I have a new dream

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Margaux et Célia : Notre journal à deux.

23 janvier 2013 à 16h31

Nous n'étions pas destinées à être sœurs. Rien ne nous reliées, aucun lien de sang, aucune familiarité. Seuls nous rassemblées notre destin. Deux filles dans le même collège, dans la même classe. Seulement deux camarades qui, elles ne le savaient pas, allaient bientôt avoir leurs vies chamboulées par un terrible secret.

Elles sont ce qu'on appelle des rêveuses, des filles au-delà de la réalité, qui vivent dans un autre monde où tout (TOUT !) est possible, un monde imaginaire où elles peuvent vivre comme elles le souhaitent.

Margaux est une jeune fille pleine d'énergies et de fantaisies. Mais ne vous fiez pas aux apparences dans ce monde imaginaire elle est tellement imprévisible, que même ses allies ne peuvent pas s'attendre à ses intensions. Elle fait ce qui lui passe par la tête, sans jamais réfléchir aux conséquences, ce qui peut un jour l'amener à sa perte. Mais, insouciante de tout cela, Margaux ne se laissent pas faire, et pour rattraper toutes ses erreurs et faiblesses d'autres fois, elle se défendra elle et tout ce qu'elle aime jusqu'au bout. Elle n'a aucune limites.

Célia quant à elle est une fille d'apparence jovials, innocente, inoffensive, incapable de tuer. Mais dans ce monde imaginaire c'est une véritable pin-up gothique ! Ne vous laisser pas hypnotiser par son décolleter et ses bas-résilles : ils sont truffés d'armes ! Deux dagues dans ses jarretières, un flingue dans chacune de ses bottes victoriennes, un arc à la main ( pour faire ressortir son côté elfique) et son carquois dans le dos. C'est une tueuse de sang froid ! Sa spécialitée : la torture ! Tel les Amazones ou les Mord-Sith.

Célia: La louve et ses petits.

24 janvier 2013 à 18h05

Je me trouvai dans ma classe d'histoire- géo. Le cour toujours aussi barbant ne m’intéressait pas le moins du monde. L'air ambiant était lourd, irrespirable, étourdissant. Considérant ma classe je remarquai, chose singulière, qu'une louve se tenait assise à ma droite, mais cela ne sembla pas m'alerter; je ressentais pour cette louve comme une amitié particulière, je sentais comme un lien entre elle et moi comme nous étions de vieilles amies. Le temps sembla se figer. Détournant mes yeux de cette déesse animal, je remarquai que deux enfants se tenaient à la porte. Ni mon professeur, ni mes camarades ne semblèrent les avoir vus. Ils étaient tout deux bruns, semblaient n'avoir pas plus de 3 ans et avaient à leurs pieds 6 petits louveteaux, gris, assis tels des statues. Comme pour me narguer, les petits me lancèrent:

''Attrape-nous si tu peux."

Les louveteaux partirent aux galop, les deux enfants derrière eux. Je me levais de suite, la louve aussi, il semblait que nous étions synchronisées mais personne or mis moi ne semblait l'avoir remarqué; en faite, personne n'avait rien vu, il semblait que nous étions invisibles. Je me mis à courir, elle aussi, je dévalais les escaliers, et elle, elle faisait de même.
Je vis l'objet de notre course dans la cour, mais un brouillard m'empêchait de mieux les voir et je ne distinguais que de vagues formes. En m'approchant je vis qu'une entité vêtue tout de noir, tenant une faux se tenait derrière eux. Mon instinct me dictée de les sauver. Je sortit une flèche de mon carquois pendant que la louve à mon côté toutes dents dehors se préparait à bondir sur notre ennemis. Ma flèche n'atteint jamais sa cible car cette dernière se vaporisa en même temps que les petits. Une profonde tristesse me submergea. C'était fini et nous le savions, notre raison et notre logique nous disait qu'il n'y avait plus aucun espoir mais les écouter aurait été une erreur. Je lançai à mon amie:

''N'ai crainte nous les retrouverons"

Retrouver qui ?? Qui sont ces petits ?? Pourquoi tant de tristesse ?? Je croit que je n'aurais jamais de réponses car c'est ce moment là que mon réveille choisit pour sonner. Un nouveau jour débuté et je savais d'avance que je ne le supporterais pas.