Le journal de mon âme

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 09/10/2018.

Sommaire

Présentation ;-)

27 décembre 2004 à 11h21

Comme tout bon début de journal, une présentation s'impose….
Donc je commence.
Je m'appelle Salomé, mon pseudo est en fait mon nom de famille, mais aussi un prénom dont je me sers parfois.
Je suis donc née à Lille pour certains le Grand Nord ;-) dans une famille ce qui a plus de banale : mon père, ma mère, mon grand frère Stéphane, mon petit frère Frédérick.
Sauf que ……et voilà pourquoi je voulais créer ce journal , tout aurait pu se passer autrement et c'est ce que j'ai envie de vous faire partager .
Je commencerais déjà par vous dresser la composition de ce qu'a été ma famille.
Mon père un juif tunisien avec comme éducation l'étude de la Cabale, ma mère française et mes deux frères, deux enfants surdoués mon grand frère à 15 ans parler 7 langues couramment , mon petit frère n'avait pas besoin d'apprendre ses leçons, il lui suffisait d'écouter il avait passer 2 classes déjà et moi tout ce qui a de banal, mais adorée et chouchoutée par mon père qui me disait souvent et trop souvent, «  tu n'es pas surdouée mais tu sera pour moi un être exceptionnel et je t'apprendrais à l'être , tu écouteras mes histoires de la Cabale que je ne raconterais qu'à toi, et tu verras tu sera encore plus exceptionnelle que tes deux frères.
C'est vrai, j'ai fait mon apprentissage de la « kabbale » grâce à mon père, mais vous comprendrez en suivant ce journal pourquoi «  je ne suis pas exceptionnelle » .
A bientôt
Salomé

Le début de la fin

28 décembre 2004 à 9h49

En réalité, je ne sais comment narrer mon journal, je me dis que j'ai très envie de vous raconter mon histoire, mais comment le faire sans commencer par la fin de cette histoire…. ?
J'ai envie de vous parler de moi, de ce que j'étais avant mais ça risque peut être de vous lasser, mais en même temps ce journal est pour moi, vous vous n'êtes que des lecteurs , je désire que ce journal soit une libération pour moi, et pour vous une expérience vécue, une réflexion, en fait j'en sais rien ……
Alors tant pis je commence par la fin .
Mon histoire se termine lorsque j'ai 17 ans, quand les gendarmes sonnent à ma porte très tard le soir.
Quand ils disent à moi et mon petit frère, vous venez avec nous, vos parents ont eu un accident de voiture… «  mes parents oui !!! mon grand frère ???, son meilleur ami ( qui est également mon premier amoureux) ???heu ils n'en parlent pas .
Que s'est il passé, ils étaient tous parti en Belgique pour la remise des diplômes ils devaient rentrés tard, je le savais, mais ils ne rentreront jamais.
A la sortie de l'autoroute sur la bretelle, un camion venant en sens inverse les percute , la BMW de mon père est passée dessous et a prit feu……. Ils sont tous morts !!!!!
J'avais 17 ans mon petit frère 15 on a du grandir , vivre, mais je ne sais toujours pas comment j'ai fait pour être encore là aujourd'hui !!!
Mais je sais aujourd'hui, que j'ai besoin de raconter , comment était ma vie avant, parce que c'est cette vie là, mes souvenirs, l'éducation que j'ai eu, les conseils de mon père, ses histoires, la force qu'il m'a donné qui fait ce que je suis maintenant .

Petit ange ;-)

29 décembre 2004 à 9h45

Vous ne me voyez pas a travers les écrits, mais on me dit souvent «  tu as un visage d'Ange », pourtant voici une liste prouvant que j'étais une «  sale gamine » ……
Le premier souvenir : moi dans le jardin de mon grand père attrapant des vers de terre, pour fabriquer ensuite des piéges pour les oiseaux : une ficelle, un bâton, un ver de terre, un couvercle de poubelle et beaucoup de patience et l'oiseau est prit au piége.
Ensuite dans la cour de la maternelle, j'étais toujours avec les garçons, peut être parce que j'ai été élevée avec deux mecs, j'ai jamais eu trop de «  copines » et on s'amusait a attraper les filles pour leur baisser leur culottes ….
Dans les toilettes je me souviens aussi courir après les garçons les + timides autour des lavabos pour les embrasser sur la bouche ……. ;-)
Encore…….. Moi et mon p'tit frére ont étaler de la margarine sur le sol de la cuisine et on se déshabiller pour faire des glissades sur le sol….Ou alors de ma chambre en ouvrant la fenêtre on glissait le long de la verrière et on remontait avec mes draps …..
Un jour j'ai placé une vieille chaise de classe à la place de celle mon instit , un pied en fer était prêt a casser, ça n'a pas manqué , il s'est cassé la figure sur l'estrade résultat à cause de moi il s'est cassé le coccyx ,pendant des semaines il n'a pu dormir allongé tellement la douleur était forte, mais je vous rassure je me suis dénoncée.
Alors « Ange » ou «  démon » allez savoir…… ;-)

Je n'en peux plus d'amour.

7 janvier 2005 à 19h12

Par le cri de Satan et l'ombre de sa nuit.
Par la terre qui meurt et mon corps mutilé.
Par la fleur éclose et le sein déchiré.
Par l'orgueil des puissants et le chant des pauvres.
Par le néant des mondes et par le verbe aimer.
Par l'épée du bourreau et par le cou qu'il tranche.
Par les forces ennemies qui déchirent les cieux.
Par la vie et la mort, le bien et le mal.
Par la lumière et les ténèbres, le faux et le vrai.
Par la servitude et la liberté, la guerre et la paix.
Par la joie, l'angoisse, le réel, l'illusoire.
Par l'être et le néant, par le ciel et l'enfer.
Par mes déchirures, par ma sainte mort en toi,
coeur triomphant de l'unique.

Je n'en peux plus, je n'en peux plus, je n'en peux plus d'amour ............

Cantique des cantiques " André Chouraqui".

Qu'est donc ton amour ? Es-tu certain qu'il s'agisse vraiment d'amour ?

14 janvier 2005 à 16h10

Avoir quelqu'un auprès de soi ?
Etre admiré ?
Ecouté ?
Vanté ?
Défendu ?
Avoir quelqu'un dans le lit ?
Avoir quelqu'un à qui penser ?
Pouvoir soutenir la comparaison avec d'autres couples ?
Pouvoir caresser, être caressé ?
Connaître le plaisir de faire certaines choses à deux ?
Approximations de l'amour, qui en sont les condiments, mais non la substance…
Avoir la chance de vivre avec un être unique ?
Irremplaçable ?
Etre toujours d'accord avec lui, et jamais ?
Connaître l'opposition résolue, qui est connivence ?
Exister pour quelqu'un ?
Avoir sa vie remplie par une personne ?
Pourvoir parler du plus intime ?
Etre conseillé, démenti, réfuté, approuvé ?
Se sentir morcelé et disloqué sans cette personne ?
Goûter beauté, charme, présence, humour ?
Avoir la joie de rire ?
Accueillir ces rires splendides ?
Quand donner et recevoir sont une seule et même chose ?
Quand toutes les autres relations ne sont que des approximations ?
Quand les paroles ne s'adressent qu'à un seul être ?

Acte I

17 janvier 2005 à 10h29

Il s'appelait Thierry,

J'avais 14 ans il en avait 19….C'était le meilleur ami et ami d'enfance de mon grand frère.
C'était très fréquent qu'ils dorment chez l'un ou chez l'autre mais plus souvent chez nous.
Et souvent il venait me rejoindre dans ma chambre, dans mon lit. Personne ne savait, mon grand frère se doutait mais jamais il n'y faisait allusion.
A l'âge ou la plupart des adolescents apprennent à découvrir leur corps, les premières caresses, moi c'est lui qui m'a tout appris, et a découvrir aussi le corps d'un homme. Et toute ces choses que l'on puisse faire dans ces moments si intense, si tendre……
Je ne savais pas ce qu'était le sentiment d'amour avec lui, car ça me semblait si évident finalement , quand on aime quelqu'un, ses absences vous manque,moi il était toujours là, l'envie de tendresse, de calins, il suffisait d'un regard pour qu'il comprenne, avoir l'envie de faire des choses ensemble, je l'ai faisait, il était très souvent avec moi par le biais de mon grand frère, mais il était là …..Je tannais mon grand frère pour qu'il m'emmène partout ou ils allaient et Thierry était bien entendu mon allié .
C'est seulement quand je l'ai perdu que j'ai découvert ce qu'était vraiment l'amour, quand il n'était plus là , le jour ou je les ai tous perdu.
Il me disait souvent «  dépêche toi de grandir » et bien voilà à 17 ans j'ai du grandir et plus vite que les filles de cet âge là, mais il n'était plus là.
Et je sais maintenant ce qu'aimer représente et veux dire.
Qu'il s'agisse d'amitié, de sentiment amoureux, de passion, aimer pour moi c'est une raison suffisante pour vivre.

NOUS

31 janvier 2005 à 12h45

Je ne suis que ce chant que tu mets en mes lévres.
Je suis à toi : à toi mes bras, à toi mes jambes, à toi mes mains, à toi mon ventre, à toi mes reins, à toi mes seins, à toi ma bouche, à toi mes lévres, à toi ma langue, à toi mes yeux, et mes regards, et ma parole, à toi mon coeur, et mon vouloir et mon savoir, à toi ma colére, ma jalousie, ma douceur est à toi, à toi mes élans, mes refus, tout est à toi et rien en moi qui ne soit tien.
Je ne suis que la joie que tu mets dans mon coeur: Je t'ai donné mon âme, ma foi, ma parole, mon espoir, ma volonté.
Amour, ayant tout reçu de toi, je t'ai tout remis, et suis sorti de moi, pour me livrer à toi.
Mon regard en tes mots, comtemple l'acte pur de l'Amour
Mes yeux en tes yeux au délà de la nuit la lumiére qui chante l'aurore aux esprits.
Mon coeur t' as reconnu.
Mon regard t'a vu, dans la main qui donne, dans l'amour qui veut, le coeur renoncé, dans le corps qui vibre, au baiser secret,dans le oui donné de l'éternité, au sang de tes lévres.

Je te veux pour la vie, pour faire de toi et moi " NOUS " je t'aime à l'infini........

Un autre univers

6 février 2005 à 22h46

Dans les choses simples, j' ajoute toujours ce soupçon de gravité à croire que j'ai peur de me lâcher entièrement. je crains sans cesse le retour du bâton. Pour moi, c'est donnant-donnant. Je croit naïvement qu'on a tous un quota équitable de bonheur et de soucis. Une jolie balance de la vie ajustée au milligramme près.
Alors quand j' ai le droit de goûter un peu de ce bonheur, j' y met tout juste les lèvres pour en savourer les arômes enivrants mais crains d'y plonger de peur de découvrir un fond noirâtre non perceptible à vue d'œil. Je me tiens alors sur le rebord y plongeant tendrement la main, y décrivant de larges cercles qui me laisse rêveuse. Parfois, je semble y déceler une tâche un peu plus sombre et m'en écarte effrayée.
Je m'interroge sur mes réactions un peu étranges. Peut-être quand j' ai découvert bien trop tôt le monde des adultes qui sont en fait des enfants avec de longues jambes et la connaissance de quelques mots trop longs mais qui ne sont pas bien différents en fait.
Peut-être aussi quand je voyais tous ces gens malheureux autour de moi. La vie est faite de larmes et de soucis. Bien souvent on me disait que la vie n'était pas facile, que je ne pouvait comprendre, j'avais mes soucis de fillette.
J'ai acquis aujourd'hui une grande capacité d'écoute et de compréhension de l'autre. Je pardonne tout le temps les défaillances d'autrui leur trouvant mille excuses et me répétant que mes soucis ne sont rien à côté. Je ne sais pas être méchante. Je prends sur moi le poids des maux des gens passant à mes côtés.

Et quand je rencontre sur mon chemin une personne qui prend soin de moi, s'inquiète de ce que je pense, je suis perdue. J'ai peur de le perdre, comme ci je n'avais pas le droit à ce bonheur.

Quand je rencontre aujourd'hui un être aussi attentif, je ne comprend pas. je n'ai jamais compris pourquoi on m'aimait. Enfin certains me l'ont dit. Je me dit que si je disparaissais un jour, peu se souviendraient de moi si gentille, si discrète.

Aussi je me suis inventé un univers secret dont je suis la seule habitante. Un monde où chacune de mes réactions paraissent normales. Le mal et le vice n'ont pas le droit de cité. Un monde merveilleux et beau dans lequel peu arrivent à entrer. J'y cache mes sourires et mes rêves. Parfois aussi quelques larmes de bonheur. Je rêve d'y rester. Indéfiniment.Et qu'un jour grâce à lui ce rêve devienne enfin " la réalité ".

Pour tout l'amour que je lui porte.

Hier

10 février 2005 à 9h32

Hier, des pleurs sur mon répondeur, pourtant je l'aime,je l'aime si fort, je sais pas comment lui transmettre ma force pour le consoler....
Hier, bloqué et supprimé de mon msn un ami de longues dates , il ne me comprends pas , il n'a fait aucun effort, finalement il me perds, tant pis pour lui.
Hier, pause déjeuner, je retourne au boulot, je tombe sur un bouchon sur le périph, un homme est étendu a terre, un motard, les pompiers autour de lui , une pensée pourvu que ca ne soit pas si grave....
Hier, je rentre du boulot, mon poisson est mort, ca aurait fait un an bientôt que je l'avais, ce n'était qu'un poisson, mais j'y étais attachée.

Hier, c'était mon anniversaire .......

Neshamah

13 février 2005 à 22h52

Le Neshamah est un mot qui provient de la racine hébraïque respirer. Neshamah est le
souffle de l'homme, de Dieu, toute chose respirant et c'est l'esprit de l'homme. C'est le terme le plus courant pour désigner l'âme au sens général et c'est pourquoi le juif, au lever remercie Dieu par la bénédiction du matin en disant : « … de m'avoir restitué mon âme (Neshamah) avec amour, grande est ta fidélité ». Toutefois, la Neshamah a une dimension spirituelle plus grande que les autres parties de l'âme.

Voici sans doute une des meilleurs vision quant à cette partie de l'âme qu'est la Neshamah :
« Lorsqu'un homme va quitter le monde, l'ange de la mort apparaît pour emporter son âme
(Neshamah). Le Neshamah ressemble à une veine remplie de sang et pourvue de veinules
dispersées à travers le corps. L'ange de la mort saisit l'extrémité de cette veine et l'ôte du
corps… Aussitôt que cette extraction a eu lieu, l'individu meurt ; son esprit sort… » Ici, nous devons donc comprendre l'importance de la Neshamah dont la disparition cause la mort de l'être humain. La Neshamah s'élève donc dans les hauteurs et se délecte des délices du Monde à Venir et de cette Vie, le Neshamah remonte
donc à la source qui est l'Arbre de Vie.
Au sein de l'Arbre de Vie, elle correspond au Monde de la Création.

Mon pére m'avait prévenu

20 février 2005 à 19h49

Il me disait : Pour ne pas souffrir, il ne faut pas aimer......Voilà il m'aura fallu du temps mais j'ai enfin compris......Je n'aimerais plus, même pas moi, à quoi bon, le bonheur que procure ces instants magiques n'est essentiellement pour vous rappeler que vous le payer très cher.........

C'est décidé:
Je vais partir ....partir loin .... abondonner tout le monde...... je donnerais ma démission , je m'acheterais une maison , isolée, je vivrais seule, je me trouverais un job, sans contact, je deviendrais aigrie, triste , moche ....... personne ne voudra m'adresser la parole .....

Je donne tout l'amour que j'ai en moi, et j'attends peut être trop des autres...... je fais souffrir les autres aussi ....alors autant arrêter les dégâts....... JE VEUX CESSER DE SOUFFRIR ET DE FAIRE SOUFFRIR !!!!

et une question qui me revient sans cesse:
Pourquoi je n'étais pas dans cette voiture avec mon pére????? pourquoi????

Sun, Sea, Sex.....

2 mars 2005 à 11h02

Je suis déjà allée :

En Belgique ( normal je suis à la frontière)
En Hollande
En Angleterre ( Londres )
En Allemagne
En république Tchéque ( Pragues )
En Suisse ( Thonex – Genéve )
En Italie
En Espagne ( plutôt Andalousie )
Au Portugal ( Faro )
Au Canaries
Au Grandes Canaries ( aussi )
A Tenerife
En République Dominicaine ( Punta Cana )

Et aussi les quatre coins de la France ( Paris, Strasbourg, Lyon, Chamonix, La Plagne, Nice, Cannes , St Tropez, Montpellier, Cap d'Adge, Perpignan, Bordeaux, Royan )

Heu pourquoi je fais la liste de toutes ces villes, tout ces pays, je dois avoir envie de vacances, de soleil et de..... ;-)….. ça doit sûrement être ça ……

Pour me souvenir

8 mars 2005 à 20h16

4 jours d'amour

4 jours pour nous

4 jours pour toujours

mon amour.....

Surprise

10 mars 2005 à 21h58

Doucement, elle se laissa glisser au fond du bain,
Il était profond, vaste, chaud et huilé…

Elle s'y prélassa quelques instants…Quand tout à coup quelques ami(e)s sont venus la rejoindre…

Tour à tour, ses copains touchèrent
Sa peau blanche, pure, lisse et sans tache…

D'elle, émanait une odeur douceâtre
Qui dominait sur celle de ses comparses…

Dans un ballet d'orgies,
Son corps s'entremêlait aux autres…

Guidée par la main franche et décidée
De la maîtresse du jeu…

Sur une musique douce,
Elle dansait langoureusement…

D'autres ami(e)s aussi nus qu'elle
Sont venus les rejoindre…

Des vapeurs voluptueuses montaient
Embaumant tout l'appartement…

En sa seule présence,
Ses ami(e)s gagnaient en valeur...

Et, de ci de là...
Du jus se mit à couler…
Et à se mêler à celui des autres…

L'orgie était à son comble...
Surtout lorsque les comparses
Furent baptisés d'une eau rougeâtre…
Et tout à coup..

L'ail s'aperçue...
Qu'elle faisait partie
D'une somptueuse et délicieuse
Sauce à spaghetti…

Etat d'âmes

23 mars 2005 à 11h07

Je suis blonde et pourtant je voudrais ne pas avoir de cervelle...Pourquoi sommes nous toujours obligé de penser, de réflechir,même au repos, même dans le sommeil cet organe de cerveau réflechit, pense, rêve.... je voudrais parfois ke ca s'arrête, peut être aussi pour ça que je suis accro au Lexomil, ca devrait être un décontractant, moi ca me sert a dormir et à ne plus penser comme un trou noir lorsque je dors.....
On fait déjà pleins des choses machinalement, comme des robots, se lever le matin, boire son café, faire sa toilette, conduire la voiture qui nous aménes au boulot, travailler, déjeuner, retravailler, rentrer maison, diner, comater devant la télé, devant un bouquin, dormir...et finalement ca ne nous empêches pas de reflechir malgrés tout ......
Bref, j'arrive pas à exprimer ce sentiment en fait .
Ha ben finalement je comprends pourquoi je suis blonde maintenant.

Oser

23 mars 2005 à 17h52

Un jour une personne m'a dit que le maître mot de la vie c'était « oser ». Oser rire, oser sourire, oser montrer du doigt, oser aimer, oser s'en sortir, quelque soit le prix, oser accomplir ses rêves. Il est dur d'oser quelque chose de cacher au fond de soi sans que personne ne s'en aperçoive. Oserais je ? Oserais je ouvrir les yeux ? Mais pour voir quoi ? L'amour ou la haine ? Oser surmonter ses peurs pour vivre en plein jour. Voilà le but de nos misérables vies, pour qu'elles soient éclairées par un petit rayon de soleil.

Merci à cette personne d'avoir planté la petite graine de l'espoir pour qu'elle puisse devenir un arbre aussi gigantesque que magnifique

une amie m'a dit

24 mars 2005 à 17h07

Il y a peu de temps de ça un échange de mail :
Elle : j'ai fais une chose horrible .
Moi : Racontes.

Voilà l'histoire :

- Et si on faisait comme si on avait pas de téléphones portables ?
- Comment ça ?
- bein pour le rendez vous !
- c'est à dire ?
- bein oui .. avec le portable .. il n'y a plus de charme .. j'arrive au café .. je t'appelle .. tu lèves la main .. et je me dirige vers toi .. direct !
- comment tu veux faire alors ?
- bein on essaye de deviner !! de se chercher entre la foule .. c'est plus rigolo ..
- genre tu porteras une rose rouge à la main, et moi je ferais de même ?
- pas ce genre de clichets quand même !!!
- ok ! je serais habillé en beige, avec une chemise blanche, je porterais des lunettes de soleil sur ma tête. et je tapoterais sur mon portable pour pas avoir l'air con. ça te va ?
- à ravir je te chercherais dans la foule !
- et toi tu seras comment ?
- mystère .. une chose est sûre c'est que tu seras surpris !
- agréablement j'espère ?
- humm .. on verra bien ;-)
- donc tu refuses de suivre les règles d'un jeu que tu as toi même instauré !
- non je prefère garder le mystère jusqu'au bout ..
- même pas une petite description ?
- surprises surprises ;-)
- à tout de suite alors !
- à tout de suite
- tu viendras ?
- promis !
ce fût la dernière discussion virtuelle que j'ai eu avec lui

30 minutes j'arrive au café .. il était assis là .. charmant .. tranquille .. mystérieux .. dans ses yeux j'ai vu une sorte de bonheur .. mélangé à un brin d'anxiété .. il lève de temps en temps la tête pour regarder autour de lui .. dévisager une cliente .. sourire à une autre .. posant des questions avec ses yeux et son sourcil levé .. de loin j'ai eu de la peine .. cette même peine que je vais lui infliger plus tard .. du remord .. et des regrets !
qu'est ce que je fais là ? qu'est ce qu'il fait là ??
soudain il lève les yeux .. et il me vois .. un énorme sourire se dessine sur son visage .. et il me fait de grands cercles de la main ! trop tard je ne peux plus reculer !!
- saluuuut ... ça va ?
- oui super et toi .. (une grande accolade) ..
- et moi donc ça fait un bail !!
- qu'est ce que tu deviens ? ..
- ....blablabla .. et toi ?
- ... blmablabla aussi .. on te voit plus .. complètement absorbée par le travail !!
- je sais .. je sais .. epargne moi ça . qu'est ce que tu fous là ?
- toi d'abord !!
- j'ai rendez vous !
- et toi ?
- rendez vous aussi (clin d'oeil et sourire béa) ..
- humm je la connais ?
- je ne crois pas .. enfin il se peut .. ça ne m'étonnerais pas !
- c'est qui ?
- la femme de ma vie
- ???
- NON !! une nouvelle !! mais la bonne cette fois !
- héhé j'ai déjà entendu ce refrain !!
- non sérieux cette fois !! je suis amoureux !
- humm interessant !! elle est comment ?
- exquise !
- raconte ! heu je dérange pas là ?
- tu t'incrustes oui
- raconte !!! tu la connais depuis combien de temps ?? aller dis moi tout !
- 4 mois ..
- ça a l'air sérieux 4 mois !! c'est déjà pas mal .. elle a réussit le test de passage alors !!
- elle est passée directement !! sans tests ! j'espère seulement que je réussirais son test de passage à elle !
- ouille t'es vraiment amoureux là !! (là je me sens mal ! très mal même)
- eperdument ! je n'ai jamais senti ça . tu sais ! (là je me sens TROP mal .. il est totalement mais complètement fou de cette fille .. je dois le mener sur un terrain glissant)
- heu arrête ! c'est le vide sentimental ça .. tu te crois amoureux .. parce que tu veux l'être !! tu tomberas amoureux de n'importe qui ! même de moi ! ta vipère de vielle meilleure amie !!
- ah ça risque pas ! t'es loin d'être mon idéal féminin .. même en laissant le venin à côté :PP
- parce que elle elle l'est ??
- OUIIIIIIII
- tu m'étonnes !! elle est comment physiquement ?
(là il coince .. il hésite .. )
- peu importe le physique !
(terrain glissant.. )
- elle est moche c'est ça ?? c'est mauvais pour ton palmarès ça
- je ne sais pas si elle est moche .. mais je m'en fous !
(ouiiiiii .. )
- comment ça explique toi ! tu sais pas si elle est moche ou belle ? t'as perdu le sens de la beauté ? t'es devenu aveugle ? t'es ensorcellé ??
- ensorcellé oui .. (là il hésite) .. au fait je ne l'ai pas encore vue !
- quoiiiiiiiiiiii ??
- heu !! arrête avec ça ! t'as déjà connu ça toi !!
- oui mais je m'en suis mordue les doigts après .. et depuis je suis guérie !! amoureux d'une fille que tu connais pas et pis quoi encore ? on a dépassé l'adolescence mon cher !! tu as grandi pour ça !!
- pfff !! mauvaise foi va !! parce que ça n'a pas marché avec toi il faut forcement que ça marche pas avec les autres ? et la magie dans tout ça ?? hein ?
- oublie ! ça existe plus ce genre de choses ! faut être fou pour y croire ! reveille toi mon coeur ! sinon la chute serait dure !! elle a quoi de spécial .. ce .. heuu .. pseudo .. qu'est ce qu'elle a pu te raconter pour que tu sois aussi éperdu ! dis moi que je fasse de même !
- tu comprendras pas !
- essaye toujours .. je suis toute ouïe ..
- tiens toi bien .. elle est ..[...].. tu sais que j'aime ça .. elle est ..[...].. elle a ..[...].. elle ..[...].. elle est ..[...].. elle est ..[...].. elle est ..[...]..
(y a pas à dire j'ai excellé dans mon rôle .. y a rien à dire .. je lui ai déssiné et personnifié son idéal féminin et même plus .. y a vraiment rien à dire je suis vraiment .. réellement .. mais totalement une salope !!! ) ..
- tu crois qu'elle viendra là ?
- elle a promi elle ne pourrait pas me faire ça !
- et si elle vient pas ?
- elle aura une bonne excuse !!
- et si elle n'existe pas ?
- comment ça ? elle a menti ? non c'est pas possible !!
- et pourquoi donc ?
- elle pourrait mentir sur sa situation .. je ne sais pas financière .. sur son physique .. pas sur les choses du coeur ..
- elle aurait pu le faire !
- dans quel but ?
- un piège ou un canular ..
(il est très intelligent .. normalement il devrait commencer à se méfier !)
- non impossible .. elle est trop vraie .. tu verras ! elle viendra .. et elle sera belle comme je rêve qu'elle soit .. tout était comme je rêvais .. impossible !
- je reste sceptique ..
- pourquoi tu dis ça ? (là il commence à se méfier)
- parce que ça fait un bail que je ne crois plus aux contes de fées ..
- bein moi j'y crois (un brin de colère passe dans ses yeux .. comme s'il disait au fond de lui .. JE VEUX Y CROIRE)
(je baisse les yeux .. silence .. puis je fais une petite moue de la bouche .. je regarde ses mains qui commencent à trembler .. je lêve la tête .. et je le vois qui me fixe des yeux ! )
- JE CROIS AUX CONTES DE FEES !!!
(derrière cette phrase il y a un non dit .. ce qu'il voulait me dire .. c'est : si c'est toi .. casse toi .. ne dis rien .. et laisse moi au moins l'espoir d'y croire)
- elle s'appelle A....... ?
- oui (dit il caaalmement) .. tu la connais ?
- oui
- c'est toi qui me l'a envoyé ?
- un peu ..
- elle viendra ?
- non ... elle est là !
(je lève les yeux .. et je vois des larmes dans les siennes)
- non .. t'as pas fait ça ! ça ne peut pas être vrai !!
- si
- non !! t'as pas osé !!
- désolée ..
- désolée ??? c'est tout ce que tu trouves à dire ?
- c'est un jeu qui a mal tourné !
- inutile de te demander pourquoi tu as fait ça ! tu dois jubiler là !!
- non j'ai honte .. et je me sens mal !
- tu te sens mal ? sans rire !! et moi alors ?
- je sais :'( (j'ai déjà des larmes qui coulent) ..
- tu n'en sais rien ! tu ne sais pas à quel point j'étais amoureux d'elle ! elle ? qu'est ce que je raconte ? tu ne sais pas à quel point j'étais amoureux de ce pseudo .. elle aurait pu disparaitre .. et je me serais fait une raison .. j'aurais continuer à rêver .. et à espérer .. mais non ! tu as joué ton jeu mesquin et cruel jusqu'à la fin ! tu avais besoin d'ovation .. (il applaudit) .. de jubiler face à ton exploit ! ça je le sais !
- c'est pas vrai !!!
- je te connais trop arrête ! et moi comme un con je t'ai cru .. j'aurais du comprendre en te voyant de loin .. et comme un con j'étais content de te voir !
- désolée
- écoute ! t'es allée trop loin cette fois ci !! beaucoup trop loin ! le problème c'est que tu ne sais pas où t'arrêter !! tu ne connais pas les limites à ne pas franchir ! je t'ai toujours pardonné tes excès .. mais pas cette fois ! je ne te le pardonnerais jamais ..
(et là j'attaque pour me défendre)
- désolée je ne te savais pas aussi crédule (quelle conne !!
avec un sourire crispé il répond :
- tu aggraves ton cas là ! je suis naïf de croire que j'ai .. que j'avais une "amie" .. qui ne jouera jamais de moi en faisant de mes sentiments une marionnette dans une pièce perverse qu'elle a inventé de toutes pièces ..
- j'ai pas voulu faire ça ..
- oui j'essayerais de te croire .. et je te remercie infiniment pour le bonheur que tu m'as procuré pendant ces derniers mois .. et je ne te remercierais jamais assez pour cette cérémonie des aveux .. parfaite .. comme toi seule sait le faire ! je ne veux plus que tu m'appelles ! je ne veux plus te voir ! et ne compte plus sur moi pour que je te reprenne à nouveau dans mes bras en te disant je te pardonne cette fois ! parce que tu viens de jouer ta dernière carte !!
Il s'est levé .. il est parti .. et je n'ai même pas essayer de le rattrapper !
Mon ami est rancunier .. la dernière fois il a mis 6 mois à me pardonner ma bétise .. mais c'était beaucoup plus soft !!
Cette fois je crois bien que je l'ai perdu ..

Concernant mon dernier ecrit

24 mars 2005 à 17h20

Je vous rassure j'arrive à bosser hein .....
Vive Word et copier coller :-)

Concert

25 mars 2005 à 15h57

Je l'ai déjà clamer haut et fort .....Mais vraiment , mais alors vraiment trop super le concert de KEANE hier ...:-)

Et en exclu : une seconde de poésie à propos de ce concert.

<Zep ....> dit
après tout, les meilleures photos ont été prises avec tes yeux.

(Copier-coller je suis la reine ;-) )

Pour m'en souvenir toujours ;-)

Temps gris.....

8 avril 2005 à 9h24

Je voudrais effacer de mon cœur sept années, les
oublier au fin fond de ma conscience comme on oublie ses vies passées...

Devrais-je mourir et renaître pour enfin être libérée de ce lien invisible qui me mine ? Oublier l'amour pour ne plus ressentir la haine…

Je voudrais trouver la gomme magique qui d'un trait me rendrait amnésique de ces sept années perdues pour rien, pour lui, pour sa face d'abruti heureux…

Je voudrais oublier sans m'amputer l'être...

Je ne peux tuer l'Amour, c'est intuable cette bête là ! Je peux aimer à nouveau, être plus prudente avec mes sentiments, me rappeler le mauvais pour ne pas me
souvenir de meilleur…

Je peux haïr pour ne point aimer, mais pourquoi est-ce que je ne peux oublier ? Pourquoi je ne peux oublier toutes ces promesses vides récoltées par autrui ?
Va-t-il falloir que l'un de nous trépasse pour que
cela cesse enfin ?

Voilà que j'aime encore, voilà que j'ai donné mon cœur une autre fois, folle de moi…

Dans une société où il est de mise de donner son sexe à tout vent, je ne peux donner que mon cœur…

Je ne suis pas capable d'envisager une sexualité sans sentiments. Est-il plus facile d'écarter les jambes que d'ouvrir son cœur ? Mais si l'on ne fait qu'écarter les jambes, est-ce que meure le coeur? Je peux vivre sans sexe mais je ne peux pas vivre sans amour…

Soudainement je comprends tous ces gens qui ne donnent que leur cul et gardent leur cœur intact ! Peut-être que ma vie aurait été plus simple si au lieu d'aimer envers et contre tout, j'avais baisé tout ce qui me tentait !!! Ainsi lorsque serait venu le temps de mon amour enivrant, j'aurais préservé mon cœur
au lieu de le mettre en miette. Et j'aurais pu lui
offrir mes sourires insouciants plutôt que mes peines à cicatriser…

Mais avec des si, on pourrait refaire le monde. Avec des si, l'esprit divague, enrage et tourne en rond…

Parfois regarder la réalité en face, voir la vérité
nue, déchire le cœur. Il faut alors ramasser les
lambeaux d'âme et trouver la force intérieure pour accepter, avancer, oublier, reconstruire…

Tant de gens cherchent l'amour sans le trouver, je l'ai trouvé deux fois, je ne peux me plaindre, mais je dois encore lécher ces plaies qui saignent gouttes après gouttes dans le creux de mes pensées...

Stupide

8 avril 2005 à 16h31

N'est-il pas stupide de partager sept ans de son cœur avec quelqu'un pour que finalement celui-ci disparaisse dans un gouffre lointain ? N'est-il pas ironique que l'éclatement de cet amour destructeur entraîne deux individus à devenir, en d'autres sphères éloignées, les fantasmes qu'ils avaient l'un de l'autre au fond de leur tête ? Comment se préserver la tête dans des cœurs humains et des histoires ratées ?

La vie, trop souvent, ne fait aucun sens, et pourtant il faut la vivre quand même, et c'est bien là, l'étape la plus difficile à traverser…

Comment passer au travers des incompréhensions humaines, des illusions émotionnelles, des vertiges passionnels ?

Sans perdre, au passage, des plumes ensanglantées de souvenirs torturés, qui parsèment de souffrances le chemin de l'âme. Qui bouleversent le corps, et qui dénude le moral en plein printemps, pour mieux le noyer dans un océan de larmes étouffées…

Oublier les trahisons amoureuses et donner à son cœur la permission de s'ouvrir une autre fois. L'âme frissonnante devant le danger inavoué et le corps se trémoussant sous les baisers edulcorés du nouvel amoureux trépignant de désirs futuristes…il me manque physiquement cet amour, mais bientôt si proche .

Société... tu m'auras pas !

13 avril 2005 à 10h54

Tu connais l'histoire de la grenouille chauffée ?

Imagine une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille.

Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.

La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant.

L'eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.

La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir.

Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite !

On doit ce petit conte au philosophe Olivier Clerc.

La morale c'est que si un changement s'effectue progressivement en commençant par des étapes plutôt agréables, il ne suscite pas de réaction, pas d'opposition ni révolte.

Mon avis est que nous sommes dans le bouillons, l'eau commence à être chaude, mais nous trouvons cela plutôt agréable !

les chevaux sous le capot

13 avril 2005 à 14h03

J'en ai 120 sous mon capot…..

J'adore la vitesse…. Me suis fais prendre au radar y a peu de temps de ça….170km/h au lieu de 110 .

J'adore faire des slaloms sur le périph, et aussi des courses un jour avec mon ami Thomas il a une voiture un poil plus puissante que l'a mienne ( houlà va crier si il voit ça ;-) non c'est une bombe sa voiture *mdr*) un jour on a fait une petite course à deux …. Je pense qu'il avait peur , il m'a dit que" j'étais cinglée"…C'est vrai je le suis en bagnole .
Dés qu'une voiture accroche on fait la course, parfois un appel de phares pour avertir que la course est finie quand je suis derrière l'autre voiture, des fois les feux de détresse lorsque je suis devant….En ville, sur le périph, sur l'autoroute ..Trop fréquent, trop tentant !!

Je n'ai pas peur….. Je paierais le prix un jour…Je roule vite, trop vite, parfois la musique trop forte au point que les rétros en tremblent ,j'imagine un mur virtuel sur lequel je fonce tout droit en accélérant ….Un jour je me le prendrais ce mur !!!!

Samedi seule au Touquet.. ;-)

20 juin 2005 à 10h53

Cette journée, elle ne commence pas vraiment bien. Il est plus de onze heures lorsque je me réveille maladroitement, le corps encore usé, et surtout les oreilles agressées par une fanfare qui joue des airs des années 30. C’est donc maussade que je me dirige vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Le goût velouté d’un yaourt de soja à l’abricot, l’éveil point son nez. Mais toujours ses cuivres tonitruant accompagnés de je ne sais quel accordéon et petit tambours... Je file à la douche pour m’asperger d’un peu de fraîcheur et de bonnes odeurs. Je suis fin prête pour le petit café sur la place d’en bas.

Un café, un verre d’eau. Les stores sont bienvenus pour me protéger d’un soleil de plus en plus pesant ces jours ci. Je conserve malgré tout mes lunettes, d’une part parce que la luminosité est encore un peu trop forte à mon goût, et d’autre part pour observer les passants, et plus particulièrement les passants avec un zeste de discrétion bienséante. Le café se sirote lentement, ponctué par une voir deux cigarettes, et des bouffés de plaisir à la vue de quelques garçons au talent enchanteur. C’est à ce moment que je me dis toujours « ah là là, je pourrais rester des heures ici, c’est trop bon ». Comme pour succomber à ces garçons, j’attaque alors tranquillement le verre d’eau, au même rythme nonchalant que celui avec lequel j’ai consommé mon café. D’autres cigarettes, d’autres mignons, d’autres soupirs d’intense et profonde satisfaction. Je quitte rassasiée mon havre de bonheur, et vais m’acheter une salade et du bon pain, car il commence à faire faim.

Je pourrais vous raconter la salade, pourquoi son assaisonnement me fait pousser de petits cris de plaisir, et comment une tartine de rillettes au poulet me plonge dans un état de béatitude sans concessions, mais ce serait obscène alors je dirais que je me suis simplement régalée, il faut me croire sur parole.

La chaleur et la légère moiteur régnant dans la maison incitent à la sieste, et je ne suis pas contrariante, alors va pour une sieste. Il ne s’agit pas de dormir, car ce serait rater une sensation rare que seule la sieste permet de goûter. Sur le dos, les bras croisés derrière la nuque, je laisse la digestion prendre lentement possession de moi. Mes pensées papillonnent, vont d’un souvenir, à un désir, se posent dans une fiction, puis repartent de leur propre gré vers de nouveaux champs d’investigation. A la frontière du sommeil, juste après la porte de l’éveil, il existe un passage minuscule qui donne sur un couloir de félicité. Je m’y rend souvent, je ne prends ni notes ni photos, mais un repos sans nom.

Les esprits clairs, le corps détendu comme celui d’un nouveau né, je ressent ce désir sage mais enjoué de laisser libre cours à la création. Oh c’est un bien grand mot pour ce que je fais, mais ce qui compte, c’est de ressentir cette envie subtile et de s’y abandonner............Impeccable, je vais profiter des dernières heures de soleil pour me refaire un stage sur la terrasse accueillante.

Un couple d’ami vint se joindre à moi, des gens satisfait de l’air du temps. Ils s’assoient et nous papotons de milles choses, pour le plaisir d’échanger. Vous savez, ces conversations ou il ne s’agit ni de démontrer qu’on a raison, ni d’étaler sa science, ni de parler de ce que l’on ressent. Non pas ca, mais ces conversations ou les sujets s’enchaînent, s’explorent simplement sans conclusion autre que celle qu’il a été épuisé par nos rires et poli par nos mots. Ce genre de discussions qui vous remplit autant qu’elle vous vide, qui se laisse apprécier comme on apprécierait un bon plat.

Je repense alors ma journée, et me dis que c’est une bonne journée, que je souhaite à tout le monde de passer. Je me prépare ensuite pour cette soirée d'anniversaire, ou j'irais accompagné car je ne suis plus seule maintenant en espérant retrouver cette plénitude de cette journée ..................Car cette journée devait normalement être spéciale, c'était celle prévue de notre mariage, je l'avait presque oublié, mais ce soir certains par des sous-entendus au vue de leurs regards, ne se géneront pas de me le rappeler......Mais même si cette journée ne c'est pas passée comme elle était censée être programmée...ils ne me voleront pas la délicieuse journée seule que je viens de passer .....

FIN

29 juin 2005 à 11h27

Et voilà mon histoire avec lui est sur le point de se terminer ….Enfin ça en prends le chemin.
Pour commencer dimanche soir je suis tombée sur sa messagerie et des échanges de mail avec selon ces dires « ce n’est qu’une amie d’enfance » nous partageons maintenant 7 ans de vie ensemble et je n’ai jamais entendu parler d’elle.
Dans ces mails il est question de RV pour déjeuner (soit ça ça passe encore) ensuite elle parle de rêves qu’elle a fait de lui, et encore un autre ou elle ne peut se rendre à Paris pour le rejoindre, par manque de disponibilité de son planning et je passe sur les « je t’embrasse tout plein » bisous tout plein et autres.
La première réaction qu’il a eu lorsque je lui ai demandé si il se passé kelke chose entre eux a été de ma dire « il ne s’est rien passé « encore » je crois que le mot « encore » était de trop ……..
Maintenant il me soutien qu’il ne s’est rien passé entre eux, mais sincèrement et me concernant lorsque moi je déjeune avec un ami, je ne lui cache pas, même si j’ai une amitié un peu plus particulière, il le sait aussi ….alors pourquoi me l’avoir caché elle?

Vous dire qui est Christophe, lorsque je l’ai rencontré c’était le plus gentil le plus intentionné, a mon égard au fur et à mesure que sa carrière professionnelle évoluée et plus je ressentais la distance ……Maintenant Monsieur est D.A.F ( Directeur Administratif et Financier) d’une société en pleine expansion et bientôt il sera le DG .C’est pas un rigolo, il est très sérieux pour un garçon de son âge(30ans) .J’ai beaucoup supporté ses humiliations, sa façon aussi de tout le temps me rabaisser, de me prendre toujours pour une « petite secrétaire » de me faire perdre confiance en moi surtout physiquement, lorsqu’il bave devant les jolies nanas, que ca soit à la télé que l’on croise dans la rue ….j’ai vraiment l’impression quand je suis avec lui de n’être « rien ».
Même sexuellement lorsque l’on s’est rencontré je pensait qu’il avait le problème d’éjaculateur précoce, bien sur je lui ai proposé de consulter un sexologue mais il n’en a jamais rien fait, mais en réalité je pense qu’égoïstement il ne s’agissait que de prendre « son » plaisir, je me suis résignée a n’être pas plus qu’une poupée gonflable, jusqu'à ce mois de Mars ou j’ai refusé qu’il ne me touche, je ne pouvais plus, c’est peut être ça « sa solution » de prendre maîtresse.

Il est vrai aussi que moi-même j’ai fauté que j’ai étais infidèle, mais les raisons étaient à mon sens différentes, j’avais ce besoin de donner de l’amour, d’en recevoir aussi de me sentir aussi épanouis sexuellement, mais j’ai compris que ce n’était pas moi ça, d’être infidèle, je me suis donc aussi sacrifiée en y mettant un terme

Donc pour finir je vais attendre son retour normalement il rentre demain soir de Paris, essayer de parler calmement, lui donner satisfaction, c’est « moi » qui le quitte, il pourra se faire plaindre, ca sera lui la victime, proposé de vendre la maison, et reprendre ma vie à zéro, a tout point de vue, sentimentalement et financièrement aussi

J'ai perdu !!!

4 juillet 2005 à 9h58

Il ne veut pas me quitter….
Il ne veut pas que je le laisse non plus..Et il a les moyens de le faire.

De ne pas vendre la maison …Il faut les deux signatures...Et il ne l’a donnera pas.
Me vendre sa part, ce n’est même pas la peine d’y compter.
Me prendre un appart, financièrement je n’ai même pas les moyens de le faire.

Alors voilà …..Encore une fois je me résigne, je lui laisse faire ce qu’il veut de moi, je n’ai ni la force, ni le courage de me battre encore…..

Pour cette raison aussi, que je n’écrirais plus sur ce journal, je n’ai pas envie de me lamenter, de vous décevoir , que vous puissiez me voir sombrer….Je n’ai plus envie de rien……Je vais attendre…Attendre que ma vie passe…..sans rien de plus ….

Je ne viendrais plus ici, je ne réponds plus à vos mails, je désinstalle msn, je ne répondrais plus au téléphone, je ne verrais plus mes amis. Je reste seule ………

Bastien : C’est à toi que je fais le plus grand mal, et j’en suis vraiment désolée…….je ne t’oublierais jamais …..Et j’espère de tout mon cœur que tu puisses trouver le bonheur.

Triny : Finalement nos vies se ressemblent beaucoup….Je te dirais cela : Crois fort à l’amour, mais ne laisse personne envahir ta vie par amour .Reste comme tu es, ne change pas.

Zep : Je te souhaite tout le bonheur du monde à toi aussi, et tu le mérites vraiment, tu es quelqu’un de bien, même si tu es têtu et borné, je sais qu’un jour tu l’a trouvera.

Orteil : J’aurais voulu avoir le temps de faire plus connaissance avec toi, tu gagnes vraiment à être connu, et je suis certaine que de t’avoir comme ami, c’est quelque chose que j’aurais vraiment apprécié.

Paul : Nous commencions seulement à faire connaissance, et c’est moi qui t’abandonne finalement ……..Continu à être comme tu es…….Continu j’ai beaucoup appris grâce à toi, merci.

Thomas : Tu as toujours été là, je n’ai pas toujours été gentille avec toi, mais une dernière chose, ne cherche pas à me voir, a m’appeler …….Fais le cette fois.

Voilà ……….Peut être qu’un jour je reviendrais, quand j’aurais de nouveau cet espoir que la vie est meilleure, vous serez peut être encore là et je serais heureuse de vous retrouver, mais pour le moment c’est au dessus de mes forces que de faire semblant.

Au revoir

Calendrier

21 juillet 2005 à 9h27


'J''amais je n’aurais pensé en arriver là
Aimer quelqu’un de qui j’éloigne mes pas.
Nier les évidences et fuir les apparences
Voilà pourquoi ma vie frôle l’indécence
Il faudra bien que ces sentiments je consume
Et que mes faiblesses intérieures j’assume
Rancune, aigreur et jalousie font mon amertume

Fut-il dur à supporter, le temps passe
Et toujours ces sentiments qui me dépassent
Vrai pourtant qu’il faut qu’ils trépassent
Remède ou poison rien ne semble efficace
Ignorer les appels de mon cœur de glace
Et toutes ces lignes de ma vie que j’efface
Retour retard des souffrances en pleine face

Moi qui voulait tout maîtriser par le raisonnement
Avachie là, perdu dans l’avalanche des sentiments
Résignée face à l’amour et son acharnement
Sourire à la vie serait tellement plus évident

Arrive une nouvelle saison, aimer d’une autre façon ?
Victoire saura-t-elle enfin faire éclore la raison
Refroidie par les frimas d’un hiver sans passion ?
Il veut retrouver l’émoi de chairs en fusion
Laissons le combattre ses éternelles obsessions.


Mai est là, mes sentiments je n’ai pu étouffé
Ainsi va ma vie , de désir en manque
Immense…à ne plus voir le fond de ma raison

J’attends toujours le déclic qui me ferait avancer
Un sourire te suffirait pour me désarmer
Il est loin le temps où je faisais la désintéressée
Nuit la plus courte à rêver ta chaleur mouillée

Je veux du soleil au cœur et à l’âme
Un petit rayon pour rallumer la flamme
Illusion de chaleur dans une vie sans cœur
Laissons les étoiles rapprocher leurs lueurs
La morale pourra dire que c’est une erreur
Et alors ? l’amour n’accepte pas de blâmes
Toute envie n’a de maître que celui qui réclame

A quand les coups d’amour, brûleurs de peau
Ou devrais-je me contenter de me glacer les os ?
Utopie, quand j’aime, est le premier de mes mots
Tout bonheur je m’interdis, trop beau, trop chaud

Soirée de fin d’été à réviser mes pensées
Et si demain tout ça venait à s’arrêter ?
Peut-il d’ailleurs en être autrement
Tout ici n’est à la vie qu’un pansement
Et quand ce petit monde viendra à s’écrouler
Mes jours ne trouveront plus le refuge secret
Bien sur comme d’autres fois, je survivrai
Restera la saveur douce-amère d’un baiser percé
Et les moments partagés figés dans l’éternité


Oublier les nuages et le ciel au regard malsain
Continuer à écrire ensemble une histoire sans fin
Tels devraient les idéaux des combattants du destin
Observer les émotions sans imaginer leur déclin.
Bien mal m’a pris d’avoir attraper le béguin,
Refouler mes angoisses et jouer à la maîtresse libertine,
En sachant que mes sentiments resteraient souverains.


Nos liens se renforcent dans ce diffus virtuel
Osmose, agrafe sentimentale et désir charnel
Virevoltent dans nos têtes les rires et les mots
Ensemble nous partageons tout, de bas en hauts
Malaise quand nos fiels amènent les sanglots
Bien être et tendresse, échanges les plus beaux
Réfugiés derrière l’écran, nous vivons le passionnel
Enroulé autour de mon être, ton charme est réel

Déjà la fin de l’année et toujours rien de changé
Exorcisme et magie noire n’ont pas fonctionné
Contre des ressentis en moi ancrés et cimentés
Espérer pour libération l’asphyxie de l’âme damné
Mois contre moi, mes rêves dont je ne suis plus sur
Braver les frustrations, vivre dans l’intense et le pur
Rentrer dans la carapace dans les moments plus durs
Et entendre ton rire qui lézarde les murs…

Les rêves sont comme les anges. Ils ont besoin d’ailes pour s’envoler

Ma maladie .....

17 août 2005 à 17h48

Voilà je me suis incrite à ce site :

http://www.adhy.org/?page=maladie

Ca fait 10 ans que je vis avec plus ou moins bien, mais j'me soigne ;-)

Sur le journal de Douille

26 août 2005 à 16h20

En lisant ce texte, je n'ai pas résisté de le coller ici, car c'est un écrit dont je n'ai pas envie d'oublier......Douille n'a pas accès à mon journal, mais je l'ai remercié sur son forum ;-)

IL était une fois où tous les sentiments vivaient:
Le bonheur, la tristesse, le savoir, ainsi que tous les autres, l'amour y compris.
Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler.
Ils préparèrent donc tous leur bateau et partirent.
Seul l'amour resta.
L'amour voulait rester jusqu'au dernier moment.
Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'amour décida d'appeler à l'aide.
La richesse passait à coté de l'amour dans un luxueux bateau.
L'amour dit: "Richesse peux-tu m'emmener?"
La richesse répondit: "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau, je n'ai pas de place pour toi."
L'amour décida alors de demander à l'orgueil qui passait aussi dans un magnifique vaisseau: "Orgueil, aide-moi je t'en prie!"
"Je ne puis t'aider amour. Tu es tout mouiller et tu pourrais endommager mon bateau." répondit l'orgueil.
La tristesse étant à coté, l'amour lui demanda: "Tristesse, laisse-moi venir avec toi."
"Ooh...Amour je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seul!"
Le bonheur passa aussi à côté de l'amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'amour l'appeler!
Soudain une voix dit: "Viens amour je te prends avec moi"
C'était un vieillard qui avait parlé. L'amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard.
Lorsqu'il arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
L'amour réalisa combien il lui devait et demanda au savoir "Qui m'a aidé?"
"C'était le temps" répondit le savoir. "Le temps?" s'interrogea l'amour. "Mais pourquoi le temps m'a-t-il aidé?"
Le savoir sourit plein desagesse et répondit: "C'est parce que seul le temps est capable de comprendre combien l'amour est important dans la vie."

Avoir envie .....

29 août 2005 à 17h18

Je fais des « Sudoku »... je regarde des DVD... j'écoute la radio... j’achète tout mes cd... je vais au travail... je fais la lessive, et mes courses le samedi matin... je lis toujours une dizaine de pages avant de m'endormir...
je me brosse les dents... je paye mes factures... j'écoute le chant des oiseaux... je suis polie... j'ai des amis avec lesquels je vais déjeuner parfois... il m'arrive d'aller au ciné avec une copine... j'arrose mes fleurs et je fais la litière de mon chat... je dis bonjour à mes voisins et je fais la bise à mes collègues. ..je vais bientôt me rendre à des cours de dessins. ..j’aime le bleu à défaut de voir la vie en rose...j’ai un caractère de petite fille capricieuse. ..j’aime les petits déjeuner pour seul repas... j’aime rêver...j'aime que les choses soient toujours dites...

Je ne suis pas à découvert... je ne fume pas d'opium... je ne suis pas alcoolique... mon permis de conduire n'a pas été suspendu... les huissiers ne sont pas venus... je ne fais pas souvent la gueule, je préfère « ignorer » le temps de laisser passer la tempête... je ne supporte pas les gens irrespectueux, et de mauvaise foi, et encore moins les menteurs et manipulateurs... je ne vole rien... je n'ai pas la taille haricot vert, mais je ne ferrais pas de la pub non plus pour les produits" Dove"...je n'ai pas de chance aux jeux... je ne participe pas à des soirées échangistes... je ne sors pas sans culotte quand je suis en jupe... je n’aime pas compter quand je dépense ...
je ne mène pas une vie sexuelle débridée... je ne suis pas insolente... je ne me fais pas remarquer... je ne suis pas dépressive, paranoïaque ou schizophrène... je ne fais pas de bruit... je n'ai pas de 4x4 ,ni de lave vaisselle ( enfin plutôt en réparation actuellement) .

Mais :

J'AI ENVIE QUE LES MURS DE MA CHAMBRE SOIENT PEINTS EN ROUGE SANG... J'AI ENVIE DE ME COUCHER TARD SANS ME LEVER TOT... J'AI ENVIE D'APPRENDRE A ME BATTRE... J'AI ENVIE D’UNE GIGANTESQUE BIBLIOTHEQUE REMPLIE DE LIVRES... J AI ENVIE D’UNE VIEILLE MAISON AVEC VUE SUR LA MER... J’AI ENVIE DE VIVRE D’AMOUR ET D EAU FRAICHE... J’AI ENVIE DE SILENCE

J'AI ENVIE DE VVVVIVRRRRRE !

LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES

8 septembre 2005 à 11h25

C'est une lecture que j'avais apprise toute petite, c'est aussi de là que vient ma passion de lire, je l'ai toujours en mémoire ....

Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.
L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.
- Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.
- Quelle sottise ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.


Conte d'Andersen

Cette nuit j'ai rêvé...

21 septembre 2005 à 10h32

Cette nuit j’ai rêvé de Thierry, j’ai encore parfois des pensées, mais ça faisait longtemps que je n’avais pas rêvé de lui, sûrement le manque de tendresse, le manque de tout……Et surtout le manque de lui……Il y a quelques jours je me demandais ce que je serais devenue si il était là encore avec moi . La conclusion est devenue évidence…J’aurais été heureuse…..
Le souvenir que j’ai de lui s’est effacé au fur et à mesure que les années ont passé, comme si je ne l’avais jamais connu, il était devenu invisible, un fantôme parmi les morts, un silence parmi les autres, une absence aussi meurtrie, douloureuse que ces années passées sans lui. Ce silence, cette absence cachée au fond de moi.

Je voudrais qu’il sache qu’il me manque, chaque jour sans lui, est une minute de ma vie perdue. Je veux qu’on me le rende, je voudrais voir à quoi il ressemble maintenant si il était encore là. Son visage rien qu’un instant .....Pourvoir le toucher. ....Je veux que son souffle respire à mon oreille, sur ma bouche pour sentir son odeur rien qu’une seconde juste le temps de sentir sa présence pour ne pas avoir eu l’envie de rêver ; pour me dire qu’il est encore là, quelque part…

Je veux toucher sa peau, pour me dire que c’est bien lui, qu’il existe, que ses mains touchent les miennes qu’elles se confrontent sentir la douceur de sa chair contre la mienne pour lui dire tout simplement jour après jour que je l’aime.
Il me disait souvent : Dans tes yeux je vois la mer, et que je ne devrais jamais les délaver avec des larmes et il me disait aussi : Si tu savais l'Amour que j'ai pour toi. C’est gravé dans ma mémoire….Et ça me fait mal encore et maintenant…..

Mon premier cours

22 septembre 2005 à 9h33

De dessin hier soir ....Une chose est sure je suis nulle...Niveau celui d'un enfant de 3 ans mais j'm'en fiche j'y retournerais .......Je suis la seule gauchère en plus, je dois travailler à l'inverse des autres, et j'en ai plein les doigts , les mains, je vous dit moi comme un enfant de 3 ans, .....Mais bon c'était mon premier cours, apprendre toute les nuances de gris, j'ai adoré gribouiller et on pense à rien pendant ces moments là.....

Le prof , je sais pas dire quel âge il peut avoir, à mon avis entre 25 ou 27 ans, grand , mince, blond, les yeux ( pas fais gaffe) à 30 secondes de la fin au moment du départ,
il me demande : Tu reviens la semaine prochaine?...
Moi: je suis si nulle que vous me dispensez de cours?
Lui : tu peux me tutoyer tu sais, et non je voulais juste entendre le son de ta voix.

Moi: Je savais pas que lorsqu'on dessine il faut joindre la parole.....

Voilà je suis nulle en dessin et je me déteste quand je suis aussi fermée aux autres….

L'amour passe......

26 septembre 2005 à 15h16

Sommes-nous préparé à nous battre contre nos rêves ?
Sommes-nous fait pour nous détourner du bonheur ?
D'autres personnes mais pas moi.

Je marche et je prends ce que la vie me donne.
Là une rencontre qui s'avère différente des autres.
C'est une personne à laquelle je m'attache

On découvre qu'on aime avec une terrible certitude
On aime et on construit autour de soi un monde où tout semblent à sa place.

Mais un jour, la réalité s'impose à notre coeur
Nos peines nous apprennent
Que l'on a fait de cet amour notre vie
Il est le sang qui coule dans nos veines
Et qui nous empoisonne

Sait-on seulement qui on aime ?

On aime et on souffre.
On aime et on perd.
On aime et on se perd.

Que reste-t-il alors ?

Des rêves, des illusions qu'il faut recouvrir
Et enfouir au plus profond de son propre corps.

Quand sortiront-ils à nouveau ?

Nul ne sait.
Il faut attendre et se souvenir encore
Qu'un amour est passé
Et qu'il nous a blessé...
Mais qu'il y a toujours
Moins de sang qu'on ne pensait.

Interdit au - de 18 ans ;-)

29 septembre 2005 à 11h59

Il est en face de toi. Virtuellement. À l'autre bout de l'écran. Ses mots sont en face de toi. quand tu venais sur msn , par hasard, par ennui. Un jour, tu lui as répondu. Une belle histoire... il s'était caressé en le lisant... il avait eu du plaisir... très troublée... un peu honteuse qu'un être puisse avoir ce pouvoir sur toi... mais finalement ravie. Il avait aimé tes mots . Vous avez décidé de continuer, puis de plus en plus directement, jusqu'à vous allumer, jusqu'à vous donner des directives, des jeux à jouer et à vous raconter ensuite.
Il est en face de toi. Envie de quitter la monotonie de ton existence ? Envie de ses fantasmes, sur les tiens ? Envie de les réaliser ? Tu ne sais pas, tu flottes dans un brouillard de sons ouatés, cotonneux. Tu fixes ses lèvres, charnues, tu les rêves sur ta peau, l'explorant centimètre carré après centimètre carré, s'arrêtant dans l'ombre d'un sein, dans la douceur de ton cou, dans la tendresse d'une cuisse. Tu fixes ses mains, soignées, puissantes et fines, tu les imagines sur tes hanches, massant tes reins, te forçant à te cambrer. Tu as envie de lui. Tu le lui dis.
Il est en face de toi. Dans ta chambre. Timide, un peu gauche. Il n'ose pas te toucher, qui t'a écrit ses fantasmes les plus lubriques, qui t'as commandé les gestes les plus osés. Tu lui demandes de te laisser faire, sans poser les mains sur toi. Il se déshabille, les yeux dans les yeux. Tu palpes son torse qui frémit. Tu le butines de baisers. Tu t'arrêtes parfois pour l'admirer, pour lui tourner autour, pour lui effleurer les fesses, pour l'étreindre, te coller contre lui, y frotter ta poitrine, laisser tes bras l'entourer, tes mains jouer sur son ventre, sur son sexe durci. Son sexe... Agenouillée devant lui, tu en admires la fière érection, comme une enfant émerveillée devant la vitrine d'un pâtissier. Tu le goûtes d'abord du bout des lèvres et de la langue, à petits coups tu le picores, tu le titilles, tu l'entoures, tu l'agaces, puis tu l'engloutis, puis tu le suces, puis tu le lèches à grandes lapées, et tu le regardes, et il te regarde, et ce regard suffit, il te relève, t'embrasse à pleine bouche.
Il est en face de toi. Dans ton ventre. Qui se contracte, empalé sur son sexe. Assise face à lui tu te tiens à son cou, tu l'enserres entre tes cuisses, il te retient par les hanches, te presse contre lui. À chaque coup tu le sens qui t'emplit, qui te creuse, qui palpite au plus profond de toi. Tes seins se soulagent contre ses seins, ta bouche contre sa bouche. Tu ondules autour de cette colonne, de cet axe d'où irradie ton plaisir. Tu fixes son regard, tu y guettes le début de l'abandon, le départ de l'explosion. Tu essayes de te contrôler, de le contrôler, de ralentir et d'accélérer. Il en fait autant. Vous jouez avec vos limites. Ne pas partir avant lui, ne pas partir avant toi...
Ils sont face à face, yeux dans les yeux, corps à corps, sexe dans le sexe. Partis. Ensemble. Au plus profond de leur jouissance. Au-delà.........

Ce qui trotte dans la tête :-)

4 octobre 2005 à 10h44

L'inspiration fluctue vraiment, il y a des moments où franchement, je ne sais quoi écrire et puis par contre, je vis des périodes où je n'arrive pas à retranscrire mes idées !!!! Envie parfois de crier "Stop! Attendez, chacune son tour". C'est fou parfois de constater ce qui me "parle", cela peut-être une chanson entendue pour la première fois, une histoire d'amour (vécue bien sûr) que l'on me raconte. C'est aussi les écrits des autres, qui déclenchent en moi comme une "réponse" et qui finit par donner naissance à un texte au lieu d'un simple commentaire. Car il est rare qu je poste dans « les forums » enfin quelques fois, mais juste pour laisser deux lignes grand maximum…….. Et bien sûr, il y a les souvenirs... mes souvenirs! C'est tellement bon de s'y replonger et de n'en sortir que le meilleur... Et ces flash de la vie, que l'on peut observer tous les jours, dans la rue : des amoureux sur un banc, un baiser furtif que j'ai eu le temps d'entr'apercevoir, les gens qui se baladent main dans la main (ça j'adore, et plus les personnes sont âgées et plus cela m'émeut)... Il y a tellement de belles choses autour de nous finalement. Et puis, ce qui varie aussi, c'est ma façon de raconter, tantôt érotique, tantôt romantique, parfois triste aussi ...Mais je ne voudrais jamais me lasser d’y laisser des messages ici……C’est comme un pense bête….tout ce que je n’ai pu écrire auparavant, je le fais maintenant…..J’aimerais aussi que ma vie change….que je puisse raconter tout ça..….Mais c’est le calme plat…Sauf pour les pierres dans la mare, qui me sont encore jetées dessus, et que je n’arrive pas a retranscrire ici…Peut être parce que je n’arrive pas à y croire, que ça me semble impossible que cela puisse m’arriver……La seule question qui me trotte est : Pourquoi moi….pourquoi tout ça m’arrive à moi …..Pourquoi j’ai cette une vie là ?

Et si........

6 octobre 2005 à 17h02

Si j'étais un objet : un stylo (encre bleue)

Si j'étais une saison : l’automne (pour voir arriver mes nouveaux printemps)

Si j'étais un plat … Une carbonnade

Si j'étais un animal … un scorpion

Si j'étais un jour de la semaine : Dimanche

Si j'étais une couleur … noir (note culturelle : le blanc n’est pas une couleur mais le noir en est une)

Si j'étais un roman … Dragon rouge de Thomas Harris

Si j'étais du sexe opposé : ben un mec (j’ai pas tout compris là …)

Si j'étais une légende… Le mec parfait

Si j'étais un personnage de fiction, Black Mamba

Si j'étais un film américan : American History X

Si j'étais un cartoon, Speedy Gonzalez

Si j'étais une émotion, la joie

Si j'étais une arme la méchanceté

Si j'étais un mois, Janvier ( pour recommencer les mêmes erreurs chaque nouvelle année

Si j'étais un endroit, une plage

Si j'étais une maladie, d’amuuuuuuuurrrrrr

Si j'étais une devise, le dollar ?le franc ? l’Euro (quoi c’est pas ça qu’il fallait que j’écrive)

Si j’étais un oiseau, un goéland (élan élan)

Si j'étais une science, la physique (non pas le physique)

Si j'étais seule, et triste, et délaissée, et sans amis … : J'aurais trouvé mon île déserte ;-)

Si j'étais un élément, l'eau

Si j'étais un végétal, un nénuphar …

Si j'étais un fruit, une banaaaane !

Si j'étais un bruit, un rire

Si j'étais un climat, tempéré

Si j'étais un loisir, Dessin

Si j'étais une planète, mars (c’est bon Mars)

Si j'étais une pièce, un salon pour légumer devant télé

Si j'étais un moment, un samedi soir entre amis

Si j'étais l'un(e) de vous, je ne serais pas moi …

Avis de recherche......

6 octobre 2005 à 17h11

LE CHIC TYPE :
« Quand j'aurai fini la vaisselle, on se fera un câlin, d'accord ? »
Alias : marié..avec enfants
Avantages : toujours aimable, repasse ses chemises lui-même.
Inconvénients : pas assez mâle.

LE VIEUX GRINCHEUX :
« Les gens sont vraiment cons. Ils peuvent tous aller se faire e... Restons à la maison et regardons un film. »
Alias : ronchon.
Avantages : prévisible.
Inconvénients : est vraiment chiant.

LA LIMACE :
« Je... je suis vraiment désolé. je n'aurais pas du... »
Alias : la tremblote .
Avantages : tressaute de façon rigolote quand on l'effraie.
Inconvénients : facilement intimidé même par plus faible que lui.

LE GROS BÊTA :
« Tais-toi ! Je n'arrive pas à réfléchir quand tu parles. »
Alias : grosse tête vide.
Avantages : est facilement berné.
Inconvénients : peut vous casser en deux, transpire comme un porc.

LE GARS DANS LE CANAPÉ :
« Ron...zzzzzz »
Alias : le parasite.
Avantages : toujours bien reposé.
Inconvénients : ne pas compter sur lui pour réaliser vos rêves.

LE FAUX DERCHE :
« Qui... Moi ? »
Alias : le rat...
Avantages : peut se sentir coupable de temps en temps.
Inconvénients : est toujours en train de faire un coup en douce.

LE CHAMPION DE L'AMOUR :
« Quand j'aurai fini la vaisselle, je te ferai l'amour comme une bête ! »
Alias : Casanova.
Avantages : toujours excité.
Inconvénients : toujours excité.

LE RÊVEUR :
« Un jour, je deviendrai riche et célèbre. je ne sais pas quand mais... »
Alias : le bouffon, les philosophe, l'idéaliste.
Avantages : raconte de belles histoires.
Inconvénients : se transformera rapidement en LE VIEUX GRINCHEUX.

LE SEUL ET UNIQUE :
« Pendant que les domestiques lavent la vaisselle, faisons l'amour comme des bêtes dans mon nouveau yacht ! »
Alias : le dandy, l'homme parfait.
Avantages : répond à tous les souhaits d'une femme.
Inconvénients : a été pourchassé jusqu'à l'extinction de la race.

Citation

10 octobre 2005 à 17h21

Le verbe Aimer est l'un des plus difficiles à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif et son futur toujours conditionnel.

Jean Cocteau

Vendredi midi

10 octobre 2005 à 18h15

Vous savez « Fred » celui avec lequel je m’étais fâchée « tout rouge » lors d’un déjeuner ou plutôt je devrais dire « eu la honte de ma vie face au scandale au resto » façon je pense que j’ai même supprimé cet écrit tellement j’étais dégoûtée de cette situation …..Enfin bref, bon dans un élan de « non je ne suis pas rancunière » j’ai déjeuné avec lui ce vendredi …


Donc suivant le déjeuner, la discussion « comme si de rien ne s’était passé » On dérape un peu. Oups. Bah, parler n’est pas « toucher ». Ma curiosité naturelle (qui me perdra, oui je sais) me pousse à lui en donner un peu… pour voir… Il est moins à l’aise que précédemment. Je sens qu’il veut me dire quelque chose . Ca ne tarde pas.


Premier carton jaune, l’extrêmement indélicat « Je suis chaud par rapport à toi ». Quelle expression, eeeeeurk ! Les hommes finissent toujours par être décevants… Celui-ci moins vite que les autres, mais le résultat est identique !!!


Puis il se lance. Ben oui, c’est que la bête ne l’est pas, bête........., et qu’il commence à se demander ce que risque son couple s’il batifole avec moi. Quand même ! Je le trouvais bien sûr de lui (l’habitude sans doute… il nie …) jusque là, inconscient de ce à quoi il s’exposait. C’est vrai quoi : il me connaît, je ne pourrais pas être une théâtrale hystérique qui menace de s’immoler par le feu sur le seuil du domicile conjugal s’il me laissait tomber….
Toi qui me connais, tu sais ma tempérance en la matière pour le fait d’être « celle par qui le scandale arrive ». Tu sais aussi que je suis fière et préfèrerais mourir plutôt que de supplier un homme pour qu’il me suive. Tu sais, enfin, que mon type de suicide à moi, c’est l’ingestion massive de chocolat . Mais lui ne soupçonne rien de tout cela. Et d’ailleurs ça ne l’intéresse pas. Il me le prouve.


Il ne sait pas comment ça va aller (oulah, on panique !) mais de toute façon il ne quittera pas sa femme pour moi. Je souris…! Mon hilarité, que j’ai grand peine à dissimuler, l’agace, je crois ....... c’est vrai quoi, on parle sérieusement...... et il me précise que c’est ni maintenant, ni plus tard. Il ne partira pas.
Fort bien ! C’est le cas de la plupart des hommes mariés, je ne m’en étonne pas et n’attendais rien de tel. Maintenant sûrement pas, et après ‘faut voir : l’homme qui mettra ses pieds sur la table de mon salon et dont je repasserai les chemises devra passer un examen sévère avant d’obtenir un laisser-passer ! Qu’est-ce qu’il croit, celui-ci ?


Donc, il revient à nos moutons et me répète que je ne dois rien attendre. Je m’en vais de suite, alors ??? Non, ça ne sera pas qu’une fois, mais je dois bien voir qu’on a du mal à se trouver un RDV commun et non, y’aura pas de long terme. Il doit se rendre compte que la formule n’est pas très alléchante parce qu’il enchaîne sur le fait que je ne dois rien attendre, sauf beaucoup, beaucoup de plaisir…
Gros effort pour ne pas éclater de rire ! Quel prétentieux!!!! Il me revient à l’esprit cette phrase (de je ne sais plus qui), en réponse à un homme qui lui disait « Madame, je vous baiserais bien » : « Vous voulez dire, je vous baiserais VOLONTIERS ? » Parce que pour le reste, hein, laissez-nous juges, Messieurs !
Puis vient le carton rouge : il m’assure qu’il a très envie de moi, que mon corps l’attire tant et plus à chaque rencontre, que mon corps, mon physique, mon corps, mon physique…


C’est sensé me décider à mordre dans la pomme ? Je crois que la moindre bouchée me donnerait la nausée. Toujours cette même façon primitive de ne voir en une femme que son enveloppe charnelle, c’est écoeurant ! Envie de hurler pour nous toutes : JE NE SUIS PAS QU’UN CORPS !!!


Quand cet homme me dit « tu es l’objet de mon désir », il ne pense qu’à « désir ». Je n’entends qu’ « objet »…

Bref « Gros plouffffff » pour lui ………

Vendredi midi bis....

11 octobre 2005 à 10h11

Je tenais a préciser qu’avec Fred ça restera pour moi un « ami » cela fait trop longtemps que je le connais pour ne plus le voir, il est un des rares a me connaitre aussi très bien, et j'aurais besoin parfois de lui, de son amitié même si parfois ses pensées se situent au niveau de la ceinture et malgré ce que je pense de lui, il ne se passera jamais rien …….Je l’ai remis à sa place lors de ce déjeuner, maintenant si il retente quoi que ce soit, ok..Comme bon lui semble, mais je ne tremperais pas dans son jeu, si ce n’est que pour le voir patauger car ça me fait assez sourire …..
Je ne suis pas cruelle ……. La cruauté vient de ce genre d'homme…..Et il se lassera plus vite que moi à ce petit jeu !!!
C’est vrai quoi ce n’est pas parce que je suis « mal accompagnée » actuellement que je vais naïvement tomber dans ses bras ……
Et puis un homme marié avec de sur croit 2 petits enfants……non ce n’est décidément pas pour moi ……J'ai beau avoir une ouverture d'esprit très largement ouverte sur ce sujet, mais pas quand cela m'implique directement.....Je ne suis pas de celle qui détruirait une famille.....
Lorsque j'avais fait sa rencontre cela remonte maintenant à presque 10 ans il était disponible, on est d'ailleurs sorti ensemble,une année presque ...Jusqu'au jour ou sa petite copine m'a appelé " furieuse" de bien entendu je lui avais piqué son homme et je n'étais même pas au courant....il m'avait à l'époque caché sa vraie vie, je suis tombée de haut et je l'ai laissé tomber....... Mais depuis je ne l'ai jamais vraiment perdu, on se mailait, on dejeunait ensemble..... Et maintenant rebelotte...... J'ai la vague impression de n'être pour lui que " de Substitution " et bien non !!!!!!! Si l'on veut de moi ......C'est moi toute entière sinon rien..Mon corps va avec l'esprit, les deux sont indissociables......Mais je pense qu'il a comprit maintenant....Il lui aura fallu du temps .... ;-) Et reploufffff pour lui ;-)...

Faire des expériences.....

13 octobre 2005 à 10h22

Je suis allée surfer un peu sur des sites de rencontres.
Ohé, ça va hein, les commentaires ! Je sais, je sais… C’est pas pour du vrai, juste qu’à force de voir apparaître les icônes en popups sur mon écran, j’ai pas pu me retenir de cliquer.
Y’a des jours de désespoir, comme ça…
C’était juste pour voir : juré !


Et j’ai vu…


D’abord, j’ai eu la désagréable sensation de feuilleter le catalogue 3Suisses à la rubrique « Gens qui vous iront comme un gant » : des photos, la taille, le poids, la couleur, les matières (théâtre, ciné, musique rock, « j’aime-j’aime pas, etc.)… et même le prix ! Sur un site, pour pouvoir communiquer avec le joli minois sur l’écran, faut payer…
C’est dégradant je trouve. Et pourtant je me suis surprise à émettre mentalement des commentaires et appréciations, moi aussi. Je ne suis qu’un être humain.


Puis j’étais à peine là que certains ont voulu causer avec moi. Ca, c’est plutôt sympa… sauf que je me suis retrouvée à discuter avec 6 personnes en même temps !
L’un, vexé, m’a dit « qu’il fallait que je choisisse parce qu’on ne peut pas parler à tout le monde ensemble ».
C’est vrai que, côté efficacité du contact et implication dans la relation, c’est pas terrible. Mais comment - et de quel droit d’abord ? – « éliminer » des interlocuteurs ?
Un autre m’a parlé des « beaux mâles » qu’on trouvait là. Lui ai fait remarquer que je venais pour voir , et que l’amour ne se commandait sûrement pas comme ça. Il m’a répondu « mais qui parle d’amour ? ». Fin de la conversation avec ce queutard vite démasqué.
Le dernier me joignait en live de Tunisie, c’est bien pour les vacances, mais pour se faire des potes, c’est loin !
Deux m’ont paru sympas. Rigolos, compréhensifs, cools.
Hein ? Ouais, c’est pas si mal…


Ce que j’en pense ?
Hormis le principe dérangeant du catalogue, il y a d’autres « méthodes » bêtes ou bizarres.
- les choix à poser en matière de goûts sont très réducteurs
- certains sites demandent à ce que les gens mettent combien ils gagnent (oui, je sais, ça intéresse fort les blondes à forte poitrine, mais quand même…) J
- y’a des icônes très hard pour des gens qu’on ne connaît ni d’Eve ni d’Adam, comme « envoyer un baiser virtuel » ou carrément « j’ai flashé sur toi »
On rencontre toutes sortes de gens…
- y’en a à mon avis qui ne se rendent pas compte en communicant qu’ils ne peuvent pas correspondre avec la personne considérée (le profil sert quand même à quelque chose…)
- j’en soupçonne certains d’envoyer systématiquement des appels aux nouveaux(elles) arrivants(tes)… J
- c’est fou le nombre de types en ménage qui recherchent l’aventure !!! Enfin, ils ne le cachent pas, c’est déjà bien
- y’a des désespérés qui s’accrochent au 1er contact. . Mollo hein ! ...


En conclusion… ben c’est pas plus facile que dans la « vraie » vie !!!! Et on ne m'y reprendra plus :-)

Requiem pour un fou

13 octobre 2005 à 11h55

Je joue parfois avec les titres des MP....Le titre de ce MP " le jour se léve".....
Et ce MP que je viens de recevoir m'inspire cette chanson...Elle est aussi vieille que "mes robes" pour ne pas déformer la véritable expression, et je l'a connais par coeur...... C'est ma mére qui me l'avait apprise, avant qu'elle ne soit plagiée par Lara Fabian:

Je vous préviens n'approchez pas
Que vous soyez flic ou badaud
Je tue celui qui fait un pas
Non, Je ne ferai pas de cadeau
Et éteignez tous ces projecteurs
Et baissez vos fusils braqués
Non, je ne vais pas m'envoler sans elle

Dites au curé, dites au pasteur
Qu'ailleurs ils aillent se faire pendre
Le diable est passé de bonne heure
Et mon âme n'est plus à vendre
Si vous me laissez cette nuit
À l'aube je vous donnerai ma vie
Car que serait ma vie sans lui

Je n'étais qu'un fou mais par amour
Elle a fait de moi un fou, un fou d'amour
Mon ciel s'était ses yeux, sa bouche
Ma vie s'était son corps, son corps
Je l'aimais tant que pour la garder je l'ai tuée
Pour qu'un grand amour vive toujours
Il faut qu'il meurt qu'il meurt d'amour

Le jour se lève la nuit pâlit
Les chasseurs et les chiens ont faim
C'est l'heure de sonner l'hallali
La bête doit mourir ce matin
Je vais ouvrir grand les volets
Crevez-moi le coeur je suis prête
Je veux m'endormir pour toujours

Je n'étais qu'un fou mais par amour
Elle a fait de moi un fou, un fou d'amour
Mon ciel s'était ses yeux, sa bouche
Ma vie s'était son corps, son corps
Je l'aimais tant que pour la garder je l'ai tuée
Je ne suis qu'un fou, tu n'es qu'un fou, un fou d'amour
Un pauvre fou qui meurt
Qui meurt d'amour

Ecrit stérile

14 octobre 2005 à 14h48

Suite à ma dernière mésaventure relationnelle qui, sans causer de véritable fracture du myocarde, a quand même engendré une déception (de plus), je me suis livrée à une grosse introspection personnelle. Je dois reconnaître qu’elle s’apparente fort à de la masturbation intellectuelle, vu que cette réflexion s’avère décidément stérile… Peut-être qu’en la couchant sur le net…


Constatation 1, navrante : j’attire pas les bons types, ceux qui sont chouettes ET libres
Questions :
Mais où sont-iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiils ???
Sont-ils donc denrée si rare ?

Tentatives d’ébauches de réponses incomplètes :
Comme dit ma copine : « à nos âges, les hommes bien sont déjà pris »…. Ou alors, je ne fréquente pas les bons endroits… L’homme libre, séduisant et spirituel sort dans des endroits cachés, connu de lui seul et de ses semblables, pour éviter les émeutes féminines …. Ben oui, z’ont juste envie de boire un verre peinards… Qui connaît des adresses ???


Constatation 2 :
Deux hommes déjà pris à mon actif
Questions :
Pourquoi j’attire les hommes pris ???
Je manque totalement d’intelligence et de discernement ou quoi ???

Tentatives d’ébauches de réponses incomplètes :
Peut-être que je représente le « fruit défendu », l’antithèse de la bobonne qu’est devenue leur femme après les enfants, l’antidote à la routine (tout ça ? Waouw !) parce que je plaisante, je ris, je vis, je ne me préoccupe pas de l’image que je peux donner de moi quand je suis bien quelque part … Tandis que les épouses ou compagnes « officielles » de ces hommes-là leur donnent des coup de talon sous la table quand ils disent une connerie ou un propos assimilé, leur lancent un regard assassin quand ils boivent trop, ne se lèvent jamais plus pour aller s’éclater sur la piste de danse et sont toujours la 1ere à dire qu’il est temps de rentrer… Mouais, bof, je ne suis pas la seule et c’est un peu léger, quand même, non ? Y’a aussi que certains types ne savent pas ce qu’ils veulent, qu’ils s’engagent dans le mariage ou une relation de long terme sans arriver à renoncer à leur vie « de jeune homme », qui veulent tout, tout de suite et tout le temps… … Puis y’a ceux qui se sont trompés de personne mais n’osent pas faire marche arrière, ceux qui ont changé où dont la compagne a changé ou les deux mais le résultat, identique dans les trois cas, est qu’ils n’ont plus grand chose à se dire, mais voilà y’a la famille, les enfants, les amis, le standing et que vont dire les voisins ???… Une étude statistique apporterait ici aussi un éclairage nécessaire à la compréhension du phénomène…

Alors deux solutions s’ouvrent à moi……

J’arrête d’éprouver bêtement des sentiments, pffffff
Avantage : les hommes ne pensent toujours qu’à me (… ) mais je m’en fous et finalement c’est ce qu’ils cherchent!
Inconvénients : je vire pétasse – obligation de louer une garçonnière pour éviter le défilé à la maison, que certains ne s’incrustent et les regards horrifiés des voisins

Ou :
Je me mets à chercher sérieusement un couvent 3 étoiles avec piscine

Avantage : enfin libérée !!!!!
Inconvénients : faut faire vœu de silence… hum… pas facile….

Votre avis ? J’avais prévenu que cela finirait « stérile » cette histoire…..N’ai marre !!!!

Peau - Jean's

18 octobre 2005 à 16h30

L'image qu'on a de soi est le reflet de l'âme...Je ne suis pas belle à voir, dans les yeux de mon miroir... Etre ou ne pas être....bof....mais QUE suis je?

Ma créme "Quick Lift Cuisse Of Miracle" en main je reste penchée sur la balance ( encore égaré mes lunettes.....que je ne risque pas de trouver maintenant que je n'y voit rien ) ne sachant si le désastre le plus effrayant est le chiffre....non le nombre, bien sur.....ai dépassé les 7 kg autorisés depuis longtemps....ou cette espéce de poche de gras sur le bidon et sur les fesses........eurkkkkkk!!!!

Je n'ai rien contre les formes, au contraire : Le fanstasme de mon idéal féminin n'est pas et ne sera jamais ma planche à repasser. Mais ce que je ne supporte pas, c'est l'aspect adipeux quand on pince les doigts ( qui a dit: " arrête de pincer avec les doigts et le problème sera réglé qu'il se taise à jamais celui là ) Je ne veux pas devenir comme ça, nooooooon !!!!

( Faut que je pense à la dame de la pub comment elle fait pour enlever sa peau d'orange comme un vulgaire jean's)

Je masse religieusement les " zones à risques" avec une pleine conscience de l'inutilité de mon geste, puisque j'ai des crises de massagites aigues quand mon moral est au plus bas, qui passent généralement dès que je vais mieux ou même avant si ça me fait des crampes aux bras.......Or c'est déjà la répétition quotidienne des soins qui finit pas être payante. J'ai d'ailleurs remarqué lors de mes précédentes crises que le résultat était davantage le musclage de bras que la perte de cm de tout de cuisses. Je devrais essayer un truc pour mes bras, peut être que je mincirais enfin du ventre.....A méditer.

Plus je masse et plus s'impose à moi l'idée que ça ne sert à rien, que ces gestes ne sont pas ceux qu'il me faut. "MA" solution s'apparenterait davantage à celui de la dame qui enléve sa peau-jean's : Changer de peau comme un serpent, modifier son apparence pour changer ce qui ne me plait pas dans ma vie ....Mais pour quelle vie?

Dans quel monde vit on?

19 octobre 2005 à 10h16

J'ai repris un bouquin qui restait de mon père, quand je me suis posée cette question et j'ai recopié ce qui était écrit, mais je n'ai pas trouvé la réponse.......Je ne sais pas dans lequel je devrais me situer..........Mais ça a ranimé des souvenirs.......Ceux que mon père me racontait!!

Sohar, le Monde Parfait. Sohar est un monde où tout est structures, codes à respecter, interdits à observer. Les créatures de ce monde sont très pointilleuses sur les principes, ce qui a pour conséquence que les Kabbalistes qui se penchent plus sur l'étude de ce monde s'entourent de quantités de rituels répétitifs et rigoureusement codifiés. Ainsi sont-ils considérés comme les plus religieux des Kabbalistes, des mystiques qui respectent des traditions millénaires dont le sens reste souvent très obscur.

Zakaï, le Monde Pur. Zakaï est un monde où la nature de l'univers s'exprime dans sa plus grande pureté. Ainsi, les créatures de ce monde sont souvent très proches des éléments, et les Kabbalistes qui suivent les voies de ce monde sont souvent attachés à la préservation de cette pureté élémentaire, mise en danger depuis la Chute et la corruption de l'Orichalque. Ils ont conscience de ce danger, et sont tels des chevaliers luttant dans l'honneur pour restaurer l'intégrité des champs magiques.

Pachad, le Monde de l'Apocalypse. Pachad est un monde où les champs magiques sont perpétuellement soumis au cycle du changement. Les lieux que recèle Pachad sont souvent emprunts d'une grande beauté, mais cette beauté n'est jamais que temporaire, et laisse souvent place à la décrépitude la plus sordide, à la dissolution, à la pourriture, avant que de ce terreau fertile ne renaissent à nouveau de sublimes paysages. Les créatures de ce monde sont souvent les ouvrières du cycle du renouveau permanent, et les Kabbalistes de Pachad sont souvent d'humeur changeante, difficiles à cerner. Ils oeuvrent en général en accord avec les cycles de la nature, qu'il s'agisse de cycles ascendants, créateurs, ou de cycles descendants, destructeurs.

Meborack, le Monde de l'Equilibre. Meborack est un monde où tout n'est qu'harmonie, subtiles nuances savamment dosées. Dans Meborack, toute chose est le résultat de mélanges fins mais balancés, c'est d'ailleurs certainement ce qui donne aux paysages de ce monde une beauté si saisissante. Les créatures de ce monde sont toujours soucieuses de cet équilibre, et de même les Kabbalistes de Meborack sont les plus attachés à la recherche de l'équilibre du pilier central de l'Arbre de Vie. Ce sont ceux qui cherchent à rétablir en toute chose l'harmonie, synonyme de perfection.

Aresh, le Monde de l'Adversité. Aresh est un monde où tout n'est que bataille et furie. Les cinq éléments s'y livrent une guerre qui dure depuis l'aube des temps, et toutes les créatures d'Aresh sont, à un degré ou à un autre, destinées au combat. De même, les Kabbalistes d'Aresh sont en général des combattants redoutables, emportés, qui recherchent dans cette voie le dépassement de soi par l'adversité. Leur but n'est pas tant l'anéantissement de l'adversaire que la progression au travers des épreuves, tant physiques que spirituelles.

Note pour un jour fou.........

21 octobre 2005 à 12h05

J'aime regarder les belles femmes. Dans la rue, à la télévision ou dans les magazines. J'aime regarder celles qui osent. Qui portent des choses décalées, qui s'amusent avec la mode. J'aime m'inspirer des femmes élégantes, pleines de classe naturelle. J'aime les femmes qui prennent soin de leur apparence mais qui ont aussi autre chose dans la tête que leur prochain rendez-vous chez la manucure. Mais je n'ai jamais été attirée sexuellement par une femme. Jamais jusqu'à peut-être l'année dernière. Probablement à cause de ma fragilité un peu particulière dans mon couple. Les hommes ne m'apportaient plus assez. J'étais en manque de délicatesse.

RV chez moi un midi pour déjeuner, sans pudeur, en discutant. je la regarde. Elle est jeune. Elle a un visage très doux. Une voix très douce. Un corps tout en courbes, une taille fine, deux tatouages discrets qui laissent deviner qu'elle n'est peut-être pas la petite fille sage qu'elle pourrait paraître. Elle est courageuse et fragile aussi. On sent souvent dans sa voix une émotion en racontant ses journées.... Tout ça fait d'elle une personne un peu à part à mes yeux J'ai souvent envie de la réconforter. Elle joue souvent « la protection » à mon égard. Je l'aime bien. Et à plusieurs reprises dans l'année, je me suis surprise en train de m'imaginer la prendre dans mes bras. A plusieurs reprises, je me suis demandée l'effet que ça me ferait si nous nous embrassions. L'effet que ça me ferait de faire glisser mes mains sur un corps de femme, d'embrasser son cou, ses seins, de caresser sa peau, de la respirer... Je me suis demandée si j'y prendrai du plaisir ou pas. Et elle sans tabou…….Lit dans mes yeux ……..me dit, quand tu seras prête je serais là………

C’était l’année dernière……..Depuis je ne suis toujours pas prête, ça restera peut être au fond de ma tête …….

Petite annonce ......

25 octobre 2005 à 12h08

DONNE


Contre bons soins


Cœur


Bon état mais fort sensible, déjà plusieurs fractures


Cause : souhaite m’en séparer car demande trop de soins, fréquentes hausses et chutes de tension dues aux émotions diverses engendrent craintes et perplexité à son égard


Convient parfaitement pour remplacer cœur de pierre ou absence totale de cœur, histoire de voir ce que ça fait (expérience de vie).


Echange d’ailleurs possible contre gros cœur de pierre bien dure.

Ecrire à Salomé ....

Me suis fait avoir :-)

31 octobre 2005 à 10h27

Quel est le sexe de Morphée ?

Eh bien j'ai appris hier au soir, à mon grand désarroi, que Morphée était un homme ! Je repense à toutes les fois où je me suis apprêtée, tout heureuse, à aller me blottir dans les bras de Morphée... Je m'imaginais bercé par une déesse , aux bras clairs et charnus, aux longs cheveux d'or tombant sur sa poitrine dénudée. Je me sentais bien, choyée, apaisée, maternée.

Et voilà qu'on m'annonce que toutes ces fois je me suis en fait retrouvée entre des bras musclés et velus, abusée dans mon sommeil par un pervers barbu *mdr* ! Je suis déçue, je n'y retournerai plus, dans les bras de Morphée...

Je préfére de loin retrouver la " marmotte" je l'a fait si bien ......Et que l'on me dise pas après " celle qui mets le papier d'alu" nan....nan.....pas celle là ...Mais celle qui dort comme une marmotte quoi ...:-)

Juste..........

3 novembre 2005 à 11h47

Juste m'éveiller étonnée, juste glisser mon visage au creux de ton cou, juste apercevoir ton demi-sourire à fleur de lèvres dans l'aube ultra violette de nos matins inexistants ...


Juste m'ébrouer des dernières déroutes de la raison pure, de l'espace, du temps, du présent et m'enjoliver de tes yeux ardents posés sur moi...


Juste toucher ta peau grainée de ta jeunesse, cicatriser de mes mains aimantes tes blessures de guerrier, saturer de baisers ton corps inconnu...


Juste glisser mes doigts lentement dans tes cheveux et dessiner tes rêves au ciel de notre couche, goûter le sel de l'existence à ta source vive pour me souvenir de ta saveur d'homme et d'amant...


Juste partager le pain et l'eau, le miel et l'ambroisie, boire à ta bouche le nectar de l'immortalité pour éprouver sans fin ce plaisir parfait...


Juste cambrer mes formes à tes formes exactes, souder à tout jamais nos destins indivisibles, couler notre futur dans l'airain oublié des boucliers d'autrefois, revivre les combats et les gloires des paladins, les exils et les ruines des rois déchus, les grandeurs et les décadences des poètes maudits...


Juste être, juste avoir... ton souffle...

Photos

4 novembre 2005 à 17h19

Bon dès qu’une bonne âme m’aura apprit a mettre des photos sur mon journal je vous ferrais partager cela…..

Vous avez cru voir la tête hein …..Nan…. nan j’vous ferez pas cette frayeur, y’en aura pas moi j’vous rassure ;-)

Mais bon ceci dit l'offre tient toujours pour que l'on m'apprenne...prévoir café et sandwich l'apprentissage risque d'être long ;-)

Hier............

10 novembre 2005 à 11h30

J'ai rencontré hier un ange ! Je vois déjà votre mine étonnée signifiant que vous pensez que j'ai perdu ma raison ou que je me trouve à la polyclinique prise d’une crise aigue de délire. Eh bien non je suis toujours chez moi et il me semble que mes neurones fonctionnent toujours normalement. Mais alors comment ai-je pu faire une telle rencontre ? Depuis des siècles l'humanité se pose deux questions qui hantent nos esprits nuits et jours, les anges ont-ils un sexe ? les anges ont-ils des ailes ? . J'ai l'impression de commencer à écrire un nouveau Da Vinci Code en rédigeant cet écrit.
Pour mettre fin à cet insoutenable suspense qui vous tient en haleine depuis le début de la lecture de cet écrit je vais vous dévoiler deux secrets. L'ange que j'ai vu hier avait un sexe et n'avait pas d'ailes.

Cet ange était là dans ce hall de gare il ne savait pas que pour nous allait commencer une histoire, il devait se doutait, mais ça ne pouvait être certitude.
Ce fut une rencontre qui n'avait peut être rien d'authentique, mais l’envie et l’impatience était bien au rendez vous c'était seulement le signal pour nous de retrouver l'essentiel pour nous de retrouver le goût de la douceur, de la tendresse, de la chaleur de nos mains soudées l’une à l’autre.
Cet ange était tombé dans un grand trou si noir qu'il ne pensait que jamais plus il n'y aurait pour lui l'espoir de revivre avec autant d'émotions de si grands moments de bonheur.
Maintenant on parle ensemble le même langage, et même si je devais le sauver, grâce à lui je ressens de nouveau battre mon cœur.

C'est dans un hall de gare qu'a commencé une histoire qui n'avait rien d'originale, mais qui pour nous n'est certainement plus banale. Et qui pourrait être aussi infinie que le voyage aussi lointain de l’étoile que je lui ai montré hier.

Un mercredi.....

15 novembre 2005 à 10h49

C’est maintenant le « grand saut » à la date du Mercredi. Je devais le rencontrer, nous sommes restés prudents durant les conversations, on espérait certainement beaucoup plus …………..Si affinités ! Après l’échange de petits mots qui nous avaient enhardis, nos voix, nos allures vont-elles confirmer la première « bonne » impression ?

Je suis juste à l’heure au rendez-vous, Il est venu me chercher à la gare. Le temps du trajet avant d’être confrontée à la réalité. Je regarde autour de moi, il y a énormément de monde. Les gens arrivent de trois directions différentes et il est là devant moi. Le temps à parcourir la centaine de mètres qui nous sépare me paraît infini, mais j’ai envie d’aller à sa rencontre, pour lui prouver que je l’ai reconnu.
Et puis, il est là, devant moi, il sourit, les battements de mon cœur se sont accélérés, j’adore son sourire, son visage…

On décide d’aller prendre un verre, je le laisse choisir l’endroit puisque je ne connais rien dans le coin …
Installée devant un café pour moi et un thé pour lui, c’est là que nos mains ne se lâcheront plus et ensuite direction le restaurant ou on achève de faire connaissance. Je me rend compte qu’il sait beaucoup me concernant, comme je sais pas mal de lui aussi. C’est fou ce que l’on peut confier derrière la barrière du net. J’apprécie sa culture et surtout sa voix. Intonations graves et profondes, mais aussi sensuelles, je savoure chacun de ses mots. La conversation suit son cours. Il est intéressant, captivant, envoûtant. J’essaie de rester concentrée mais je me pose beaucoup de questions, Que pense-t-il de moi ? Est-il déçu ? Il semble calme, posé, s’il est troublé c’est peut être aussi parce qu’il emprisonne mes jambes entre les siennes, ou que nos mains ne se lâchent juste que pour déjeuner.

Sur la route qui nous conduit chez lui en attendant le RER. Je sens le petit nœud dans le ventre se resserrer. Je savoure cet instant de liberté intense. C’est le moment qu’il choisit pour s’approcher de moi de nous coller contre ce panneau publicitaire à la vue de tous et qui nous regarde, peut être d’envie !!!! Je ne me rappelle pas avoir été aussi incandescente. Il m’embrasse et moi je décolle. Son baiser est parfait : léger, doux, sa langue est fine, elle éveille des sensations violentes. Je me plaque contre son corps tout en caressant sa nuque, ses cheveux. Ses mains à lui descendent le long de mon dos et s’arrêtent sagement autour de ma taille, mais cela suffit à mettre le feu à nos sens. J’aspire son souffle chaud, je ne respire plus que par lui. J’ai perdu la notion du temps, il est temps pour nous de prendre ce RER qui nous amènera chez lui………………………

Chez lui..........

15 novembre 2005 à 15h23

Nous sommes chez lui et nous savons ce que nous allons y faire. Notre attitude depuis le début de la journée ne trompait pas : j'étais collée à lui. Je le respirais Je m'imprègne de l'endroit : je regarde le plafond.
Il m'apporte un verre de coca, il veut me faire une surprise, il me cache les yeux d’un foulard, il me guide pour monter à l’étage. La chambre est illuminée de plusieurs bougies.

Change-t-on d'espace temps quand on est sous l'emprise du désir? C'est plausible car je n'ai plus aucune idée de l'heure qu'il est. Je m'évade en pensées, j'anticipe la suite des évènements, je me languis d'être contre lui. Il me prend dans ses bras et sans plus attendre, pose ses lèvres dans mon cou. C'est mon point sensible, il le sait parfaitement et s'amuse avec délectation des frissons qu'il me provoque. Sa langue, à présent, est sur mes lèvres, dessinant leurs contours avec une infinie lenteur. J'aspire son souffle chaud. Quand enfin il m'embrasse profondément, je sens ses mains sur mes cuisses, elles ne s'arrêtent pas là, montent encore et encore. Il me fait perdre toute contenance et chavirer dans une excitation telle qu'elle me pousserait à être à lui, là, tout de suite,
Mais c'est notre "première fois", il faut "bien" faire les choses...
Alors, réprimant mes tremblements, je m'aventure sur le chemin de son corps. Lentement je déboutonne sa chemise, embrassant la chair qui se dévoile au fur et à mesure. Je laisse la caresse de ma bouche s'intensifier.
Nos élans, nos baisers, nos caresses, nos audaces me laissent entrevoir un avenir sensuel plein de promesses.
Et si nos folies se rencontrent?...Si nos folies se rencontrent?

Je suis presque nue dans ses bras. Un sursaut de conscience me fait me demander comment nous sommes arrivés là pour échouer sur son lit. Mentalement, je tente de refaire notre parcours sensuel mais je n'arrive pas à rassembler deux idées. Il faut dire à ma décharge qu’il éparpille ses subtiles caresses sur mon corps offert et que je ne suis donc pas encline à réfléchir. Je suis tout juste capable de discerner ça et là, nos vêtements qui semblent être semés dans toute sa chambre.
Je le regarde. Il est beau. Je m'en mets plein les yeux. J'admire ses épaules, son ventre plat, sa taille fine, ses fesses. Ses superbes mains composent sur ma peau, m'arrachant des soupirs éloquents. Je frémis de tout mon être et mon ventre le réclame. Il m'embrasse, tout en me faisant glisser sous lui. Je raffole de la saveur de ses baisers, je me perds entre ses bras avec délices. J'aime son corps qui recouvre le mien et je sens ainsi à quel point il me désire. Est-ce bien moi qui le mets dans cet état? Je n'ose y croire! Je le veux, j'ai envie qu'il s'enfonce en moi sans plus attendre. Maintenant c'est sa bouche qui me frôle, elle s'égare sur ma poitrine, sur mes hanches. Il sent que je suis prête à l'accueillir, alors, il plonge son regard dans le mien, il sourit, il s'introduit en moi avec une infinie tendresse.
Je ne peux me lasser de lui, mes mains agrippées à son dos l'attirent contre moi, toujours plus près, nous soudant l'un à l'autre pour ne plus "faire qu'un". Il me fait l'amour de façon gourmande et passionnée. Il est doté de cette sensualité. Il est attentionné, sensible à mon bien-être et réceptif à mon plaisir. Il est toujours immergé en moi et accélère progressivement la cadence de nos ébats. Sous l'emprise de son étreinte, mes soupirs se transforment en gémissements. J'ai l'impression d'avoir perdu toute consistance, de flotter dans l'atmosphère douce et chaude qui s'est emparée de sa chambre depuis un bon moment déjà. Mes hanches ondulent sous lui, mon être tout entier réagit, lui répond et en veut encore. Notre corps à corps s'intensifie merveilleusement...
Il me regarde tendrement, je vois au fond de ses yeux poindre un éclat nouveau qui me ravit.
J’aurais voulu que ces moments avec lui restent à jamais ininterrompus, et qu’ils ne s’arrêtent jamais

Ce que j'aimerais lui dire....

17 novembre 2005 à 12h03

Qu'il est différent, très différent de tous les hommes dont j’ai pu croiser le chemin. Différent parce que je ne m'habitue pas à son absence, parce que je n'apprivoise pas les distances entre nous. Est-ce pour cela que je ressens un tel besoin de le toucher, de l’avoir prêt de moi, et qu’il me manque tant ? C'est pourtant le souvenir de ses caresses qui entretiennent si intensément mon désir. Une semaine après notre rencontre, je reste dans un état second où je le veux toujours plus. Je ne me rassasie pas de lui. Je m'étonne à ressentir parfois sa présence dans la solitude que je recherche et comme il me plait à remplir ses silences avec l'écho de sa voix. Les yeux fermés, cent fois, je revis nos minutes intenses, jusqu'à ressentir la caresse de sa langue sur la mienne. Je l'emmène alors dans mes songes les plus fous. Je rêve de ses yeux, de son sourire et de ses mains…….C'est impressionnant comme il peut être attentionné, gentil, le plus présent qu’il puisse me donner, de me faire partager tout ses sentiments renouveaux qui font que renforcer ce lien déjà si fort entre nous……… J'ai confiance et je veux prendre le risque de l'aimer. Et le risque : C’est de découvrir un véritable trésor caché au fond de nos cœurs. Nous abandonner à l’instant présent .C’est prendre le risque de vivre, d’exister et d’être heureux .Je sais au bout de si peu de temps c'est ahurissant, mais il faut le vivre pour le comprendre…… Lui, je ne veux pas qu’il s’enfuie même si je ne sais pas où je vais. Ces instants déjà partagés et cette envie de faire ce bout de chemin ensemble et laisser au temps écrire notre histoire et lui prouver que jamais je ne laisserais s’installer la lassitude entre nous, que cette histoire est déjà assez remarquable entre nous que même une tornade ne pourra déraciner ce que je peux ressentir de cette passion. Il me reste à gérer tous les manques qu'il suscite, et ils sont nombreux. Mais j’apprendrais à savourer la moindre parcelle de son corps, à emmagasiner les sensations nées de nos instants , pour me rappeler, qu'il est bel et bien là, même quand je ne le vois pas...Savoir au fond, qu'il existe un peu à travers moi, à travers les battements de mon cœur qu’il a su réanimer...Et pourvoir lui dire que si j'étais une fleur, je voudrais être une pensée pour pouvoir entrer dans les siennes et leur dire que la vie est belle et courte et que le bonheur ce n'est pas hier, ni demain c'est aujourd'hui qu'il nous tend les bras,et qu’ il suffit de s'y précipiter pour en savourer tout les meilleurs moments que l’on aura ensemble.

Mon horoscope du jour...

17 novembre 2005 à 15h11

Verseau Jeudi 17 novembre 2005
Votre horoscope hebdo
Né entre le 21 janvier et le 19 février
VIE PRIVÉE :
Laissez de coté vos interrogations, et vos doutes, surtout que des aspects planétaires, très favorables, doivent vous permettre de prendre de très bonnes décisions dés aujourd'hui. Ceci est d'autant plus valable dans votre vie privée ou certaines situations ambiguës ont assez durées et ou les choses doivent, absolument, être éclaircies sans plus tarder.


Quand ça m'arrange j'ai envie d'y croire ;-)

Voilà Ivoire......

17 novembre 2005 à 16h58

Dimanche....

18 novembre 2005 à 9h30

Je vais au concert de Calogero avec ma copine ;-)

Calogero

21 novembre 2005 à 11h00

La lumière baisse, dans la salle des voix s'élèvent "Calo ! Calo ! Calo !". Il arrive décontracté, guitare basse en bandoulière, un grand sourire aux lèvres. Les morceaux s'enchaînent, à la fois mélodiques et rock, systématiquement salués d'un tonnerre d'applaudissements. Puis, les "gros" titres arrivent. Des les premières notes de Tien an men, le public explose, la scène se pare d'un rouge vif électrisant, le son monte. S'ensuit Châtelet les Halles (composé pour Florent Pagny et rendu à son auteur) réorchestré pour l'occasion dans une version beaucoup plus agressive : la basse omniprésente transperce les corps, le piano est fortissimo, les stroboscopes arrosent les musiciens de leurs lumières blanches. Aussi libre, 2000 mains en l'air claquent et le public reprend le refrain. En apesanteur, le public des gradins est debout et le parterre danse.

Enfin, bref Calogero est un artiste fantastique : ses paroles sont sublimes (parce qu'elles nous touchent), ses mélodies émouvantes et lui, très simple et généreux.
Si elle reste aussi nature, cette exceptionnelle star de la chanson française mérite vraiment qu'on l'aime.

[Image] http://public.journalenligne.com/datas/documents/salome/calogero.jpg

Avis....Avis.....

22 novembre 2005 à 14h48

Ce journal en ligne, je l’ai commencé pour moi.


Avec le temps d’autres bloggueurs se sont accrochés au train de mes lignes. Sans doute parce que dans toute vie se retrouvent des éléments de notre propre vie… Ils sont venus chez moi, je suis allée chez eux. Avec certains, j’ai noué des liens privilégiés, des amitiés véritables sont en train de se construire.
C’est formidable, et inattendu.
Je ne pensais pas que la démarche virtuelle m’apporterait ces liens réels. C’est pourtant le plus beau cadeau que j’ai reçu, en presque une année de mon journal !


Evidemment, on ne choisit pas ses lecteurs. Le lieu n’etait pas fermé aux non-bloggueurs , au tout début de mon journal , mais les réactions et certains commentaires m’ont fait choisir de ne donner accès qu’a ceux qui souhaitait vraiment faire partie d’un nouveau cercle, je l’ai donc passé en restreint et en donnant accès à ceux qui le voulait mais pas non plus aux parfaits inconnus.

J’ai, de ce fait échappé aux commentaires d’insultes dont ont été victimes certains des bloggeurs en « ligne ». J’ai quand même parfois l’impression d’être nue devant ceux qui me lise, alors qu’entre bloggueurs nous sommes sur un pied d’égalité. (Qui a dit : « Oui, tous à poil ! » ??? Il sort…;-) )


Sauf quand un certain lecteur me laisse des commentaires. Et qu’il m’envoie des mails.
Et qu’il exigeait dans un mail que je raconte encore des choses parce qu’il aimait bien ça, qu’il se dévoile un peu parce que moi j’estimais être drôlement en avance sur lui, et avoir reçu des réponses un peu édifiantes dont je tairai le contenu. Et de me laisser l’autre jour un mail plat et vulgaire sur mon physique, (bon d’accord le portrait de moi que je fais en général n’est pas très réaliste il approche le plus souvent d’un monstrueux personnage, plutôt qua une Miss Monde) mais quand bien même voilà qu’il se permet de contester la réponse que j’y avais faite !! Avec un impératif : « ne me juge pas ».

Eh bien Monsieur, comprenez enfin s’il vous plaît que vous êtes ici SUR MON JOURNAL, que je dis en ce lieu TOUT CE QUE JE VEUX et que je réagis aux commentaires qu’on me fait COMME JE VEUX.
Alors JE VOUS JUGE SI JE VEUX, aussi.
Et si cela ne vous agrée pas, je ne peux que vous inviter à passer votre chemin !

Ah mais : ON N’EST PLUS CHEZ SOI !!!!

Bien sur après la lecture de cet écrit, SACHEZ que l’accès ne vous sera plus autorisé.

Ma liste MSN.....

24 novembre 2005 à 11h53

  • Bastien : Narboux pour ceux qui le connaisse
  • David : Un ancien collégue ( me suis toujours engueulé avec lui mais il est parfois gentil)
  • DavidT : Celui du 15h51 sur le forum du JI
  • François : Un ancien collégue aussi
  • Fredo : Mon p'tit frére
  • Laurent : Un ami..et également un de mes fournisseurs au boulot
  • Laurent: Un ancien collégue ( il m'appelle Nenette et moi Louloutte)
  • Laurent: Un collégue actuel
  • Pierre: Un ancien collégue ( papa de 4 enfants et vivant seul...courageux)
  • Edison ( alias Fred): Un ami
  • Adsolut VidDa : On ne papote qu'en cachette, sa copine ne fait pas confiance à notre amitié pourtant il n'y a vraiment que ça ......
  • Zep: pas souvent connecté dommage :-(
  • Bibi : Lui j'l'adore
  • Dorotea : Ma topine de longtemps
  • Tloto : heu me souviens plus qui il est lui
  • Ingrid : une autre de mes copines, mais toujours en voyage, je l'a croise que rarement
  • Jean Francois: Et Cloé sa femme
  • Jo : Un ancien collégue ( un gros nounours, m'a souvent fait peur quand il était en colére mais jamais sur moi)
  • Julien : Un collégue actuel
  • Julien : Un ami ( journaliste sur la Bande FM, DJ dans une boite en vogue sur Lille, mais jeunot )
  • Ongle : Alias Orteil: Mais connecté qu'une seule fois depuis que je l'ai inscrit dans ma liste
  • Seb : Mon copain ( homo )
  • Sylvie: Alias Triny Jamais connectée et ca m'enerveeeee peut pas papoter assez avec elle.
  • Thom : on évite les sujets qui fâchent no comment......
  • YSC : Alias Yannick un ancien collégue devenu Consultant....M'envoie trop de blagues salaces, mais j'l'aime bien il m'apppelle " ma puce" enfin toutes les filles sont des puces a ses yeux ..

Et voilà ......bon d'accord j'ai plus de garçons dans ma liste mais bon

Dis lui .....toi !!!

25 novembre 2005 à 11h00

Dis-lui la beauté de son sourire
Et l'éclat de ses yeux qui te font frémir
Compte avec lui les battements effrénés de ton coeur
Raconte l'intensité de toutes ces heures.
Révèle le goût de vos moments volés
Insiste que tu n'en as jamais assez.
Dis-lui que tu aimes le son de sa voix, que tu t'enchantes des paroles qu'il prononce pour toi.
Explique-lui combien il compte, c'est de la folie, cette importance qu'il prend dans ta vie.
Décris-lui le tourbillon qui t'emporte quand son corps se mélange au tien
Avoue : rien ne t'était arrivé de la sorte, l'aimer est un acte divin.
Dis-lui les choses que tu préfèrerais lui taire, parce qu'elles te trahissent trop, parce qu'elles te mettent à découvert.
Rêve dans ces bras de tous ces lendemains, même si tu les sais pourtant très incertains.
Imagine les actes qui n'arriveront probablement pas, mais vas-y, invente-les puisqu'au fond "on ne sait jamais"
Dis-lui les "je t'aime" que trop souvent on n'ose pas car l'essence même de l'amour, est dans ses mots-là...

Hanouka

8 décembre 2005 à 10h46

Je n'aime pas Noël
D'ailleurs je n'aime pas les fêtes forcées dans l'ensemble

D’autant que je partage depuis quelques années ces fêtes avec SA famille, et je ne suis pas de nature hypocrite et ils le sentent bien et me le font ressentir également, pour moi Noël ça s'apparente à une fête emplie d’amour et de partage, un moment pour se retrouver en famille, ça l’était au début, mais je sais maintenant qu’ils ne remplaceront jamais MA famille……Je pourrais dire « nous n’avons pas les mêmes valeurs », ou alors c’est de l’éducation que j’ai eu et qui en ressort un dégoût maintenant de leur façon d’être , et que j’ai également le recul nécessaire, de mettre éloigner volontairement de leur cercle.

Même si je n'ai pas toujours dis ça , avant Noël c'était chouette , j'avais ma famille autour de moi , depuis que la grande faucheuse a tout ravagé , je déteste cette fête . Et encore si je me suis adaptée à cette fête c’était aussi pour me faire accepter, car avec mes parents ce n’est pas Noël que nous fêtions.

Les familles juives ne célèbrent pas Noël, mais elles ont également une fête à célébrer en décembre. Pendant Hanouka, la fête des lumières, chacun allume une bougie d'un chandelier à huit branches, chaque soir de la semaine. Le chandelier à huit branches rappelle le miracle d'une petite fiole contenant assez d'huile pour une journée qui avait été trouvé dans les débris du temple de Jérusalem après sa destruction, et qui aurait miraculeusement permis d'illuminer le chandelier pendant huit jours. Pendant Hanouka, on s'échange un cadeau par jour pendant huit jours, et les enfants juifs reçoivent traditionnellement une toupie marquée de quatre initiales hébraïques qui signifient " ce fut là un grand miracle ".

Je veux croire au miracle ……..

Mon Petit d’Homme

20 décembre 2005 à 10h20

Tu as aujourd’hui, onze ans. Le temps file et dessine petit à petit le garçon que tu seras un jour. J'ai cette envie toute maternelle de te protéger mais en même temps, il me faut bien t'apprendre à t'armer pour la vie. Et finalement, je me rends compte que je n'ai pas la recette... Nous avons déjà traversé tant d'épreuves, main dans la main, en si peu d’années. Je n'ai rien voulu te cacher, je t'ai tout expliqué. Toujours. Même à un âge où tu n'étais pas sensé comprendre. Je reste convaincue que je gagnerai ta confiance en te parlant "vrai", car si le sens de mes mots t'a échappé, tu n'as sans doute rien perdu de l'émotion. C'est ce que je voulais.


Je t’ai appris aussi que, les "grands" ne savent pas tout, ils se trompent parfois et se ramassent...Comme tu le feras toi aussi. Ne crois pas que ce constat très réaliste soit pessimiste ou trop dur à t'annoncer. La meilleure chose que je puisse t'apprendre, je crois, c'est d'accepter la vie comme elle vient, et de la gérer au mieux, de te donner la capacité de la rendre belle chaque fois que tu pourras. Te faire croire que les ruptures, les deuils et les choix difficile ne te rendront pas service en les niant. Ca existe, et en nombre en plus! Mais tu possèdes le droit de les maîtriser, de les digérer, et puis d'avancer malgré tout. Je te promets que tu te relèveras de tout, si tu le veux vraiment. Et surtout que tu ne sois pas comme moi.


Conserve ton langage d'enfant, sans nuance et guidé par ton coeur seul. A ton âge, on ne raisonne pas, on ne calcule pas. Tu aimes ou pas, tu veux ou pas, tu ne t'embarrasses pas de nos "peut-être", nos "on verra", et nos tournures politiquement correctes de grandes personnes.


Il y a encore tant de choses que je voudrais te dire, tant de choses que je voudrais prévoir, t'offrir ou t'éviter comme celle qui me maintiens en vie de te savoir prêt de moi, mais pour combien de temps encore ?…….Et même si je m’éloigne volontairement de ta vie, c’est que je ne veux pas que tu t’habitues a moi, qu’un jour je pourrais moi aussi partir, comme mes parents sont partis un jour en me laissant seule……..Tu as toi une nouvelle famille, une famille recomposée, mais avec des personnes qui t’aiment, tu ne sera pas seul………Et je serais toujours dans ton cœur, je serais cette étoile qui brillera dans le ciel, et qui te soutiendra, et qui veillera sur toi.

C’est ton anniversaire aujourd’hui mon petit d’homme

Au menu de reveillon .....

27 décembre 2005 à 11h36

Le boudin serait il devenu le futur de la femme ? Et bien, tout semble bien le prouver. Le boudin, si longtemps inexploré et ironisé, prend sa revanche sur les femmes jolies et bien faites (vous comprendrez ici que je parle de moi, mais pas dans le rôle du boudin, même si j’abuse parfois de ce petit nom et ne me taxez pas de non modestie, le boudin gagne à la fin).

Je prend un exemple : démonstration :
Le modèle même du petit boudin marche devant moi dans la rue: demoiselle sans charme, gros seins accompagnés de gros cul, le tout moulé dans un tee shirt rouge sanglant et un jupon, et bien les hommes semblaient magnétisés par elle, moi qui marchait derrière elle, je n'ai eu droit à RIEN.

Je demandais donc au grand sage, un « Mister Macho » sans nom entre 2 conversations ( en rapport à la masse ingurgitée de nourriture de ce week end et du week end à venir) ce qu'il pensait des boudins. Nous nous sommes vites aperçus que nous n'avions déjà pas la même définition, d'où un souci de compréhension. Pour lui, le boudin se caractérise simplement par une fille moche. Alors que pour moi, le boudin est un petit amas, même joli.

Et puis, Mister Macho a débuté un long discours sur le fait que les hommes préféraient les grosses (enfin il a pas dit les grosses, mais disons que sa description coïncidait pour moi à une grosse). Genre avec une galanterie toute masculine " Ben ouais, quand tu baisotes, c'est mieux d'avoir des trucs à manger".
Quel romantique ce Mister Macho décidemment. Et puis il est ordinaire que le boudin se fasse manger c'est un fait.

La chasse aux kilos serait -il donc un mirage engendré de quelques cerveaux tordus de rédactrices en chef de magazines féminins ?
Il fallait donc le dire :
Copines boudins, n'ayez plus peur, vous êtes au cortège de devenir les chaperons sexuelles de ce monde, l'heure de votre revanche a sonnée, déchaînez vous, les hommes vous aiment.
Bon je file, faut que j'aille me peser.

Et notes bien, J’adore le boudin noir avec des pommes moi ( j’suis une sanguinaire moi) . Mais le blanc truffé eurkkkkk…………Chacun son boudin quoi ;-)

Illusion

17 janvier 2006 à 11h03

Illusion, c'est un mot que j’aime assez, je sais pas pourquoi, j'ai toujours été attiré vers lui. C'est idiot, d'être attiré par un mot. La première fois que je l'ai entendu c'était dans une chanson, je ne me souviens plus laquelle. Elisa, Elisa, cherche-moi de poux... Non, sûrement pas celle-là. Mais illusion... C'est à la fois sucré et fort, c'est à la fois enchanté et ombre, c'est à la fois émotif et plein de constance comme mot. Comment peut-on avoir des sensations pour un mot? Je vous le demande. Mais ce mot... Il sonne d'une si jolie manière quand sa définition fait mal à celui qui a la lucidité de se le concéder !

C'est un peu comme lorsqu'on voit un film triste. Il y a les deux amoureux qui se séparent et vous confortablement allongé dans votre canapé qui sanglotez, sanglotez encore. Mais vous poursuivez le film malgré tout, il vous rappelle votre premier amour, vos premières larmes aussi et qu’importe après tout que vous ressembliez à une madeleine, vous buvez votre télévision. Alors soudainement, au bout de quelques minutes d'un chagrin que vous pensiez infini, vous comprenez que le film est terminé, vos yeux se séchant doucement après le générique aux paroles aussi attristées; et seul quelques mots sortent clairement de votre bouche entre vos dernier soupirs: "c'était magnifique". La tristesse peut donc être belle. Vous essayez de réfléchir distinctement sur cette question ô combien existentielle mais non, impossible, il est trop tard, soyez conscient votre jeunesse s'en va et après minuit vous ronflez. Que c'est triste tout ça. Vous rejoignez votre lit quand une dernière pensée vous empêche de vous endormir : je me sens si seule ce soir. Suite à cela, un retour en arrière de votre soirée, aussi sombre que la tristesse et aussi étincelant que la beauté, traverse inconsciemment votre système nerveux et alors vous sentez vos yeux se mouiller, puis vos joues se mouiller, puis le bout de votre nez se mouiller, puis vos lèvres se mouiller et, enfin, votre langue lèche vos larmes comme pour les tuer. Que c'est beau de pleurer. En tous cas, ça y est, vous dormez. Vous avez passé une belle soirée en étant triste. I’illusion, c'est pareil.

Mais peut-être que ce n’est que pour moi de mauvaises raisons pour aimer ce mot. A vrai dire, je crois qu'il n'y a aucun raisonnement a ce mot. Vous savez, on m'a dit aujourd'hui que le véritable amour était celui qui dépassait la raison.

Evidemment, je ne suis pas amoureuse d’une illusion, mais peut-être que cette histoire de déraison nous fait avancer également et que nous avons tous besoin de ne pas être raisonnable pour avancer dans notre vie, d’y ajouter des différences pour se construire un avenir sans ressemblance. Ou alors...Tout ce qui me semblait « illusion » il y en encore quelques temps, arrive à être banni de mon esprit, et c’est peut être comme un adieu à ce mot que je le prononce une dernière fois aujourd’hui……..

Insomnia

20 janvier 2006 à 10h27

Bon d’accord le titre est équivoque, je craque pour « al pacino » mais c’est surtout l’état dans lequel je me trouve ……Pas moyen de fermer l’œil, non pas par anxiété, mais plutôt par sevrage…….. Je laisse tomber les « lexomils » donc ça me semble une assez bonne nouvelle en soit, d’autant que je suis une accro depuis plusieurs années déjà …..Mais dans l’ensemble je m’en sors plutôt bien, j’ai cette satisfaction de faire quelque chose de bien, même si je ne dors pas beaucoup.

Donc hier soir, après avoir tourné et tourné dans mon lit, je suis descendue, et je me suis attaquée au rangement de mon coffre aux trésors, qui occupe toute la partie basse et fermée de ma bibliothèque, toute ma vie est enfermée dans cet espace, ça va de toutes la paperasse administrative, jusqu'au contrat de vente de la maison de mes parents, des divers courriers de notaire, de juge pour enfants de tout ce qui a fait ma vie après…..J’ai même le journal du jour de ma naissance « la Voix du nord » le quotidien de notre région.
Aux cartes postales et d’autres cartes toutes aussi plaisantes, des faire parts de naissances, de mariages, des invitations à des anniversaires ou bien même à des fêtes sans raison précise, aux photos de beaucoup de monde mais très rarement de moi, des lettres que j’ai pu recevoir, des mots amoureux, des mots écrits de mon père, il voyageait beaucoup pour son métier et j’adorais recevoir des cartes des endroits ou il se trouvait, et ensuite des mots de soutien . Et j'ai aussi retrouvé ce mot un peu jauni entre deux pages d’un cahier, c’était l’écriture de Thierry, il m’avait écrit ça :

J’ai fait ça en douce
Sans toutes les complications,
En pleine crambrousse,
Derrière les fortifications,
Pour perdre ma fleur d’oranger
J’ai connu sur le gazon
La grande secousse
Et le fameux petit frisson
En douce……..

C’était une façon de m’écrire notre première fois, même si il savait que je ne pourrais l’enlever de mon esprit, que c’est un souvenir que l’on n’effacera jamais de notre mémoire, mais j’ai cette trace de sa main …..Comme ci il avait pu prévoir ………

Echange de mail avec ma copine .....

20 janvier 2006 à 12h02

Message du 11/01/06 09:46
De : "Nathalie SALOME"
A : anthony.delon@wanadoo.fr
Copie à :
Objet : Pour la petite histoire
>

Comme indiqué en objet…


Hier je me trouvais au restaurant avec ma meilleure amie, et dans la discussion je lui racontais que si je gagnais au loto de ce vendredi 13, j’aurais aimé avoir la même maison que dans le télé film diffusé cet été sur la une ….c’est à dire une maison avec vue sur la mer en dans l’entrée se trouverait également un billard et cette maison appartenait à l’acteur Anthony Delon…Alors j’ai ajouté « et puis si Anthony me demande en mariage » ça serait même mieux…….Et en continuant la conversation je lui ai dit…..d’ailleurs demain je tape « anthony.delon@wanadoo.fr » et je lui fais part de mon intention …..

Voilà donc pour la petite histoire …..Alors même si je ne gagne pas au Loto je me marierais peut être avec Anthony Delon ……

Tout ça n’est qu’une petite histoire je suis pleinement consciente et saine d’esprit ;-) En espérant que je n’aurais pas de message d’erreur en retour de ce mail .

Je m'attendais a avoir un message d'erreur...que le destinataire n'existerait pas ........ Et bien non .......

Réponse aujourd'hui....

De : anthony.delon mailto:anthony.delon@wanadoo.fr

Envoyé : vendredi 20 janvier 2006 11:57
À : Nathalie SALOME
Objet : Re: Pour la petite histoire

Nathalie,
Tu dois savoir que je suis pris
AD

je suis écroulée de rire devant mon pc :-)

Nouvelles en vrac

31 janvier 2006 à 14h24

Alors aujourd’hui…Comment dire j’ai envoyé paitre Anthony Delon, et oui je tenais une correspondance depuis l’autre épisode avec lui ( enfin quand je dis avec lui, je n’en ai pas grande certitude) d’autant qu’il se montrait un peu trop entreprenant à mon goût pour qu’il soit réellement la vedette que j’imaginais derrière son clavier…Ce dont d’ailleurs je ne me suis pas gênée de lui faire part…….C’est vrai quoi, je voulais bien m’amuser un peu, mais de là a me prendre ( non pas pour une blonde je le suis déjà ) mais pour simple fille naïve, s’en était trop ………alors je l’ai envoyé ( élégamment quand même on sait jamais ) bouler …….

Sinon autre problème…….Samedi 21 Janvier donc à aujourd’hui ca fait si mes calculs sont bons 11 jours aujourd’hui et inclus, que j’ai changé le moteur ( en terme plus clair) remplacement de mon stérilet……Et depuis mal de ventre et saignement…… Alors est ce normal ou pas (interrogation) En plus au vue de la couleur du sang ( j’espère que vous n’étiez pas entrain de manger là ) j’ai des doutes quand à la fabrication de mon stérilet et si il était rouillé fabriqué en toute illégalité dans un pays développant la contre façon ( un stérilet signé Cartier)……Ben quoi ca pourrait pas être possible ça Oups damned j’y pense je ne suis même pas vaccinée contre le Tétanos, contre rien de toute façon même pas la rage…….Et là je me dis si un externe me tourne autour avec planqué derrière son dos une piqure pleine de vaccins, ca va mal finir cette histoire ………

Bon ma résolution , après qu’en même avoir appelé mon gynéco qui ne s’est d’ailleurs pas manifesté aussi rapidement que je l’aurais souhaité c’est juste de me dire : Normal pour les saignements ( enfin c’était vendredi dernier quand même ) et pour le mal de ventre du Spasfon fera l’affaire ……..

Ouais ben mon n’œil ………enfin la je ne peux pas faire grand-chose d’autant que ma semaine rouge s’annonce pour bientôt, alors j’attends (et pour cette fois presque comme un alléluia) et ensuite direction les urgences si ca persiste comme ça, c’est vrai je n’ai pas envie non plus d’infliger ma semaine rouge à l’externe qui sera peut être de garde ce soir là :-)

Gratuit....

3 février 2006 à 9h42

Hier j'ai vu dans un magazine gratuit la même maison que moi à vendre....
225 000€ ca veut dire que j'vais devoir donner plus de 100 000€ si je veux lui racheter sa part

J'ai quand même joué à l'euromillions on se sait jamais ........

Blague

3 février 2006 à 12h25

Je l'ai trouvé excellente....:-)

Pourquoi j'ai viré ma secrétaire

Je me suis réveillé ce jour-là et j'avais 40 ans.

Je ne me sentais pas très bien mais j'espérais que ma femme me souhaiterait un Joyeux Anniversaire.
A ma grande déception, elle ne m'a même pas dit bonjour.
Au petit-déjeuner, mes enfants ne m'ont pas parlé.

Au bureau, ma secrétaire m'a dit : "Joyeux Anniversaire !".
J'étais heureux, car au moins elle s'était souvenue de moi, mais à ma grande tristesse, mes collègues m'avaient oublié.
A midi, ma secrétaire m'a dit : "Pourquoi ne pas déjeuner ensemble ?"
J'ai dis que c'était la plus belle chose qu'on m'avait proposée ce jour.
Nous sommes alors partis prendre un verre et manger ensemble.

Sur le chemin du bureau, elle m'a dit :
"Pourquoi retourner au boulot si tôt un tel jour ?" et me proposa de passer chez elle.
Arrivés chez elle, elle m'a offert un verre et m'a dit :
"Cela ne te dérange pas que je me mette à l'aise ?".
J'ai répondu : "Quelle question !"
Et dans ma tête je me disais que ça pouvait être une expérience intéressante…
Elle est partie dans sa chambre et est revenue avec un énorme gâteau,
suivie de ma femme, de mes enfants, de mon patron et de tous mes collègues.

Et moi j'étais comme un con, à poil dans le salon...

Une semaine.....

7 février 2006 à 11h25

Que je ne lui adresse plus un mot.....
Que lorsque le réveil sonne je ne lui dit plus : Toph réveille toi il est l'heure
Que lorsque le repas est servi je ne lui dit pas : C'est prêt à table
Je n'arrive même plus à lui parler .....
Quand tout ça va t'il se terminer.....

Lorsque que lis le journal du" canadien errant" je me mets à la place de sa femme et j'ai envie de lui dire :.Va t'en de chez toi c'est la seule chose qu'elle veut. Quand il écrit que lorsqu'il lui fait l'amour il a une pensée pour l'Autre, c'est vraiment dégueulasse pour un homme de penser ça ( j'suis désolée c'est le seul mot qui me vient à l'esprit).......Comment peut on vivre ensemble et ne plus être heureux et rester encore, sauf pour le plaisir de vouloir encore faire du mal à l'autre ( à moi ) " Même si je n'ai pas les 4 enfants , même si il ya plus d'un an qu'il n'y a plus de sexe entre nous....Même ......."

Je mélange tout .......... Mais je veux tellement en finir avec lui ......J'en ai assez vraiment....Mais je veux tellement préparer au mieux cette séparation qui me semble évidente que je ne sais encore combien de temps je vais tenir encore..........

Poème Breton

21 février 2006 à 13h55

La nuit était noire
La lune était blanche
Nous étions seuls
Elle et moi
Sa peau si douce
Ses yeux si bleus
Je savais ce qu'elle
Attendait de moi
Je lui dis de se calmer
De ne pas se rebeller
Je fis courir ma main
Doucement sur ses reins
Je n'y connaissais rien
Mais je fis de mon mieux
Pour placer mes doigts
Délicatement entre ses seins
Je me souviens de ma peur
De l'excitation de mon cœur
Jusqu'à ce moment béni
Où ma honte s'enfuit
Après quelques Hisse et Han
Il ne fallut pas longtemps
Pour qu'en un jet puissant
Jaillisse le liquide blanc
Enfin j'avais réussi
J'étais un homme à présent
C'était la toute première fois cet automne...
Que je trayais une vache Bretonne !

LINGE SALE

2 mars 2006 à 10h55

C’est décidé à mon retour de vacances je déménage mon journal sur un autre site.
C’est dernières semaines j’ai trouvé l’ambiance très malsaine.
J’en ai assez de ces personnes qui jouent un rôle sur le Net, qui n’ont d’existence dans leur vie que sur la vague du surf, je trouve cela tellement désolant et encore plus quand certaines de ces personnes prennent un malin plaisir a manipuler, a influencer ; a vouloir contrôler l’autre….
Lorsque je suis arrivée ici, j’ai de suite adhéré à la communauté, j’ai découvert des personnes rigolotes, sympathiques…..Mais maintenant chacun a tracé son bout de chemin, ce que je conçois parfaitement mais là maintenant c’est vraiment devenu n’importe quoi.

Ce qui a motivé de déménager ??? Ma naïveté probablement j’ai raisonné comme dans la vie réelle et que je pouvais faire confiance, alors qu’il n’en est rien dans ce monde virtuel, voilà mon journal sera transféré ailleurs et sans communauté, juste pour moi .

Les derniers événements qui ce sont déroulés ici m’ont encouragé dans l’idée que je n’ai jamais aimé me battre pour avoir une place ou qu’elle soit, je sais aussi que cette semaine de congés sera déterminante pour certain(es) de s’approprier les lieux, je pense que le discours laissé sur le forum a en déplu certain et que le retour n’en sera encore plus que dérangeant, car leur seule motivation ici n’est qu’égale qu’a leur « pauvre » existence, ils ont peut être l’impression d’avoir une vraie vie ici ……


Jéricho ce mot est pour toi, tu as eu la primeur de cet écrit, je t'avais dit que je ne le mettrais pas, tu as insisté sur le fait qu’il fallait rester pour ceux avec qui j’ai fondé des affinités, mais les moyens de communication sont multiples, pour ne pas se perdre.

Je termine sur une « bonne continuation à vous »je garderais mon compte quand même pour pouvoir vous lire de temps en temps, parce que vous n’êtes pas tous semblables à ceux qui me dérangent, (tel le dicton, ce sont ceux les plus gênés qui partent et bien voilà, je pars) et je ne dirais mot nul part aucun sur les forums ni le tableau blanc, et les mp, , et n’oubliez pas, la vraie vie, c’est celle que l’on vit tout les jours et non celle peinte sur la toile……

Ps : Je colle ici le discours que j’ai laissé sur le forum pour garder en mémoire ce qui m’a motivé de quitter ce site.

Je sais que pas mal de gens ne soupçonnent pas, ou plus, à cet esprit de "communauté" dont on ne sait trop ce qu'il signifie. Pour moi, il subsistait une communauté, fondée sur une passion commune de l'écriture et un besoin/envie de partager un travail de connaissance de soi.
Chacun pouvait trouver des attirances de lectures ou inter-lectures avec quelques autres diaristes, ou au contraire ne pas en apprécier d'autres. Mais il trouvait un respect mutuel de la démarche d'écriture des autres. Allant parfois au delà de ces échanges et créer aussi des forums inter actifs de nouvelles, de rassemblement autour d’un thème, parfois même de débordement pour certains délires. Pour moi, c'était ça la communauté.

Une rivalité s’est interférée ….qui a fait que ce qui reste un courant minoritaire a pris beaucoup d'importance. Et comme le but de ces minoritaires est de se mettre en avant, ils ont pu prendre une place considérable. La logique étant «je me fous des autres et du passé, seul mon présent m'importe, et nous ne sommes que les victimes».
Vous vous êtes imposés sur les forums et le tableau blanc sans chercher à connaître le bon fonctionnement, sans chercher à intégrer le sens même de ce site qui est motivé par l’écriture de journaux. Vous vouliez faire de ce site un lieu de lamentations et de jérémiades sur les forums, de tchat sur le tableau blanc qui évoque plus un style caramailien que nous les anciens nous fuyons, et la "matière première" que sont les « diaristes critiquables » est inépuisable, celle que je retiens et qui m’exaspère le plus est leur fragilité exprimée qui est une source de jubilation fatigante et lassante à force de les lire en permanence sur ce site.
Résultat: pour quelques agitateurs, c'est toute la communauté qui bascule. On pourrait y voir une preuve de la fragilité de cette communauté. Je ne pense pas que ce soit le cas, nos liens sont maintenant établis.

Et pourtant nous ne sommes en rien les « si méchants » que vous prétendez que nous puissions être, bon nombre de nouveaux se sont intégrés à cette communauté, mais avec cet esprit que ce site est un lieu de convivialité et non d’appropriation.
Pour ma part, j'aimerai que le tableau blanc de JEL ne ressemble en rien à ce qu’est devenu celui de JI en si peu de temps. Et de toute la polémique construite sur ce sujet ca ne ressemble en rien a de la convivialité.

De battre mon coeur s'est arrêté

14 mars 2006 à 15h09

Titre d'un film de Jacques Audiard et grand vainqueurdes Césars 2006.
Je n'ai pas vu ce film, mais le titre résume assez l'état de "mon" coeur.
Mais je me releverais vite, car je pressens une fin heureuse, il va juste me falloir un peu de patience.
Alors juste parce que je n'ai pas envie d'étaler mes états d'âmes cette fois, car ca ne sert à rien de se lamenter pour quelque chose qui n'aura bientôt plus lieu d'être.

Je préfére mettre une petite leçon de morale, ca donnera un avant goût d'optimiste pour la suite ;-)

J'étais heureux !
Ma petite amie et moi sortions ensemble depuis plus d'une année, et ainsi nous avions décidé de nous marier.
Mes parents nous ont aidés de tous les côtés, mes amis nous ont encouragés.
Et ma petite amie ?
Elle était un rêve ! Il y avait seulement une chose qui me tracassait beaucoup....... : sa plus jeune soeur.
Ma future belle-soeur, vingt ans, portant mini jupes serrées, strings et chemisiers tombant. Elle se penchait régulièrement vers le bas quand elle était près de moi, j'avais ainsi une vue plaisante de ses sous-vêtements.
Cela était évidemment délibéré. Elle ne l'a jamais fait quand elle était près de n'importe qui d'autre.
Petite soeur m'a appelé et m'a demandé de venir pour vérifier les invitations de mariage. Elle était seule quand je suis arrivé. Elle m'a chuchoté que bientôt je devais être marié, et qu'elle avait des sentiments et du désir pour moi, qu'elle ne pouvait et ne voulait pas surmonter.
Elle m'a dit qu'elle voulait me faire l'amour juste une fois avant que je sois marié avec sa soeur. J'étais totalement choqué et ne pouvais pas dire un mot.
Elle a dit, "je vais en haut dans ma chambre à coucher, et si tu veux passer à l'acte, tu peux monter et me prendre".
J'étais assommé, gelé !
Je l'ai observée monter les marches. Quand elle a atteint le haut, elle a baissé sa culotte et me l'a jetée en bas de l'escalier.
Je me suis tenu là pendant un moment, puis tourné en direction de la porte. J'ai ouvert la porte et j'ai fait un pas hors de la maison. J'ai marché directement vers ma voiture.

Mon futur beau-père se tenait dehors.
Avec des larmes dans ses yeux il m'a étreint et dit, "nous sommes très heureux que vous ayez passé notre petit test. Nous ne pouvions pas
penser à un meilleur homme pour notre fille.
Bienvenue dans la famille".

La morale de cette histoire : toujours garder ses capotes dans la voiture!!!

Oiseau de fer

15 mars 2006 à 10h54

Ce qui m'enerve le plus en ce moment, c'est de passer chaque jours faisant devant cet aéroport, de voir cet avion décollé, et je ne suis pas dedans.................

Mayane Delem

16 mars 2006 à 10h04

Le même (Mayane Delem, Pierre Guimard)

Il manque d’air, quand tout semble figé
Il ne veut pas d’affaire, pour l’empêcher
De prendre le large, quand bon lui semble
Il a choisi la marge, il aime quand ça change
Refrain :
Au gré du vent, de ses humeurs
Il quitte cette vie, pour voir l’ailleurs
Mais loin d’ici tu restes le même
Où qu’on aille, on ne change pas
C’est la même histoire qu’on traîne
Il voudrait vivre libre
Mais tout seul il se gène
A quoi ça sert de courir
Cette vie en vaut la peine

Dans son monde, rien ne se construit
Il laisse quelques traces, là où il vit
Il a peur de lui, mais des autres aussi
De tout il se lasse, sans cesse il fuit

Refrain :
Au gré du vent, de ses humeurs
Il change cette vie, pour voir l’ailleurs
Mais loin d’ici tu restes le même
Où qu’on aille, on ne change pas
C’est la même histoire qu’on traîne
Il voudrait vivre libre
Mais tout seul il se gène
A quoi ça sert de courir
Cette vie en vaut la peine

Seul au fond si seul, il erre dans son Paradis fait d’enfer. La liberté se paie cher

Loin d’ici on reste les mêmes
Où qu’on aille on ne change pas
C’est la même histoire qu’on traîne
On voudrait vivre libre
Même tout seul on se gène
A quoi sert de courir si cette vie en vaut la peine

Loin d’ici on reste les mêmes
C’est toujours la même histoire qu’on traîne
Loin d’ici on reste les mêmes
C’est toujours la même histoire qu’on traîne


Ce monde ailleurs (Mayane Delem, Pierre Guimard)


C’était encore hier
On a laissé nos terres
Nous sommes partis pour ailleurs
On parlait d’un monde en fleurs
Refrain :
La tête me tourne dans ce monde ailleurs
J’ai tout laissé là bas, leurs visages, leurs voix
Qui sans cesse me détournent de ce monde ailleurs
Où j’aimerai sentir parfois que je suis chez moi

Aujourd’hui dans ces rues
Où des inconnus se ruent
Rien ne semble pour moi
Mais j’aimerais tant qu’on me voit

Refrain :
La tête me tourne dans ce monde ailleurs
J’ai tout laissé là bas, leurs visages, leurs voix
Qui sans cesse me détournent de ce monde ailleurs
Où j’aimerai sentir parfois que je suis chez moi

Ici je n’ai pas de repères
Ici tout est à refaire
Pour toucher du rêve
Qu’un jour on se lève

Refrain :
La tête me tourne dans ce monde ailleurs
J’ai tout laissé là bas, leurs visages, leurs voix
Qui sans cesse me détournent de ce monde ailleurs
Où j’aimerai sentir parfois que je suis chez moi


Merci Bibi d'avoir chargé mon MP3 pour ces chansons j'adore vraiment beaucoup, ca vaut encore des bisous tout pleins ça :-x

J'ai réservé :-)

20 mars 2006 à 10h56

Ca :

''__LE VIEUX JUIF BLONDE
D'Amanda Sthers__''

Mise en scène : Jacques Weber assisté d' Erwan Daouphars

La pièce

Joseph Rosenblath, se demande ce qu’il a bien pu faire au bon Dieu, lui qui a été élevé à la carpe farcie et aux chants yiddish, pour se retrouver avec des parents cathos qui jouent au golf à l’île de Ré…
Joseph Rosenblath, rescapé d’Auschwitz, contraint de porter une chemise de nuit rose imprimée avec des cochons qui jouent de la flûte…
Joseph Rosenblath est une jeune fille blonde de vingt ans qu’on prénomme Sophie !
Au lieu d’une crise d’adolescence, Sophie fait de l’arthrose ; au lieu de lui prescrire la pilule on doit la traiter pour incontinence… ses parents se demandent ce qui est arrivé à leur fille : Elle aurait pu choisir protestante, bouddhiste, tchétchène, noire même noire j’aurai préféré, juive à la limite, mais pourquoi vieux juif ? se lamente la mère.
Séances de psy, crises familiales, comment Joseph Rosenblath et Sophie vont-ils parvenir à cohabiter ?
Par quelles douleurs, dans quelles failles Sophie est-elle allée chercher ce vieil homme ?

My Radio

23 mars 2006 à 11h39

Je suis connectée sur cette radio en permanence :

http://www.contactmusic.fr/HP/

J'ai même un copain qui y bosse, c'est le journaliste ( Julien Castalogni) avant de bosser à contact il était à M6 Lille........Souvent il m'envoyait un mail m'avertissant d'un jeu a venir avec les réponses, et je gagnais à coup sur des places en avant première ......

Mais je l'écoute le midi aux infos maintenant ;-)

A écouter

30 mars 2006 à 10h15

J'adore........

http://www.martinrappeneau.net/site/actus/actus_home.html

Titre : " Roméo meurt "

Roméo meurt et moi je ne peux rien y faire
Il s’empoisonne, Juliette le suivra, quel enfer
Cette fin m’obsède,
Et je quitte Vérone pour Denfert-Rochereau

Martin Eden vient de se jeter à la mer
S’est-il trompé d’envie, s’est-il trompé de terre
Douleur familière
Et j’émerge de ma station de métro

REFRAIN

Alors tout seul mais bien vivant
En attendant
Je déclame
Des histoires vieilles comme le monde, qui parlent encore de toi
Mais marre d’être seul tout le temps,
Quotidiennement, je réclame
L’histoire qui me sauvera la vie encore une fois

Mes héros meurent et moi je ne peux rien y faire
Cyrano, Solal, Anna
Dorment six pieds sous terre
Je m’endors ou m’enterre
Leur romantisme m ’a rendu marteau

REFRAIN

C’est toujours plus beau d’être victime
Quand le poids des maux vous assassine
On a pour vous beaucoup plus d’estime

Mais marre d’être seul tout le temps,
Quotidiennement, je réclame
L’histoire qui me sauvera la vie encore une fois
L’histoire qui me sauvera la vie encore une fois
L’amour qui me sauvera la vie encore une fois
L’héroïne qui me sauvera la vie encore une fois





M. RAPPENEAU

Amateur de photos

5 avril 2006 à 9h52

Au détour d'un blog .....

http://zohiloff.typepad.com

Jour de pluie

10 avril 2006 à 11h04

Une profonde mélancolie s’est ancrée en moi aujourd’hui…
Ténèbres brusques…Parasite encombrant, précipitant ses sombres racines dans tout mon être…
Je ne saurais dire qu’elle en est la cause ni même l’origine, peut être lointaine. Mais je peux aisément interpréter cette sensation qui me traverse : une sensation de manque.
Je ressens comme un vide en moi, une partie de mon être recherche quelque chose, quelqu’un.
Ce serait comme une dépendance, ce quelqu’un, que j’éprouverais après y avoir goûté. Mes pensées sont déconcertées. Ma logique ne me comprend pas, ne réussit pas à saisir le sens de mes sentiments présents. Elle révèle une fois de plus ses limites, son inertie, sa faiblesse. Elle déserte face aux impénétrables méandres de mon être.


Il a plu aujourd’hui…
Les sanglots, exprimés sous une averse, disparaissent derrière les gouttelettes ruisselantes sur la peau, l’ondée se mélange aux larmes, les dissimule derrière un voile de pluie.
Encore faut il avoir la résistance de laisser éclore un pleur… Encore faut il avoir la résistance de laisser ainsi apparaître les amertumes de l’âme, les stupeurs de l’être… J’aimerai avoir cette force…
Mais je porte une malédiction en moi, cette peur de perdre les personnes aimées, une damnation par un passé qui veut que je ne puisse, continuellement, que garder mes pleurs au fond de mon être sans jamais pouvoir les laisser s’écouler librement, naturellement, humainement…

Qui n’a jamais ressenti cela ? La lassitude d’un week end empli de solitude, mais pourtant entourés d’autres, dans le silence d’une nuit, sur son destin, son passé, son avenir, sur des regrets, des remords, des ignorances, sur des joies éteintes, des amours d’avant, des sourires effacés, des larmes encore lancinantes…

Pourtant il existe une issue, et il faut que je me batte, j’ai peur de la désillusion, j’ai peur de perdre encore, j’n’aime pas montrer cet état de mon être, mais je ne peux pas montrer que mon sourire, je ne suis pas hypocrite, mais n’ayez crainte, ce n’est qu’un jour comme ça….

Woody Allen

21 avril 2006 à 14h48

J’ai regardé hier soir pour une énième fois en DVD le film "Deconstructing Harry" de Woody Allen.

On y raconte encore une fois ….O surprise…. de juif-ashkénaze-américain trouble. Mais comme j'adore ses personnages dont les noms et les histoires me font rire, je ne m'en lasse jamais.

Une nuit, j'ai fait ce rêve un peu bizarre.

Je purgeais en prison une peine pour homicide volontaire, ( je dois bien avouer que j’ai très souvent des envies de meurtres, ca doit être pour ça ce rêve) enfin quelque chose de lourd, parce que j'avais dans ce rêve le sentiment d'être enfermée pour une durée imprécise…..
Et voila que je reçois la visite de mon Grand frère, O malheur, O humiliation totale et sans appel.
Je vouais à mon Grand frère un respect à la hauteur de ses centimètres en plus qui me faisait a chaque fois me mettre sur la pointe des pieds pour tenter ne serait ce que de lui adresser un gentil mot ….
( vous l’aurez compris il était non seulement Grand par l’âge mais aussi Grand par la taille)

A travers les barreaux de ma cellule, je distinguais son air révolté quand en me voyant allumer une cigarette il me demanda:

- Mais... tu fumes?

- Ben oui. Mais un peu, hein. Une par jour, maximum (Je sais mensonge).

- Mais….mais... tu sais que c'est shabbat?

J'ai senti s'installer sur mon visage un magnifique air faux-cul ….
Très ressemblant de la tête de John Malkovitch dans Les liaisons dangereuses quand, en jetant soudainement ma cigarette a terre et l'écrasant du pied, je m’interrogeais:

Comment ca, on est déjà vendredi?!!

Sur le moment, le fait que mon frère puisse être offusqué par l'allumage d'une cigarette pendant shabbat au lieu de l'être par mon homicide volontaire ne m'a aucunement parue absurde.

Je me souviens même avoir réfléchit: comment ais-je pu faire une chose pareille? Comment ais-je pu fumer pendant shabbat et me faire attraper par mon frère, même dans ma cellule?

Donc maintenant a chaque fois que je vois un film de Woody Allen, je me souviens de ce rêve en me disant que ca aurait pu être une scène spécifique d'un de ses scenarios.

Voila. .......Et si déjà on parle de maladie mentale, je vous annonce que je ne fais jamais Shabbat , et que ceci est un rêve……….:-)

Etats d'âme

26 avril 2006 à 10h39

En ce moment, y'a des bouts d'avant qui m'attaquent. Contrairement a ce que je pensais a l'époque ou le Lexomil me permettait de mettre ma conscience en stand by, résistent en moi ces failles, qui laissent percer n'importe laquelle de ces attaques, aussi petite et sournoise soit-elles.
Ca me surprend d’autant que j'étais convaincue de leur disparition, je les pensais insignifiantes.

Non je ne pense pas être inquiète de nature, ou plutôt si, mais disons que j’arrive, en général, a vraiment aimer la vie avec tout ce qu'elle comporte de merdouilles.
Je suis consciente de toutes ces bonnes choses qui s'offrent à moi ces derniers mois.
Mais comme deux mondes parallèles, toutes ces choses positives ne semblent pas toucher la gosse tourmentée qui se réveille trop souvent en moi.

C'est le trou noir qui me saisit à nouveau, celui de la prise de conscience d'une solitude absolue, pas celle du cœur, mais de celle d’avoir perdue ses êtres si chers.
Sans fin, j'ai pensé que mettre toutes ces peurs insupportables sur le compte de leur disparation était la solution facile pour tout expliquer.
Sans fin, j'ai cru que ce n'était qu'une mauvaise farce, que ce manque serait surmontable.

Pourtant, si j'essaie de me souvenir de la première fois ou j'ai connu le trou noir, cette obsédante pensée d'être absolument seule au monde, c'est lorsque, de la chambre de mon frère ou l'on m'avait éloignée afin de ne pas me laisser entrevoir les personnes devant se prononcer sur mon sort, alors que je me trouvais seule au monde.
Et a présent je vois les choses, c'est la ou j'ai discerné, peut-être un peu trop hâtivement, la certitude qu'a partir de maintenant, il n'y aurait plus jamais de main protectrice pour me rattraper en cas de danger, que je parcourrais les routes a mes propres risques et périls dorénavant. Seule.

Quand bien même j'aurais enfin compris et adopter la source de ce trou noir, me sentirais-je enfin un peu mieux?
Est-ce qu'on fait jamais le deuil de son enfance?
Est-ce qu'on arrive jamais à contrôler ces sensations en comprenant qu'elles font partie essentiel de nous-mêmes?

Non je ne veux pas vivre dans le passé, non je ne veux pas m'auto-analyser, non je ne veux pas reprendre du Lexomil, je ne veux pas non plus m'enfermer dans cette coquille de solitude, de fatalité, de résignée ou je me sens à l’ abri de_temps_en_temps.
Mais ces forces sombres m'attirent malgré moi; elles obscurcissent mes moments de joie, ont un pouvoir que je redoute, tant je ne me crois pas assez forte pour les combattre.

Message perso: Mon cher B., Grâce à toi, depuis ces quelques mois je me sens soudain beaucoup mieux. Merci pour tes mots, pour ta finesse d'esprit, ta compréhension et ton humour ravageur. Merci d’être entré dans ma vie et ne sois pas prêt a en y sortir

Copine d'avant :-)

4 mai 2006 à 11h44

Il y a quelques mois déjà je m'étais inscrite sur le site Copaindavant.
Et puis hier je reçois un drôle de mail sur ma boîte mail..
Un mail qui disait: Une Ancienne Copine veut vous inscrire dans sa liste d'amis, êtes-vous d'accord?

Isa c'était mon amie, que dis-je, ma meilleure amie en Cm2 et 6ème.
Autant dire: des années essentielles dans le développement de mon futur moi.
Alors j'ai réfléchis et voilà ce dont je me souviens:

- Je me souviens qu'elle mangeait tout le temps des Nougatti.
- Je me souviens que son chat s'appelait Whisky et qu'à l'époque ça me stupéfiait qu'on puisse appeler son chat comme ça. Alors que moi j’avais un chien qui s’appelait « Pépito » rien de plus normal quoi.
- Je me souviens qu'elle partait en vacances à Rodés (je sais toujours pas où c'est d'ailleurs)
- Je me souviens de ses cheveux noirs longs et bouclés que j'adorais. Et de sa poitrine déjà formée que je jalousais, a voir maintenant laquelle des deux seraient la plus formées.
- Je me souviens de sa voix un peu suave.
- Je la trouvais magnifique mais mon père ne l'aimait pas trop.
- Je me souviens que c'est avec elle que j'ai regardé mes premiers films X. En 6ème. J'étais trop juvénile.
- Je me souviens de son bouquin sur la sexualité où on distinguait le sexe des jeunes hommes et ça me faisait halluciner l'aspect ridicule qu'avaient ces pénis entremetteurs: entre la nouille du petit garçon et le sexe mature de l'homme adulte.
- Je me souviens de nos battements de cœur pour des garçons qui ne me regardaient même pas parce que je n’avais pas de seins.
- Je me souviens aussi quand elle a déménagé et le sentiment d’abandon qui m’a gagné
- Je me souviens aussi de notre « solidarité» devant les profs quand l’une ou l’autre n’avaient pas rendu son devoir, n’avaient pas apprit sa leçon.
- Je me souviens surtout de nos fous rires.

Vais vite cliquer sur accepter.

Vous ne le saviez peut être pas.....

11 mai 2006 à 14h06

Mais selon la Cabale, le foetus est un sage.

Déjà dans le ventre de sa mére, il connait tous les " secrets du monde".

Mais juste avant sa naissance, un ange descend pour le faire taire.

Il lui applique un doigt sur sa bouche et lui dit " Chut"........

Le foetus dés lors oublie tout.

Il n'y a que son insconscient qui se souvient vaguement des " grands secrets".

C'est à cause de ce contact angélique que nous avons un enfoncement sous le nez " la gouttière des lévres".

Et puis........

11 mai 2006 à 14h31

Comme je le racontais sur msn........Autant en faire profiter et puis ca me rappelera des souvenirs :-)

Puisque étant petite, je posais, trente six mille questions à mon pére.......

Il m'avait également raconter l'histoire du nombril :-)

J'me souviens plus trop bien et en détail mais c'était à peu prêt ça , que le trou du nombril était un indicateur de sagesse............

Qu'il existait une grave maladie ( style cancer) et que lorsque l'on était pas sage, on devait le surveiller, si il devenait rouge, c'est que l'on avait fait une bêtise.

Et c'est probablement pour ça que j'ai pris l'habitude de surveiller mon nombril et de passer le coton tige avec un peu d'alcool.

PS: Et un facheux dilemne sur les cotons tiges m'opposent avec une personne ......... Faut il ou non se nettoyer les oreilles avec un coton tiges....Moi je maintiens que oui ...:-)

Le bonheur est dans les prés

17 mai 2006 à 10h08

Je m'en vais a compter de demain matin, prendre ma dose pendant 4 jours ;-)

Da Vinci Code

23 mai 2006 à 11h08

Nous sommes allés voir la toile de ce récit.
Je dois avouer que j’aime ce qui touche à la Religion en remettant en cause ses théories ancestrales, ses traditions, son inadaptation flagrante à l’évolution du monde actuel.
Et j’ai été sur ce point conquise par le roman de Brown.
Toutefois, j’ai moins aimé le film. Il n’est selon moi pas assez expressif, il manque en fait d’un réel style, les descriptions ne sont qu’un effet d’informations brutes que le metteur en scène semble avoir glaner ça et là et qu’il tenait à tout prix à intégrer (par exemple tout ce qui touche à la « Cène » de Léonard De Vinci qui est tout de même l’œuvre clé de toute l’argumentation de Brown) Le style est réellement trop adouci.
D’ailleurs, durant une bonne partie du film j'ai eu l’impression de me trouver au milieu d’un cours majestueux sur l’histoire de l’art, d’un manuel sur le ton élogieux. Nécessairement, il faut expliquer tout cela au profane (ou inculte ?) que je suis, certes de ces explications dépend la compréhension de son raisonnement, de sa logique. Mais y’avait il une autre forme à donner à ces explications.
De plus, je l’ai parfois trouvée bien évasive cette logique, tenant les événements sans aucune déduction, sans relation de cause à effet.
Je n’ai pas réellement un esprit draconien et mathématique mais je reste tout de même très logique, j’aime quand les idées s’enchevêtrent et se renouvellent comme dans une succession sans accroc, parfaitement synchronisé et fluide. Là, j’avais parfois l’impression qu’il manquait une poulie. Petite déception mais ça n’enlève rien au récit proprement dit…

Ceci étant, je ne regrette pas le film… J’ai aimé suivre les investigations de Robert Langdon et Sophie Neveu … Tout ceci m’a tenu en haleine sans faiblir, sans défaillir jusqu’à l’ultime mot.

Autre film, dont je dois vous parler à venir : A bittersweet life

Grand corps malade

24 mai 2006 à 15h03

Je dors sur mes 2 oreilles

J’ai constaté que la douleur était une bonne source d’inspiration
Et que les zones d’ombre du passé montrent au stylo la direction
La colère et la galère sont des sentiments productifs
Qui donnent des thèmes puissants, quoi qu’un peu trop répétitifs
A croire qu’il est plus facile de livrer nos peines et nos cris
Et qu’en un battement de cils un texte triste est écrit
On se laisse aller sur le papier et on emploie trop de métaphores
Pourtant je t’ai déjà dit que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts
C’est pour ça qu’aujourd’hui j’ai décidé de changer de thème
D’embrasser le premier connard venu pour lui dire je t’aime
Des lyrics pleins de vie avec des rimes pleines d’envie
Je vois, je veux, je vis, je vais, je viens, je suis ravi
C’est peut-être une texte trop candide mais il est plein de sincérité
Je l’ai écrit avec une copine, elle s’appelle Sérénité
Toi tu dis que la vie est dure et au fond de moi je pense pareil
Mais je garde les idées pures et je dors sur mes 2 oreilles
Evidemment on marche sur un fil, chaque destin est bancal
Et l’existence est fragile comme une vertèbre cervicale
On t’a pas vraiment menti, c’est vrai que parfois tu vas saigner
Mais dans chaque putain de vie, y’a tellement de choses à gagner
J’aime entendre, raconter, j’aime montrer et j’aime voir
J’aime apprendre, partager, tant qu’y a de l’échange y’a de l’espoir
J’aime les gens, j’aime le vent, c’est comme ça je joue pas un rôle
J’ai envie, j’ai chaud, j’ai soif, j’ai hâte, j’ai faim et j’ai la gaule
J’espère que tu me suis, dans ce que je dis y’a rien de tendancieux
Quand je ferme les yeux, c’est pour mieux ouvrir les cieux
C’est pas une religion, c’est juste un état d’esprit
Y’a tellement de choses à faire et ça maintenant je l’ai compris
Chaque petit moment banal, je suis capable d’en profiter
Dans la vie j’ai tellement de kifs que je pourrai pas tous les citer
Moi en été je me sens vivre, mais en hiver c’est pareil
J’ai tout le temps l’œil du tigre, et je dors sur mes 2 oreilles

C’est pas moi le plus chanceux mais je me sens pas le plus à plaindre
Et j’ai compris les règles du jeu, ma vie c’est moi qui vais la peindre
Alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs
Moi quand je regarde par la fenêtre je vois que le béton est en fleur
J’ai envie d’être au cœur de la ville et envie d’être au bord de la mer
De voir le delta du Nil et j’ai envie d’embrasser ma mère
J’ai envie d’être avec les miens et j’ai envie de faire des rencontres
J’ai les moyens de me sentir bien et ça maintenant je m’en rends compte
Je voulais pas écrire un texte « petite maison dans la prairie »
Mais j’étais de bonne humeur et même mon stylo m’a souri
Et puis je me suis demandé si j’avais le droit de pas être rebelle
D’écrire un texte de slam pour affirmer que la vie est belle
Si tu me chambres je m’en bats les reins, parfois je me sens inattaquable
Parce que je suis vraiment serein et je suis pas prêt de péter un câble
La vie c’est gratuit je vais me resservir et tu devrais faire pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles

La vie c’est gratuit je vais me resservir et ce sera toujours pareil
Moi je me couche avec le sourire et je dors sur mes 2 oreilles

J'ai acheté le CD aujourd'hui, et c'est vraiment bien à écouter

Mon p'tit frére

29 mai 2006 à 10h37

Fredo dit :
je pars a bangkok et ensuite a bali en indonésie a peu prés quinze jours
Nath .... dit :
Hoooooo c'est génial ça ........
Nath .... dit :
tu ferra des photos aussi hein ....J'adorerais y aller moi aussi ...un jour peut être
Fredo dit :
j'aime pas trop prendre de photos mais j'essayerais je te les enverrais par e-mail si je peut car j'ai un pote qui a un appareil numérique ( moi ça me saoule faire les photos )
Nath .... dit :
Et tu pars kan?
Fredo dit :
le 20 juin et je reviens le 05 juillet
Fredo dit :
a moins que les tremblements de terre nous empeche d'y aller.

On a pas le même style de vie, mais en même temps elle ne nous a jamais fait de cadeau, en fait on est très différents l'un de l'autre, j'ai ce besoin toujours de stabilité, et lui il vit, il ne s'attache à personne, ni a un lieu, ca m'est déjà arrivé de chercher longtemps après lui , j'ai toujours l'impression de lui courir après, mais il me rattrape souvent, cette fois il me prévient qu'il sera absent j'ai trop tendance a le protéger mais il est plus jeune que moi, et pourtant il pourrait m'apprendre plus de choses sur le vie, elle a était beaucoup moins facile pour lui encore..........Il restera toujours pour moi mon PETIT FRERE .......

Un petit casse tête....

2 juin 2006 à 15h38

666, la malédiction est le remake du film culte La Malédiction qui a tant effrayé le public à sa sortie en 1976;

En fait je voulais juste faire une référence qui n'a absolument rien a voir avec ce qui va suivre...C'est juste qu'il faut retourner les chiffres ......

Au départ vous avez un chiffre .

142857

142 + 857 = 999

14+28+57 = 99

142857 au carré = 20408 122449

20408 + 122449 = 142857.

J'ai toujours trouvé incroyable de pouvoir jouer avec les chiffres, même si a longueur de journée j'en ai plein la tête dans ce cas précis j'trouve ça amusant....

Pas vous ?

Histoire de........

5 juin 2006 à 14h16

J’ai vu des mots tendres,
j’ai vu des mots d’excuse,
j’ai vu des gros mots,
j’ai vu des mots à prendre,
des mots qui accusent
et même des mots en trop,
j’ai vu des « mots-passants »,
j’ai vu des mots vexants,
j’ai vu des mots tranchants comme des pieux,
j’ai vu des mots qui immobilisent,
des mots sans mobile
et même des mots creux,
j’ai vu des « mo-hamed »,
j’ai vu des « Mau-ricette »,
j’ai vu des mauvais mots,
j’ai vu des mots d’amour,
j’ai vu des beaux « mo-ments »,
j’ai vu des mots de passe,
des mots oubliés,
et des mots qui ont trouvé leurs clés,
j’ai vu des mots d’ailleurs,
j’ai vu des derniers mots,
et de jouer avec les mots,
j’ai vu le juste mot ,
j’ai vu des mots à mots,
j’ai vu des mots déguisés,
des mots qui en disent long,
j’ai vu des mots d’esprits,
et qui portaient tout les maux,
j’ai vu 152 et 256 Mo stockés,
j’ai en vu qui sont restés sans mot. ……………

666 Le jour

6 juin 2006 à 15h02

Je ne sais pas si c’est vraiment le jour de tout les maléfices, mais en tout cas ce que je viens de vivre ce midi, c’est la plus pathétique façon de draguer……Je vous raconte…

J’étais sagement arrêter au « stop » ( je suis adepte de la vitesse mais au stop je m’arrête, et celui qui lève son doigt pour me dire que les feux oranges je fonce….. »tention à lui) Donc je reviens à mon Stop ……. J’attends que la file de voitures me passe sous le nez de mon capot, et la derrière moi un jeune homme la trentaine avec sa Mercedes coupé se colle à mon pare choc enclenche la première et me pousse vers l’avant …… Je serre le frein à main …rien n’y fait ……il est bel et bien entrain de prendre ma tuture par l’arrière et sans préliminaire aieuuuuuu ca fait mal …….Il s’arrête pourtant, là je me dis, j’ai le choix, soit j’avance de quelques mètres et une bonne marche arrière et j’lui défonce l’avant nan mais !!!!….Mais très vite je calcule oupsss ca coute cher une Mercedes en assurance ( dixit ca seraencore pour ma pomme).…..
Alors je descend , je m’approche de sa portière, je regarde droit dans les yeux, ce jeune homme pourtant avec un visage d’ange…..Là il baisse sa vitre….
Et me dit : d’un ton enjoué…Je suis désolé Mademoiselle, je n’ai rien trouvé de mieux pour vous inviter a faire un constat autour d’un verre……….Me connaissant mon sang ne fait qu’un tour…Et lui rétorque illico…
Désolée jeune homme le seul constat que vous aurez a faire c’est celui de votre portière…Interrogation de sa part ………
Et le seul souvenir qu’il aura de moi, c’est mon 37 fillette incrustée dans sa portière… ……Non pas sans avoir prit son n° d’immatriculation et être aller déposer plainte au commissariat, et le comble dans tout ça, c’est l’officier qui me dit calmement, « et bien j’en connais plus d’une qui aurait apprécié de se faire emboutir par un jeune homme en Mercedes »

Ne me donnait jamais une arme je pourrais avoir des pulsions meurtrières………

Avenir incertain

7 juin 2006 à 11h35

Ce soir je saurais si je suis libre ........

Si oui à quel prix?

De la légéreté

9 juin 2006 à 16h53

Dorénavant il y aura un ton léger sur ce journal ....... et ca commence maintenant :-)

1er Sujet :

Une nuisette oui mais pourquoi ?...

Ben vi ! A quoi ça peut bien servir?

Bon ok c’est joli, mais faut franchement avouer qu’à part être jolie, une nuisette ça ne sert pas a grand chose!

Ah ! si peut être… à décoller les hommes de la télé (surtout quand on pense au mondial top départ ce soir…), soit il jette un regard avec l’air absent et vous dit d’un ton léger « chérie tu tombes bien, tu m’apportes une bière ?» ou alors il vous saute dessus et arrache le petit bout de tissu, puis s’étonne qu’après cela vous faisiez la tronche.
- Tu ne vas pas râler pour un bout de chiffon à 10 euros ?…
- Heu ! mon chéri, le bout de chiffons comme tu le dit si bien, il coûtait 50euros et c’est avec ta carte que je l’ai payé! »…..
Sur ces douces paroles pleines de bon sens, ne vous étonnez pas s’il passe la soirée à zapper à la télé.
Ben vi ! C’est quand même fragile un homme !… surtout sur des sujets sensibles comme sa carte bancaire…

Mais vous avez déjà essayé de dormir avec une nuisette ?
C’est d’un commode !… Elle n’arrête pas de remonter (oui parce qu’en général, la nuisette est en satin, ou en toute autre matière glissante ).
Le matin vous vous retrouvez la tête immobilisée par une bretelle, à moitié dénudée, la nuisette remontée jusqu’au menton, et les seins dehors ! Finalement autant ne rien mettre du tout…
Il est même périlleux de porter une nuisette la nuit ! Même qu’une nuit je me suis réveillée en sueur après un cauchemar. J’avais rêvé que j’étais en train de me m’étrangler avec une corde, et en fait c’était la bretelle de ma nuisette qui négligemment s’était enroulée sournoisement autour de mon cou !…
Puis faut bien avouer qu’une nuisette en pleine nuit d’hiver… elle ne couvre pas grand-chose hein ! Vous pouvez toujours essayer de porter la nuisette par une belle journée d’été, mais je ne sais pas pourquoi elle n’est pas bien vu !…
Nan mais c’est vrai !!
Moi je veux un homme en nuisette…heu ! Nan je rigole hein !

L'amour ne disparait jamais

13 juin 2006 à 16h10

La mort n'est rien,
Je suis seulement passée dans la pièce d'à côté,
Je suis moi, tu es toi,
Ce que nous étions l'un pour l'autre,
Nous le sommes toujours,
Donne moi le nom que tu m'as toujours donné,
Parle moi comme tu as toujours fait,
N'emploie pas un ton différent,
Ne prends pas un air solennel et triste,
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble,
Prie, souris, pense à moi, prie pour moi,
que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été,
Sans emphase d'aucune sorte,
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié,
Elle est ce qu'elle a toujours été,
Le fil n'est pas coupé,
Pourquoi serais je hors de ta pensée?
Simplement parce que je suis hors de ta vue?
Je t'attends, je ne suis pas loin,
Juste de l'autre côté du chemin,

Tu vois tout va bien .

Qu'est-ce que dit mon petit doigt ?...

15 juin 2006 à 11h07

Savoir sur le bout des doigts
Être à deux doigts de
Ne rien faire de ses dix doigts
Croiser les doigts
Au doigt et à l’œil
Le doigt de l’ange
Avoir les doigts de fée
Les doigts dans le nez
Comptez sur les doigts de la main
S’en mordre les doigts
Mettre le doigt dans l’engrenage
Être comme les deux doigts de la main
Avoir un morceau de musique dans les doigts
Un doigt d’honneur
Faire toucher du doigt
Montrer du doigt
Mettre le doigt sur
Toucher du doigt

Trop court

22 juin 2006 à 10h33

Avoir un instant pour s'oublier, un court moment pour espérer.
Avoir une nuit pour être ensemble, mais toute une vie pour s'aimer.
Avoir une caresse pour frissonner, une soirée pour s'abandonner.
Avoir un instant pour se donner, une nuit sans se séparer.
Avoir la saveur infinie des moments passés ensemble, s’enivrer de chaque instant.

Comment fais-tu pour m'offrir tant de bonheur ?
Il suffit que tu me regardes dans les yeux.
Et que j’oublie chacune de mes épreuves.
Et que mon cœur me murmure qu’il est heureux…

Ce poème est trop court pour dire comme le désir de te retrouver me tord, et à quel point tu me manques.

Le Baiser

28 juin 2006 à 12h12

[Image] http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/UVLibre/9900/bin71/doineau.gif

J'adore cette photo. Dès la première fois que je l'ai vue, j'ai été ébahie par cette amplitude en deux dimensions. D'une entrave subtile, le photographe a réussi à créer un monde, et par chance, il s'ouvre sous nos yeux ébahis de tendresse.

Ce qui m'a ému, d'emblée, c'est que le temps semble suspendu. Je veux dire, on devine les déplacements des passants, des voitures. Mais pour les amoureux, plus rien ne compte, le monde alentour a entièrement disparu.
Regardez, ils ferment les yeux, comme pour mieux s'isoler encore, comme pour faire séparation des odeurs, des bruits, uniquement pour ressentir le frisson de deux bouches qui se partagent, de deux respirations, de deux visages qui se parlent, sans rien dire.
Comme si ce moment volé, aux yeux de tous, n'appartenait qu'à eux. Ils sont dans leur bulle d'amour et de tendresse. Lui qui, par son bras et sa main semble la défendre, elle, qui se laisse consumer, offerte et disponible. Qui n'a jamais embrassé me comprenne ! Nous avons tous et toutes vécus ce moment.

Je me souviens encore de mon premier baiser avec lui. Presque volé.....sans qu'il s'y attende, au carrefour d'une rue. Je me souviens de la sensation douce et enveloppante des ses lèvres. Je me souviens de son bout de nez et de ses pommettes. Mais ce qui m'a stupéfait, c'est cette espèce de voyage interplanétaire et intemporel, juste au moment où nos deux bouches se sont rejointes, simulant nos deux coeurs qui s'étiraient. J'étais partout et ailleurs et en même temps, je me déplaçais, à la vitesse de la lumière dans des pays inconnus et inexplorés. Je pouvais voir, sentir, toucher, goûter, entendre des sensations. Je frissonnais lorsqu'il se faisait gourmand, caressant ma langue. J'avais cette sensation bizarre dans le ventre, qui me disait, voilà, tu l'as fait. Tu as franchi le cap du courage. Je ne pourrais plus m'en passer.

C'était aussi ce sentiment d'appartenance à un être unique, quand ses mains, passées autour de ma taille, me caressaient le dos. Et puis, tout d'un coup nous nous sommes éloignés, il n'a suffit que d'un millimètre pour rompre le contact. Les yeux qui s'ouvrent, brusque retour à la réalité. Il a suffit de quelques instants d'inconscience, pour que je ne sois plus tout à fait moi-même. Un sourire timide, une étreinte qui se sépare. Mais depuis ce premier baiser, ces sensations non pas changées, ni même cette photo qui restera longtemps dans mon esprit.

Catalogue " La Redoute"

4 juillet 2006 à 11h18

Il faut savoir que je compte parmi les meilleures clientes de la Redoute ( Ben vi quand ils m’envoient une lettre il est toujours écrit « Cette offre est réservée exclusivement à notre meilleure cliente » .
Et donc malgré une commande passée il y a déjà un an , je reçois très ponctuellement leur nouveau catalogue . Donc si vous en avez un chez vous, c’est le moment de le sortir pour voir que ce qu’il va suivre est strictement vrai ;-)

Si comme moi, vous chercher l’épilateur (spécial maillot) rendez vous à la page « Rasoir- épilateurs » Vous y êtes ?
Bien ……Maintenant tournez la page …Regardez en bas à droite ….Et quels objets surgissent devant vos yeux ébahies de meilleures clientes ( ben vi si vous avez le catalogue vous comptez également parmi les exclusives de la Redoute :-) …Alors que voyez vous et oui…..

Des vibromasseurs …

Le premier que vous verrez est nommé « de luxe » et on ne soulignera jamais assez l’importance d’un vibromasseur de luxe, plutôt qu’un banal. Le vibromasseur de luxe doit être du meilleur effet, posé sur la table de chevet à côté d’une lampe de chevet de chez Stark Philippe
parce que un qui avance et qui recule (comment veux tu…comment veux tu….) ca n’a pas le même effet quand on reçoit du monde. Tandis que celui de luxe, ca sera la grande classe.

Il y a donc tout un éventail de vibromasseurs des qui vibrent, des qui ondulent, des qui massent la joue ( cf : la photo de présentation ) des qui avancent, des qui reculent et puis il y a même un jeu ( un truc de Kâma-Sûtra) et sous cet article il ya « réservé jeux aux adultes".

Mais le meilleur pour la fin…..Dans le catalogue vous trouvez également des préservatifs ; Les standards, taille normale, et tout le toutim, à la vanille
(note : les tailles standards coutent 9.00€ la boite de 24 tandis que pour les personnes de gros sexe ca leur coutera 24.00€ ca fait cher le bout de plastique ………..bonjour la discrimination ….. )
Donc sur cette même page, vous pouvez aussi acheter du gel lubrifiant et tenez vous bien aromatisé à la pêche…donc préservatif à la vanille + gel lubrifiant à la pêche ….Et bien vous obtenez la recette de la pêche Melba…Nan mais ils ont pensés à tout à la Redoute…..et âme sensible ne pas lire……vous ôtez le préservatif et vous avez même la Chantilly …..:-)

Donc voilà vous n’y avez pas pensé mais maintenant vous ne regardez plus le catalogue de la Redoute de la même façon, maintenant moi je retourne au boulot ;-)

Vu sur la toile .....

20 juillet 2006 à 10h37

Déjà pour profiter de la clim ;-)
Ensuite parce que ce sont de bon films :-)

Nos jours heureux:
http://www.nosjoursheureux.com/

Trop rigolé....Vraiment génial ....en plus la musique tout le long du film vous entraine, et pour ceux qui ont connu la colonie de vacances ca rappelle de très bons souvenirs.....Si quelqu'un trouve la BO du film je prends ;-)

Superman:
http://supermanreturns.warnerbros.com/

Pour tous ceux qui aime " Superman" et les effets spéciaux ;-)

Poséidon:
http://www2.warnerbros.com/poseidon/

Un remake d'un classique, qui a tenue toute ses promesses tant en effets visuels, mélangé avec de l'action sans oublier le coté dramatique du naufrage.

Vol 93 :
http://www.united93movie.com/index.php

Un film très éprouvant. On a une réelle impression d'etre a l'interieur de l'avion. Une réalisation impeccable mais qui se concentre trop sur la journée du 11 septembre vécu chez les controleurs aériens, au debut du film. Dès que l'on est dans l'avion, notre coeur bat à la chamade et on encourage les passagers de l'avion à reprendre le contrôle. Un film génial mais ne vous étonnez pas si à la fin du film toute la salle reste silencieuse et sort de la séance avec le même silence, c'est normal !

La colline à des yeux :
http://www2.foxsearchlight.com/thehillshaveeye

D'habitude les films d'horreur sont un divertissement et je ne les prend pas au sérieux. . La scène de la caravane est super stressante avec la musique de fond, bref j'ai ce film même si il est très gore et encore aujourd'hui certaines scénes sont gravées dans ma mémoire....

Holidays

2 août 2006 à 15h52

Quelles merveilleuses vacances ! J'en ai encore plein la tête et des tas de souvenirs gravés. Elles furent courtes et je serais volontiers rester là bas. ….

Sur la route qui nous a amené sur notre lieu de vacances, a part les inévitables bouchons sur Paname, tout s’est passé tranquille avec en musique pour nous accompagner des ringardises ( Dalida, Claude-Francois, Dave, et plein encore trois cd’s rien que de ce genre) mais il me semblait bien que j’étais la seule a chantonner. :-)

Nous avons profité de la mer, malgré le fait que la plage n’ai pas eu pitié de ma peau de blonde, ce qui m’a fallu dès le deuxième jour de rester en tee shirt pour éviter de bruler mon dos déjà bien rougit, j'ai la peau d’une blonde et donc fragile. Alors comme les enfants, tee shirt, lunettes de soleil et casquette et créme « indice 15000 »…..:-)

Des baignades un peu forcées l’eau n’étant pas vraiment très chaude, fallait une bonne dose de courage mais...... pipi oblige, le trempage devenait donc obligatoire ;-)

Quand à la piscine au pied de notre appartement, c’était plutôt l’espace des enfants, on en a profité qu’une soirée.

Des apéros prit sur la terrasse.

Des diners sur le port.

Pas mal de farniente aussi .

Des courses pour ne pas mourir de faim.

Des photos aussi mais ce n’est pas moi qui les ai prises.

Lecture aussi ... ( Enfin terminé mon bouquin « le concile de pierre » de Jean Christophe Grangé)

Des bisous, des câlins, des batailles, des soirées télé, des coudes à coudes pour la plus grande place dans le lit, des « non c’est toi le premier » pour aller à la douche, prendre les douches ensemble, des vaisselles à deux, des regards qui en disent bien long sur le bien être ambiant, des rires, des fou rires, des dernières clopes qui n’en sont pas ……………………..

Et hélas le retour qui ne fut pas des plus facile, presque 700 km, à conduire seule. Seul bouchon sur la route à 50kms de chez moi. Après un tel parcourt j’étais vidée en rentrant, plus d’énergie, mais heureuse d’avoir passé ces jours ci et surtout avec lui, pour me venger il a pu monter un meuble qui a complètement broyer ces pauvres mains. Et voilà me revoilou au boulot, bronzée (un peu si si ) et des étoiles plein la tête encore et encore ……….

Petite phrase....

9 août 2006 à 10h54

''Nous portons tous les cicatrices de nos blessures.

A nous de les honorer, car elles disent aussi que nous avons survécu et qu'elles nous ont rendus plus forts ou plus lucides.''

Histoire sans fin

10 août 2006 à 11h44

Simone Signoret a écrit un jour que la "nostalgie n'est plus ce qu'elle était".
Qu'est ce que c'est la nostalgie ?
D'où vient-elle ?
Pourquoi nous enveloppe t- elle comme un voile d'un tissu encore ignoré sur terre ?
Les Espagnols ont le penchant de dire que le tango est une pensée triste qui se danse, expliquant ainsi cet étrange état de joie et de chagrin mélangés.
Et nous nous avons Châteaubriand.
La mélancolie, la nostalgie n'est pas d'un pays ou d'un peuple, elles sont spontanément liées à la nature même de l'être humain.
Le meilleur remède à la nostalgie et la mélancolie est seulement de nous laisser bercer mais pas qu’elles nous envahissent jusqu'à ce qu’elles deux disparaissent pour laisser les meilleurs moments remplir nos pensées et nos cœurs.

Et lorsque je pense à la mélancolie ca rappelle aussi ce conte que j’ai vu petite, le jeune garçon devait traverser un lac, mais il ne pouvait avancer car l’obstacle était la mélancolie qui le gagnait, il devait l’a surmonté pour sortir de ce lac.
C’était un merveilleux conte si vous ne l’avez jamais vu je vous le conseille.

Une fenêtre de ma vie se ferme, une autre s'ouvre

14 août 2006 à 11h22

Se sentir au bord des larmes, constamment. Comme au bord d’un abîme dont, curieusement, on ne voit pas le fond. Il y a des moments dans la vie, minimes minutes qui passent, où les émotions ôtent tout sur leur passage ; où une odeur, un geste, une couleur, le son d'une voix, quelques notes de musique... tout et rien fait frissonner en vous de longues vagues qui remplissent le corps. Je me sens depuis quelques jours à l'image de ces bouteilles que l'on met sous le robinet d'une fontaine d'eau et que l'on a oubliées parce que le téléphone a sonné : elle se met à déborder, avec ce bruit si particulier que l'on ne peut pas emprisonner. Et sentir fuir toutes nos émotions. Cette boule dans la gorge et les larmes qui coulent le long du visage, sans que vous puissiez les maitriser.

On m’a apprit bien jeune à vivre en n’étant pas dépendante des personnes qui nous sont chères….Je me rends compte maintenant que j’ai pu partager ma vie avec quelqu’un pendant huit longues années et maintenant que tout est terminé de n’avoir que la nostalgie de ces années et de ne garder que les bons moments passés ensemble, mais pas la moindre tristesse de savoir que je ne le reverrais plus jamais.

Et maintenant je peux vivre cette histoire d'amour qui a prit naissance il y a quelques mois déjà non pas parce que je me sens seule, mais une histoire parce que je suis amoureuse.

Je ne veux pas l’effrayer en lui disant ce qui se passe en moi, que cette fois je ne me vois plus vivre sans lui, que cette fois il a prit toute cette place dans mon cœur, que cette fois je serais vraiment triste et désemparée s’il ne devait plus être à mes côtés un jour, c’est un sacré poids pour lui je trouve de savoir qu’une personne puisse vous aimer autant, de savoir qu’un jour il pourrait faire du mal à ne plus m’aimer. Mais ce n’est pas de sentiment tristesse dont il s’agit maintenant mais probablement un trop plein d’amour qui enfin jaillit de moi et que je me suis longtemps interdit, personne n’est entré dans mon cœur aussi intensément, je veux vivre cet amour et que jamais il ne se termine, j’ai enfin cette lueur en moi, ce vide quand je ne suis pas avec lui, cette patience que je dois maitriser pour que l’on soit de nouveau ensemble.

Je l’aime.

Simple question

17 août 2006 à 10h18

Parce que je me pose trop de questions.
Parce que j’ai besoin d’être rassurée.
Parce moi à cet âge j’avais du plonger dans ce monde des grands bien trop vite……

Alors j’ai posé cette simple question sur un site et voilà les réponses que j’ai eu

A quoi rêve-t-on à 22 ans ?

VENOM: D'en avoir 23 peut être...

salinehabitude : De la même chose qu'à 15 ans avec 7 ans de maturité en plus !

idefix : Moi? D'Amour, d'eau fraiche, d'argent aussi j'avoue, je voyage, d'aventure et surtout de SEXE

happyforever : Je peux pas te répondre parce que j'ai pas encore 22 ans!

BlueAngel : De la vie !

moneypenny : D'avoir une existence passionnante et passionnée, non?

lapinou : Moi je rêve encore au prince charmant, et oui comme quoi y a pas d'âge!! non plus sérieusement je suis une grande rêveuse alors avec moi tout y passe!

Bond: A 22 ans je rêvais encore d'être ministre et ensuite président.

TheHill : Moi a 22 ans, je rêvais de trouver du boulot et de trouver le prince charmant... Deux ans plus tard, j'ai réalise 50% de mes objectifs... J'ai du boulot!
Peut-être que dans 2 ans j'aurais réalise 100% de mes rêves!

sheida : On se donne du courage pour affronter la vie ainsi d'avoir un copain fixe

Cameleon : De construire une belle Famille, de liberté, d'argent, une belle villa, avec piscine, avec une grosse voiture non des voitures, avions privé, des voyages au bout du monde
STOP...........ce n'était qu'un rêve !!!

ludobreiz: D'être heureux avant tout ! Après le bonheur est relatif a ce que tu souhaite faire de ta vie. bonne chance

Jadisse : Souvent on commence à arrêter de rêver là! On commence surtout à gouter la vie en pleine dents!!

Maddox: D'avoir 22 ans tout simplement, et de les vivres pleinement

Ephémeride du jour :-)

17 août 2006 à 11h40

«Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à la tristesse.»

André GIDE

Tout simplement ;-)

C'est du propre....

25 août 2006 à 12h36

Et oui, je sais à peine revenue, que me revoilà partie......

Semaine prochaine pause journalistique ......
Au programme .......

Faire chauffer la Carte bleue......Me faut de nouveaux meubles......Débarasser les anciens, puisqu'ils partent,m'occuper de ceux qui restent, lustrage canapé, cirage pour les autres, et probablement il y aura du bricolage ......Cinéma...lecture....Grasse mat'...Et tout le toutim d'une semaine de farniente à la maison .....

Petit jeu pour passer le temps

1 septembre 2006 à 23h21

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Et pour voir les choses en plus grand

Mes amants, mes amours, mes bouquins

12 septembre 2006 à 12h22

On pourrait supposer que ce ne sont que des objets qui pèsent lourd, vieillissent, jaunissent, s'empoussièrent, s’éventrent, se souillent, s'entassent et s'écroulent du haut de leurs piles fragiles et désordonnées (parce que c'est justement celui-là...oui là, celui tout en bas dont j'ai un besoin urgent...)
On pourrait le croire en effet.
Mais ces objets sont autant de physionomies, de mémoires, de voix, de chroniques, de pensées, de rêves, de souffles dans un quotidien qui si souvent s'enraye de nervosité, de stress.
Chacun de ces amours euh amants (argh...de mes bouquins) est comme un personnage singulier: il possède son odeur, son allure personnelle, son visage si particulier, sa dimension, ses exigences, ses caractéristiques. Chaque livre qui est entré dans ma maison, s'y trouve par amour, par coup de coeur. Chacun évoque une histoire largement personnelle, qui souvent rejoint la mienne d'ailleurs.
Je suis envahie par mes livres, ils s'accumulent maintenant dans un désordre incroyable, sur des piles qui chavirent de plus en plus chaque jour ..Pas mal s'accumulent sur les étagères de ma bibliothèque, ou certains somnolent sur ma table de chevet, d'autres encore vont bientôt rejoindre un endroit des plus hétéroclites de la maison. Vous pensez aux toilettes? gagné!...
Et pourtant, je connais de source sûre où se trouve chacun des livres qui ont compté pour moi. Je les connais comme ma poche, je sais leurs secrets: leur couverture, le grain de leurs feuillets, je dirais même leur odeur singulière qui tient aussi au moment distinct où je les ai lus...une odeur éprouvée en quelque sorte...je peux sans trop chercher, mettre la main aussitôt sur le livre auquel je pense, parce qu'on en a parlé.
Parfois des bouquins me manquent, parce que je les ai prêtés et qu'ils ne me sont pas revenus...ils me manquent véritablement, ce ne serait pas la même chose de racheter le livre, il me priverait alors de son contenu, celui que j'ai cueillie au bord du coeur quand je l'ai lu et apprécié.
Certains livres sont des trésors parce qu'ils m'ont été offerts et/ou dédicacés par des personnes que j'aime beaucoup.
Mon dernier amant livre, dont je me ravie d'entamer la lecture est un roman "initiatique" d'un auteur japonais que je ne connais pas « Haruki Murakami « ...Alors surprise...

La colére

15 septembre 2006 à 11h38

Parler de sa colère, de sa déception, de sa tristesse n'est pas facile

D'abord parce qu'il faut apprendre à la reconnaître et à l'accepter en soi. Beaucoup ont été contraint d’enterrer leur colère parce que cette émotion était inconcevable pour les parents. : files dans ta chambre te calmer...dis pardon à ton frère...ne pleure pas...t'es pas belle comme ça...c'est vilain une petite fille en colère etc.

Et surtout parce qu'il faut apprendre à l'exprimer sans pour autant culpabiliser l'autre...On est quelque part responsable des sentiments négatifs qu'on ressent, d'autres dans la même situation que nous même ne vivraient pas du tout de cette même frustration... C'est mon histoire personnelle, mes expériences figées dans ma mémoire du terriblement négatif d'autrefois, qui me font vivre difficilement telle situation qui vient réveiller ce qui souffre encore parfois en moi.

Et ce n'est pas facile d'exprimer à l'autre la colère, de manière qui soit impartiale pour la relation. Il est bien plus tolérable de dire sa tristesse à l'autre, car on souhaite alors son côté « bon samaritain » qui le fera se mettre en peine pour nous consoler. Dire à l'autre sa colère peut se révéler très agressif pour lui surtout quand il tombe des nues et est à cent lieues de croire que quelque chose n'allait pas...Dire sa colère, sans l'attaquer, sans le rendre coupable, en demandant néanmoins son écoute attentive, risque d'aboutir à un échec
D'abord parce qu'on s'y est mal pris...(ne pas parler sous l'emprise de la colère, être capable d'attendre un peu...pas facile me concernant….J’ai ce fichu tempérament sans juste milieu qui me rends intolérablement impulsive, et sans que je puisse en avoir le contrôle sur moi même)

Mais aussi parce que l'autre qui a lui-même ses expériences de vie douloureuses qui lui viennent du passé, a un réel effort à faire pour écouter vraiment l'autre sans aussitôt lui renvoyer la balle...
Je suis une de ces personnes a qui l’on m’a donné ce mauvais sens dans la culpabilisation de la colère par les origines qui me sont arrivées, je me suis réfugiée dans une coquille...Je ne me suis pas autorisée à parler de ce qui n'allait pas, tout devait aller bien ...
Mais je ne puis devenir : lisse et plate, c’est n’être plus moi-même….Alors je suis parfois fougueuse et violente dans mes ressentis.

Jusqu'au moment où je toucherais le fond, ou j’aurais encore une fois perdue ce a quoi je tenais le plus….Car cette peur de perdre comme si elle ne me lâchée pas, me colle à la peau et à l’âme, parce que c’est ce qui est toujours arrivé dans ma vie...

La vie est un long apprentissage, je n'ai pas encore fini de cette vie certes ...mais apprendre est captivant, je reste partante.
Envers et contre tout...

Au programme.......

5 octobre 2006 à 10h17

Vu Dimanche dernier ;-)

http://www.indigenes-lefilm.com/film_fr.html

A voir très bientôt
http://www.leparfum-le-film.com/

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60722.html

Les places sont prises pour le 17 Octobre :-)

http://www.benabar.com/

Les places sont prises pour le 21 Octobre.
http://www.linternaute.com/video/humour/post-it/

Ma commande devrait incessament arriver dans ma boite aux lettres :-)
Le vieux juif blonde
Amanda Sthers

Le papillon des étoiles
Bernard Werber

N'attendez pas trop longtemps -- Agnès Marietta

Comme le fleuve qui coule -- Paulo Coelho

La semaine dernière , Vendredi 13...

19 octobre 2006 à 11h39

Pour transformer de vie, j'ai fait un petit loto
À la Française, ils m'ont sacrément mit les boules .
Les vilains n'ont pas sorti les bons numéros
Vraiment je ne les ai pas trouvés très cool.

Blessée j'ai attrapé le très bon gros Dédé
Je savais bien que partout ça le démangeait
Dans tous les coins, et les recoins je l'ai gratté
L'infâme égoïste, pas un sou il ne m'a donné.

Je ne m’interromps pas de gratter, j'ai de beaux morpions
Mais ceux-là, tiens je vais me les faire en solitaire
Je ne sais pas si je deviendrais millionnaire
Ca existe ils le disent à la télé….

J'aurais pu tenté à nouveau ma chance au casino
Avec les machines à sous et la roulette
Mais je serais repartie en petite culotte
Rien à faire, sûrement que je n'ai pas de pot

Salomé qui n'a pas de bol au jeux……….

A QUOI PENSEZ-VOUS?...

26 octobre 2006 à 10h36

Cette chose très indispensable mesure en général dans les quinze centimètres. Les deux sexes prennent du plaisir à l’utiliser. En temps ordinaire, elle est là immobile, attendant l’action. On trouve à l’une de ses extrémités un buisson de poils qu’elle porte avec effronterie. Lorsqu’on l’utilise, c’est en l’introduisant souvent vigoureusement.
Mais il y a les partisans d’une utilisation rapide, comme ceux d’une utilisation lente : tout dépend de chaque particularité et de la condition physique. Cependant la méthode d’emploi est toujours la même : des va-et-vient répétés dans un creux chaud et humide et qui créent une très forte excitation de la zone intéressée.
Si l’on prête l’oreille lorsque cette chose est en pleine action, on reconnaîtra clairement un bruit régulier produit par des frottements répétés dans le creux lubrifié.
Lorsqu’elle a finalement terminé son travail, elle laisse dans le creux humide une substance blanche, moussante, collante et un peu sucrée. On retrouvera aussi cette sécrétion sur elle-même et dans ses poils. Il faut la nettoyer pour qu’elle soit de nouveau propre en attendant son prochain emploi.
Une fois de retour à l’état de repos, elle attend raisonnablement sa prochaine utilisation. En ce qui me concerne, hors de question que je l’a prête .On pourrait l’utiliser deux à trois fois par jour, mais c’est un rythme d’utilisation que peu de personnes sont capables de soutenir.


Quelle est cette chose ?...Réfléchissez bien !

A quoi pensez-vous ? … Ah ! Je vois… Non, ce n’est pas vicieux…

M'enfin...il s'agissait d'une brosse à dent :-)

La fin du monde pour dans 10 minutes

8 novembre 2006 à 17h49

Et si tu dansais toute nue mon amour
Et si tu dansais toute la nuit jusqu'au jour
Tes petites fesses blanches, tes petites fesses blanches

Et si tu ôtais ce petit bout de tissu
Juste me régaler de ton joli petit cul
Je n'ai pas les ailes blanches, je n'ai pas les ailes blanches

Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes

Peut être sais-tu déjà pourquoi je te rôde autour
Quelque chose plus que tout me fait envie mon amour
Tes petites fesses blanches, tes petites fesses blanches

Ta langue est une danseuse qui se déhanche sur tes lèvres
Je voudrais d'abord la voir tourner dans ma bouche et je crève
De tes petites pêches blanches, tes petites pêches blanches

Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes

La lune juste pour moi découpe ton corps dans la nuit
Alors déchirant la pénombre ton petit cul blanc me sourit
Qui viendra dire après ça que le bon Dieu n'existe pas

Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes

Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Je sais ce que je ferais si putain c'est pas long 10 minutes

Je n'ai pas les ailes blanches, je n'ai pas les ailes blanches.

Cali
2005 "Menteur"

Espoir de paix

15 novembre 2006 à 17h00

Deux pays en guerre depuis si longtemps, que l'on soit humain ou animal il est décidemment difficile d'aimer au delà de ses frontieres.......

Girafe palestinienne esseulée cherche amoureux israélien


JERUSALEM (AFP) - Depuis la cage de son zoo de Qalqiliya, en Cisjordanie, la girafe palestinienne Ruthie est mélancolique. Depuis la disparition prématurée de son partenaire, elle rêve d'un nouvel amoureux.

Elle est d'autant plus inconsolable que Browny est mort d'une crise cardiaque lors d'un récent raid israélien sur la ville palestinienne, rapporte jeudi le Yédiot Aharonot, qui s'est ému du sort de l'animal.

Mais Ruthie n'est pas au bout de ses peines. Son prétendant le plus accessible est en effet israélien.

Il vit dans un parc zoologique proche de Tel-Aviv et ses responsables refusent qu'il soit transféré à Qalqiliya, pour des raisons sanitaires, les conditions du zoo de cette localité n'étant pas idéales.

Ils ont en revanche proposé d'acceuillir Ruthie à Ramat Gan.

"J'ai appelé le parc de Ramat Gan", a déclaré le vétérinaire du zoo the Qalqilyia, Sami Hader, au Yédioth Ahronot. "Et ils m'ont dit 'pas de problème, envoyez Ruthie ici pour quelques mois. Nos mâles sauront quoi faire'".

Les liens autrefois étroits entre le zoo de Qalqiliya et le parc zoologique de Ramat Gan ont été mis à rude épreuve depuis le début de la deuxième intifada en 2000, en raison des difficultés de circulation entre Israël et les territoires palestiniens.

Ruthie pourrait ainsi être l'une des victimes du conflit qui opposent Israël aux Palestiniens et finir ses jours dans la solitude du zoo de Qalqiliya.

Sondage

17 novembre 2006 à 9h53

LES CONDUCTEURS DE PORSCHE, CHAMPIONS DE L'INFIDELITE

Désolée pour les épouses de propriétaires de Porsche

HAMBOURG (Allemagne) (AFP) - Près d'un homme sur deux (49%) conduisant une voiture de la marque allemande de luxe Porsche reconnaît avoir trompé au moins une fois sa compagne (notez le "au moins"...), selon un sondage publié par la revue masculine "Men's Car".
(eh ben c'est du beau messieurs !! bon maintenant je vais penser à ça à chaque fois que je verrai un mec en Porsche !)

Une autre marque allemande, BMW, occupe la deuxième place en termes d'infidélités masculines (46%), devant les voitures américaines Ford (44%), d'après cette enquête réalisé par l'institut de recherches allemand Gewis.
(ils ont vraiment rien d'autres sur quoi enquéter ?)

Du côté des femmes, c'est également une marque allemande de voitures haut de gamme, Audi (groupe Volkswagen), qui remporte la palme des infidélités: 41% des conductrices reconnaissent avoir trompé au moins une fois leur partenaire.
(quoi !! des femmes qui trompent leur maris ! mais c'est scandaleux !! immoral !!)

Point commun avec les hommes, BMW occupe la deuxième place des infidélités féminines (39%)
(c'est vraiment une info trés trés interessante.....). La marque allemande devance les voitures italiennes (37%) tandis que les Porsche conduites par des femmes infidèles arrivent en quatrième position (37%).
(notons l'absence des marques françaises dans le peloton de tête)

Les automobilistes les plus fidèles, hommes et femmes, roulent en Opel ("chéri une Opel !!"), selon ce sondage réalisé auprès de 2.253 automobilistes. Seuls 31% des conducteurs et 28% des conductrices de ces voitures de marque allemande admettent au moins une infidélité .

Quand à moi autre sujet ( parce que je possède une voiture de marque Française ) petite satisfaction hier en recevant mon amende pour « encore » un excès de vitesse, c’est de l’avoir laissé avec mes bouquins aux toilettes .
Si une bonne âme pouvait me le rappeler j’ai pas envie de me payer une majoration aussi, je l’a ressortirais dans 15 jours .

Mauvais jour ......

21 novembre 2006 à 11h43

Il y a des jours comme ce jour ci, ou je me demande si "aimer" j'y ai droit......
Si ca ne serait pas préférable de rester seule pour ne plus faire souffrir ceux qui m'entoure......
Pourquoi ma façon d'aimer me rend si monstrueuse à ses yeux aujourd'hui ?
Pourquoi lorsque je lui tends la main, il veut me faire payer mes erreurs, comme pour me punir?
Pourquoi pense t'il que le soir je puisse m'endormir peut être avec le sourire de lui avoir fait du mal ?
Pourquoi pense t'il qu'après une année passée ensemble je ne puisse pas le connaitre, connaitre ses souffrances ?
Que sait-il de mes souffrances à moi? Est-il le seul à avoir souffert?
J'ai cette carapace incontrôlable et silencieuse dans laquelle je me réfugie lorsque ca ne va pas, ca lui donne le droit de penser que cette carapace me sert d'indifférence a ses yeux ?
Dois je me faire encore plus violence, de ne plus être moi ?
Dois-je arrêter que l’on puisse m’aimer ?

Moi aussi il y a des choses qui me font mal………

Ca fait un an que nous sommes ensemble, je ne connais personne de son entourage, ni famille, ni ami(e)s, j’en entends bien sur parler, mais savent ils vraiment que j’existe autrement qu’une petite amie, savent ils vraiment que mon bonheur pour moi sera quand nous seront ensemble, enfin réunis dans plusieurs mois, savent ils que je voudrais moi aussi les connaitre autrement que par ses mots……Le sait il que lorsque je le présente a mes amis la joie immense qui m’envahis de le voir évoluer parmi ceux qui me tiennent a cœur , de la joie qu’il soit dans ma vie avec ceux qui ont aussi leur place dans ma vie…..Pourquoi je n’ai pas cette place moi avec ceux qui l’entourent ?

Le sait il que ce jeu avec cette peluche « rat » que nous avons acheté ensemble ce samedi et dont il laisse présager comme un enfant « à nous », comme un jeu, alors que le désir d’un enfant ensemble n’est ni d’actualité, ni dans une réalité proche, mais ancrée en moi comme une évidence que le mélange de lui et moi serait une preuve de notre amour, alors pourquoi joue t’il a faire semblant comme me prouver qu’il serait « bon père aimant, attentionné » mais juste pour une peluche . Juste pour me faire ressentir que ca pourrait être possible, mais c’est impossible.

Mais ma souffrance n’est rien à côté de celle que je puisse lui faire endurer.

Je n’ai plus de cœur à ses yeux, je ne le connais pas depuis un an passé ensemble, je n’aime qu’a le voir souffrir avec mon mutisme.

Le sait il pourtant à quel point je l’aime ?

Tu va lire ces lignes, tu va souffrir encore un peu plus, mais je ne me serais pas murer dans le silence c’est ce que tu voulais ………J’ai libérer mon cœur, par cet écrit, je me dévoile mais à quel prix ?

Si je te perds avec ses mots, je saurais que je ne pourrais plus aimer et de laisser entrer quelqu’un dans mon cœur je ne ferrais plus cette erreur de peur de le faire souffrir encore.

Je ne sais plus comment prouver mon amour, que mon coeur est encore plein de toi et qu'il n'est pas si vide comme tu le penses , voudra tu encore de moi maintenant que j'ai livré ses mots?

Dilemme

6 décembre 2006 à 11h45

Le prix de ma liberté commence a se faire ressentir .......

Demain j'ai un rendez vous à 13h00 pour vendre mon diamant ..

Enigme de la langue française

12 décembre 2006 à 12h01

Parfois, je ne parle pas bien, en fait je parle à ma manière et c'est tant mieux, du mieux que je peux sans savoir faire mieux, je ne sais pas d'où ça vient mais je crois bien que c'est parce que la langue française n'est pas assez poétique. Donc je me suis vite imaginer des mots très tôt, des mots ou des expressions qui en fait ne sont que des styles de mots ou expression images...
Avec la dyslexie en plus c'est comme qui dirait extraordinaire l’ univers, la lune et les étoiles, pas de mal à me perdre dans ce labyrinthe constellant ? ah non c'est consternant..
Voici donc : le néologisme. Mot que j'appris au lycée .Le prof de français mit en marge de ma narration (15/20) sur mon mot formule "violon-dingue" : c'est un néologisme, je dû prendre le dictionnaire pour être sûre que jus de pomme et j'eus compris !

Donc tout cela pour vous dire, écrire, que ma dernière formule n'est ni plus ni moins que : " de se mettre des bâtons en travers des barrières" un réduit de " se mettre des bâtons dans les roues" et " se mettre des barrières à travers de la route". Mon amie vigilante à l'expression imagée, nous étions interminablement au téléphone pour sujet palpitant se rapportant à ma seule préoccupation de vie captivante : j'ai nommé l'amour " M'interrompant d'un bond pour fouiller en bonne future analyste... "c'est pas mettre des bâtons dans les roues, l'expression ?" Moi : si mais comme il y a des bâtons, enfin des barreaux enfin tu vois quoi, des barreaux aux barrières et des bâtons ! Avec les barrières des routes... qui se mettent en travers de ma route en ce moment ... finalement "me mettre des bâtons en travers des barrières, je trouve que c'est vraisemblable, non ?" .... et là je ris de moi !!!
Elle, pas vraiment persuadée, se dit fortement, "tu fatigue Salomé pas grave, continue...."

Et du coup comme j'aime constamment avoir raison question d'être au mieux pour moi quand je vais mal ou quand j'ai besoin d'être positive, j'ajoute : "bah tu vois j'ai un bâton au travers de ma gorge aujourd'hui"
Elle : "Ah non ce bâton là c'est celui du balai, on dit un manche de balai dans le c** !"
Moi : "mais un balai dans le c**, c'est quand on est raide et tendu, psycho rigide, je te parle de la continuation de la situation de ces bâtons de barrières en travers de ma route, qui font que je peux plus parler, que ça me remonte à la gorge....

Bref, les mots et les expressions vous l'aurez compris, c'est pas du tout mon truc, ça glisse, ça me passe par dessus de la tête, et je ne vous cite là qu’un exemple parmi tant d’autre…..Il arrive même et cela très souvent que ce sont les mots qui glissent tout seul au son de ma voix... J'en sucerai du bâton de réglisse que je crois que desfois personne n'a ces images comme moi qui me arrivent quand je parle... Ma tête fait comme un téléviseur, avec plusieurs programmes en même temps, et encore ce n’est pas le plus pire, vu que je me fais aussi des films !!

Merci la langue Française, en une phrases le Néologisme c'est super expansif mais qu'est-ce que c'est long à faire comprendre sans se mettre des bâtons à travers des barrières de ceux qui vous écoutent ! Moi j'ai deux fois plus d’obstacles à me faire comprendre... c'est trop injuste...
Comme me direz vous, une chose aussi à laquelle je ne peux adhérer….on m’a toujours dit « encore plus pire » ca ne se disait pas, le plus et le pire à mon sens peuvent très bien se suivre……. Que personne n’a connu le plus pire que le pire me jette la première pierre…..oupssss non pas bonne idée ça, promis j’arrête de vous embrouiller, d’ailleurs de m’embrouiller toute seule aussi…..

Hannouka

15 décembre 2006 à 12h06

Ce soir j'allumerai ma première bougie pour Hannouka, avec le nouveau chandelier offert avec tant d'amour ...... :-)

J'aurais une pensée pour cette première bougie, pour mes parents qui me manquent tant .....

A vos souhaits

10 janvier 2007 à 17h29

Le temps est aux souhaits, aux vœux, au bisou sous le gui, à la bonne santé et à toutes ces choses que l’on souhaite pour avoir la vie meilleure. J’ai réfléchi à la question : dois-je commencer la nouvelle année en publiant un texte râleur, pessimiste, fatigué, socialement engagé ? Ne pourrais-je pas envisager l’avenir plus paisiblement ? Bref écrire quelque chose de gai, de sautillant, de vif. C’est cette dernière tendance que j’adopterais « coute que coute » pour cette nouvelle année. En fait il y a tellement de choses à souhaiter –et même si l’on dit que la santé est le plus important, on en pense pas moins qu’elles ne sont plus d’actualité, un peu comme si on avait atteint un point de non retour. Alors ? Alors il me semble qu’il n’est que temps. L’heure n’est plus aux « si ça continue comme ça », il y a déjà quelques temps que l’on est de plein pied dans certaines situations. Ecologiquement par exemple. On sait parfaitement que la banquise fond, que les écosystèmes sont atteints définitivement, on sait que l’air respiré est une saloperie mais…. Les températures des beaux jours de Janvier, le vent léger, les bourgeons et le printemps qui annonce l’été, et le soleil qui se couche plus tard nous ferons oublier tout cela. On nous parlera de sécheresse, d’une saison « la plus chaude ».

Mais revenons ici, et vous me faites l’immense plaisir de venir ici, de faire cet effort. De me lire, de me laisser parfois des messages. Et c’est un plaisir tout partagé, car moi aussi j’adore vous lire. Je nous souhaite de continuer nos échanges, de nous enrichir ; d’essayer de poser les bonnes questions et d’y apporter parfois des réponses.
Que je puisse lire aussi vos amours, vos états d’âmes, vos joies, vos peines, votre bonheur.
Que je puisse lire nos mots. Nos phrases. Avec notre ponctuation ……Nos lignes qui s'alignent le long de ces pages. Un soleil qui se couche. Quelque part dans le monde un autre qui se lève. Cette écriture qui ne traduira jamais pleinement ce qui se passe dans nos têtes. Un parfum qui flotte entre notre enfance et cette putain de vie d'adulte. Des mots. Des phrases et des lignes.

Mais j’ai également eu un début d’année éprouvante, une semaine fatigante, de longues journées, des préoccupations plein la tête. Des premiers jours d'année mouvementés. Pourtant je ne veux pas laisser ce journal sans manger. Et j'en ai des choses à dire, ca ne manque pas. De ce qui se passe dans ma vie, dans ma tête, dans mon cœur, de mes pensées souvent qui s’échappent lorsque je pense à lui, et dont jamais il ne peut imaginer à quel point il peut être présent à chaque battement de mon cœur. Mais j’écrirai tout cela plus tard, le temps de récupérer.

Pour cette nouvelle année 2007

Et pourtant.......

16 janvier 2007 à 16h01

Je ne devrais pas écrire ces mots, les dévoiler et ne cesser de vous enquiquiner de cette manière.

Je ne devrais pas patienter ce qui ne peut être, maintenir cette rage de croire possible, l'impossible.
Je ne devrais pas me perdre dans des fragments de visions d'un avenir qui ne sera pas, m'essayer à imaginer l'irréel.
Je ne devrais pas vivre mes rêves comme s'ils étaient réels et considérer la réalité comme une chimère.
Je ne devrais pas penser ainsi à lui.
Je ne devrais pas me trouver absolument apaisée et démunie, aussi impuissante, fragile, fébrile, face à son sourire.
Je ne devrais pas sentir ce délicieux tremblement parcourir ma peau chaque instant où je croise son sourire.
Je ne devrais pas tomber dans cette profonde béatitude dès que j'entends le son de sa voix.
Je ne devrais pas rêver ainsi de la saveur veloutée de ses lèvres, de la douceur de sa peau, des piquants de sa chevelure sous les câlineries de mes doigts, de la caresse enivrante d'une étreinte...
Non, je ne devrais pas, car tout cela me fait peur, peur de tout perdre, peur de souffrir.
Et pourtant...

Poulette de luxe ;-)

19 janvier 2007 à 16h10

On ne se rend jamais compte de sa chance, uniquement des petits ennuis quotidiens.


Je ne vous l’ai peut être jamais dit, mais pendant mon enfance, mon adolescence, et aussi le début de ma vie d’adulte, j’étais plutôt issue d’une famille aisée. Et encore il y a quelques mois, je n’avais jamais compté en achetant des choses de la vie de tous les jours, bien que je pense ne pas vivre dans le luxe que pouvaient me permettre mes revenus.
Je n’ai ni grosse voiture (bon une Mégane 120 chevaux mais on ne peut qualifier ça de voiture de luxe), ni écran plat, ni home cinéma….
Jusqu’à présent, je m’habillais presque exclusivement « de marque » car pour la qualité que je trouvais excellente et de marque très peu apparente. Je n’aimais pas faire étalage de ses marques, et même lorsque j’étais petite, je me souviens que lorsque ma mère m’achetait des polos « Lacoste », et bien ce fameux « crocodile » j’en avais en horreur, je ne voulais jamais les porter, bien qu’à l’époque je n’avais pas conscience que c’était de la « marque » c’était vraiment ce fameux caïman que me dérangeais.

Mon amie Doro récupérait mes tenues à peine usagées, mais que je ne mettais plus.
L’autre dimanche elle me remerciait pour les vêtements qui étaient à la fois doux et chauds, et d’une coupe qui lui allait à ravir.
Elle ne pourrait jamais s’acheter de tels vêtements (et oui elle vit seule avec ses trois enfants, après que son mari après 15 ans de mariage soit parti pour une idylle avec une minette rencontrée sur Internet ) mais ceci est une autre histoire ;-)

C’est là que je me suis rendue compte que ce qui est spontané pour moi depuis l’enfance ne l’est pas du tout.

Quand je lui ai dit, en plaisantant, que je devais maintenant m’acheter des vêtements moins chers (j’ai fini de manger mon pain blanc comme le dit si bien l’expression), elle s’est vite écrié : « Ah non, pas question que je baisse de standing ! ».

Comme quoi on s’habitue au luxe!

Ambiance

5 février 2007 à 11h05

J'ai cette fatalité, des personnes qui en ont déjà trop vu, et trop tôt......

En Février.....

7 février 2007 à 17h42

Cette fois ci, c'est le froid qui me fait sortir momentanément de mon silence.
Non pas que j’ai perdu l’envie d’écrire, mais surtout par manque de temps.
Car oui bizarrement on semble s'étonner qu'il fasse froid : c'est en effet surprenant pour un mois de Février qui, jusqu'à preuve du contraire, est un mois d'hiver. Et il est anormal que dès que les vents soufflent à plus de 100 km/h dans ce pays, que la neige tombe ou que le verglas se forme (je rappelle qu'il s'agit là de phénomènes normaux en cette saison) tout soit paralysé, le courant coupé, la circulation des trains arrêtée, les avions cloués au sol, les bouchons interminables sur les routes.
Nous n'évoquons pas ici de raz de marée, de tremblements de terre ou de volcan en éruption : Mais banalement d'un temps de saison.

Et les " sans abris" morts de froid qui font la une de l'actualité, prouvant bien évidemment que le combat de l'abbé qui n'était pas de pierre est plus que jamais d'actualité au moment même où il nous quitte. Rien n'a changé. Les restos du cœur n'ont jamais autant servi de repas, la file devant les soupes populaires n'ont jamais été aussi longues. Et l'on nous parle des chamailleries dans le couple Royal-Hollande, du retrait de Hulot, des manipulations au RG par Sarko, de sombres calculs d'apothicaires politiques sans aucune vision d'avenir.

Et dire que pour la première fois de ma vie, je vais voter, c’est un véritable chaos .

Roméo et Juliette

8 février 2007 à 17h45

Découverte ce jour....

ROME (AFP) - Des archéologues italiens ont mis au jour près de Mantoue (nord) les restes d'un couple enlacé, probablement un homme et une femme, enterrés il y a quelque 6.000 ans, a indiqué mercredi à l'AFP Elena Menotti, qui a dirigé les recherches.

Découverts lundi lors de travaux dans une zone industrielle, les deux squelettes se font face et leurs fronts se touchent presque, leurs bras et leurs jambes sont emmêlés dans une ultime étreinte.

"Nous avons trouvé ces deux individus enlacés dans une sépulture néolithique. Nous supposons que ce sont un homme et une femme, les tests ADN devraient pouvoir nous éclairer d'ici quelques mois. D'après les premières observations, ils étaient jeunes car leur dentition est complète et présente peu de signes d'usure", a expliqué Elena Menotti.

"Tout le monde se demande évidemment pourquoi ils ont été enterrés enlacés. Je pense pour ma part que c'est le témoignage d'un grand sentiment d'amour qui a traversé le temps. Car quelle que soit la raison pour laquelle ils ont été mis en terre dans les bras l'un de l'autre, c'est qu'il y avait un sentiment entre eux", a souligné Mme Menotti.

L'archéologue réfute ainsi toute idée d'une femme sacrifiée pour être enterrée aux côtés de son mari décédé de mort naturelle: "dans ces cas baptisés les +sacrifices de la veuve+, la femme est mise en terre aux côtés de l'homme et non pas dans ses bras", a-t-elle précisé.

[Image] http://public.journalenligne.com/datas/documents/salome/romeoetjuliette.jpg

Mauvais Rêve..

13 février 2007 à 10h19

C’est probablement la première fois que je raconte un de mes cauchemars, celui de la nuit passée et sans aucun doute, le plus troublant, le plus émotif, le plus………

Déjà Vendredi comme vous le savez, c’était mon anniv, et lui qui après avoir récupéré les adresses mails de mes ami(e)s a tout organiser sans que je n’en sache mot, nous devions aller au resto et finalement un à un mes amis sont arrivés chez moi, je ne m’y attendais vraiment pas , dans mes pensées j’imaginais plutôt une surprise au resto mais ça ho non je ne m’y attendais pas, je pensais passer une délicieuse soirée avec lui au resto, lui et moi réunis pour mon anniv, mais c’était une toute autre soirée qui m’attendait, lui et moi et mes ami(e)s ceux qui me sont le plus chers au monde …………
Ca c’est la réalité.

Le cauchemar.

Il me donnait ses codes de boite mail, pour que je m’amuse a comprendre le cheminement, ainsi que l’organisation qu’il lui a fallu pour réunir tout mes amis ( la réalité je les ai déjà ) le rêve il me donnait des codes mais d’une boite mail secrète par erreur, dont je ne connais pas l’existence, et là , je découvre plusieurs échanges de mails, de lui et d’une autre personne, une personne avait qui il avait eu auparavant un contact qui à mon sens était plus destructif que constructif, une personne démoniaque, machiavélique, qui ne voit que le mal, et je découvre dans leurs échanges le jeu horrible qui ont tout deux mis en place, il devait me séduire, il devait que je sois totalement éprise de lui, pour mieux ensuite me détruire, m’anéantir, juste pour le plaisir de eux deux, de leurs esprits de tortures, ils ne sont pas aimés de gens comme nous, nous qui respirons la vie, alors il se sont vengés avec un plan tout droit venu de l’enfer….Et je découvre tout ça….. Je m’empresse de faire copie de tout ses mails, je m’empresse d’envoyer ses mails à mes contacts à mes amis, je m’empresse également de récupérer tout ses contacts sur sa boite mail, d’envoyer tout ces mails, mais aussi ceux ou il me dit des choses douces, tendres, amoureuses, comme pour montrer a tous son double visage . Je fais vite avant qu'il ne s'aperçoive de son erreur.

Ensuite je prends ma voiture, et là je roule, je roule, je roule très vite, jusqu'à perdre le contrôle de la voiture, tout le monde sait que je roule trop vite, ce que je voulais bien entendu, d’ailleurs si un jour je devais en finir, ca serait de cette manière, comme un accident, pas comme un suicide, comme ma famille que j’ai perdu dans ces circonstances, c’est aussi de cette façon que j’irais les rejoindre…….
Un routier me porte secours, je suis passée a travers le pare brise, mi corps dans le véhicule, le visage posé sur le capot devant, brulé, je lui hurle de me laisser mourir, de ne rien tenté…….Et le rêve s’achève, je crois que je suis en vie.

C’est horrible de faire ce genre de rêve, d’autant que j’ai cette certitude que rien ne puisse le qualifier comme tel, il croque dans cette vie, cette vie a deux, il fait parti de ma vie, j’ai d’ailleurs déjà rêvé de lui entrain de bruler vif dans une maison, et que je n’arrivais pas à le sauver….

J’ai vraiment un esprit torturé, et comment ne pas avoir l’esprit de travers le matin en allant bosser, de penser a de jolies choses, pour effacer ça de ma mémoire, j’en avais encore la gorge serrée, les larmes dans les yeux, ce matin. Le monde du rêve est horrible parfois on m’a dit un jour qu’il n’y avait que les fous qui ne rêvaient pas, pourtant j’ai l’impression d’en devenir folle de ces rêves.

Haaaaaa l'amour :-)

14 février 2007 à 9h08

A mon Valentin d'amourrrrrr …….

Edith Piaf
Il fait bon t'aimer
Paroles: Jacques Plante. Musique: Norbert Glanzberg 1950

Un jour que j'avais du chagrin,
Tu l'as fait voler en éclats.
Prenant mes larmes dans tes mains,
T'as dit : "T'es trop belle pour ces bijoux-là !"
Pour toi, j'ai appris à sourire
Et, dès ce jour là, j'ai compris
Qu'on puisse avoir peur de mourir
Quand on connait déjà le paradis...

Il fait si bon t'aimer.
T'as l'air d'être fait pour ça,
Pour être blotti, les yeux fermés,
La tête au creux de mes bras.
Ta lèvre appelle si fort mes baisers.
Je n'ai pas besoin d' me forcer.
J' n'ai qu'à m' laisser bercer
Et tout devient léger.
Il fait si bon t'aimer.

Auprès de toi je n'ai plus peur.
Je me sens trop bien, à l'abri.
T'as fermé la porte au malheur.
Il n'entrera plus, t'es plus fort que lui
Et quand, par les rues, je m'en vais,
Je porte ma voix dans les yeux,
Comme si tes baisers me suivaient
Et que les gens se retournaient sur eux.

Il fait si bon t'aimer.
T'as l'air d'être fait pour ça,
Pour être blotti, les yeux fermés,
La tête au creux de mes bras.
Ta lèvre appelle si fort mes baisers.
Je n'ai pas besoin d' me forcer.
J' n'ai qu'à m' laisser bercer
Et tout devient léger.
Il fait si bon t'aimer.

Semaine culturelle

20 février 2007 à 14h28

Ce soir, après moultes trépignements , et un petit caprice je vais voir :
La môme

Vendredi soir au thêatre sur Paris :
confidences trop intimes

Dimanche au ciné :
Lettres d'Iwo Jima

Et lundi soir
Odette toutlemonde :-)

Et j'vous ai pas montré mon cadeau d'anniv ....c'est là :-)
http://www.zeinorientalspa.fr/
après être entrer sur le site, cliquer sur prestations, nos formules et enfin " les délices de Zeïna" et ben c'est que pour moi ;-)

Il est tard....:-)

7 mars 2007 à 23h30

Je ne dors pas, alors je vous raconte, après j’irais me coucher …..

Il y a des moments ou nous aimerions bien aider ceux que nous aimons, mais ou nous ne pouvons rien faire. Ou bien les circonstances ne nous permettent pas d’approcher la personne, ou bien elle est fermée à tout geste de solidarité et de soutien…..

Alors, seul nous reste l’amour. Dans les moments ou tout se révèle inutile, nous pouvons encore aimer, sans attendre des récompenses, des changements, des remerciements, sans retour.

Si nous parvenons à agir de cette manière, l’énergie de l’amour commence à transformer l’univers autour de nous. Quand cette énergie apparaît, elle parvient toujours à opérer….
Le temps transforme l’homme. L’amour le transforme……

J’ai lu sur une page web un jour, qu’une enfant avait été brutalement frappée par ses parents. Résultat, son corps ne pouvait plus se mouvoir et elle restait muette…
Internée dans un hôpital, elle était soignée par une infirmière qui lui disait tout les jours « je t’aime ». Bien que les médecins assuraient qu’elle ne pouvait pas entendre et que les efforts étaient inutiles, l’infirmière continuait de lui répéter : « je t’aime, n’oublie pas ».

Au bout de trois semaines, l’enfant avait retrouvé ses mouvements. Quatre semaines plus tard, elle se remettait à parler et à sourire. L’infirmière ne donna jamais d’interviews, et le journal ne publia pas son nom. Mais ca sera écrit ici pour que nous l’oublions pas : L’amour guérir……

L’amour transforme, l’amour guérir. Mais parfois l’amour fabrique des piéges mortels, ou finit par détruire la personne qui a décidé de s’y abandonner totalement. Quel est ce sentiment si complexe, qui est au fond notre seule raison de rester en vie, de lutter, de chercher a nous améliorer.

Je serais irresponsable si je tentais de le définir, car comme tout êtres humains, je ne parviens qu’à le ressentir. On a écrit des milliers de livres, monté des pièces de théâtre, produit des films, crée des poèmes, taillé des sculptures, et pourtant, tout ce que l’artiste peut transmettre c’est l’idée du sentiments, pas le sentiment en soi.

Mais j’ai appris que ce sentiment était présent en moi, et aussi dans les petites choses et se manifestait dans la plus insignifiante de nos attitudes. Il faut donc toujours avoir l’amour à l’esprit, quand nous agissons.

Prendre notre téléphone et dire le mot de la tendresse que nous avons remis à plus tard. Ouvrir la porte et laisser entrer celui qui a besoin de notre aide. Prendre la décision que nous avions différée. Demander pardon pour une erreur que nous avons commise et qui nous laissera en paix. Exiger un droit que nous avons. Ouvrir un compte chez le fleuriste, qui est plus important que le bijoutier. Mettre la musique bien fort quand la personne aimée est loin, baisser le volume quand elle est prêt de nous. Savoir dire « oui » et « non » parce que l’amour concerne toutes les énergies…….

Et quand rien de tout cela n’est possible, quand il ne reste que la solitude, alors rappelons nous une autre histoire.
Une rose rêvait jour et nuit de la compagnie des abeilles, mais aucune ne venait se poser sur ses pétales.
La fleur cependant, continuait à rêver. Durant ses longues nuits, elle imaginait un ciel où volaient de nombreuses abeilles, qui venaient tendrement l’embrasser. Ainsi, elle parvenait à résister jusqu »au jour suivant, ou elle s’ouvrait de nouveau à la lumière du soleil.
Un soir, connaissant la solitude de la rose, la lune demanda :
N’es tu pas lassée d’attendre ?
Peut être, mais je dois continuer à lutter.
Pourquoi ?
Parce que si je ne m’ouvre pas, je me fane………
Dans les moments où la solitude semble écraser toute beauté, nous n’avons d’autre moyen de résister que de rester ouverts.

Voilà maintenant je peux aller me coucher……

Trop de la honte......

20 mars 2007 à 13h59

Ce week end, mon garçon avait une note de son prof de Maths, me demandant de le rencontrer le Mardi 28 Mars à 18h50.....

Et moi j'ai noté en réponse :
Je me rendrais disponible pour cet entretien le Mardi 23 Mars à 18h30

:-)

Il va vite comprendre pourquoi mon enfant à de telle lacune en maths.....

En plus il a rectifié mon mot laissé sur le carnet en rouge ......D'ici qu'il m'attende avec une régle le jour de l'entretien pour me taper sur les doigts y'a pas loin :-)

Mortattitude :-)

20 mars 2007 à 17h46

"Comment sait-on qu'une diariste est morte ?" c’est ce que je me demandais il y a quelques temps...

Eh bien justement, comme ça : plus de textes, plus le moindre commentaire ni à gauche ni à droite. Plus de réponse aux mps.

Sauf que je ne suis pas morte (ou alors je ne me suis rendue compte de rien), simplement absorbée par un surcroît de travail assez inhabituel. Possible, mais néanmoins monstrueux. Bientôt la dernière ligne droite.

Comme dirait mon fils qui m'interdit de le reprendre "C'est la tresse !", expression apparemment employée pour signifier qu'on n'a plus énormément de temps.

Un mois et demi encore d’activité intensive minimum. Et je vous reviendrais, lessivée-repassée. Mi Avril je suis témoin du mariage de ma meilleure amie ( non ce n’est pas le titre d’un film ) mais vous aurez très certainement l’exclusivité de mon discours si tenté est qu’il me laisse du temps.
Pour le moment, je consacre mes rares temps de loisir personnel à des activités non cérébrales, histoire d'enrayer la surchauffe de mon neurone. Il m'est presque impossible d'envisager l'ordinateur autrement que comme un bourreau qui voudrait ma peau.

Et pourtant, qu'il est bon de se rattacher avec vous ! Il y aura sans doute de petites pauses à ce trop sérieux planning, ou alors je me connais mal !

Vous écoutez.....

29 mars 2007 à 9h48

En ce moment, en allant au boulot j'écoute RFM.....C'est un peu ringard, mais ca me rappelle beaucoup, par exemple la chanson de " fame" ca m'est de l'entrain .......

Ensuite j'ai entendu un nouvel extrait de l'album de Florent Pagny , j'me suis dis " mince" ca me ressemble tellement et pourtant j'le connais pas intimement le Florent ;-)

Artiste: Florent Pagny
Chanson: A Tout Peser A Bien Choisir

Un petit bout de femme en vrai
Qui parle pas le japonais
Qui se prend pas pour une déesse
Un peu serrer dans son 2 pièces
Pas un canon de magazine
Dans ses dessous de cellophane
Camper debout dans la belsine (??)
Qui fait semblant d’être une femme
Un petit bout de rien du tout
Les mains croisées sur ses genoux
Avec des airs de sainte nitouche
Qui fait « han han » quand je la touche
Pas une gravure aux yeux bidon
Sur un panneau publicitaire
Qui se donne l’air sur son carton
De pouvoir m’envoyer en l’air

Refrain:
A tout peser
A bien choisir
J’aime mieux tenir que trop courir
J’aime mieux me dire que te mentir
Et je préfère combien la nuit
Une femme à moi
Qu’une fille dans Lui

Un bout de femme mais de bon goût
Qui sent le charme sous ses dessous
Et puis dessus sur sa boutique
Les parfums chics de Prisunic
Pas une diva à mitonner
Qui se trémousse à la télé
Avec ses seins inanimés
Qui voudrait bien me faire rêver

Refrain

Un bout de femme et son caddis
Dans les rayons de chez Tati
Fringuer comme un rhinocéros
Mais une vraie femme de chair et d’os
Pas la diva, pas le canon
Pas la gravure, pas le carton
Pas le panneau publicitaire
Mais une femme qui veuille bien faire

Arrête.......

3 avril 2007 à 10h51

C’est difficile de dire ça, mais qui ne l’a jamais pensé ou mieux dit……

Demain j’arrête de manger entre les repas,
Demain j’arrête de manger du porc,
Demain j’arrête le sport ( façon j’en faisais déjà pas ),
Demain j’arrête de bosser ( no comment ),
Demain j’arrête le poisson,
Demain j’arrête de me ronger les peaux de mes doigts ( et ouais je ne ronge pas mes ongles moi ),
Demain j’arrête la pipe ( nannnn j’déconneeeee, c'est juste pour voir si vous suivez ),
Demain j’arrête les SMS,
Demain j’arrête les produits light,
Demain j’arrête d’écrire sur ce journal ( c’est une pure hypothése, rengainez vos pistolets, fermer vos flacons de barbituriques, posez cette corde, éteignez le gaz, c’est juste un exemple de ce que l’on pourrais dire ),
Demain j’arrête le chocolat ,
Demain j'arrête de dire que j'suis grosse et moche et vieille,
Demain j’arrête de croire à mes rêves,
Demain j’arrête d'avoir des pensées tristes,
Demain j’arrête de regarder la télé,
Demain j’arrête……de dire j’arrête……

- Arrête !!

- Ben ouais je sais que je devrais arrêter mais ce n’est pas facile.

- Ben oui mais y’a des substituts pour t’aider

Comme par exemple tu te colle un patch sur le bras, et il fume à ta place a travers les pores de ta peau, et en plus ca ne dérange personne.
Ou sinon tu peux te convertir à l’Islam, et tu peux arrêter le porc, comme ça d’un seul coup.
Ou si tu veux arrêter de te ronger les ongles tu te vernis avec un produit, et quand tu mets des doigts à la bouche ils ont le goût du porc, mais vu que tu veux arrêter le porc………
Et si tout ça ne fonctionne pas tu as les réunions d’informations, ou l’on se réunis tous autour d’une table…..

- Bonjour, je m’appelle Salomé, et j’arrête de dire des bêtises …..Enfin j’essaie .

Ou alors comme pour t’encourager on en fait des campagnes d’affichages, on te l’interdit, dans les restaus, dans les bars, au boulot, et on t’explique que ta vie en sera meilleure, belle, et qu’elle sentira bon les prés en plein printemps ……..

- Bon d’accord j’arrête………….bientôt ;-)

Discours

12 avril 2007 à 16h17

Bon voilà J-8 avant le mariage j'ai donc un petit discours, je croise les doigts pour que je puisse seulement le glisser dans une enveloppe, de nature timide ( si si j'vous l'dis) je préférerais ne pas le dire devant toute l'assemblée, mais bon connaissant les farfelus à ce mariage j'imagine qu'ils ne vont pas m'oublier aussi facilement, d'autant qu'en qualité de témoin j'vais y avoir droit j'en suis certaine .....A la lecture de ce discours me direz vous vous trouverez ça un peu trop " radical" , j'n'ai pas eu envie de jouer sur le tableau "Scrogneugneu", car le frére de la mariée a déjà prévu un diaporama qui ferra verser plus d'une larme :-) donc voilà :

Juste un petit mot pour vous féliciter encore une fois pour cette union. Normalement, vous venez de dire oui à monsieur (ou madame) le maire. Et si tout s’est passé comme prévu, j’ai signé moi aussi, cautionnant par la même votre mariage. J’ai donc une certaine responsabilité dans ce qu’il va vous arriver dans les années à venir. En effet, en me demandant d’être témoin à ce mariage, ce n’est pas qu’une signature, que l’on m’a demandé. Personnellement, je vois plutôt les choses comme un cautionnement moral. Je suis un peu la garante, à la fois du bien fondé de votre union, mais aussi de son bon déroulement futur. Aussi, en ma qualité d’actrice privilégiée de cette aventure, je vous demande, pour la bonne marche de cette union, de me consulter à chaque nouvelle décision que vous prendrez, afin que je m’assure qu’elle soit la bonne. En effet, mon rôle de témoin ne s’arrête pas à la mairie. Au contraire, il ne fait que commencer ! Je vais maintenant devoir veiller sur vous, si vous ne voulez pas de mauvais point, et si vous ne voulez pas qu’on vous retire votre permis mariage. Je me devrais donc

1) de vérifier que vous restiez scrupuleusement dans votre rôle de couple marié
2) de vérifier que vous preniez les bonnes décisions pour l’avenir de ce couple
3) de mater toute rébellion dans l’œuf.

Tout ceci, afin que je puisse avoir été fiere d’avoir apposé ma signature à côté des vôtres en ce samedi 21 Avril de l’an deux mille sept. Après ces quelques avertissements, il ne me reste donc plus qu’à nous souhaiter un bon mariage. Je vous aime, je nous aime, vous vous aimez, vous nous aimez. Bref, que tout le monde s’aime !''

Avoir la maitrise de la séduction !!...

9 mai 2007 à 15h56

Hier au gouter, une mouche, peu craintive, louche sur ma tartine.
Sa compagne, pleine d’impatience, en un offensé volontaire tente de s'y poser.
Une troisième, aventureuse, bourdonne à mon oreille, histoire de me détourner tandis que j'aperçois, juste à temps.
Une quatrième en phase d'atterrissage auquel elle abandonne, en accélération de dernière chance, sous mon regard énervé et ma main prête à tomber.
L'escadron étant dispersé, je peux attaquer mon goûter !
Au moment de plonger mes dents avides dans ma toute fraîche tartine à la confiture de myrtilles, je distingue en gros plan, dissimulée derrière une myrtille restée entière, deux énormes yeux qui me fixent, un corps noir qui se frétille de plaisir dans la mixtion sucrée et deux ailes en soubresauts qui semblent me narguer.
J'arrête toute action.
Elle ne bouge plus.
Nous nous dévisageons interminablement, yeux dans les yeux, nez contre nez presque et, c'est là que le miracle se produit :
je lui laisse ma tartine.

Les mouches auraient-elles une maîtrise de séduction ?

Tchou Tchou

22 mai 2007 à 17h52

Et non j'suis pas ranger des voitures.....Même si depuis un certain temps le quotidien est plutôt : boulot, auto, dodo, enfin le train train en ce moment.....

bon ceci dit, je laisse un p'tit mot que Monsieur Alexandre ( alias mon fils ) a laissé trainé a même le sol de sa chambre.....

Aujourd'hui je suis aller au collége et puis je suis rentré. j'etait un peut triste parce que ce soir je me suis fait crié dessus par maman et que mème s'étais injuste parce ke j’avais pas fais exeprét de pas réviser.
Aprèt pendan le repas, papa a téléphoné et maman a ralé que vraimen il a le chique pour appeler au mauvais momens celui la. moi je disait dans le téléphone mais non t'es pas nul et alors papa a dis qu’il faut pas la contrarié.
Et moi tout bas j’ai dit à papa, maman qui pue qui pète qui prend son cue pour une trompete

ca m'a redonné le sourire, sauf pour les fautes d'orthographe mais bon :-)

Le travail c’est la santé…

4 juin 2007 à 14h27

Et ne rien faire c’est l’a conserver...... Mais en attendant il faut bien se nourrir, se loger, se divertir et ca n’est pas pour demain que j’arrêterais de bosser…..

Mais ceci dit après 3 ans de bons et loyaux services, je m’en vais vers d’autres cieux, je quitte donc ma société actuelle d’ici la fin du mois…Et non comme pourrait le scander notre nouveau président : Travailler plus pour gagner plus, moi je travaillerais moins et gagnerais quand même plus et toc …………Voilà ma première contraction avec lui ;-)

Je quitte donc cette société pour un salaire plus confortable, des horaires de travail moins contraignants puisque je ferrais partie maintenant des gens qui sont aux 35 heures, j’aurais un treizième mois, je ne savais même plus que ca exister cet avantage, j’aurais une prime de vacances ( même si cette année je peux faire une croix sur des jours de congés ), j’aurais une autre prime en fin d’année pour l’administratif en sus de mon poste, et je n’aurais surtout plus toute cette pression de devoir gérer la société a bout de bras…….
Je travaillerais dans le vieux Lille un des plus beaux quartiers à mon sens, et sans me soucier de trouver une place pour ma voiture, y’a même un parking privé……

Donc voilà que des avantages………….Croisons les doigts pour que cela reste tel quel !
Bon maintenant faut que je retourne à la formation de mon big boss, il s’aperçoit enfin quel était mon rôle ici dans sa société c’est dire …Mais je ne trahirais pas la main qui m’a nourrit, pendant ces 3 ans, mais en ce qui concerne le boulot cette fois je pense avant tout à moi sans états d'âmes et non aux conséquences de mon départ, qui s’en nul doute va laisser quelques traces……

Un dimanche

10 juin 2007 à 11h54

Deux fois par mois pendant un long week-end, je tente de combler mon besoin de peau, d'odeurs, de tendresse, d’amour avec cet homme de vingt-trois ans.
Car il me faut un brûlant, un passionné, un tendre; c'est un tendre qu'il me faut.

Et je me sens tellement espiègle, mais tellement vivante.

J'ai faim. Je suis une gourmande chronique, j'aime la vie comme j'aime la bouffe, saine, riche, dense, mais avec grande peur qu'elle ne me reste coincée en travers de la gorge ou pire encore, qu'elle ne me laisse sur ma faim.

Un jour, lorsque j’étais plus jeune, un psychiatre m'a posé cette question : avez-vous des envies de suicide, pensez-vous a la mort?
Et je lui ai répondu, ah mais non, pas du tout, mais pas du tout, bien au contraire, c'est vivre moi que je veux. C'est tellement VIVRE, et c'est bien la TOUTE la difficulté.

Et puis dans les instants les plus nostalgiques de mon existence je me dis : ce garçon de vingt-trois ans partira, au milieu de la nuit ou même un peu avant, il se lèvera sans même m'embrasser et partira, et moi je serais bien forcée de lui rendre la monnaie de sa pièce en faisant pareil, pour bien lui faire comprendre que moi aussi, je sais faire la part des choses.
Peut être aussi parce que je n’ai jamais su me battre contre ceux qui veulent partir, et que l’on ne peux pas obliger une personne a nous aimer. Même si cela doit faire très mal.
Je le verrai le lendemain matin, a partager la pièce, et nous ferons comme de règle, comme si nous ne nous connaissions a peine, et je trouverai cela bizarre, pas sain, idiot, mais néanmoins adapté.

Et je me dirais c'est parfait, je parviens a faire comme lui, a me mêler tout en restant distante, digne, j'arrive a me retenir, comme un homme.

Se retenir, l'ultime inadéquation d'une vie qui te laisse sur ta faim, tout le temps. Et quand il y a faim, il y a désir, encore plus de désir. Et à ce moment là, arrive la frustration, le mal être, le manque, l’envie de ne plus vivre. Dans les moments de solitude inévitables par ce genre de relation, je pense avec amertume tu vois, tout ça a un prix et toi, tu n'as pas les reins assez solides pour payer ce prix.

Heureusement, à la prochaine gourmandise, avec lui, lorsque nous serons de nouveau ensemble, j'oublierai le prix a payer pour me jeter de plus bel dans ses bras, l'enlacer bien plus furieusement de mes jambes, lui mordre l'épaule encore plus fort et ce jusqu'au moment ou il repartira, jusqu’au jour ou tu partageras avec lui bien plus que deux week-end par mois. Et cette faim de lui sera pour longtemps comblée.
Car l'appétit est immense et la vie comme la mémoire est courte, si courte.

Renaitre......

5 août 2007 à 11h53

J'ai repoussé au maximum le moment d'écrire de nouveau, comme on repousse le moment de vivre avec les disparus. Vous allez me dire que le deuil fut de courte durée.

J’ai depuis plus d’un mois maintenant recommencé un nouveau job, je suis désormais gestionnaire de contrat, j’ai brièvement la charge de gérer plus de 1000 contrats de maintenance, fini la compta, fini le stress de boucler une trésorerie en souffrance chaque fin de mois, fini les charges sociales et autres impots, fini les commandes et règlements fournisseurs une tout autre tache m’attends désormais, et même si elle semble unique elle n’en ai pas moins pleine de subtilité et d’unique pour chaque contrats, et outre le fait que la société que j’ai intégré coté relationnel n’ai en rien celle que je viens de quitter, mais je me sens autonome, libre.

Mais le moment le plus dur que j’ai eu à passer pendant ces quelques semaines, c’est un soir lorsque je suis rentrée de ce nouveau job, là ou j’ai retrouver mon plus fidèle compagnon avec qui j’ai partagé une bonne quinzaine d’années , et là je l’a découvre en très mauvaise posture, je cherche une clinique d’urgence car bien entendu celle que je fréquentais été fermée pour cause de congés, donc je file vers l’unique clinique de garde, et le verdict tombe, deux heures après, juste le temps pour lui de me torturer de me faire croire que tout est encore possible à grand coups de carte bleue, mais mon verdict a moi et sans appel et non sans larmes , une profonde tristesse, je ne veux plus qu’elle souffre, je veux que l’on en finisse, et qu’elle soit en paix, exclu l’échographie, exclu la chimiothérapie, je ne veux plus, je ne veux pas, et c’est donc après de longues négociations qui pour moi ressemblait a une véritable torture face a lui qui ne pensait qu’a son tiroir caisse, que je suis repartie avec l’être qui m’a suivi m’a accompagné pendant toutes ses longues années, cet être que je ramenais chez moi je ne sais même plus comment je suis rentrée mais Ivoire était pourtant encore avec moi, mais sans vie……………..
Le choc est trop récent, sans doute. Je m'attends dans les prochains mois à un phénomène de rebond.

Même si j’ai de nouveau un autre chat qui comme ci il le sentait et qu’il soit venu s’échouer chez moi, il est tout jeune il est tout noir, il n’a pas encore de nom ça ne fait qu’une semaine qu’il est là, il ne l’a remplacera jamais dans mon cœur, mais il aura aussi sa place.

des pommes du sesame et du miel...

16 septembre 2007 à 10h50

CHANA TOVA !

Vendredi C'était le nouvel An juif.....Roch Hachana
Alors je vous souhaite à tous, de l'amour, de la joie, de la douceur, des bulles,du soleil sur nos vies, de la gourmandise, des rires, des emotions qui nous prennent au ventre, du chocolat, de la fete,du reve, du reve, du reve, de l'amour de l'amour , de l'amour...

bises a tous
bonne année

ACTUALITE

1 octobre 2007 à 12h50

TROYES (AFP) - Le philosophe André Gorz, âgé de 84 ans, qui avait fondé le Nouvel Observateur avec Jean Daniel, s'est suicidé avec sa femme à leur domicile de Vosnon (Aube), a-t-on appris lundi auprès de ses proches.

Son épouse Dorine, âgée de 83 ans et d'origine anglaise, était atteinte d'une affection évolutive depuis de nombreuses années.

Né à Vienne en février 1923 et naturalisé français en 1954 sous le nom de Gérard Horst, André Gorz est considéré comme un penseur de l'écologie politique et de l'anticapitalisme. Il est notamment l'auteur d'"Ecologie et politique", d'"Ecologie et liberté", de "Adieux au prolétariat" et "Métamorphoses du travail".

Il avait fondé, avec Jean Daniel notamment, le Nouvel Observateur en 1964, sous le nom de Michel Bosquet.

Après sa retraite, prise en 1983 pour s'occuper de son épouse dont il était très épris, le couple s'était retiré dans une maison à Vosnon, à 35 kilomètres de Troyes.

Selon des proches, c'est une amie qui a constaté le drame lundi matin. Des messages affichés sur leur porte précisaient qu'il fallait "prévenir la gendarmerie".

Les deux membres du couple reposaient côte à côte. Plusieurs lettres étaient adressées à des proches.

André Gorz aurait fait part à une amie il y a quelques jours de son désarroi devant l'aggravation de l'état de santé de son épouse.

Le couple était considéré dans le village comme des "gens simples et accueillants", selon un témoignage recueilli dans le voisinage.

Dans un ouvrage paru l'an dernier, "Lettre à D. Histoire d'un amour", André Gorz avait écrit une ode à Dorine:

"Tu viens juste d'avoir quatre-vingt-deux ans", lui disait-il. "Tu es toujours belle, gracieuse et désirable. Cela fait cinquante-huit ans que nous vivons ensemble et je t'aime plus que jamais. Récemment je suis retombé amoureux de toi une nouvelle fois et je porte de nouveau en moi un vide débordant que ne comble que ton corps serré contre le mien".

"Cette présence", ajoutait-il, "fut décisive dans la construction d'une oeuvre dont la visibilité ne porte qu'un nom alors qu'elle fut celle d'un couple, le fruit d'un long dialogue".

Pour être heureux :-)

3 janvier 2008 à 8h40

A y est. Nous voilà en janvier 2008. Le temps des bonnes résolutions est enfin arrivé, même si cette année encore je n'en ferrais pas, sauf une ....Parcourir le monde sur mon nouveau vélo d'appartement :-)

Je vous présente donc mes meilleurs voeux pour cette année qui commence ! Il parait que pour être heureux il faut rendre heureux les gens autour de soi. Alors je vous souhaite de distribuer beaucoup de bonheur pour que vous soyez vous mêmes heureux en retour ! Finalement c'est plutôt simple et ça se tient comme raisonnement ;-)

Des bisous, des rires, des sourires et le plein de petits bonheurs pour un moral en bonne et due forme tout au long de l'année et pour les cent ans à venir ! :-)