Le placard d'un perce oreille.

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 11/10/2018.

Sommaire

The beginning.

23 mai 2013 à 0h29

Brefouille, car tout a un début, 'fectivement....Je me suis dis de commencer une sorte de...euh. BREF. Osef, on s'en fout. Ou t'être pas.
Je suis le genre de personne à aimer raconter sa life, du coup ça emmerde un peu mes potes, (ouep, pas pratique ! rah làlàlà) Ils me disaient indirectement genre "Mais vas raconter ta vie ailleurs on s'en tape de toi keuwah."
Alors bah, je me disais qu'il fallait peut être que je songe à faire quelque chose de ma vie. Comme quoi..Bref.
Petite présentation vous m'dites ? Vous pourrez m’appeller "Earwig" (Et non le cafard..) Je suis..Fan de mangas, musique classique, lecture, rpg, yaoi, point. Il y'a aussi pleins de choses que vous allez pouvoir découvrir en parcourant ma vie souvent bien inutile. Si j'ai la force d'écrire ici entre mes RPG. Et oui, vie de merde et exams !
J'espère que j'aurais la force de remplir ce journal, manque de temps quoi. Mais je trouverais surement un petit moment non ? De plus, c'est toujours bien de raconter sa vie en sachant que certains s'y intéressent...Ou pas.

Au plaisir desouiller remplir ce journal de passages de ma vie totalement inutiles.

J'ai refusé égoïstement...

23 mai 2013 à 18h57

Qui dit fin d'année, dit adieux ! Et oui, aujourd'hui j'ai eu droit aux adieux les plus touchants sur terre, je n'ai jamais cru que des gens pouvaient autant s'attacher à moi. Non, encore, je n'ai jamais cru que des gens auquels je ne prêtais pas tellement d'attention que ça s'attachent autant à moi. Ahem, disant que...Je suis très sociale, très bizarre, que je suis souvent à l'écart, euh, sauf avec les rejetés...Que je suis souvent dans mon petit monde, assez pour me faire très discrète afin d'éviter toutes embrouilles...Et oui, ça me fait tellement mal que l'on fasse attention à moi, ça me fais réellement mal de voir que des gens s'attachent à moi..J'ai toujours été convaincue que j'étais une fille qui se démarquait assez tout en se fondant dans la foule. J'aimais que l'on me remarque, oui..Mais voilà, je voulais que ça reste au stade d'admiration. Je ne voulais pas que l'on ressente des sentiments envers moi. Je n'aimais pas avoir des amis, à vrai dire les seuls amis et amoureux que je voudrais avoir sont sur le net. Pas que je sois timide, ou autre, je déteste tout simplement dépendre des autres, je détestes tout ce qui est difficile. Je n'aime pas la charité, je n'aime pas spécialement que l'on m'oblige à aider quelqu'un. Et surtout, j'ai toujours été un peu...Trop gentille, je ne peux juste pas dire "non". Alors on se servait facilement de moi, même si je paraissais comme quelqu'un ayant une personnalité forte. Je ne l'étais guère, il suffit d'être gentil avec moi et je cède.
Bref, ce qui ne vas pas bien aujourd'hui, est que justement, des gens se sont attaché à moi. Pourtant je n'avais rien demandé, je n'avais rien fait..Pourtant je ne voulais pas vivre dans ce monde, je voulais juste vivre derrière mon écran. Et le monde matériel ne m'a jamais interessé, tous mes sentiments étaient virtuel, toutes mes relations, mes amitiés. J'aimais bien faire des connaissances IRL. Mais jamais rien de sérieux. J'ai toujours refusé les garçons qui se proposaient à moi, j'ai tout refusé. Je voulais juste vivre avec mes jeux videos, mes mangas, mes animes, mes amis qui me comprennent vraiment....

J'ai toujours été rejetée autrefois, et surtout durant les annèes collèges. A cause de ma différence, de mon caractère, de ma franchise parfois. De ma façon de m'habiller, ma façon de parler...Bref, tout ça. Et ça m'allait très bien. Mais peu à peu ça changeait, je préférait faire des amitiés sans pour autant être meilleur amie avec quelqu'un. Mes journées se resumaient à dessiner en classe et suivre le cour. A vrai dire je n'ai jamais été intello, mais mes notes sont très bonnes, même sans réviser, surtout grâce à mes capacités, et le fait que je sois très attentive en classe quand je ne dessine pas. (Je dessine généralement qu'en cour de math, haha.) Mais ensuite...Il y'a ce garçon, ce garçon..Disant..H, auquel je me suis attachée, et lui aussi. C'était facile, on partageait les mêmes hobbies, il dessinait même mieux que moi. J'étais un peu sa version féminine, euh, pas physiquement mais plutôt moralement...On a été vite amis, surtout qu'on se connaissait depuis longtemps et que c'était que cette fois qu'on était dans la même classe. Lui avait un problème, plus que le mien, lui souffrait de son rejet, lui n'avait pas d'amis, on se moquait sans cesse de lui, il souffrait. Je ne supportais pas celà surtout que contrairement à lui je n'étais pas rejetée, très différente et marginale certes, mais on ne me rejetais pas, je savais comment parler aux autres, disant, lui était très isolé. Il avait des nerfs très fragile, il était très sensible, déprimé...Et surtout complexé. Bref, très gentille comme je suis, je commençais à le connaître, être amie avec, je ne supportais pas que quelqu'un reste seul, j'ai toujours été quelqu'un allant vers les autres, surtout ceux en cas de besoin...Et je n'aurais peut être pas du...
Disant qu'il s'était attaché à moi, plus qu'il ne le devait, il m'avait avouer être sa meilleure amie, et comme on allait bientôt finir les études, il était très déprimé, aujourd'hui. Je lui demandais la raison et là il m'avait passer une euh, lettre. Disant que j'étais la meilleure personne qu'il avait connu, qu'il avait passé les plus beaux moments de sa vie en ma compagnie..Pourtant, je ne sortais jamais avec, j'étais juste un peu gentille, c'est tout. Je m'assoyais parfois à coté de lui pendant les cours mais rien de plus...Je n'ai rien fais de spécial, pourtant !

Je me sentais si mal de lire des mots si touchants, surtout de la part de quelqu'un de si timide, j'aurai voulu que ça s'arrête là, je l'avais consolé, et il avait pleurer disant qu'il voulait que l'on se voit toujours. Des trucs du genre, moi je ne voulais pas...Je voulais que ça s'arrête là, c'est absurde de dire ça, mais je ne voulais en aucun cas qu'une personne pénètre dans mon petit monde, surtout quelqu'un de l'extérieur, j'avais hâte que les études finisse pour ne pas avoir à le consoler, à l'écouter déprimer à l'aider...Je me sens si mal..Mais c'est la vérité, je voudrais tout simplement que ça s'arrête, car c'est horrible ! Le pire, il voulait que je viens chez lui pendant l'été ;___; j'avais refusé of course..Du coup il est très triste, limite grave déprimé, son état s'est dégradé....J'avais dis "Désolé, je ne peux pas, je vais déménager". Et c'était vrai, mais je ne voulais faire aucun effort, je ne voulais pas que l'on s'attache à moi de cette façon si, je ne voulais pas alors que je n'avais rien fait...Bref..J'ai égoïstement dis non, je voulais toujours avoir ces moments entièrement à moi, avec mon ordinateur..Hah, je me rappelle avoir pleurer une fois, car j'ai eu une sois disant...Euh, vie sociale ? C'est douloureux la vie sociale, je ne veux pas l'approcher. Et lui non plus devrais le comprendre...J'ai vraiment peur pour lui, car il ne pourra pas vivre plus tard, avec les autres..*soupire* Brefouille ! Aller Earwig ! Un peu de bonne humeur ! Je me sens si déprimée maintenant, je veux l'été ! La grasse mat et puis mon maitre renard ! (Appelons mon amoureux virtuel ainsi, hein 8D) Hah, rien que de penser à lui me rend de bonne humeur ! Rien ne vaut l'RPG, les mangas, et surtout, surtout....LE YAOI !~ Bon, maitre Renard ne ressent rien pour moi (distance, différence d'âge *souffle* hah ! ) Mais ça j'en parlerais quand il reviendra..Vivement le 10 juin *^* !

Je me sens déjà soulagée~ Au revoir petit journal *^*

Hommage à nos plus beaux souvenirs.

26 mai 2013 à 0h18

Cher journal,
Aujourd'hui je viens de perdre quelque chose de cher, aujourd'hui..J'ai perdu une personne à laquelle je tenais plus qu'à la prunelle de mes yeux. Et c'est lorsqu'on perd quelque chose que l'on se rend besoin de sa valeur. Comme à mon premier amour, mes premières amitiés. Aujourd'hui, je viens de perdre les plus belles journées de ma vie....Je viens de savoir que la fille avec laquelle j'aimais le plus rp venait de partir...Pourquoi ? Car le forum changeait..Parce qu'elle n'avait plus le temps..Parce que ..Par ce que..je m'en foutais des raisons, tous ce que je savais était que je devais pleurer. Et une larme s'est échappée de mon oeil et je fus surprise de sentir quelque chose mouiller ma joue...Une, puis deux, puis trois..Et vite un flot de larme s'était échappé. Et je voyais mes rêves, mon passé, mes plus belles heurs de l'été se briser à l'instant ou elle partait. C'est drôle, je la haïssais au début, et il faut dire que les gens que je déteste au début sont ceux que j'apprécie le plus ensuite..Je pleurais au début sa venue, tellement, que je ne croyais plus avoir de larmes, et aujourd'hui, je pleurais son départ car je ne voulais m'en séparer. C'est drôle ce que les gens changent...On rencontre certains, d'autres s'en vont et les remplace..Mais rien ne remplacera Setsuna pour moi, rien ne la remplacera, rien ne remplacera son air stoïque...Rien ne remplacera son sourire sincère..Rien, rien..rien..Je n'ai jamais autant pleurer..Et l'on dirait que je viens de perdre mon enfant, ou quelque chose du genre. Je perds mes mots, ils m'échappent. J'aimerai écrire les plus beau, mais à la place je ne fais que le contraire....Elle m'avait appris tant de chose..A être franche, à ne jamais avoir peur, à dire ce que je pensais...Elle m'avait appris à être patiente, à me donner à fond. A savoir faire plaisir aux autres mais surtout à être moi même. Elle m'avait appris ce qu'il y'avait de plus beau et malgrés tout ses défauts, elle était parfaite à mon regard. Et ô que je la jalousais, car on ne voyait qu'elle. Mais je l'aimais, je souriais, en la voyant entourée de lumière car elle le méritait. Car elle avait souffert pour l'avoir..Car elle était quelqu'un de bien, elle l'était...Je l'admirais, car elle méritait l'admiration de tous, brillante, elle était. Elle était un ange et même si elle voulait laisser paraitre le contraire sous son masque d'indifférence, tout le monde le savait. On était une famille, et elle était la soeur parfaite que je rêvais d'avoir, mais aujourd'hui, il ne reste que des souvenirs de cette famille qu'on avait construite...Père, mère, toi ma soeur, et moi. Mais ils resteront gravés dans ma mémoire, à jamais...Quand je revenais en attendant avec hâte tes réponses, quand je m'assoyais en mangeant pour lire la tienne, et l'application dont je faisais preuve à chaque fois que j'écrivais. Je le sais, tu m'avais apprise à me donner à fond. Dans tous ce que je faisais, à mettre tous mes sentiments là dedans, et surtout, apprendre à aimer une réponse écrite avec coeur...Différencier les mots biens choisis et surtout que chaque mot avait une histoire à lui seul.

Mais qui est fait, est fait, impossible de vivre dans la nostalgie du passé. On ne peut récupérer ce qui est perdu, ce qui est brisé ne reprend jamais sa forme originale..Et je sais qu'un jour, je perdrais d'autres chose, que j'en gagnerais d'autre. La vie est ainsi faite...Je n'ai jamais pleurer ainsi. Je bois à l'ivresse les mots que l'on écrivait en hommage à nos souvenirs. En hommage à ma douce Setsuna, ma grande soeur du coeur, et à nos plus beaux jours et excitation du passé...

Un amour métaphysique.

27 mai 2013 à 20h01

A un demi amoureux.

Cet amour que je portes pour toi, cet amour invisible à tes yeux. Cet amour qui me tue un peu plus à chaque fois, qui m'éteins à chaque fois. Mais je reste esclave des lignes que tu m'écris. De ta façon de les écrire, ta façon de les dire. Ton air nonchalant et insouciant qui me met hors de moi mais qui m'enchante. Et de cette chaleur inconnue qui me parcourt à chaque fois que j'entends parler de toi. Mais toi, toi tu ne crois pas dans la force de mes sentiments. "Loin des yeux, loin du coeur" dis-tu. Et tu m'échappes, comme un élève diabolique, et puérilement je tentes de te retrouver, de t’attraper sachant parfaitement que mes efforts seront vaines, que nous étions trop différent pour nous aimer et surtout, que tu seras lâche pour toujours. Que personne ne brisera la barrière que tu avais construite, que personne n'osera s'aventurer dans les jardins de ton coeur. Mais j'ai tenté, bêtement et je suis revenue vaincue, comme une reine trompée par son royaume. Et ma fierté en pris un coup, puis deux et je finis par l'abandonner. M'abandonner au sort que tu m'avais jeté. Mais tu me fais souffrir, tellement, tellement...Et tu me fais pleurer, non pas une fois, non pas deux. Je deviens ce genre de filles que je n'ai jamais aimé, je deviens ce genre de filles dont je me moquai, mais je t'en pris, fais moi encore mal. Tu me rend malade, comment m'avais tu ensorcelé ? Quel poison portant ton nom court dans mes veines ? Pourquoi est ce que je n'arrives pas à t'oublier ? Est ce l'amour ? Est ce un péché ? Je n'en sais rien, je veux juste que tu continues à me faire souffrir ainsi, et j'ai honte, j'ai honte de moi même..De m'être abaissée à ce niveau, de t'aimer toi, alors que je ne t'aurais peut être jamais remarqué, autre fois. Pourquoi ? Pourquoi toi ? Tant de questions, pas de réponse. Pourquoi toi alors que d'autres rêvent de m'avoir ? Et surtout, pourquoi me refuse tu alors que je sais parfaitement que je suis ton idéal...Alors que tu ne trouveras jamais quelqu'un qui t'aimeras autant que moi ?...

Ma faiblesse me dégoûte, ton manque me tue à petit feu. Et tu te délectes de cette vision, j'en suis sûre. Sous un masque d'indifférence, doutant toujours de la force de mon amour pour toi alors que c'est parfaitement impossible. Comment douter ne serait-ce qu'une seconde alors que mon coeur crie ton nom ? Que tes mots courent dans mes veines, que tu remplis ma vision. Et que quand tu n'es pas là, tu l'es toujours pour moi. Je n'ai jamais cru, aimer ainsi, je n'ai jamais cru pouvoir visiter ces jardins d'euphories qui m'étaient autre fois interdits...Je n'ai jamais su, jamais jamais à quel point c'était magnifique, d'aimer quelqu'un et de ne rien recevoir en retour. A quel point c'était jouïssif que l'on nous renie, que l'on nous repousse...Alors je veux que tu continues à le faire et si tu arrête, qui sais ? Peut être que ça changera pour moi. Est ce que tu as peur de ça ? As-tu peur de la personne que je suis ? Je sais parfaitement que tu es trop lâche pour essayer et que je suis très égoïste pour perdre mon seul et unique plaisir dans cette vie étant devenue trop lourde. Je ne risquerais pas mon amour, je ne risquerais pas tout ces sentiments que je ressens pour toi et tu te conteteras de mes mots, les plus doux, les plus beaux. Ah si tu pouvais lire ces mots, ah si seulement je pouvais te les avouer tout sera si clair...Mais c'est dans la brume que se trouve mon bonheur, et je ne te trouves beau que par ces jours là. De toute façon mon amour n'est que métaphysique, aussi irréel que le sort que tu m'avais jeté pour ainsi t'aimer.

A un vieux clown.

8 juin 2013 à 20h02

Crois-tu m'atteindre ? Tu en es loin, petite âme errante, sache que mes exigences sont plusieurs, que tu ne sauras assouvir mes désirs et attentes. Sache que tes mots, pour moi ne sont que divertissement. Que les miens pour toi ne sont que mensonge et comédie. Et alors que dans ton coeur, naquit un incendie, je te regardes de haut, sourire aux lèvres, avec mépris. Crois tu avoir atteint mon coeur ? Ce n'est que sottise et profonde idiotie. Parce qu'il est loin, loin, dans sa boite de pandore, enfouit aux profondeurs de l'océan. Dans un châteaux de glace, derrière une forêt oubliée. "N'entres-pas", insiste tu, alors que je sais qu'au plus profond de toi, tu me pries de le faire. Prétends-tu être avec celles que j'aime ? Où est-ce tout simplement ta fierté qui te prie de le faire ? Celle que tu as oublié le jour de ma connaissance ? Et tu continues, provoquant, mais si seulement tu savais à quel point celà ne fonctionne pas avec moi. Car chaque jeu a ses règles et ses niveaux, et je suis hélas, d'un niveau bien trop compliqué pour toi, mon cher, ne sais-tu pas que tu n'attires que ma pitié et dégoût? Mais, je n'ai pas insisté, je me suis retournée, les cheveux dans les yeux, et le vent fouettant mon long manteau de pluie. Et je ne me suis même pas retournée une dernière fois, pour voir ton visage teinté de remords et culpabilité, me priant, tel un enfant perdu, de l'envelopper de ma chaleur, qui te seras à présent interdite. Il faut aussi que tu saches, objet de mon mépris, que ma flamme n'est pas offerte deux fois, que je ne suis guère une roue de secoure, ni un vulgaire remplaçant, ni un bouche trou ou une poupée que tu combles de passion celon tes envies pour mieux la regarder mourir entre les flemmes de ta passion lorsque tu n'en a plus besoin.

Et je suis partie, la honte souillant mon être et me blessant. L'hypocrisie se lisant sur mon visage, et les larmes invisibles perlant à mes yeux. Je ne suis pas triste pour toi, et tu n'es guère et ne sera jamais cause de ma tristesse, qui vaut mille fois plus que ta vaine existence à mes yeux. Je ne suis que triste pour ma pureté, ayant reculé voyant le péché au coin de ta bouche, de laquelle tu me susurrerais mille et mille mensonge. Me croyais-tu idiote, pour croire ces mots tellement répétés qu'il m'en donnaient la nausée ? Me croyais-tu comme ces autres filles ? Crois tu que je te chercherais ? Que j'irais après toi, idiot, sot et abruti. Mais je la vois déjà prenant ma place, là bas, et son parfum crasseux et malpropre m'emplit les narines. M'as tu vendu pour lui ? Erreur de la nature ? Quand vas tu savoir que je n'ai jamais été tienne ? Quand vas tu que qui me vend ainsi, je le vend pour narcisse ? Et que si j'ai accepté, ta vu, alors soit mille fois honoré des paroles que je t'adresses, et même à cet instant. Et remercie et prie dieu que je t'es adressé ma parole, chanceux. Car c'est moi t'ayant rendu humain, t'ayant offert de ma bonté ma passion, et c'est moi t'ayant appris à ainsi agir, à regarder de haut, mépriser. Soit reconnaissant que je t'ai appris l'orgueil, que je t'ai reconnu un jour. Narcissique, me dis tu ? Orgueilleuse et hypocrite ? N'ignores tu, tout bonnement pas, que mon premier prénom est narcisse, que je suis fille d'orgueil et soeur d'hypocrisie ? Je n'ai rien à recevoir de toi, non, même pas. J'ai déjà tout incendié après ton départ. Mais avant de partir, et si tu décides de me revenir, je n'accepterais pas. Les rôles secondaires ne sont guère pour moi.

Signé, une idiote.