Un jeune, apparement, normal...

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 12/12/2016.

Sommaire

1- Présentation assez confuse...

22 mai 2009 à 16h41

__Un entrée en matière fracassante me dira-t-on... Pourquoi un journal intime? Pourquoi un journal sur le web? Pourquoi pas un vieux cahier poussiéreux caché au fin fond de mon armoire ? Même moi je n'en sais rien, sûrement le plaisir d'allier la nouveauté avec le ton ancien que donne le traditionnel journal intime. Une envie d'écrire qui me trotté dans la tête depuis longtemps déjà, une envie d'expulser par l'écriture tout ce que j'ai sur le coeur. J'aurai aimé vous faire une description physique avec traits de caractère les plus affirmés de ma personne... Décidément cette page sera résolument égocentrique. Tampi, j'ai horreur de ça, mais il me faut bien passer par là... Il faut bien que je me présente un temps soi peu. Personnalité assez complexe, incomprise, et/ou incohérente. J'avance à tâtons dans les méandres de la vie, paranoïaque ou extrêmement lucide malgré mon jeune âge, j'ai une vision assez pessimiste des choses. Je suis rempli de névroses en tout genre et de peur tout aussi fondées et infondées, incompris du reste de " ma planète" je n'ose leur parler de mes nombres tourments qui me hantent jours et nuits depuis des années. Certains pourront apparenter cela aux chichis d'un enfant gâté, ou encore à une " crise d'adolescence" mais non... Une crise qui dure depuis 6 ans je n'en ai encore jamais entendu parler, en apparence, personne, ou très peu, voient ce qu'il se passe de l'autre côté de mes yeux.
Je ne suis pas là pour vous raconter ma vie, vous dire ce que j'ai mangé ce matin et ce que j'ai bu le soir. Je ne suis pas là pour déblatérer sur le dos des gens, je ne suis pas là pour que l'on s'apitoie sur moi...
J'ai décidé de faire de l'écriture ma psychothérapie d'exorciser mes angoisses, et enfin de les mettres par écrit, j'aimerai que chaque mot que je dépose soit une chose en moins sur mon coeur. J'aimerai me mêler à la niaiserie ambiante des gens que je côtoie pour pouvoir moi aussi...Vivre dans un monde meilleur.__

2- Une histoire banale....

22 mai 2009 à 17h13

J'aimerai réussir à mettre des mots sur une chose, une chose indescriptible, la sensation qui nous envahis lorsqu'on sens qu'une personne nous échappe, cette affreuse sensation de solitude qui plane en nous... Cette affreuse boule au ventre, qui vous noue l'estomac et vous empêche de vous concentrer sur autre chose que cette personne... Cette personne, avec qui vous avez mal joué, que vous avez plus ou moins malmené, ce qui dans le fond, traduisait une certaine pudeur envers elle... Cette personne que vous avez fais espérer, avec qui vous vous êtes amusé, cet être humain que vous avez fais souffrir par votre indécision, par votre manque de tact, par tout simplement... votre manque de confiance en vous. Cette personne qui maintenant s'est éloignée de vous, vous laissant seul avec vos tourments, cette personne qui veut dorénavant tourner la page sur une histoire avortée, sur tout ce qui est pour elle " un mauvais souvenir ". Et vous, vous êtes pris dans la spirale infernale de vos sentiments et désirs refoulés, dans l'affreuse envie irrésistible de la prendre dans vos bras et lui dire à quel point vous tenez à elle... Vous avez tout détruit et vous essayez tant bien que mal de recoller les morceaux, en vain... Vous assistez impuissant au spectacle ou cette personne s'envole vers d'autres lieux, vous laissant, vous, sur le bas-côté, vous regrettez, vous avez envie de pleurer et vous ne faites qu'espérer qu'un jour, tout redeviendra comme avant...
Cette histoire, banale en somme, est tout simplement la mienne... A suivre...

3- Perdu d'avance ?

23 mai 2009 à 12h03

Je l'ai vu, il était là, droit, immobile, il a capté mon regard, j'ai capté le sien, j'ai baissé le mien, par lâcheté, une fois de plus... Il m'a fais signe de venir le voir, j'y suis allé, je ne trouvais pas mes mots, je ne savais pas quoi dire, tout avait laissé place à un immense vide, à une immense douleur, la douleur de le sentir loin de moi, loin de ma vie, et le sentiment de le sentir encore plus s'éloigner plus les secondes passent. Combien de temps à t'on passé là, face à face, sans rien se dire? Je n'en sais rien, c'est comme si le temps s'était arrêté, d'ailleurs, je crois qu'il s'est vraiment arrêté... Comment s'échanger quelques mots dans cette sordide boite de nuit, arpenter par de sordides gens ? La musique couvrait tout, les gens nous bousculaient... J'avais mal, et j'ai toujours mal, je n'ai rien avalé depuis 48h, j'ai l'estomac noué, une boule dans la gorge... La nouvelle est tombée, je l'ai trop fais souffrir, il a de l'attachement pour quelqu'un d'autre, une personne " normale ", en somme, on ne peut pas lui reprocher, on ne peut pas lui reprocher de ne pas m'avoir attendu, de ne pas avoir compris toutes mes angoisses, de ne pas avoir compris tout ça... Mes peurs ont pris le dessus, comme d'habitude, elles dictent ma vie, me font rater de belles occasions... Je commence à avoir l'habitude. Cette nouvelle à eu une onde de choc inestimable, la personne en question se trouvant elle aussi dans le même lieu et étant normalement... " Mon ami". Trahis, blessé, dégoûté, écoeuré ne sont pas des mots assez fort pour exprimer tout ce que je peux ressentir... Il aurait cependant était touché par ma tristesse, ne supportant pas cela, il aurait quitté les lieux, me laissant seul dans cet endroit. Je suis parti quelque temps après, tentant le tout pour le tout, je l'ai appelé une fois, deux fois, en vain... pas de réponse, mes larmes se faisant de plus en plus intense, je me suis arrêté sur le bas côté pour lui écrire par sms ce que j'avais sur le coeur... Maintenant j'arrête, " la balle est dans son camp" comme on dit...Sur le chemin du retour, malgré tout cet engouement pour lui, je me suis rendu compte d'une chose toute simple mais non négligeable : " La Terre, continue tout de même de tourner... ".
Affaire à suivre demain...

4- Victoire, ou chute qui s'annonce encore pire ?

24 mai 2009 à 16h44

Moi qui voulait écrire mes pensées, des choses tout sauf banale, je me retrouve pris dans mon propre piège, dans la torpeur de mes sentiments. L'amour, cet amour que j'ai toujours rejetté depuis ma première expérience qui s'est mal fini... cinq kilos en moins en 3 jours, c'est une bonne moyenne, je ne dors presque plus, ne mange presque plus, je suis là, à attendre inlassablement que mon portable se mette à vibrer... Hier soir je l'ai vu, une fois de plus, dans ce sordide endroit, remplis de strass et de paillettes mais arpenté par de belles brebis galeuses. Je le sentais, proche de moi, il essayait de capter mon regard , je détournais le mien, cela étant trop dur, il était avec la personne qu'il a choisit pour essayer de m'oublier... Sauf que je voyais sur son visage que tout ne se passait pas comme prévu, l'inquiétude l'avait gagné, son regard était fuyant, sa démarche non chalante, et son sourire faux... Au cour de cette abominable soirée j'ai reçu un sms de sa part : " C'est dur...", j'ai renchéri, répondu, lui ai dit que je l'attendais, et l'attendrai, encore et encore...Une question en guise de réponse : " Malgrè tout ce que j'ai fais...? ". Jouant le niais je lui ai poliement demandé ce qu'il avait fais...Il m'expliquera plus tard, c'est soit disant trop long. Et effectivement, des choses il en aura à m'en raconter, sachant déjà tout...
Je ne voulais plus jamais tomber amoureux, trouvant cela vraiment trop affreux, les sentiments pour quelqu'un sont quelque chose de tellement épouvantable, la dépendance psychologique à quelqu'un entraînant des maux physique, rien de plus angoissant... Rien de plus angoissant qu'un monde qui s'arrête de tourner, quand bien même on se dit l'inverse, à l'idée qu'une seule personne puisse ne plus faire parti de notre vie. J'ai mal, tellement mal, je n'ai même pas de mots pour expliquer un tel ressentiment. Je suis donc de nouveau plongé dans tout ce que je redoutais, dans tout ce que je ne voulais pas... Mes amis me disent paranoïaque, qu'il va revenir, que tout ce qu'il m'a dit hier est positif, mais j'ai peur, j'analyse le moindre de ses mots, le moindre de ses verbes conjugués au futur ou au présent et en tire des conclusions hâtives, j'attend désespérement un signe de sa part, j'attend, je ne fais que ça, je souffre en silence, je pleure en silence, je suis meutris au plus profond de mon âme, j'en ai marre, je le veut tout simplement...

5- Nouvelle vie?

26 mai 2009 à 23h51

Il est revenu, il est là, près de moi, mon mal-être s'est estompé, mon noeud à l'estomac s'est dénoué, mon coeur est apaisé, mon cerveau est moins surchauffé. Depuis 48h je revis mon comte de fées, non sans peine... La personne avec qui il a passé le week-end ne cessant de le harceller, cependant l'ayant trahis il n'a plus envie de retourner vers elle. Mais je vis dans l'angoisse permanente d'un nouveau départ, s'étant passé une fois, pourquoi pas une deuxième? Il dit que je suis fou, qu'il n'a aimé et n'aime que moi, que c'était un égarrement, une erreur, un mauvais moment... Après tout, il arrive à tout le monde de faire des erreurs?
Mon cher journal, je sais que je me répète sans cesse, que j'emploie toujours les mêmes effets de style, que j'emploie les mêmes mots, mais qu'importe...
Je crois que je tombe réellement amoureux, je me réveille en pensant à lui, je me couche en pensant à lui, je vis en pensant à lui, ne souhaitant plus jamais revivre une chose pareille, et même si parfois mon cerveau se pose la question de la nature de mes sentiments, mon corps se charge de la réponse, comment expliquer qu'une personne face autant de dégats ou autant de bonheur sur mon être, qu'une absence est ressentit comme un membre en moins? Qu'une parole positive est perçu comme une vague d'air pur? Comment appeller ça sinon de l'amour ?
Je jubile, remange, ai le sourire, bref... Je vis !

6- N'importe quoi

29 mai 2009 à 15h14

J'ai envie d'écrire, je ne sais même pas quoi écrire, donc j'écris, tout ce qui me passe par la tête, sans raisonement, sans discernement, sans aucun scrupule, aucune morale, aucune humanité, j'ai envie d'hurler à la face du monde à quel point il me dégoûte, à quel point jai envie de disparaître, à quel point j'en ai marre. Je ne comprendrai jamais LES GENS, ces êtres qui peuplent ma vie, ces êtres dont je fais partis, ces êtres dont je dois tout, mon bonheur, mon malheur, mon amertume, mon malaise, ma joie, ma vie ! J'ai envie de me cacher, de m'enfoncer, de partir ! Mais ce ne serait que lâcheté, mon cerveau n'est pas fait comme ça, mon cerveau est patient, et réfléchi, au désespoir de certains, j'ai envie de tout lâcher, de tout abandonner, mais je ne peux pas, je n'y arrive pas, je me fais mal, mais je me dois de rester, de continuer ce que j'ai commencé, comment passer outre des gens qui écrasent tout sur leur passage? Comment vivre décemment dans un monde ou les gens bafouent délibérémment des valeurs universelles: l'amour, l'amitié, la confiance, la passion ! Comment vivre dans ce monde là, sans foi, ni loi, ces gens près à écraser quiconque pour parvenir à leur plus tendres espérances ? Comment faire confiance à des gens qui ne cessent de nous trahir? Comment avoir envie de continuer dans un monde ou on doit se mefier de TOUT? Comment? J'aimerai avoir la réponse, je crois que j'ouvre les yeux, sur la vie, je ne la trouve pas faîte pour moi, je suis trop sensible, un rien me percute, j'en ai marre ... J'ai encore envie d'écrire, ma haine est immense, mon coeur à besoin de parler, de se vider, de se confier, de dégueuler, je ne trouve pas mes mots, je ne sais pas comment décrire tout ce que je ressens, un mélange de peur, de regrets, de haine... et de bonheur.

7- Oui et Non.

1 juin 2009 à 12h53

Allons-y, let's go, c'est parti pour une immense série de plainte, aussi lassante les unes que les autres, c'est partie pour une longue lithanie dont tout le monde se fou éperduemment, même moi. Je me fatigue de mes contradictions répétées, mes sautes d'humeurs sont de plus en plus horrible,je n'apprécie rien, ai envie de rien, me fou de tout. Hier était un évènement important pourtant, un jour particulier, qu'on ne revit pas une seconde fois, et pourtant... j'avais qu'une envie c'était de partir, tout ça, mêler à ma culpabilité latente, et ça donne ma magnifique humeur, légendairement connu pour ses frasques habituelles et imprévisibles !
Aujourd'hui je suis content, je suis de bonne humeur, allez savoir pourquoi...! Même moi je ne le sais pas, et je crois que je n'ai pas envie de le savoir, par moment j'aimerai remonter le temps à il y a tout juste une petite année ! Histoire de redécouvrir ce que c'est les joies d'une tête sur les épaules, les discours nihilistes, et les idées à côté de la plaque... Cette douce illusion dans laquelle j'étais plongé...
Pourtant aujourd'hui, j'ai tout pour être heureux, un amour, un chien, une nouvelle voiture, de l'argent,des études en route... et je m'en fou ! J'ai envie d'autre chose, j'aimerai vous dire quoi... Mais je ne le sais pas moi non plus !
En fait, je ne raconte pas ma vie comme j'avais prévue , je suis plutôt content de moi... Ce qui change de d'habitude.
Ah Oui !
Bonne nuit.

8- Stupeur

26 juin 2009 à 0h50

Comment vivre quand tout est stupeur ? Comment vivre avec cette boule au ventre, cette peur que l'être aimé vous quitte?
Pourtant... Je le sais, il le dit, je suis en photo dans son agenda, sur son portable, sur son bureau... Il passe son temps libre auprès de moi, m'appelle, m'écrit de si beau textos... Il voit loin avec moi, fais des projets, me dit qu'il n'a jamais été autant amoureux de quelqu'un...Et pourtant je doute, sans cesse, l'épreuve que nous avons traversé ne m'a pas laisser indemne.. j'en suis marqué au fer rouge, d'un rouge vif, étincellant, saignant, une plaie ouverte qui ne veut pas cicatriser, ou alors très doucement... Il lui parle encore, je le sais, mais je sais aussi que " lui " sait qu'il m'aime... Comment interprêter tout cela ? Serait-ce de la pitié ? Un besoin d'aider une personne en difficulté ? Comment réussir à passer outre? Pourquoi n'arrivais-je pas encore à lui faire confiance ? Je me torture, je réfléchis, je " cogite " comme on dit... Je pense sans cesse, son visage, ses mains, sa peau, ses lèvres, ses lèvres que je connais par coeur, son visage que je dessine du bout de mes doigts, sa peau si douce et sûcrée que je ne peux m'empêcher de frôler, d'embrasser, ses cheveux que je ne peux m'empêcher de toucher... Le corps à corps, sentir la chaleur qui émane de son être...Ces pensées qui ne me quittent pas, sa personne qui hante la mienne, mon amour pour lui qui ne cesse de grandir. J'aimerai quelque fois que ce sentiment si doux et fort à la fois me quitte un instant, pour retrouver les joies d'une vie sans les dépends de quelqu'un...Mais je n'y arrive pas, ou peut être que je ne m'y autorise pas. Plus je le vois, mieux je me porte, jusqu'au moment des aurevoirs... C'est la déchirure, une partie de moi s'en va.
Je me trouve affreusement niais, je suis tout ce que je me refusais à être, je m'étais juré de ne plus me laisser prendre à ce délicieux et destructeur jeu de l'amour... Mais comme dit l'adage populaire " Il ne faut jamais dire jamais...". Je me suis laissé " piéger ", je ne vois que lui, ne pense qu'à lui, ne vibre que pour lui... J'aimerai tout partager avec lui...
J'aimerai l'avoir entièrement à moi...

9- Déposséder

13 juillet 2009 à 15h23

Comment faire lorsque l'on se sent déposséder de sa personne ? Comment faire la part des choses? Comment rester soi en toutes circonstances ?
Pourquoi est ce qu'aimer quelqu'un c'est aussi s'abandonner ?
Je le vis mal, c'est assez bizarre comme sensation, un immense bonheur proportionnel à mon mal-être de me sentir prisonier de quelqu'un...
J'ai peur, peur qu'on me laisse seul avec mes sentiments, avec mes tourments amoureux, peur de perdre celui pour qui j'éprouve tout cela.
Chaque chose qui émane de sa personne me percute au plus haut point... J'ai peur de faire un faux pas, de ne pas assez en faire, de trop en faire...
Je ne me reconnais plus, je ne suis pas comme ça, ou est ma personalité d'antan? Ma joie de vivre ? Mes idéaux en décallage avec la réalité ?
J'aimerai être comme lui... Ne pas me prendre la tête, restez zen, ne pas paniquer pour un rien, mais je crois que c'est impossible. Ce décallage me fait mal aussi, je me sens plus amoureux que lui, et ça aussi, ça me fait mal. En y réfléchissant j'ai l'impression d'avoir tout le temps mal, pour un oui et pour un non, et souvent pour rien.

10- Immersion

13 juillet 2009 à 15h28

Je ne peux pas être mieux placé que maintenant, dans sa chambre, lui face à moi ne se doutant pas une seule seconde de ce que je suis en train de faire... pensant que je retouche de malheureuse photos mais étant en fait en train de me morfondre, comme j'ai l'habitude de faire.
Pourquoi jeme morfond cette fois-ci? Pour une vulgaire histoire de défilé, de regard mal placé, et d'humeur mal géré... Un jour ça me passera, je le sais, il faut que j'attende, encore et encore... et encore.
Je passe donc ma vie à attendre... La patience est soit disant une vertu, et je vais finir par croire que oui, car il est vrai que la patience, dans mon cas a toujours fini par payer.
En ce moment je me fais abusé, je suis le seul à avoir le permis, et je promène " tout le monde " au dépend de ma personne qui en a ras le bol de tout ça. Aujourd'hui, j'arrive à saturation avec ce soir comme goutte d'eau qui fera déborder le vase... Jusqu'à la prochaine fois me diront mes plus proches amis...
C'est décidé, à partir de demain, j'arrête tout... Mais j'ai mal au coeur, quand est ce que je le verrai si je ne fais plus tout ces trajets ? Je dois être débile, il a qu'a se débrouiller un peu lui aussi...