C'est comme une drogue, une addiction. Se sentir bien que lorsqu'on a terminé. Se vider de tout ses mots comme si l'on se vidais le coeur .L'encre de ma plume et la blancheur de ma feuille furent le seul exil pour soulager mes fébriles épaules des mots que le mutisme provoqué par la douleur m'empêchait d'exprimer. Alors en ce soir , j'écris ce que mes lèvres n'osent prononcer afin que les coups que la vie m'afflige ne soit pas surmontable mais supportable. Fini la filette aux pieds et poings liés, la féline rentre en scène pour enfin vous hurler les déboires d'une enfance bien trop longtemps tenue en secret. Bonsoir, je revis.