissant passer la frontière de mes lèvres, j'ai pris le risque de laisser parler et mon corps et mon âme…le mental peureux au repos, vaincu, couché, soumis.
J'ai cru avoir atteint un sommet dans l' émotion ressentie…c'était sans compter avec ce que mes oreilles ont capté par la suite : JE T'AIME.
Tu me l'as dit aussi …mon corps a absorbé ces mots leur offrant une infinie résonnance...en mon corps, une infinie vibration...
Les mots manquent pour décrire ces sensations d'infinitude...

Orage

22 juillet 2006 à 13h39

Il avait fait tellement chaud les derniers jours...
et sec...tellement sec...
On les attendait avec impatience...les nuages, l'orage.
Et voici qu'ils s'annoncent...
Les premières grosses gouttes font ressortir brutalement les odeurs...
La pièce s'assombrit....

J'ai envie de canapé...de me blottir dans le coin, dans tes bras.
Et on resterait là, tous les deux, main dans la main, en silence, regardant l'eau qui tombe et sentant la fraicheur bienfaisante...

Ma tête sur ton épaule, blottie dans tes bras.
Au loin l'orage gronde...
Ici on est bien.

Impression d'Orage

22 juillet 2006 à 13h55

Le tonnerre
La foudre
Les senteurs
La pluie

Comme quand je suis dans tes bras...

Rencontre

25 juillet 2006 à 14h20

En quelques jours, nous passerons des dessus de lit à fleurs, à une couette d'un bordeau satiné brodé d'or.
D'une cathédrale à un deux pièces.
Du champagne à une Belle Fontaine.

Comme si l'heure de la métamorphose arrivait.

Et nous pourrons, enfin,
Sans compter,
Caresser nos voix,
Ecouter nos corps,
Et nous offrir nos désirs.

Conquête

25 juillet 2006 à 18h55

Détente, j'ai la sensation que tout mon corps se vide du passé...d'un très long passé...
En mon corps, en ma pensée...
Tout s'évapore...
Grand nettoyage...
Et peu à peu, je te sens occuper toute la place...
Chaque jour, chaque soir, tu conquiers, sans grande bataille chaque fibre de mon être...
Dans la plus gande paix...

Quatre mains

27 juillet 2006 à 12h35

Quatre jours
Quatre nuits
Quatre mains

Jamais ce journal n'aura si bien porté son nom.

Parce que c'est toi

6 août 2006 à 15h58

Samedi 29 juillet 2006

Premier jour ensemble.
Nous avons marché côte à côte, longemps.
Nous avons vu tant de belles choses.
Toi à mes cotés, je me sentais comme dans une bulle, isolée du reste du monde.
Peu importe ce qui se présentait à mes yeux, et même si je pouvais en reconnaitre et en apprécier la beauté, rien n'était aussi important, à ce moment là que toi, là, à mes cotés, ta main dans la mienne, ta peau contre ma peau...
Là, à ce moment là, j'étais bien tout simplement.

Et aujourd'hui je repense à cette phrase de Montaigne, que j' avais comprise approximativement par le passé, et qui, aujourd'hui prend toute sa mesure:

Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne peut s'exprimer qu'en répondant : "Parce que c'était lui, parce que c'était moi."

Tes mots

8 août 2006 à 11h34

Si je pouvais trouver les mots pour t'exprimer ce que je ressens quand je lis les mots que tu m'écris.
Je m'immobilise , je respire à peine, de peur que d'un mouvement les mots prennent peur et ne s'envolent.
Je reste là, à les relire, à les contempler.
Je suis muet.
Muet d'étonnement, muet de plaisir, muet de joie, muet des mots que je voudrais te murmurer, te crier.
Muet comme mon lutin tourmenteur qui, ici, ne peut trouver de mots pour me faire choir.

Alors, silencieux, je savoure chaque lettre de chaque mot de chaque phrase…

Comme si ta bouche les prononçait
Et que tu étais dans mes bras.

Fatigue

9 août 2006 à 17h34

Tu es là sur ton canapé
Tu es lasse
La sieste t'appelle
Je me tais pour la laisser te parler
La laisser t'amener dans des rêves
Dans tes pensées

Si je pouvais être assis
Un livre dans les mains
Dans ce fauteuil
Large et confortable
Prés de toi
Assez prés pour sentir ton odeur
Ton parfum

Et je te regarderais dormir
Silencieux
Faisant semblant de lire

Fatigue

9 août 2006 à 18h45

Une énorme fatigue qui s'abat sur moi...
Mais tu es là, ta voix au téléphone...je ne veux pas te quitter...
Et pourtant, il me faudrait dormir...
Tu le sens...
Tu le sais...
Tu me laisses...

Je sais ce qu'il t'en coûte...
Je n'aime pas te laisser comme cela, si abruptement...
J'ai l'impression de t'abandonner...

Mais je suis si bien ensuite, seule, essayant de me laisser aller au sommeil...
De mes soupirs de détente monte tout mon amour pour toi...que j'aurais envie de te dire à ce moment-là au creux de l'oreille...

A mon réveil, je lis qu'à ce moment précis, tu m'écrivais de si belles phrases....

...

J'ai besoin de vous

11 août 2006 à 8h27

Ce matin, dans la voiture je me délectais de cela:

Et j'ai besoin de vous
Quand la vie m'abandonne
Quand les soirs monotones
Me font douter de tout
Et j'ai besoin de vous
Seuls les sages et les fous
N'ont besoin de personne
J'ai besoin de vous

Et j'ai besoin de vous
Comme d'une passion cachée
Comme des mots qui nous donnent
Des raisons d'exister
Et j'ai besoin de vous
Comme d'un amour secret
Qui me demande tout
Et qui me reconnaît
Comme j'ai besoin de vous

Et j'ai besoin de vous
Quand mon âme m'abandonne
Quand les tambours résonnent
Et tournent autour de nous
Et j'ai besoin de vous
Seuls les sages et les fous
N'ont besoin de personne
Moi j'ai besoin de vous

Comme j'ai besoin de vous
Moi j'ai besoin de vous

France Gall

Programme

11 août 2006 à 11h12

Programme du Week-end :

Taboulé
vin rosé
Chocolat
Cinéma…

Le reste ?
Non,vous ne saurez pas…

Je t'attends

15 août 2006 à 9h54

Attente.
Tu vas appeler.
Attente.
Pourquoi faire autre chose.
Envie de n'être que cette attente.
Pas de distraction.
Juste elle.
Juste toi.
Parfois des idées qui mènent à l'incertitude, à l'angoisse pointent leurs museaux, juste par habitude...
Je les connais, elles m'aiment bien et cherchent à faire leur nid en moi.
Mon souffle pour les chasser.
Attente.
Dehors petite pluie fine...musique.
Juste attendre.
Parce que là, maintenant,
j'ai seulement besoin de ta voix au creux de mon oreille.
Ta voix et je suis bien.
Attendre...

le téléphone sonne et je souris.

Téléphone

16 août 2006 à 10h47

A mon tour ce matin de ressentir cette joie, ce sourire.
Même si parfois (souvent) le téléphone est un outil frustrant, il reste trés précieux pour me sentir si prés de Toi, en entendant ta voix.
Unique.

Un mot de Toi et l'impression d'être dans tes bras.

Taboulé

24 août 2006 à 11h14

Des envies de Taboulé et de vin rosé
De caresses et de baisers
De chocolat
Et de gingembre confit

Un Orage

29 août 2006 à 11h38

Mon Amour

Demain, je t'offrirai un Orage.
Un beau, un violent.
Un que l'on sent arriver de longues minutes avant.
Le ciel se noircit peu à peu, avec les nuages qui regroupent leur puissance.
Le vent t'assaille par bourrasques puissantes.

Demain je t'offrirai un Orage.
Tu sera là, dans ta nature
Unie à elle
Eternellement.

Demain je t'offrirai un Orage.
Il éclatera tout prés de toi, ton corps ressentira les ondes du tonnerre .
La pluie tombera lourde sur ta peau illuminée des éclairs.

Demain je t'offrirai un Orage
Tu sera là, offerte à lui, recevant sa force dans ton âme.

Demain je t'offrirai un Orage

Demain, je t'offrirai

8 septembre 2006 à 10h25

Ce matin, je suis envahi de tristesse, du chagrin que tu éprouves sûrement au fil des épreuves que tu dois affronter aujourd'hui.
Si ma peine pouvait alléger la tienne, mes pleurs tarir les tiens…
Mais je suis inutile, parce que tu dois vivre ce que tu vis en ce moment, seule. Seule face à Toi, face à ta vie, face à ton destin qui te porte.
Je ne te consolerai jamais de cela.
Mais moi, demain,je t'offrirai, des rires et des sourires.
Je t'offrirai des baisers et des caresses.
Je t'offrirai des larmes.
Je t'offrirai des rêves et des envies.
Des désirs.
Je t'offrirai des pensées.
Je t'offrirai le chaud, le froid, la neige et le soleil.
Je t'offrirai mes bras.

Je t'aime.

Clin d'Oeil

20 septembre 2006 à 12h46

J'aime ce petit clin d'oeil du Destin....
Qui fait qu'à deux heures précises, aujourd'hui, tous les deux nous serons en visite à l'hopital...
Tu n'étais pas obligé de partager cela aussi! ;)

Lui

21 septembre 2006 à 9h53

Jamais je n'arriverai à trouver des mots aussi beau que Lui t'écrivait.
Jamais je ne réussirai à te transmettre l'émotion que Lui savait t'offrir.
Mais je me battrai chaque jour, ne serait-ce que pour voir une lueur dans ces yeux où Lui faisait naître une lumière.
Curieusement, je ne suis pas jaloux. Je ne peux pas être jaloux de ton Amour, celui qui a su t'apporter l'émotion de la terre, l'émotion d'une fleur, d'une plante, d'un soleil, de la vie.
Je voudrais tant t'offrir un lopin de terre, m'éloigner et te regarder prés de Lui dans le jardin de ton enfance.

Amour aveugle

21 septembre 2006 à 10h57

« L'Amour rend aveugle »
Heureusement que certaines expressions sont fausses.
Sinon, je ne pourrais pas te voir quand tu es prés de moi, quand tu marches, quand tu cours.
Te regarder quand tu lis, quand tu parles.
Te contempler quand tu dors, quand tu rêves, quand tu soupires.
T'admirer quand tu ris, quand tu ne ris pas, quand tu es nue, quand tu ne l'es pas.

Tu es belle comme une forêt,
Belle comme une montagne,
Comme la mer.
Tu es belle comme le vent, belle comme l'orage.
Tu es belle comme une déesse, une sirène, une fée.
Belle comme une merveille qui m'émerveille.
Si tu savais comme tu es belle…

Arc-en ciel

21 septembre 2006 à 12h13

Une bouffé de joie, de plaisir, de bonheur !
T'entendre ce matin au téléphone,
j'avais l'impression d'entendre un arc-en-ciel me parler.
J'avais l'impression que tu me parlais
Comme un éclat de rire

Merci

21 septembre 2006 à 13h50

Merci à Toi
Qui sait si bien m'offrir

Des présents
riches de demains...

Des aujourd'huis
aux horizons lumineux et infinis...

Des instants
Vibrants de terre et de ciel...

Solitude

23 septembre 2006 à 16h55

17 août 2006
Provence.
Gorges de l'Opedette.
Spectacle grandiose.

Pensée:
Je suis seule maintenant, une solitude que je désirais, que je voudrais goûter vraiment...

Mais comment arriver à la vivre, à la ressentir?
Puisque tu m'habites totalement...

et cette autre pensée:
Je ne veux plus rien vivre sans toi, je ne peux plus...

Partout où je suis, je te voudrais à mes côtés pour admirer, pour contempler, pour ressentir...

Il me semble que sinon je n'admire qu'à moitié, je ne contemple qu'à moitié, je ne ressens qu'à moitié...

Courrier

26 septembre 2006 à 8h01

M. m'écrit :

Comment vas tu Mariem?
J'espère que le silence n'est que le signe d'un nuage bleu sur lequel tu flottes; en tous cas je pense souvent à toi.
Tu dois avoir déménagé maintenant.
Je t'envoie plein d'amitié, emploie la comme tu voudras, autour du cou, autour du coeur, ou comme une fleur, qu'importe, c'est tout pour toi.
Mille petits baisers. M.

Chère M.,

Moi aussi je pensais bien à toi et m'apprêtais à t'écrire.
Il me semble que les dernières semaines j'ai condensé mon énergie à régler les multiples problèmes matériels...et c'est aussi vrai que ma nouvelle relation, si elle génére de nouvelles énergies, occupe beaucoup de mon temps et de mes pensées.
En tout cas je suis touchée par ton petit message! J'aimerais bien avoir de tes nouvelles aussi...où en es-tu toi? où es-tu ?
Oui, je suis toujours sur ce petit nuage bleu ou rose parfois..en tout cas toujours surprise de ce cadeau!
Car c'est vraiment un cadeau que d'avoir sur son chemin un être avec qui partager tant d'émotions, tant de désirs, tant de rires, tant de rêves...le mot "magique" me vient souvent aux lèvres!
Nous construisons peu à peu des ponts pour nous rejoindre régulièrement, Lui et moi.
Alors nous décidons d'avancer pas à pas, de voir ce qu'aujourd'hui ou demain a à nous offrir...et nous faisons confiance qu' après-demain sera aussi généreux!
...

Plein de tendresses
Mariem

Namour,

29 septembre 2006 à 7h36

Eh bien, ça me manque de te lire...
Petite pointe dans le coeur, hier quand tu m'as dit que tu n'avais pas envie d'écrire ici en ce moment....
Attendre...

Sur la route

29 septembre 2006 à 7h44

Ce matin, une pensée...
Ce soir, te voir...
Et j'avais envie de sautiller...
Comme une petite fille
Qui se réjouit...
Simplement sautiller de joie
Sur le trottoir...

Hyperion

5 octobre 2006 à 9h12

Jusqu'où ?

Jusqu'où peut aller une intensité ?
Jusqu'où allons nous la porter ?
Jusqu'où va-t-elle nous porter ?

Il y a quelques jours des scientifiques ont découvert « Hyperion » , un Séquoia, le plus grand arbre du monde, 115,5 mètres….
Il a 700 ou 800 ans, il grandit encore…

Retour

5 octobre 2006 à 13h49

.
Dimanche soir

Retour de week-end.
Longue route qui m'éloigne de toi, qui me rapproche de moi.
Qui m'éloigne de cette ardeur, qui me permet de reprendre souffle.
La route est longue, lisse, fluide, paisible.
Et la musique qui la rythme.

Je me sens pleine, nourrie, rassasiée, sereine.
Et puis je regarde, je vois à nouveau.
Autour de moi.
Les prés, les vaches, les arbres, le ciel.
Ta présence efface tout le reste.
Ton absence habite mon présent, l'enlumine.

Alors le ciel...
Juste pour moi, pour mon arrivée chez moi a déployé une féérie...

Un immense arc-en-ciel ceinturant un ciel gris-jaune chargé de pluie.

Autour, du bleu avec quelques nuages, blancs.

Cet arc comme un immense porche au dessus de ma route, à l'entrée de ma ville.

Comme pour m'accueillir.

Et la musique. Gaie!
Et soudain une joie immense qui me submerge.
Pour Tout ce qui m'est donné!

Et je bats des mains comme une enfant joyeuse!

(oui, en conduisant c'est possible...mais pas recommandé!)

Non peut être?

6 octobre 2006 à 9h04

Il y a des jours "alors" où il n'y a pas de mots pour le dire...
Non, peut être?

Gazelle

8 octobre 2006 à 10h00

Je regarde un film avec C, C et C...
Un film pour adolescente sur une adolescente qui parle d'adolescence...

L'héroïne revient d'afrique où elle a vécu de nombreuses années.

Elle parle des Gazelles.
" C'est fragile les Gazelles."

Bien sur , c'est évident...

Elle court, elle saute, elle joue, elle s'amuse, elle est calme, elle se repose, elle est triste ou gaie, elle pleure ou elle rit...
Mais elle est aussi fragile.

Tortue, ne l'oublie pas!

Otani

13 octobre 2006 à 14h42

De l'eau
Des Japonais
Des pas japonais dans l'eau
Des pas sur l'herbe.
De vieux arbres vert de gris
Un ciel gris et vert
De feuilles et de brume
Un serpent Zen coule jusqu'à sa chute
Un pont rouge et rond
Un baiser rond
Sur ton front rouge
De froid et de chaud
Ton obi est mon bras
Accoudés nous regardons
Le temps qui passe

Le gâteau

25 octobre 2006 à 13h44

Je veux t'offrir mon gâteau.
Parce que je le trouve bon et magnifique.
Il me procure tant de plaisirs que je voudrais les partager avec toi.

Et toi tu n'en veux pas.

Tu me dis que ce gâteau est fait d'une farine qui ne te convient pas.
Que la crème semble indigeste.
Que tu n'aimes ni la forme, ni la couleur.

Et tu ne veux pas le goûter.

Bien sûr, tu en as tout à fait le droit.

Mais je suis triste.
Et je ne peux m'empêcher de t'en vouloir de ne pas l'aimer, ni même de vouloir le goûter.
T'en vouloir de me montrer que je n'ai même pas vu que la crème était trop artificielle.
T'en vouloir de me faire douter que j'aime vraiment ce gâteau,
qu'il est vraiment bon pour moi.
T'en vouloir de me faire douter de mon plaisir!
De ma nourriture!

Quand pourrais-je accepter que tu peux ne pas aimer pas ce gâteau?
Que tu as raison, que ce gâteau n'est pas à ton gout, conforme à tes désirs, que la crème est vraiment trop indigeste!
Quand pourrais-je quand même le manger devant toi, seule, et l'apprécier tout autant?

Parce que c'est mon goût, mon choix et qu'il me procure tant de Joie!

Le ciel

26 octobre 2006 à 13h47

Ce soir pas de communion avec toi, alors le ciel...
Je communie avec son bleu.
Et comme je ne peux pas voir le soleil d'où je suis, je demande aux nuages de me le raconter.
Et ils me disent son rouge par leur embrasement, et ses oranges.
Et je pense au rouge de notre passion.
Et s'éloignant, ils me disent aussi le gris du manque et de l'absence.
Et je pense au sombre de nos déchirements.
Et plus loin là-bas, un bout de ciel d'une luminosité sublime, saphir.
Et je pense à cette joie légère qui brille en moi, quand tu es là.

Le téléphone

27 octobre 2006 à 13h45

21h30
Le téléphone sonne.
Je cours.
Qui cela peut-il être, si tard.
(un vague petit coquin d'espoir tout timide, bien caché, quand même).
"Allo"...
Ta Voix.
Toi.
Eclat de rire.
Joie.
Je ne t'attendais pas.

Cela faisait une heure qu'on ne s'était pas parlé.
Nous ne nous étions téléphoné que cinq fois;
Nous n'avions passé que trois? quatre? heures à nous écouter aujourd'hui.

Et là maintenant, de nouveau Ta voix, Toi... et la joie de t'entendre!
Joie, à chaque fois renouvelée!

Pour moi?

31 octobre 2006 à 14h26

C'est pour moi ?
Je me retourne, je regarde à côté.
Non, pas de doute possible, c'est bien pour moi.
Alors.
Alors je me sens presque tout petit, intimidé.
Comme si j'avais réussi à décrocher la Lune, et que cette exploit me gêne, me fasse rougir.
Non, pas de honte, non.
Rougir de plaisir.

J'ai envie de rire dans tes bras.

Quatre Mains

12 novembre 2006 à 20h02

Bonjour « Quatre Mains »,

C'est derniers temps, je ne t'ai pas beaucoup écrit. Il est vrai, Quatre Mains, que quelques fois quatre mains ne font pas qu'écrire.
Je te promets que demain, ou qu'un autre demain
Je te promets qu'un de ces quatre matins, qu'un de ces quatre demains,
A deux mains, peut être même à quatre mains, je publierai un long texte, pour parler de « ses » mains qui font quatre avec les miennes quand nous sommes deux pour ne faire qu'un.

Je te parlerai de ces vingt doigts qui se croisent, et qui compte un à un, les minutes éternelles qu'ils détiennent comme un cadeau inespéré.

Je te parlerai de ces quatre paumes qui voyagent sur nos peaux.
Je te parlerai de ces quatre mains dont nous ne savons plus à qui elles sont, quand elles décident, seules, de vivre leur vie.

Quatre Mains, demain, je te parlerai de nos mains

Un jardin

16 novembre 2006 à 14h52

Même si mon goût préfère un jardin anglais
Il m'arrive d'apprécier un jardin français
Avec ses pelouses taillées presque au carré
Les promenades dessinées de ses allées
Transforment une statue de marbre ou un jet d'eau
Mis en valeur ainsi en de précieux joyaux
Que la main va chercher sous de tendres caresses
Où les lèvres vont laper l'eau jusqu'à l'ivresse.

Correspondance

16 novembre 2006 à 20h39

M. m'écrit:

Comment vas-tu belle amie? Le nuage rose est toujours à portée humaine et l'homme à portée de coeur?

....

Ma chère M.,
....

Oui, je vogue toujours sur mon petit nuage, chaque jour émerveillée davantage de ce que je ressens et de ce que nous vivons...la sensation que tisser notre relation s'apparente à confectionner une fine et riche dentelle...
Et parfois nos échanges sont comme les rythmes assez différents d'une symphonie qui s'enrichissent mutuellement dans une belle harmonie…
Nous nous voyons le plus possible sans que jamais nous ne soyons rassasiés l'un de l'autre.
Comme si nos rencontres creusaient le désir de la prochaine.
D'ailleurs je m'envole demain le retrouver.
La dernière fois, c'était il y a dix jours, le revoir avait provoqué en moi un Rire, un vrai Rire de Joie!
....
Je t'embrasse avec amitié
MarieM

Première fois

17 novembre 2006 à 11h03

Ce soir nous allons nous rencontrer pour la première fois.
Tu seras dans mes bras pour la première fois.
Je vais t'embrasser pour la première fois.
Nous nous donnerons la main, pour la première fois.
Car la magie de nos rencontres m'émerveille
Comme quand je vois le soleil se lever pour la première fois,
Quand la pluie tombe pour la première fois
La lune
Un parfum
Un oiseau
Un vent
Qui surgissent pour la première fois,.
Quand j'ai conscience que je vis l'instant.

Lundi 17h45

20 novembre 2006 à 18h05

Je sais. Je te vois.
Tu sors de ton bureau.
Seul.
Tu marches sur le trottoir.
Seul.
Tu es dans le metro, puis dans le train, seul.
Puis tu remontes l'avenue, pardessus sombre, cartable à la main, seul.
Tu ouvres la porte de l'appartement que la nuit a envahi.
Tu allumes. Tu poses ton cartable, ôte ton pardessus.
L'appartement est vide. Froid.
Alors, tu vois le chocolat que nous mangions hier; sur la table, peut-être la boite du film, que nous avons regardé, côte à côte.
Sur l'égouttoir, dans la cuisine, nos deux assiettes, nos deux verres.
La bouteille d'eau minérale que tu avais achetée que pour moi.
Dans la salle de bains, il y aura l'odeur de mon parfum, que tu aimes.
Tu vas avoir du mal à ouvrir la porte de la chambre.
Parce que là, il y aura encore nous, enlacés...tout te le dira, les draps chiffonnés, les oreillers rapprochés, l'odeur de la nuit...tout sera là comme nous l'avons laissé, ce matin, en partant tous les deux, les corps encore chauds l'un de l'autre...

Où suis-je pour n'être pas avec toi?

La première danse

20 novembre 2006 à 18h27

C'est moi qui ai mis la musique.
Un "slow".
Et je t'ai invité.
Tu as mis tes bras autour de ma taille; comme je l'avais toujours voulu.
J'ai mis ma tête sur ton épaule; comme je l'avais toujours désiré.
Tu m'as serrée très fort; comme je l'avais toujours souhaité.
Ton corps me conduisait comme je l'avais rêvé.
Puis j'ai levé mon visage, approché ma bouche de la tienne; pour ce baiser là dont j'avais toujours eu envie.
Et je t'ai regardé.
Tu avais exactement le visage, yeux fermés, qui habitait mes rêves.

Je me suis replongée dans ton cou.
Je me suis plongée dans l'éternité.
J'avais tous les âges.
Mais surtout 17 ans.

Comme le Héron

29 novembre 2006 à 13h03

Tu me mèneras voir le Héron ?
Et rond et rond petit Patapon
Nous marcherons sur les bords du Lac
La pendule fait tic tac tic tac
Avançant, éclairés par la Lune
A la trois, à la deux, à la une
Nous nous asssirons sur ce caillou
Et, chou, pou , hibou, caillou, genou
Et rêverons comme le Héron
Héron sous la Lune prés du Lac

22 Décembre

29 novembre 2006 à 13h11

Le 22 Décembre.

Une date des plus importantes.

La première raison , je ne peux pas en parler aujourd'hui, mais elle est la plus importante à mes yeux…

La deuxième, parlons en !
C'est un appel d'un couple Peace And Love !
Si, si , il en reste…

La journée mondiale de l'Orgasme !
Que tout le monde s'unisse dans un orgasme planétaire pour lutter pour la Paix !

Mesdemoiselles, Mesdames, Messieurs …AU TRAVAIL !!!
Réservez votre Vendredi,
C'est pour la bonne cause !!!

Sexe et prenom: pour tout savoir !!!

1 décembre 2006 à 10h42

La première Lettre de votre prénom

Selon certaines études, votre identité sexuelle est révélée par la première lettre de votre prénom.... Qu'en pensez-vous ? La lettre S vaut particulièrement le détour... Si vous connaissez des Stéphane, Sébastien ou Sophie... et que dire de la M !

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

 A
Vous n'êtes pas particulièrement romantique, mais vous devenez intéressé une fois dans l'action. Vous pensez " Business ". Avec vous, pas d'erreur sur la marchandise, ce qu'on voit c'est ce vraiment qu'on achète. Vous n'avez aucune patience pour flirter, et vous ne pouvez pas être ennuyé par quelqu'un qui tente d'être timide, mignon, discret et subtilement séducteur... Vous êtes une personne à prendre en frontal. S'agissant du sexe, c'est l'action qui compte et non pas d'obscures finalités. L'attrait physique de votre partenaire est une chose importante pour vous. Vous trouvez vivifiant la traque et le challenge que représente la chasse. Vous êtes beaucoup plus passionné, sexuel et aventureux que vous ne le laissez paraître, mais vous n'en faites toutefois pas grande publicité de ces qualités. Vos besoins physiques restent vos préoccupations primordiales.

 B
Vous vibrez d'une langoureuse sensualité. Vous adorez le romantisme, le champagne et les dîners aux chandelles. Vous êtes ravi de recevoir des cadeaux comme autant de preuves de l'affection que vous porte votre amant. Vous voulez être choyé comme vous savez vous y prendre pour choyer votre partenaire. Vous êtes réservé dans l'expression des mots tendres et particulièrement pendant les ébats amoureux. Vous maintiendrez une certaine distance jusqu'à ce que tous les choses reçoivent votre approbation. Vous êtes capable de contrôler votre appétit et de vous abstenir de relations sexuelles si nécessaire. Vous avez besoin de sensations et d'expériences nouvelles. Vous désirez expérimenter.

 C
Vous êtes un individu très sociable, et il est important pour vous d'avoir quelqu'un dans votre vie. Vous avez besoin de proximité et de partage. Vous devez pouvoir dialoguer avec votre partenaire sexuel avant, pendant et après l'acte. L'objet de votre affection doit être socialement acceptable et de bonne présentation. Votre amant est pour vous à la fois un ami et un compagnon. Vous êtes sexuel et sensuel, et avez besoin de quelqu'un sachant vous apprécier, voire même vous idolâtrer. Lorsque ce n'est pas réalisable, vous avez la capacité de passer par de longues périodes d'abstinence avec aucune activité sexuelle. Vous êtes un expert dans l'art de contrôler vos désirs et de faire sans.

 D
Une fois que vous vous êtes mis dans la tête d'obtenir quelqu'un, vous foncez à pleine vapeur dans la poursuite. Et vous n'abandonnez pas facilement votre quête. Vous êtes nourricier et attentionné. Si quelqu'un a des problèmes, cela vous touche. Vous êtes très sexuel, passionné, loyal et intense dans votre engagement, parfois à en devenir possessif et jaloux. Le sexe est pour vous un plaisir à savourer. Vous êtes stimulé par l'excentricité et l'inhabituel, ayant un esprit libre et ouvert.

 E
Votre plus grand besoin est de parler. Si votre conquête n'a pas d'écoute, cela vous pose un problème. Une personne doit être intellectuellement stimulante sinon elle ne vous intéresse pas sexuellement. Vous avez besoin d'un(e) ami(e), et d'une compagne (un compagnon) pour partenaire. Vous détester le désaccord et la rupture, mais vous appréciez de temps à autre un bon argument lorsqu'il semble tirer le débat vers le haut. Vous flirtez beaucoup, car pour vous le défi est plus important que l'acte sexuel, mais une fois que vous avez donné votre cœur, vous êtes loyal sans compromission. Quand vous n'avez pas un(e) bon(ne) amant(e) pour s'endormir à vos côtés, vous vous endormirez avec un bon livre. (Parfois, en fait, vous préférez plutôt le bon livre)

 F
Vous êtes fastidieux, recherchant la perfection en vous et en votre amant(e). Vous vous tournez vers un(e) amant(e) qui vous égale ou vous est supérieur(e) intellectuellement, et qui peut renforcer votre statut. Vous êtes sensuel et savez comment atteindre le sommet de la stimulation érotique, parce que vous l'avez travaillé méticuleusement. Vous pouvez être extrêmement actif sexuellement, c'est-à-dire quand vous trouvez du temps pour le faire. Vos devoirs et responsabilités ont la préséance sur quoi que ce soit d'autres. Vous pourriez avoir quelques difficultés à devenir proche émotionnellement de votre amant(e), mais jamais de problème pour l'être sexuellement.

 G
Mystérieux, réservé et timide, vous êtes pourtant aussi très sexy, sensuel et passionné. Vous avez du mal à vous laissé pas aller. Cette part de vous ne se révèle réellement que dans la plus stricte intimité. Mais quant il s'agit de passer aux choses sérieuses, vous êtes un expert. Vous connaissez tous les petites choses de la chose, vous jouez tous les rôles dans tous les jeux, tout en prenant votre vie amoureuse très au sérieux. Vous n'aimez pas perdre votre temps et préférez la patience d'attendre que la bonne rencontre se fasse avec la bonne personne.

 H
Vous recherchez un partenaire qui peut renforcer votre réputation ou vos possibilités de gain. Vous serez très généreux envers votre amant(e), une fois que vous aurez obtenu un engagement. Vos cadeaux sont en fait un investissement de votre part sur votre partenaire. Avant cet engagement, cependant, vous tendez à être frugal dans vos habitudes de dépenses et de rendez-vous, et également précautionneux dans votre implication sexuelle. Vous êtes un amant sensuel et patient.

 I
Vous avez un grand besoin d'être aimé(e), apprécié(e). Voire même idolâtré(e). Vous appréciez le luxe, la sensualité et les plaisirs de la chair. Vous recherchez des amants qui savent ce qu'ils font. Vous n'êtes pas intéressé(e) par l'amateurisme, sauf si cet amateur veut un professeur particulier. Vous êtes affairé(e) et exigeant(e) sur la satisfaction de vos désirs. Vous êtes désireux(se) d'expérimenter et d'essayer de nouvelles manières de vivre la sexualité. Vous êtes facilement ennuyé(e) et avez besoin par conséquent d'aventure sexuelle et de changement. Vous êtes plus sensuel(le) que sexuel(le), mais vous êtes parfois tout simplement lascif.

 J
Vous pouvez être très romantique, attaché au côté fascinant de l'amour. Avoir un partenaire est d'une importance primordiale pour vous. Vous êtes libre dans votre expression de l'amour et désireux (se) de tenter toutes les chances, d'essayer de nouvelles expériences et de nouveaux partenaires sexuels, pourvu que tout reste d'un bon goût. Le côté cérébral vous séduit. Vous besoin de sentir que votre partenaire est intellectuellement stimulant, sinon il vous sera difficile d'entretenir la relation. Vous exigez de l'amour, des étreintes, des dîners aux chandelles arrosés de bon vin pour savoir que vous êtes apprécié(e).

 K
Vous êtes très romantique, idéaliste, et pourtant vous avez la conviction qu'aimer signifie souffrir. Vous finissez par être au service de votre partenaire, ou par attirer des personnes avec des problèmes peu communs. Vous vous voyez comme le sauveur de votre partenaire. Vous êtes sincère, passionné(e), lascif(ve), et rêveur(se). Vous ne pouvez vous empêcher de tomber amoureux(se). Vous fantasmez et êtes emballé(e) par les films et les magazines. Vous ne parlez pas aux autres ni de cette vie secrète, ni de fantaisies sexuelles.

 L
Vous êtes émotif. Une fois engagé(e) dans une relation, vous vous jetez bêtement, corps et âme, dedans. Rien ne vous arrête, et pourtant !... Vous vous consumez totalement beaucoup trop vite et désirez quelqu'un que vous ne méritez pas. Vous croyez en la liberté sexuelle totale. Vous êtes prêt à essayer tout et n'importe quoi, alors essayez la zoophilie, là vous donnerez peut-être du plaisir à l'animal, et encore, c'est pas gagné. Votre énergie sexuelle est limité. Vous aimez également paterner, et lorsque vous faites l'amour, c'est finalement peut-être à votre père que vous pensez. Un conseil, consultez et dites haut et claire vos attirances.

 M
Vous êtes nul au pieu.

 N
Vous êtes idéaliste et romantique, mettant votre amour sur un piédestal. Vous recherchez le / la meilleur(e) partenaire que vous puissiez trouver. Vous êtes dragueur, cependant une fois engagé(e), vous êtes très fidèle. Vous êtes sensuel, sexuel, et passionné en privé. En public, vous pouvez être démonstratif, extravagant, et galant. Vous êtes né romantique. Les scènes d'amour spectaculaires sont votre passe temps favori. Vous pouvez être un amant très généreux.

 O
Intéressé par le sexe et paradoxalement timide et secret sur vos désirs, vous avez tendance à rediriger votre sexuelle énergie vers une quête de pouvoir et/ou d'argent. Pouvant facilement rester de longue période célibataire, vous êtes un amant passionné et compatissant, attendant le même égard de votre partenaire. Pour vous, le sexe est une activité sérieuse. Vous recherchez une diversité intense, tout disposé à vous essayer à des expériences et des compagnons variés. Cependant, gardez à l'esprit que de temps à autre votre passion pourra bien facilement tendance à se transformer en possessivité.

 P
Vous avez grande conscience de l'apparence sociale. Vous ne voudriez pas faire quoi que ce soit compromettant votre réputation ou votre image. Et comme les apparences comptent, vous avez besoin d'une partenaire aussi séduisante qu'intelligente. Chose curieuse cependant, vous pouvez la voir comme un ennemie partant du principe qu'un bon combat stimule les vibrations sexuelles. Vous êtes exempt de complexes et disposé à expérimenter de nouvelles voies. Social et sensuel, vous aimez séduire et avez besoin que votre relation soit harmonie avec le plaisir physique.

 Q
Vous avez en permanence besoin d'activité stimulante. Vous avez une fantastique énergie physique avec laquelle votre partenaire aura du mal à rivaliser, sexuellement ou non. Vous êtes un amant enthousiaste attiré par des partenaires d'autres ethnies que la votre. Vous avez besoin d'histoire d'amour, de coeur, et de beaucoup de dialogue pour vous décider à vous engager.

 R
Vous êtes pragmatique. Orienté avant tout vers l'action, vous avez besoin de quelqu'un qui puisse tant maintenir l'harmonie de votre couple que rivaliser intellectuellement avec vous. Vous êtes plus facilement touché par un bel esprit que par un corps bien fait. Cependant, l'attraction physique garde son importance. Vous aimez vous sentir fier de votre partenaire. Vous aimez le sexe en préférant y jouer le rôle du maître à l'élève. Vous pouvez être un camarade de jeu très demandé.

 S
Vous êtes un coup totalement fabuleux !

 T
Vous êtes une personne sensible, renfermée et sexuellement passive, aimant que votre partenaire prenne le contrôle. Musique, lumières douces et pensées romantiques vous touchent. Vous fantasmez mais vous avez aussi peu de facilité à tomber amoureux qu'à rompre facilement. En amour, vous êtes romantiques, idéaliste, un tantinet mièvre, mais extrêmement intense. Vous aimez sentir vos sens et vos sentiments stimulés, titillés, taquinés... Vous êtes un grand séducteur qui adapte ses relations pour les rendre beau comme des rêves, et la plupart du temps c'est le cas... dans votre tête.

 U
Quant vous êtes amoureux, vous êtes l'enthousiaste idéaliste. Et quant vous ne l'êtes pas, vous êtes l'amoureux de l'amour. En permanence en recherche de La personne à adorer, vous percevez vos histoires comme des challenges. Bourlingueur de nature, vous avez besoin d'aventure, de sensations et de liberté. Vous jaugez les relations par leur potentiel. Vous aimez offrir des présents et aimez voir votre partenaire séduisante. Vos appétits sexuels aussi fort que vous recherchez les plaisirs simples et rapides. Vous avez cependant tendance à placer le plaisir de votre partenaire avant le vôtre.

 V
Individualiste, vous avez besoin d'espace, de liberté et d'émotions. Vous attendez de connaître parfaitement la personne avant de vous engager. Connaître quelqu'un c'est pour vous savoir la deviner. Vous avez le besoin de rentrer dans sa tête et savoir ce qui la fait craquer. Vous êtes attiré par les personnes généralement atypiques, souvent avec une différence d'âge avec vous. Vous marchez au danger, au frisson, au suspens. Vous accrochez aux endroits joyeux même si vous-même n'y participez pas forcement.

 W
Vous êtes fier(e), vous devenez collant comme de la glue.

 X

 Y

Vous êtes nul au pieu. Cependant, sûr de votre libido, vous avez, jusqu'à ce jour, toujours eu l'impression d'être une bête de sexe. Désolé de vous décevoir mais sachez que votre partenaire s'ennuie prodigieusement au lit avec vous ; Alors, dernière solution : regardez les films X et apprenez ! Bonne chance…

 Z

Solitude

4 décembre 2006 à 8h07

Emplie, comblée, nourrie...

me voici lourde de toute ta tendresse, de toute cette attention que tu me portes, de tout cet amour dont tu m'entoures;

me voici en chemin vers chez moi avec l'envie de retrouver mon nid, mon terrier, ma solitude pour déballer tous ces trésors et un par un, les contempler, les goûter, les savourer, m'en revêtir, m'en faire belle, m'en faire mienne...

Et demain, je sortirai et insolente afficherai ce bonheur, m'en pavanerai à la barbe de ce mois de décembre affligeant.

Sourire

6 décembre 2006 à 14h50

J'ai la musique de Katie Melua: "Closest thing to crasy" dans les oreilles.

Si quelqu'un rentre dans mon bureau, il me trouvera attentive, le regard fixé sur les pages couvertes de signes de mon dossier, sérieuse...

Il ne saura pas qu'en songe je suis collée à toi, en train de danser ce slow!

Brouillard

11 décembre 2006 à 10h17

Du brouillard
Des nappes qui flottent au dessus de l étang
Une brume humide et froide qui enveloppe
Un petit chalet
Entouré d'arbres
Et de nuit.
Quelques lumières pâles
Des bougies qui transpirent leur lueur par les fenêtres.
Une buée sur les carreaux.
Et puis une cheminée
Rouge et jaune
Qui claque, pétille, carillonne.
Une musique
Deux êtres
Encore
A corps
Et à cri
Ils murmurent
De leurs mains
Sur leur peau

Une Chapelle

3 janvier 2007 à 16h02

Un fleuve
Une colline
Des vignes, nues,
Se mirent.
Un vent à mélanger nos rêves
Une chapelle perchée
Un Jésus, sur sa croix,
En bois..
Il tourne la tête
Gêné, peut être, de nous voir là
Ce paysage à nos pieds
Que tu visites
Dans mes bras
Un cri
La pluie redouble
Trempée
Tu souris

Câlin

4 janvier 2007 à 16h15

La tienne

5 janvier 2007 à 9h58

Bus 85, terminus Luxembourg
Et je revois Notre Dame
Le Sacré-Cœur
Le jardin médiéval
La glace à la vanille
La statue de la Liberté
Le Hêtre
Un banc
Un autre Hêtre
Avec son banc pour les petits
Et un autre pour les grands
Un couscous
« C'est beau des amoureux »
Qu'il a dit le monsieur
Dans ma main
Un trésor
Une main
Mes doigts la tiennent
La tienne
La tienne
La tienne

Repos

6 janvier 2007 à 18h57

Nos deux corps sur le canapé;
Le mien épousant le tien, exactement.
Je puise à notre repos, une paix
qui m'invite au relâchement...
Ma tête posée à ton épaule, sa place.
Nos deux souffles qui s'enlacent.
Un profond bien-être m'envahit
Repousse mes limites, corps et âme à l'infini...

Menu

8 janvier 2007 à 15h02

Dîner de Gala

Champagne accompagné de ses amuse-bouches

Bouchées Gourmandes

Rond de Gîte bien Rouge

Méli-mélo de légumes d'Eté

Salade de Cresson et sa
Bûchette de chèvre

Fondue au chocolat à ma façon

Salade de fruit et sa Chantilly

Café et ses Mignardises Gourmandes

Désir

18 janvier 2007 à 15h03

Au plus proche de Toi
Que puissent tes bras m'enserrer
Au plus secret de Moi
Où tu veux pénétrer

Même si toujours plus près
Je t'enlace
Restera à jamais
Entre nous l' Espace

Et c'est là, je le pressens
Que se loge, justement
Nous faisant languir
L'infini du Désir

Ecoute

19 janvier 2007 à 8h30

>Allo?

>Oui, bonsoir!

>Ca va?

>Oui!

>Tu es sûre?

>Oui...

>J'entends bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas !

>...

>Qu'est-ce qui se passe?

>...

Et moi de fondre en larmes.

Non ça ne va pas...Une boule là, dans la gorge, qui m'étouffe...

<i>Comment fais-tu pour me deviner si bien...<b>UN</b> mot et tu sais comment je vais...</i>

Et tu m'as donné ton écoute, ta compréhension, ton temps, à l'infini...ton amour tellement palpable malgré la distance...

Je t'aime, N.

Ne pleure plus

19 janvier 2007 à 9h10

Ne pleure plus petite fille
Ne pleure plus…
Ce ne sont que des cauchemars
De tes rêves d'enfant.
Dans mes bras
Tu ne crains rien.
Je vais faire partir les méchants
Repose toi, je suis là
Pour toi
Pour t'offrir
Les joies, les sourires
Que tu mérites tant
Ne pleure plus petite fille
Ne pleure plus…

Sur ton épaule

29 janvier 2007 à 17h54

Je l'ai regardé sourire
Il m'a parlé de sa vie
Maintenant je peux m'endormir
Une nuit sur son épaule, une nuit sur son épaule

Je le veux calme et tranquille
Je le veux tout simplement
Je voudrais qu'il s'abandonne
Une nuit sur mon épaule, une nuit sur mon épaule

Je lui dédie mes sourires
Et même tous mes éclats de voix
Il me donne sans me le dire
La violence de son regard
Et voilà, tout simplement
Oh je l'aime

Mais quand je lui joue du piano
Ses cheveux caressent mon dos
Je lui donnerais ma musique
Une nuit sur son épaule, une nuit sur son épaule

Véronique Sanson

Narcisso

31 janvier 2007 à 7h47

6h33.
Pénombre.
Je mets l'eau à chauffer.
Allume le lecteur de CD.
Narcisso Yepes.
Sa guitare vient caresser le silence de la pièce, l'ennoblir...
Chaque note est une invitation à la paix. Une paix joyeuse.
L'eau est chaude.
Le thé sera bientôt prêt.

Assise à ma table, je hume les effluves délicats du Darjeeling, avant de faire glisser ce breuvage céleste le long de ma gorge.

J'ai remis l'eau à chauffer, pour ton café. Tu viens t'asseoir en face de moi, en silence. Juste un regard, et un sourire. Silence parce qu'il y a les notes de Yepes et que ça suffit. Sourire parce que nous les aimons tous les deux, ces notes. Sourire pour cette nuit de proximité. Sourire pour cette paisible journée qui commence à deux. Sourire parce que nous sommes bien ensemble.

J'ouvre les yeux.
Je range ma tasse.
Range mon sourire solitaire.
Eteins la musique.
Eteins mon songe.
Pars travailler.

Ta Voix

7 février 2007 à 16h44

Ce midi, en marchant dans les rues, j'avais ta voix qui résonnait dans ma tête, comme si tu avais été là, à me parler.
Je me suis senti envahi de bien-être, de joie et de bonheur !
Bercé par ta voix , je me suis senti bien, calme et serein.
Je goûtais ce moment magique, souriant.
Tu étais en moi.
Par ta voix si merveilleuse qu'elle me laisse sans voix…

Tranquille

9 février 2007 à 9h00

Dans quatre heures, mon train traversera la frontière.
Je serai installée confortablement, front à la fenêtre.
Et rêverai.
M'imaginerai ce soir.
M'imaginerai me poser dans tes bras.
Me déposer.
Envie de pause.
Me pauser chez toi.
Me pauser pour cinq jours.
Je te confie ce corps et cette âme.
Envie que tu en prennes soin.
Envie que tu les berces, les câlines, les rassures, les reposes.
Envie de me laisser respirer.
Envie d'être tranquille.
Dans ta ville, ton appartement, tes bras, tes mains, tes baisers, ton lit...

Cinq jours , cinq nuits.

9 février 2007 à 9h43

Cinq jours.
Cinq jours pour que tu sois ma Princesse, ma Fée, mon Ange.
Cinq jours pour te combler de rire, de sourire et d'envie.
Cinq jours pour t'apporter la chaleur d'un été, la douceur d'un printemps, et te réchauffer sous un soleil d'hiver.
Cinq jours pour te faire rêver, danser et chanter
Cinq jours pour sentir tes doigts dans ma main.

Cinq nuits.
Cinq nuits pour que tu sois mon Amante, ma Maîtresse, ma Passion.
Cinq nuits pour te combler de baisers, de caresses et d'étreintes.
Cinq nuits pour t'apporter une pluie d'orage, un vent du sud et te réchauffer sous une bise fraîche.
Cinq nuits pour te faire trembler , soupirer, et crier.
Cinq nuits pour sentir nos corps dans nos corps.

Cinq jours
Cinq nuits
L'éternité….

Pour un flirt

4 mars 2007 à 18h29

Hier soir, simplement devant la télé, avec mes filles.
Et puis cette chanson qui vient à moi, et mon sourire qui part vers Toi:

Pour un flirt avec toi
Je ferais n'importe quoi
Pour un flirt avec toi
Je serais prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

Je pourrais tout quitter
Quitte à faire démodé
Pour un flirt avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

Je ferais l'amoureux
Pour te câliner un peu
Pour un flirt avec toi
Je ferais des folies
Pour arriver dans ton lit
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

Michel Delpech 1971

Le temps

8 mars 2007 à 20h59

Patiemment, sans réfléchir,
Comme un océan à vider goutte après goutte ,
Comme une montagne à gravir, pas après pas,
Sans penser au millier de gestes à répéter ,
Je prends une à une chaque seconde qui me sépare de toi,
Ces secondes de ce temps qui ne passe pas,

J'en fait des paquets.
Des paquets de soixante que je lie en minutes.
Et des paquets de minutes que je regroupe en heures.
Et puis enfin ces heures assemblées en jours,
En journées sans ta peau.

Alors quelques fois, je m'arrête de compter.
Tant pis si je perds ces quelques secondes.
Et je contemple ce temps amassé,
Ce temps qui s'amasse sans cesse,
Le temps de ces attentes,
Qui grandit sans cesse,
Comme ta présence dans mes pensées.

Parfois , le temps est trop long,
Et je tape du pied,
En rythme,
Un, deux, trois,
Un, deux, trois,
C'est trop long
C'est trop long
Et boum ! trois secondes de passé.
Du passé dépassé.
Du passé à nous
A nous deux !

Parfois , je surfe sur le temps,
Mes pieds ne touche plus le présent,
Comme si je volais vers toi
Et je ris au vent de cette vague à l'âme.
Cette vague de Joie,
De plaisir promis
De rire
De tendresse

Voilà un peu de temps passé,
Qui me rapproche de Toi

Demain

21 mars 2007 à 22h02

Solitude.
Mes bras qui réclament ta chaleur, que je tente de calmer.
Mes mains, inutiles.
Les mots qui restent là, dans ma gorge, mais qui voudraient sortir pour te parler.

Demain.
Juste attendre demain.
Hiberner jusqu'à demain.
Retenir mes larmes et mes rires jusqu'au moment d'être avec Toi.

Je me sens vide et seul.
Vide et seul, sans Toi.

Triste.

Mais demain, je vivrai.
Je vivrai dans tes bras, dans ton regard, sous tes mains.
Demain, je vivrai grâce à Toi,
Mon Namour….

Des canards

10 avril 2007 à 20h17

Des enfants dans un parc,
Des toboggans,
Des balançoires.

Des amoureux,
Des jeunes, des vieux,
Des bientôt amoureux,
Une cascade dont on perçoit le chant, entre deux rires chinois.

Des canetons qui marchent sur l'eau,
Un lundi de Pâques,
Un nouveau miracle.

Le soleil est jaune,
C'est extraordinaire,
Le ciel est bleu,
C'est fantastique,
L'herbe est verte,
C'est incroyable,

Oui...
C'est incroyable,
C'est fantastique,
C'est extraordinaire...

Car sur l'herbe verte, sous ce soleil jaune et ce ciel bleu,
Tu es là,
Je suis là ,
Couché,
Tu es là,
Dans mes bras.

Où ?

11 mai 2007 à 21h07

Je te cherche…
Tes bras me manquent.
Ton cou pour y faire des bisous
Avec des « z » et des « x »
Ta bouche pour te regarder parler
Tes mains, tes doigts…
Trois soirs sans ta voix
Qui ne te remplace pas Toi.
Envie de te retrouver chaque jour.
Tu me manques Namour !

Je te cherche

Saint Jacques

11 juin 2007 à 20h59

Te rend-tu compte de ce que nous avons fait ?
Je ne parle pas ici de ces heures de marche : du Velay, de la Margeride, de l'Aubrac...merveilleux Aubrac.
Non, je réalise ces pas qui nous ont mené jusque là.
Ces années, nos vies.
Ces heures.
Jusqu'à nous rencontrer et partager.
Partager.... te rends-tu compte de ce mot, partager ?

Je t'aime Namour

C'est nous!

20 juillet 2007 à 10h39

Je te dédis cette chanson de Barbara, N....parce que c'est tellemnet nous!!!

A peine le jour s'est levé,
A peine la nuit va s'achever
Que déjà, ta main s'est glissée,
Légère, légère.
A peine sorti du sommeil,
A peine, à peine tu t'éveilles
Que déjà, tu cherches ma main
Que déjà, tu frôles mes reins.

L'aube blafarde, par la fenêtre,
L'aube blafarde, va disparaitre.
C'est beau : regarde par la fenêtre.
C'est beau : regarde le jour paraitre.

A chaque jour recommencé,
A se vouloir, à se garder,
A se perdre, à se déchirer,
A se battre, à se crucifier.
Passent les vents et les marées.
Mille fois perdus, déchirés,
Mille fois perdus, retrouvés,
Nous restons là, émerveillés.

Mon indocile, mon difficile
Et puis docile, mon si fragile,
Tu es la vague où je me noie,
Tu es ma force, tu es ma loi.

A peine le temps s'est posé,
Printemps, hiver, automne, été.
Tu t'en souviens ? C'était hier,
Printemps, été, automne, hiver.
A peine tu m'avais entrevue,
Déjà, tu m'avais reconnue.
A peine je t'avais souri
Que déjà, tu m'avais choisie.

Ton indocile, ta difficile
Et puis docile, ta si fragile,
Je suis la vague où tu te noies,
Je suis ta force, je suis ta loi.

Dans la chambre, s'est glissée l'ombre.
Je t'aperçois dans la pénombre.
Tu me regardes, tu me guettes.
Tu n'écoutais pas, je m'arrête.
Au loin, une porte qui claque.
Il pleut, j'aime le bruit des flaques.
Ailleurs, le monde vit, ailleurs
Et nous, nous vivons là, mon coeur
Et je m'enroule au creux de toi
Et tu t'enroules au creux de moi.

Le temps passe vite à s'aimer.
A peine l'avons-nous vu passer
Que déjà, la nuit s'est glissée,
Légère, si légère.
Ta bouche à mon cou, tu me mords.
Il fait nuit noire au dehors.
Ta bouche à mon cou, je m'endors.
Dans le sommeil, je t'aime encore.

A peine je suis endormie
Que déjà, tu t'endors aussi.
Ton corps, à mon corps, se fait lourd.
Bonsoir, bonne nuit, mon amour

Traces

1 octobre 2007 à 8h36

Ce journal manque de vie...
Pourtant la vie bouillonne entre nous....
Je vais essayer d'en laisser ici quelques traces...
Comme témoignage...
Parce que ce que nous vivons est beau...
Nous en avions parlé l'autre jour, dans la forêt.
Laisser des traces pour nous et pour d'autres...

Projet.

2 octobre 2007 à 11h00

Hier longue, très longue conversation au téléphone....
Ce téléphone bien sûr qui est l'unique moyen de nous réunir entre les moments où on peut l'être "en vrai"...
Mais combien de frustrations engendre-t-il!
Combien parfois, le combiné à l'oreille, je ressens le grand vide de la pièce qui m'entoure, et je cherche alors triste comprensation tes bras et ta chaleur dans ma mémoire...
Et combien de fois ces conversations de fil à fil ont engendré de tensions, d'incompréhensions...alors que la présence réelle auraient peut-être arrondi les angles...je dis peut-être, parce que je garde en souvenir ces échanges douloureux que nous avons parfois en face à face!

Hier, il était question de notre avenir commun avec ce projet qui mûrit doucement.
Ton écoute attentive et ta sensiblité ont mis en évidence ma difficulté de faire des choix!
Et mon manque de structure, ma tendance à l'égarement dans les multiples centres d'intérêt que je cultive.

Et je le sais, et tu me le pointes de tes remarques, je dois choisir...donc je dois renoncer...
Et assumer ensuite ce choix, sans regarder en arrière...
Je le sais...
Je le sais...

Et c'est la chose la plus difficile au monde à faire pour moi...
Déjà pour les petites choses...
Prendre un croissant ou un pain au chocolat?
Renoncer à l'un pour avoir l'autre! Un dilemme!
Alors pour des décisions qui englobent une espérance, un rêve "vital" vieux de quelques années!!!
Vital, je ne peux mieux dire, puisqu'y renoncer à un goût de petite mort...

Ton intransigeance m'est douloureuse et en même temps, je sens qu'elle peut me faire grandir...

Et puis ton amour ce matin, dans ce petit sms qui m'a fait venir les larmes...
Je sais combien il t'en a coûté d'heures blanches dans la nuit...
Quel plus beau témoignage d'amour que d'accepter pour l'autre ce qui blesse, ce qui est tellement douloureux?
Je ne saurais dire!

Je taime.

Meteo

3 octobre 2007 à 7h56

La semaine dernière, un matin froid...
J'écoutais la meteo:

Il va neiger sur le Mont Aigoual.

Et je nous imaginais, dans notre maison là-bas, plus tard...

Comme il ferait froid et neigeux, on resterait longtemps sous la couette. Lovés l'un à l'autre pour que le maximum de peau de l'un frôle le maximum de la peau de l'autre. En silence, on écouterait la neige tomber... J'aurais ma tête au creux de ton épaule. Nous passerions une partie de la journée au coin de la cheminée, lovés sur "la peau de bête". A l'écoute de nos corps, parfois tranquilles, parfois fièvreux...ayant faim d'un contact encore plus proche, encore plus tendre... Puis affrontant le froid du dehors, nous marcherions longtemps main dans la main... Pour se retrouver encore plus ravis devant l'âtre, chauffant nos doigts et joues rougies... Et terminer la journée ainsi enlacés...

Détente

5 octobre 2007 à 9h46

C'est de chez toi que j'écris ce matin.
En face de cette vue magnifique sur la forêt au loin. Le jour promet d'être beau...soleil et fraicheur automnale. Tout à l'heure j'irai au marché...
Nos retrouvailles hier furent intenses...
Toujours cette faim de nous, ce désir d'être au plus proche...
Faim de se voir, se toucher, s'écouter...d'être ensemble tout simplement.
Et la détente.
En ta présence enfin je peux me laisser être totalement...
Depuis toujours la proximité avec quelqu'un était synonyme d'appréhensions ou de contraintes...
Je n'en ressens aucune trace avec toi et je m'en émerveille à chaque fois...

Quatremains

5 octobre 2007 à 9h52

Le titre de ce journal ne reflète plus sa réalité puisque tu n'y écris plus...
Ton emploi du temps ne te le permets pas!
Cela me manque de te lire N.!
Cela me manque de découvrir, de déguster tes mots, sourire aux lèvres, coeur palpitant...

Quatre Mains

9 octobre 2007 à 20h28

Mes deux mains te manquent sur le clavier?
Je leur est parlé ce soir, pour qu'elles viennent un instant , nous rappeler hier.

Mais, elles , aujourd'hui, ne pensent qu'à toi. Elles ne me parlent que de toi.
Combien ta peau leur manque.
Combien elles aiment
A parcourir ton corps.

AZERTY
Où es-tu moN'Amour?
UIOP
Viens nourrir mes mains
QSDFGH
De tes frissons
JKLM
Sous leurs papouilles,
Sous leurs chatouilles,
WXCVBN
Sous le désir qu'elles te portent.

1234567890...fois !
Chaque jour
L'envie de te prendre dans mes bras.