The secret bubble of an ordinary girl.

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 08/05/2013.

Sommaire

Je me sens...J'sais pas.

8 novembre 2012 à 21h11

Jeudi 8 novembre 2012.

J'aime pas les jeudis. Les jeudis, c'est pourri. Mon horaire, ça donne ça : Néerlandais, Math, Néerlandais, Grec, Gym, Gym, Latin. Les langues, j'adore. Le truc c'est que comme je suis Néerlandophone, le NL, c'est nul. Le Latin et le Grec, c'est chouette, mais pas avec ma prof. Elle est vieille, elle fait que gelé et elle sait pas donner cours. C'est chiant donc, je me suis dis, pourquoi pas trouver une occupation. J'ai trouvé une technique pour regarder mon GSM pendant le cours et je suis allée sur Facebook. Facebook, c'est con. J'aurais jamais du m'inscrire. Mais maintenant, je suis accro. J'y vais tous les jours, même si j'ai pas de notifications. Mais récemment, mes amies m'ont fait découvrir un truc trop cool : le RPG. Tu te créé un compte Facebook, tu choisis un avatar (moi c'est Alex Pettyfer) et les administrateurs te donnent un nom. Le jeux fonctionne avec des publies ou tu expliques tes geste et paroles. Au début, j'étais pas convaincue, mais maintenant, je préfère ça au vrai Facebook.
Oui, c'est vrai, c'est un monde virtuel mais ça permet de lâcher mes idées, mon inspiration.
On en revient au cours de Latin. Je l'ai donc passé sur le RPG.
Mais à part les cours, il se passe vraiment rien de spécial. Je meurs d'envie de revoir Jonathan, mon copain du ski (c'est ultra compliqué) et d'un autre côté, Hadrien et Florian me plaisent bien.
Petite explication:
Hadrien est le mec que j'ai kiffé pendant deux ans mais avec qui je ne suis pas sortie. J'ai l'impression que depuis que je ne pense plus à lui, il me parle de plus en plus et me sourit...
Florian, c'est un mec que je trouve super mignon et qui ressemble hyper fort à Jonathan. On se connait pas du tout mais on a déjà échangés quelques regards...
Jonathan, c'est l'amour de ma vie. Je l'adore, je l'adore, je l'adore même si ça fait un an ( dans deux mois exactement) qu'on s'est plus vus. Il est beau, drôle, gentil et romantique.
Je l'ai rencontré au ski, l'année passée, quand je suis partie avec la mutuelle. On était une chouette bande d'amis (lui inclus) et quand j'ai dit en rigolant que c'était l'amour de ma vie (je sais même pas pourquoi j'ai dit ça) on s'est regardés dans les yeux et je suis tombée folle amoureuse de ce type. Par après, il a tenté, de me prouver que lui aussi, il m'aimait. Il m'a prit par la main quand je ne m'y attendais pas, on a dansé des slows ensemble, ma tête posée sur son épaule, lui, me serrant tout contre lui. On a échangé des sourires, des clins d'oeils, des regards enflammés. Et là , quand son ami m'a fait comprendre qu'il voulait m'embrasser, j'étais plus sûre. La fin du séjour s'est déroulée comme le reste mais le dernier soir, je n'ai pas osé l'embrasser et c'est une chose que je regrette tellement. C'est seulement quand je suis revenue de voyage que j'ai compris à quel point il allait me manquer.
Et me voilà, un an plus tard, à écrire mes sentiments à vous.Mes amies ne me comprennent pas, puisque on s'est pas embrassés, on était pas en couple ! Mais ça se voit qu'il n'ont jamais eu de coup de foudre. Quand on est amoureux, la simple présence de l'autre nous suffit. Moi, le simple fait de penser à lui me comble déjà. Le simple fait qu'il me tenait la main, qu'il me souriait, qu'il me parlait, qu'il me tenait dans ses bras, qu'il m'effleurait sans faire exprès ou qu'on parlait de lui me fait chavirer le coeur.
Un an plus tard, je ressens encore un truc quand je pense à ce qu'on a vécu ensemble, cette période si courte mais si spéciale. Et cette année, je repars au ski, avec les mêmes amis, seulement, je ne sais pas s'il vient avec. Je n'ai eu aucune réponse de sa part et je suis triste à l'idée de savoir qu'il sort avec une fille depuis un an déjà. C'est la que je vois à quel point je regrette, je regrette, je regrette. Je l'aime, je l'aime, je l'aime. Lui et personne d'autre. Encore un mois et une dizaine de jours et on serra peut-être à nouveau face à face.
En attendant, je passe mes soirées à m'endormir avec mon Ipod et mes écouteurs dans mes oreilles, repassant en boucle les chansons de notre voyage.
Lana del Rey : Vidéo Games, premier slow.
Keane : Somewhere only we know, chanson du bus.
Adele : Someone like you, son regard qui m'a tué.
Je pourrais vous faire chiez avec tout ça pendant des heures mais j'ai pas le temps. Je dois aller dormir, rêver. De lui, c'est sûr !

Je t'aime, je t'aime, je t'aime.

Et au diable les jeudis pourris.

TGIF !

9 novembre 2012 à 17h29

Mon mot préféré : TGIF ! (Thanks God it's friday.)

Et oui, je remercie Dieu que nous soyons vendredi !

Bref, rien de spécial, je planifie une soirée geek derrière l'ordo avec plein de sucreries.

Bonne soirée à tous et clin d'oeil à ma chère voisine de classe Claudia qui a lu mon journal et qui c'est...Bien foutu de ma gueule !

Get up !

10 novembre 2012 à 19h18

On va dire que mon samedi ressemblait à un dimanche. Je sais pas si c'est comme ça chez vous mais normalement les samedis sont toujours très remplis et les dimanches vides et reposant (mais détestables). J'aime pas les dimanches car ça veut dire que le lendemain, on est lundi. J'aime pas les dimanches car ça veut dire balade au parc avec les parents. Mes parents, je vous en parlerai pas. J'ai rien à dire sur eux car comme je suis en pleine adolescence, ils me font chier (ou pas, ça dépend de MON humeur) et donc, ils sont pas super importants en général dans ma vie personnelle. Bref, normalement, je déteste les dimanches, mais depuis que je vais chez les scouts, j'aime bien. Et donc, mes samedis sont devenus des dimanches (pour la plupart du temps) et aujourd'hui était donc vraiment merdique !J'ai rangé ma chambre ( j'aime bien), j'ai un peu travaillé (pas tellement si j'y repense) et j'ai geeker. Normalement, je devrais lire le chien des baskervilles mais j'ai tellement la flemme que je l'ai pas encore commencé (il est pour mardi). De toute façon, je lis vite alors pas de problème.
Demain, j'ai un truc avec les scouts, je dois jouer serveuse pour un repas italien pour récolter de l'argent pour le grand camp.
Bref, le weekend nest pas génial. En soit, il ne se passera rien de spécial (sauf si un mec me déclare sa flamme) jusqu'au vacances de Noël (c'est à dire dans 1 mois et 18 jours) ou je reverrais Jo. Pffff, je regardais son mur Facebook aujourd'hui et il est toujours en couple avec cette fille. Ca me rends triste mais d'un autre côté, ça ne me fais pas perdre espoir pour autant !
Ne vous inquiétez pas, je ne me jetterais pas dans ses bras à la seconde où je le verrai ! Je compte bien faire durer le petit jeu des regards un instant. Le temps qu'il me prouve que oui, il m'aime. S'il ne le fait pas, je l'oublie pour de bon ( chose que je n'ai pas su faire pependant un an car je ne pouvais pas m'empêcher d'aller regarder ses photos sur Facebook. D'ailleurs, sa plus belle photo est mon fond d'écran). Je m'en fous. Il me rend folle.

Bref, bon weekend à tous !

LWWY

Je meurs.

10 novembre 2012 à 22h55

Il est 11heures du soir, je suis sur Facebook et Jo vient de poster une nouvelle photo de lui.

Et je peux vous dire que je suis entrain de mourir.

Il est beau, beau, beau, beau et encore beau.

Et moi, je meurs devant mon ordinateur. Je meurs devant tant de beauté. Je meurs devant lui, l'amour de ma vie. Je meurs tout simplement.

Je l'aime, je l'aime, je l'aime et je l'aime encore et encore.

Et je meurs en me rappelant mes souvenirs avec lui.

Ca y est, je suis morte d'amour.

One and Only.

13 novembre 2012 à 20h48

Aujourd'hui, j'ai eu une sorte de révélation. A vrai dire, j'en ai eu deux. Non, trois.
La première, c'est que les scouts, c'est génial. Et que donc, être sociable, c'est génial. Et donc, je me sens bien (ça n'arrive pas tout le temps). J'ai des périodes comme ça. Une fois je suis euphorique et trop positive et optimiste. L'autre fois je suis d'humeur maussade et je suis méchante. Seulement, ces derniers temps, j'ai une humeur spéciale. Je suis ni de super bonne humeur, ni de mauvaise humeur. Je m'en fous un peu de tout et j'attends qu'une chose, c'est partir au ski et revoir Jo. Mais depuis cet après-midi, j'ai eu à nouveau un élan d'euphorie. Comme je suis nouvelle chez les scouts, je pensais que j'allais m'emmerder à chier mais je me suis fait des nouveaux potes et ils se sont comportés comme si on se connaissait depuis...Des siècles. C'était juste génial.
La deuxième révélation est un peu plus bizarre. Hier, je parlais avec une amie de je ne sais plus trop quel sujet lorsqu'on a dévié sur le "je t'aime". On a longtemps parlé de ça et je me suis rendu compte que jamais, je n'avais dit je t'aime à mes parents. Le pire dans tout ça, c'est que je ne culpabilise pas et que je n'ai pas envie de leur dire à quel point je les aime. Oui, j'ai beaucoup d'affection pour eux car ce sont mes parents. Mais je ne veux pas leur dire.
Je trouve que je t'aime, c'est destiné à son amoureux. A sa meilleure amie peut-être même si au fond, je dis plus ça en rigolant qu'autre chose. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi, ça me donne beaucoup de fil à retordre cette question.
Troisième révélation : j'ai remarqué en lisant les journaux publiés sur ce site qu'il y avait beaucoup de journaux différents, des journaux de jeunes amoureux (comme moi), de trentenaires égarés, d'hommes, de cas spéciaux,... Et ça m'a procuré une immense joie de savoir qu'au fond, on est tous dans la même merde et qu'on a tous nos petits problèmes inintéressant qu'on doit dire, qu'on doit raconter. Et comme tout le monde s'en fous royalement, on le dit à ce journal. Et je dois vous dire que pour ma part, ça me fait le plus grand bien de pouvoir dire ce que je ressens sans qu'on ne m'interrompe ou qu'on ne me juge, sans qu'on se foute de ma gueule parce que je suis folle(amoureuse).

Bref, toutes ces révélations m'ont un peu réveillée si on peut dire ça comme ça.

C'était tout pour aujourd'hui. Je vous souhaite à tous une bonne nuit, beaucoup de chance avec le début de votre semaine et beaucoup de chance en amour car moi aussi, j'en ai besoin.

Oui, car même si je le répète chaque jour, je l'aime, je l'aime, je l'aime.

I hope to be his One and Only.

PS : LES EXAMENS SONT DANS DEUX SEMAINES, J'AI ENCORE RIEN FAIT ET J'ARRIVE PAS A TRAVAILLER !! POURQUOI SEIGNEUR AVEZ VOUS INVENTEZ LES EXAMENS ? VOUS AURIEZ MIEUX FAIT DE FAIRE QUE CHAQUE JOUR SOIT UN VENDREDI !

The Star Spangled Banner.

14 novembre 2012 à 21h43

Je sais pas si vous avez remarqué, mais la plupart de mes titres sont des titres de chansons qui m'ont particulièrement touchées. Donc, aujourd'hui, j'aimerais mettre le titre de l'hymne des Etats-Unis pour vous faire comprendre à quel point j'aime ce pas et qu'il me manque.

ONCE AN AMERICAN, ALWAYS AN AMERICAN

You are not a robot.

15 novembre 2012 à 20h55

Vous connaissez la chanson de Hoodie Allen ? Ben allez voir. J'adore, je surkiffe. Bref. Le titre est là pour montrer qu'on est pas des robots, des machines à tout faire. Le truc, c'est qu'aujourd'hui, j'avais l'impression d'en être un. Je me lève, je fais ce que je fais chaque matin : la routine. Le problème c'est que la routine, ça m'énerve. MA routine m'énerve. Je suppose que je dois pas vous faire un plan...
Bref, c'est le premier point de mon écrit d'aujourd'hui. Je sais que je suis jeune mais j'ai l'impression d'être une ado qui vit pas son adolescence à fond. Je sais pas comment vous l'avez vécue, mais moi, j'ai juste l'impression d'avoir quarante ans. L'école, c'est une chose, la vie sociale, une autre. On va dire que me lever chaque jour pour aller à l'école fait partie du côté horrible de ma routine. La seule chose qui pourrait me raviver serait de déménager de pays et de changer d'école, de personnalité ( si on peut qualifier ça de changement de personnalité). Enfin bref, l'école, c'est de la daube.
Ensuite, il y a le plan social...N'en parlons pas ! Oui, je suis très sociable, j'ai pas mal d'amis et on s'amuse toujours beaucoup ensemble mais je m'ennuie. C'est normal d'être tellement ennyuée à mon âge ? Je sais pas. Mais ça me fait flipper. Je dois vous avouer que je vis dans ma bulle, en quelques sortes. Je suis loin, dans le passé, dans mon futur mais mon présent...J'y pense pas. J'm'en fous. Et je pense que, comme me l'a dit une amie un jour, je pense trop à des moments futurs que j'aimerais réaliser (exemple : aller à Harvard--> Oui, j'ai beaucoup d'ambition). Le truc quand on pense trop à des instant que l'on voudrais vivre, plus qu'à ceux que l'on ne vit, on sera premièrement déçu une fois le moment attendu arrivé (vous me suivez ?) et deuxièmement, on oublie de vivre le présent. On oublie de s'amuser. Mais le truc, c'est je suis occupée avec mon futur parce que justement je m'ennuie dans mon présent. Et je suis trop occupée aussi à me reprocher les choses que j'ai faites ou pas faites dans le passé. Bref, je suis totalement perdue, dans mes pensées et dans ma vie en soit.

Passons à autre chose. Je disais donc que j'en avais marre d'être comme une robot. Et oui, à l'école, les profs attendent tout de nous. Je ne vais pas vous mentir (mais je ne veux surtout pas me vanter !) : j'ai des bons points, sans travailler beaucoup pour autant. Mais les enseignants attendent trop de nous, de moi. Mes parents, ma famille. Même mes amis sont étonnés quand j'ai des mauvaises notes. Le truc, c'est que j'en ai marre d'étudier, d'être sage en classe (de moins en moins) mais donc du coup, ça déçoit pas mal de gens alors je me ressaisis.

J'ai un coup de blues de la life, sans pour autant perdre ma joie de vivre et ma bonne humeur. J'ai aucune idée de ce qui m'arrive et j'espère qu'écrire m'apportera la solution. D'un autre côté, je pense pas. J'ai beau écrire, je n'ai pas la certitude que les gens me lisent, et ça, ça compte pas mal pour moi. Oui, le but de ce journal n'est pas de vous raconter ma vie et de l'exposer à des lecteurs (au temps le faire lire à mes mais alors). Le truc, c'est que je suis une fille qui adore les détails, je pourrais être Sherlock Holmes ! Je suis sans cesse entrain de raconter ma vie, dans les moindre détails. Je suis sûrement une réaliste (vous voyez ? La tendance littéraire du je sais pas combientième siècle.) Je suis une hyperactive du racontage. Depuis toute petite, j'entends tout, je remarque les moindre détails et je raconte tout. Le truc, c'est que ça m'a déjà valu quelques remarques déplaisantes style "ta gueule" et ça, je supporte pas. Du coup, je pensais que tout raconter à ce journal, à vous, ça m'aiderais. Et oui, ça m'aide mais j'ai besoin de quelque chose d'autre et j'arrive pas à savoir quoi...

On passe à autre chose. Je vais à nouveau me plaindre que le temps ne passe pas assez vite mais j'ai l'impression de retomber dans ma période : "Jonathan et les Etats-Unis me manquent." Si vous me lisez, vous l'avez sûrement déjà remarqué... Pour le reste, je suis entrain d'écrire un...Livre. Oui, un livre. Ca s'appelle "nos deux tours" et je vous laisse deviner (facile) de quoi ça parle. Y' eu un moment ou j'avais beaucoup d'inspiration mais maintenant, je tombe dans un vide, un blanc. Et ça m'embête car j'aimerais vraiment le continuer pour pouvoir le montrer à mon professeur de français. J'ai une admiration sans bornes pour mes professeurs de français que j'ai eu depuis la deuxième (c'est à dire : Mr VDL et Mme Swa****).

Dernière chose que je dois lâcher ici parce que ça fait chier tout le monde : HARVARD, ACCEPTE MOI !! Je rêve d'aller à Harvard, de faire littérature là-bas et de devenir écrivaine ou cinéaste. Mais mes amis disent que c'est impossible, je leur rétorque qu'on ne doit jamais dire jamais mais je ne le dirais qu'une fois... Oui, je sais que c'est impossible, qu'il y a peux de chances et que je ne ferais probablement partie de ces personnes là mais je ne veux pas anéantir ces rêves, c'est juste ma vie. C'est juste que si je n'ai pas d'ambition, mon monde s'effondre.

Je l'aime, je l'aime, je l'aime à en perdre la tête chaque jour un peu plus.

Passez une bonne soirée bien calés dans votre fauteuil et oubliez vos problèmes un instant, je vous le souhaite à vous, ça fait du bien. ;)

On s'attache.

17 novembre 2012 à 20h48

Christophe Maé me chante à l'oreille. Il m'inspire aujourd'hui. Je chante avec lui, je l'écoute, je souris, j'écris.
"Je suis pas James Bon, entouré de belles blondes", j'ai toujours adoré cette phrase de la chanson. Je sais pas pourquoi.
Aujourd'hui, il s'est passé plein de choses, c'était génial, j'arrive toujours pas à le croire...

HA ! Vous avez cru ou quoi ? Il s'est passé plein de trucs...Dans ma vie virtuelle, son le RPG.
Dans ma vrai vie, ben...C'est le vide quoi. Et je peux vous dire que je me sens pas mieux qu'hier ou avant-hier.

"Le quotidien, ça me tue, ça me tient, ça me fait mal, rien de plus normal..." Ouais, le quotidien. Fuck le quotidien.

Tout ça pour dire qu'aujourd'hui, c'était un jour vide. Quand s'arrête le vide ? Je sais pas. J'aimerais bien savoir. J'ai fait un travail de recherche en religion, je suis allée à mon cours de tennis avec mon prof chiant et les autres élèves de mon cours prétentieux et pathétiques. Je joue pas très bien mais je m'en fous. Puis, en revenant de quelques courses, j'ai attendu mes parents pendant une demi-heure dehors, sur le seuil de la porte car j'avais pas mes clés. Fuck les putains de clés qui disparaissent quand j'en ai besoin. Bref.

Les scouts, hier, c'était super chouette. J'ai adoré. Je pense que pendant notre jeu de nuit dans la ville, j'étais un peu...Vivante ? Heureuse ? Je sais pas.

Je me suis faite une nouvelle réflexion : qui me dit que je suis pour les garçons ? Peut-être qu'en fin de compte, mon truc, c'est plutôt les filles... Je me suis déjà souvent posée cette question. En soit, je ne sais pas. Et je ne suis pas obligée de le savoir, pas maintenant. Mais je me l'imagine quand même. J'aimerais un jour essayer, ça oui !

Comme j'étais sur l'ordinateur, et que je m'ennuyais, j'ai fait des tests. Deux tests de QI (l'un indiquait que j'avais un QI de 130, l'autre 106--> Lequel croire ? Non, je rigole. Je suis obsédée par le QI, ça me fascine et j'aimerais savoir quel est réellement le mien) et un autre test d'amour, qui a démontré que Lui et moi, on avait 83% de chances ensemble... Dommage que c'est que des mythes tous ces tests.

Fin voilà, géniale journée quoi.

Don't miss you at all...

17 novembre 2012 à 23h42

Il est onze heures du soir, je suis crevée mais je n'arrive pas à dormir. Comme jeudi. Je pense, je me casse la tête, je suis captée par l'écran lumineux du Mac. J'ai tenté de regarder des films. En vain. J'ai tenté de lire des journaux. Peine perdue. Mon esprit divague, sur le rythme d'Amy Winehouse, Adele, La Smala. Mon esprit ne pense à rien. Mes doigts tape sur les touches du clavier. J'aime ce bruit. Il me repose.
Je suis fatiguée. Possible ? Possible... Des phrases, des dictons, des citations.
Je tombe sur un sujet que je préfère éviter. Je tombe sur des mots qui m'échappent...Ou pas. Je lis, mes yeux menacent de se fermer mais je tiens bon. Je pense à toi. J'ai lutté, j'ai tout fait pour l'éviter. J'ai échoué. Pas un jour ne se passe sans que je pense à toi. Je m'endors mais je ne veux pas. Encore regarder ta photo, ton sourire, encore un peu.

Je t'aime. Pourquoi ? C'est impossible. Je ne veux plus. Tu me manques tellement. Tu me fais mal inconsciemment.

Tu peux demander aux oiseaux d'arrêter de chanter, au soleil de briller, à la terre de tourner mais ne me demandes jamais d'arrêter de t'aimer.

C'est un fait, une affirmation, ma vérité. C'est plus fort que moi, je deviens folle.

Cesserais-je un jour ? De penser à toi comme si tu étais le seul garçon au monde. De penser que seul tes sourires ont le pouvoir de me figer. Seul tes regards la puissance de m'enflammer. Seul ton étreinte la force de me tuer. Seul toi.

What an ordinary day for an ordinary girl.

18 novembre 2012 à 15h55

J'ai mal à l'oreille. Je sais pas si c'est parce que j'écoute trop de musique ou si c'est parce que je suis un peu malade, raison de ma vide-attitude.
En tout cas, on peut dire qu'aujourd'hui, je vais un peu me socialiser. Oui, vous avez bien entendu : je vais me socialiser. Non, je ne vais pas chez les scouts aujourd'hui. Non, je ne fais pas une chouette sortie avec plein d'amis. Y'a juste Felini qui vient (c'est le nom de son chat). Ses parents sont pas là donc elle vient dormir chez moi. J'ai bien envie car avec elle, je peux discuter de plein de trucs. On est pas meilleures amies. C'est juste un lien spécial.
Ordinaire, extraordinaire. Extraordinaire veut normalement dire : Pas ordinaire. Chez moi, ça veut dire : Extra (=très très très très) + Ordinaire. Donc, encore plus ordinaire qu'ordinaire. J'ai remarqué que la façon dont je m'habillais aidais la façon dont je me définis. Je me définis comme ordinaire, je m'habille ordinairement, comme tout le monde. J'ai jamais été une boss de la mode donc en quelques sortes, m'habiller ordinairement, ça m'aide à...M'effacer ? Mais le truc, c'est que les mecs, ils regardent les filles belles (premièrement) et qui s'habillent un peu décemment (c'est à dire pas en pull, tee-shirt et jeans, comme moi). Bon, je ne suis pas moche, je suis juste normale. Pas de sourire sexy, d'yeux bleus magnifiques ou de corps ultra-mince. Mes amies plus âgées disent tous le temps que dans un an ou deux, je ferais craquer tous les garçons. Ca m'aide pas vraiment. Un an ou deux à se faire chier, ça tente personne je pense. Bref. j'ai relu ce que j'avais écrit hier et j'ai l'impression que quand j'écris le soir, j'ai pas le même style que pendant la journée. Faut dire aussi que hier, j'étais à moitié entrain de m'endormir devant mon ordi, pensant à cet autre con.

Oui, c'est un con. J'en ai marre de lui. De penser à lui. De me faire chier rien que pour lui. Je suis fatiguée et j'ai l'impression de jamais être reposée, même après une bonne nuit de sommeil. Donc, je pense que je suis fatiguée de penser (à lui) et fatiguée de me poser tant de question existentielles auxquelles je n'ai malheureusement pas de réponse.

En ce moment, on voit le roman policier en classe. Ca me donne envie d'être comme Sherlock Holmes et de faire plein de déductions. Seulement, j'ai pas d'éléments à base desquels je peux faire des déductions. Ca m'ennuie un peu car à chaque fois que j'ai une chouette idée, y'a un blocage.

J'ai trouvé une chouette citation sur internet : Avant de trouver ton prince charmant, tu devras embrasser une tonne de grenouilles.

Elle me fait bien rire cette petite phrase !

Je l'aime peut-être quand même encore un peu...Beaucoup...Passionément...A la folie.

But chhhhht, it's a secret.

Rehab.

19 novembre 2012 à 19h25

Okay, j'avoue que ça a pas beaucoup à voir avec ma vie. On est d'accord. Je suis pas une droguée ni une alcolo... Mais c'est vrai que je suis accro à lui. Enfin, j'ai eu une journée...Pourrie. Je vous dis pas ! Félini, qui est venue dormir chez moi hier, m'a forcée carrément à me faire un chignon pour aller à l'école. J'peux vous dire que y'a eu des réactions...Très opposées.
Géant, il m'a dit que je ressemblait à un Télétubbies. Merci.
Michelle préférait mes cheveux lâchés.
Félini disait que celui d'hier était plus réussi.
Veste, Gogole et Sombre trouvait ça super. Bref, je ne suis en AUCUN cas offensée ou complexée mais ça m'a un peu ennuyée d'avoir des réactions si opposées. Sans compté le nombre de fois ou les garçons (très immature) se sont foutus de ma gueule. A part Soleil (John si vous préféré) mon meilleur ami (sexuel) qui est le mec le plus mature de notre âge que je connaisse et Big Surprise, Hadrien( à partir de maintenant, on l'appelle Pizza). Normalement, il se moque tout le temps de tout le monde mais cette fois-ci, pas du tout. J'étais même...Surprise.
Bref, hier soir, Félini m'a mis du mascara en rigolant, car je ne porte pas de maquillage et elle trouvait ça trop beau. Moi, je trouve ça juste immonde, ça me va pas et j'aime pas me maquiller parce que je préfère être au naturel. Mais elle, elle se maquille pas mal. Fin bon.
Soleil est super sympa. Il m'a acheté un cadeau mais il veut pas me dire ce que c'est. Il me dit que ça va me faire super plaisir et que quand il l'a vu, il a tout de suite pensé à moi. Je me demande vraiment ce que c'est. Surprise...
Je suis crevée. J'ai pas beaucoup dormi cette nuit (à cause de Félini) mais comme je l'ai déjà dit, j'arrive pas à dormir. Je me pose plus autant de questions que ces derniers jours mais je suis quand même encore assaillie par une fatigue inconnue. Pas grand chose à dire, on est lundi et je rêve déjà qu'on soit vendredi. Je sens que l'atmosphère des examens c'est installée. J'aime bien cette période de calme et d'étude où tout est réglé. Oui, je suis folle.

J'ai maintenant une hypothèse, une preuve sur laquelle me baser. Pas plus tard qu'hier, une amie à moi a poster une photo de nous tous au ski l'année passée avec comme commentaire : "cette année, le fun va recommencer." IL a aimé, ce qui me fait penser qu'il va sûrement venir. D'ailleurs, j'ai envoyé une autre amie en éclaireuse (subtilement bien évidement) et elle m'a dit que certaine personnes n'étaient pas sûres de venir (genre Lui quoi), ça me fait chaud au coeur.

There’s only 1 thing
2 do
3 words
4 you
Il Love You

Oui, je l'aime.

TGHC !!

20 novembre 2012 à 16h56

Thanks God he's coming (enfin, normalement !)
Quelle surprise de voir, quand je me connecte sur mon Facebook, que Jonathan a ENFIN réagis à une publication concernant le voyage de ski ! Oui, il vient. Peut-être. Sûrement. Je l'espère.

Dieu, si vous existez, pénétrer dans le cerveau des parents de mon amour et faites qu'ils acceptent qu'il partent avec nous ! Avec moi.

Voilà quelque chose qui a considérablement amélioré ma journée. Demain, Soleil va enfin me donner son cadeau et Mockingjay va en fin me prêter Professeur Layton DS, pour que je puisse me la jouer Sherlock Holmes. Demain,on est enfin mercredi, c'est cours de théâtre. Bref, je planifie une journée géniale demain. Ca ravive un peu l'atmosphère d'ennui qui plombe l'ambiance ces derniers temps...

Aller,maintenant, je travaille (car après toutes ces bonnes nouvelles, il le faut) et à 6heures, j'aurais tout le loisir de penser !

Amour, amour, quand tu nous tiens...

Mort instantanée...

20 novembre 2012 à 21h06

Il m'a envoyé un message instantané sur Facebook, il a dit qu'il venait sûrement et qu'il avait hâte. Je voulais oublier, je me disais que j'étais folle, je pouvais plus penser à lui tellement je m'imaginais trop de trucs...

Maintenant, j'ai une certitude, c'est que c'est smileys qui font des clins d'oeils en fin de phrase me montre à quel point je l'aime.

Oui, je l'aime, trop mais tant pis.

Il vient au ski.

Mort Instantanée.

Andante.

21 novembre 2012 à 15h51

Ok, c'est pas le titre rêvé pour mon journal d'aujourd'hui mais c'est le titre sur le quel je suis tombée en cliquant au hasard dans ma liste de lecture. Oui, j'écoute de la musique classique. Mon père est musicologue et a travaillé toute sa vie pour un orchestre et ma mère est dans l'art. Alors ne vous étonnez pas que j'écoute de la musique classique à mon âge. Jamais je n'avouerais à mes parents que j'écoute cette musique, que j'aime ça et que je trouve ça reposant. Ils seraient trop fiers. Donc, c'est un secret.
Bref, comme je l'avais planifié hier, ma journée c'est très bien déroulée (fin, la première moitié de ma journée, le reste doit encore venir !). J'ai reçu mon cadeau, un petit canard en plastique juif. Soleil est juif donc j'ai bien rigolé. Il m'a écrit un petit mot tellement mignon !!
"Hey chérie, tu veux du whisky ? Tu sais que t'es ma meilleure amie ?" Puis, il a signé d'un petit Soleil the best et le plus canon et en bas de la page, en tout petit, il a écrit : de la part d'un homme poète sans amis ;) ".
Ah, je l'aime. L'avoir comme meilleur ami est une des choses les plus géniales qui soit !

Je repense encore à ma discussion avec Skieur (Lui quoi, l'amour de ma vie) hier. Je l'ai relue plusieurs fois, un grand sourire aux lèvres. Ca donne ça :
"-Lui : Hello...T'a moins de 16 ans hein !? ;)
-Moi : Hun ?
Ah, oui, bien sûr que j'ai pas 16 ans !
-Lui : Ok parce que c'est pour les vacances de ski...(les 3 petits points qui veulent tout dire!!!) :p
-Moi : Hé oui ! Tu viens aussi alors ?
-Lui : P'tet mais si j'ai des bons points
-Moi : Ben faut que tu travailles alors ! Mais t sûr qu'il y aura encore de la place fin novembre ?
-Lui : Ouais, et sinon j'm'inscris en tant que 16 ans et voilà ;p
-Moi : Ouais, ça devrait aller... Ca va être juste trop cool cette année !! :)
-Lui : J'espère que je peux venir :)
-Moi : Ouais. J'dois y aller, bonne nuit ;) Et j'espère que tu peux venir !
-Lui : Oui ! Ok, bye ! :)

Conversation qui veut tout dire !! Je trouve pas que je lui ai fait comprendre à quel point il me manquait. Je sais pas ce que vous en pensez mais ça c'est assez bien passé cette discussion !

Bref, je vais au cours de théâtre, j'ai déjà fini mes devoirs, je suis euphorique, je suis heureuse, je vais bien. Amen.

L'amour est un maladie dont je voudrais JAMAIS guérir.

Someone Like You.

21 novembre 2012 à 19h55

Quelqu'un comme toi. C'est sûr, ça n'existe pas en double. Y'a que toi pour me faire chavirer le coeur, comme je l'ai déjà décrit tellement de fois. J'ai même commencer une histoire pour raconter ce qu'on a vécu ensemble. Je me suis mise à ta place, j'ai réfléchi à ce que tu pouvais ressentir. Mais finalement, je n'en suis pas sûre. Comment savoir que tu m'aimais réellement, que tu voulais un "nous". Peut-être que j'étais juste bonne à tes yeux. Ca m'étonnerais pas. Je t'imagine toujours plus beau, plus fort, plus romantique et plus mature par rapport aux autres garçons. Mais, oui, j'ai conscience que j'imagine, un peu trop. J'ai conscience que tu n'es peut-être pas comme ça. Je ne t'ai vu qu'une semaine après tout. C'est rien, une semaine, sur toute une vie. Je ne t'ai plus vu par après. Ni parler d'ailleurs. Et je prétends avoir toujours des sentiments pour toi. Enfin, pour cette personne que tu étais. Que tu n'es peut-être plus...
Mais, est tu encore celui que j'aime, celui que j'adore et qui alimente mon imagination ? Celui qui remplit les pages vides de ce journal.
Celui qui figure partout, dans chaque geste, chaque mot, chaque pensée.
Es-tu toujours le même garçon, le même Prince Charmant, le même...Le même quoi ? Le même tout !
Toi, toi, toi, rien que toi et encore toi.

Après une période d'euphorie totale, de mort instantanée, de chance extrême et de bonheur ...De bonheur tout court, je me pose des questions. J'ai beau me dire que tu m'aimes encore, que je t'aime encore et que tout rentreras dans l'ordre, je ne suis plus sûre tout à coup.
"Rien ne se reproduit deux fois." Un truc de Narnia, une parole prononcée par le lion Aslan. Je sais, c'est con, mais j'y crois dur comme fer. Je n'ai aucune preuve, je m'en fais, c'est tout.
Je te veux tellement. Si tu viens, je devrais faire un effort surhumain pour ne pas te sauter au cou et t'embrasser.

T'embrasser. Combien de fois n'ai-je pas imaginé nos retrouvailles, nos baisers, le reste...
Trop de fois. C'est clair.

Tu vois, j'aimerais t'envoyer ce texte. Te montrer à quel point tu comptes pour moi mais je ne peux pas. Tu es en couple, tu ne m'aime pas comme je le veux. Je ne peux pas. Ca gâcherait tout.

Donc, Someone Like You à fond dans ma chambre, ta photo dans ma tête et mes pensées écrites, je me rends compte qu'à nouveau, tu as rempli une page. C'est beaucoup tu sais. Trop ? Oui, trop.

J'ai cherché des poèmes, des citations, j'en ai trouvé une qui nous décrit bien.

Des paroles de douceur,
Des moments de bonheur.
Des regards échangés,
Un zeste de complicité.
Des étoiles dans les yeux,
La joie d'être deux.
Main dans la main,
Suivre le même chemin.
Des rêves plein le coeur,
Que du plaisir, aucune rancoeur.
Aimer et oublier
Les blessures du passé.
Juste la magie de l'amour,
Une belle vie pour toujours.

Les dernières lignes ne nous appartiennent pas. Peut-être qu'un jour... Peut-être qu'un jour, elle auront terminé notre histoire. Cet amour, qui me semble si impossible, si loin.

Mon skieur, je t'aime. A l'infini, pour toujours. Seulement toi.

Life's just...Normal.

22 novembre 2012 à 17h56

Rien de spécial, pas de pensées, pas de problèmes, pas de fatigue.
Une journée vide, sans intérêt, sans disputes, sans critiques, sans rien.
Juste, des cours intéressants, des bonnes notes. Mon esprit divaguant, pensant à lui. A notre conversation, toujours. Les examens approchent, je suis...Prête ? Oui, sûrement. Mon premier bulletin arrive jeudi prochain.
J'en ai juste marre de certaines personnes dans ma classe (pas toi, Claudia) et je ne peux plus les supporter mais, j'ai tellement d'autres choses à faire et à penser que je n'y accorde aucune importance.
Je suis dans ma chambre, tranquille, du Amy Winehouse à volume raisonnable, je n'écrirais pas beaucoup, juste pour me libérer un peu. Mon écriture du soir.
Ma tante et mon oncle, je pense à eux. Ils sont à l'autre bout du monde, dans ce pays que j'aime tant. Ils fêtent Thanksgiving, en famille, ma famille. Ils me manquent, les Etats-Unis me manquent, tout là-bas me manque, je suis un peu nostalgique, mais pas trop non plus.

Mon euphorie est partie, mais ma mauvaise humeur et mon ennui ne sont pas revenus. Je suis neutre, pour un certain temps du moins.

Je me suis dit que finir chaque journée par une petite phrase, un petit poème, serait chouette.

Et Si Ce Soir...

Et si ce soir je te racontais une histoire?
L'histoire de ces deux personnes qui n'osaient croire,
Que l'amour n'était pas pour eux, mais les autres,
L'amour n'est ni le tien, le mien, mais le nôtre.

Et si ce soir je te chantais une chanson?
Qui exprimait mes désirs et émotions,
Dans le refrain, ton prénom je le crierai,
Et dans ton coeur, en or, le mien je graverai.

Et si ce soir je t'écrivais un poème?
Qui parlerai d'une fille pour qui l'être suprême,
C'est ni une légende ni une fable ni un dieu,
Un mec à qui elle voue l'amour glorieux.

Mais je ne ferai rien de tout cela,
Je vais lever mes yeux et mirer le ciel,
J'y verrai ton étoile, je penserai à toi,
Et puis je dirais simplement que je t'aime...

Ca me décrit, oui. Je n'oserais pas te dire combien je t'aime. Pas maintenant. Mais, une certitude, cette certitude tellement présente me dit, que oui, je t'aime.

Après mes doutes, mes craintes, mes fantasmes et ma joie, j'en suis sûre, c'est toi que j'aime. Pour toujours, pour longtemps du moins. Et si je serai déçue par nos vacances, je t'oublierai.

Enfin, j'essayerai. Car arrêter de t'aimer est impossible.

I worry so...I'm not happy.

23 novembre 2012 à 18h08

Pas de bol, mon ennui est revenu. Comment est-ce possible ? Deux jours que ma bonne humeur à durée, c'est un progrès.
Peu faire mieux. En effet, je peux faire mieux. Enfin, on s'en fout.
Je suis anxieuse, stressée, impatiente, curieuse, avide, désireuse, intéressée de savoir ce qu'il va me répondre. De savoir s'il vient. De savoir si j'ai encore une chance.De savoir tout court.

J'attends.

Toute la soirée s'il le faut.

J'attends.

That Should Be Me.

23 novembre 2012 à 20h41

Ton prénom.
Pas moyen de l’oublier.

Ton visage.
Si loin, impalpable, tel un mirage.

Ta voix, elle,
C’est éclipsée avec le temps,
Comme mes souvenirs de toi.

Tes paroles.
Perdues dans le passé.

Ton sourire.
Aucune façon de l’effacer de ma mémoire.

La possibilité de te revoir.
Proche. Trop.

L’envie de te revoir.
Intense. Vive.

L’envie de te sentir contre moi, d’attraper ta main, de déposer un baiser révélateur sur tes lèvres.
Inaccessible.

Mais la simple idée de t’avoir dans mon coeur, elle, ne disparaîtra jamais.

Ce texte, pour une fois, c'est moi qui l'ai écrit. Sur That Should Be Me de Justin Bieber. Je ne suis pas fan de lui. Il m'inspire aujourd'hui, c'est tout.

Il ne m'a toujours pas répondu, je désespère. Peu être un peu trop vite...

Réponds, s'il te plaît. Ne me laisse plus dans l'incertitude.

Réponds. Tout simplement.

Don't have to wait anymore.

23 novembre 2012 à 22h22

J'en avais marre de l'attendre. Du coup, je lui ai envoyé un sms. Selon mes amies et certains principes, je n'aurais pas dû. Bref.
La conversation c'est bien déroulée, on a parlé de tout et de n'importe quoi. Il vient, il va s'inscrire ce weekend. Puis, il m'a envoyé un sms avec pleins de coeurs...J'étais en arrêt cardiaque. Jusqu'à ce qu'il m'envoie un sms disant : "Déso, j'me suis trompée de personne, mais maintenant, tu sais ce que je suis entrain de faire !"
J'étais hyper déçue donc je lui ai dit bonne nuit et il m'a toujours pas répondu.
Pourquoi ça doit être si difficile ?

Pourquoi il ne peut pas juste m'aimer ? Ou moi, ne pas l'aimer ?

C'est chiant.

Merde

Fuck.

Harvard, here I come.

24 novembre 2012 à 18h21

Je devais travailler cet après-midi, étudier les mathématiques. Finalement, j'ai pas réussi. J'ai fais un peu de Maths et un peu de Grec. Je travaillerais demain. J'ai enfin trouvé un motif pour mettre toute mon énergie dans le travail.
Je veux aller à Harvard.
Je vous en ai sûrement déjà parlé. C'est mon rêve. Ne me cassez pas, s'il vous plaît. Mes mais sont là pour ça, pour me dire que je rêve trop. J'm'en fous.
Je voudrais devenir cinéaste plus tard. Faire des films, des vrais. Pas le genre action où des millions d'euros sont gaspillés à de la merde. Désolé pour le mot mais c'est vraiment ce que je pense.
Bref, je pensais qu'à Harvard, il n'y avait pas de section Film. Et ben si !! Ce qui fait que je suis assez contente. J'hésite encore entre Film ou Littérature mais c'est sûr que ça restera dans ce domaine là.

Bref, ce soir, ça sent la soirée renseignement et demain, ça deviendra la journée études, mais, peu importe, car tout à coup, j'ai bien envie...

Autre chose. Je n'ai pas tellement pensé à lui aujourd'hui. Le message d'hier à, je pense, instauré une réalité dans mon esprit. J'ai enfin compris qu'il est en couple et que je peux toujours rêver. Bref, je ne suis plus si pressée que ça de le revoir.

C'est pas grave, il fallait que ça arrive pour que je comprenne enfin.

Trois semaines, c'est rien. C'est le temps qui me sépare des vacances de Noël. Enfin.

Harvard, you're my new love, my new dream, my future life. So, just wait a few years and then, we'll met !

Harvard, I love you.

Sans titre.

25 novembre 2012 à 21h22

Je suis fatiguée, j'ai passé le weekend à étudier et maintenant, j'écris une nouvelle histoire qui me vient à l'esprit. Je vous expliquerai quand j'ai le temps.

Vide.Néant.Ennui.

26 novembre 2012 à 20h20

Mots-clés de ma vie pour l'instant.
Je ne pense plus à Jonathan.
C'est ce que j'essaye.
Mais bon, essayer, ça fait pas des merveilles.
Je suis déprimée,
ne trouvant rien pour m'occuper.
La vie m'emmerde,
J'ai rien à perdre.
J'écoute de la musique chaque soir,
Essayant de ne plus voir tout en noir.
Pas de bol, ça marche pas trop.
Bienvenue au pays dingos.
J'déprime, j'emmerde, c'est l'néant.
J'espère que ça va pas durer longtemps.
Voilà, c'est mon rap de la soirée,
Et franchement, ça m'a pas mal soulagée.

Quel con.

28 novembre 2012 à 20h15

Mon père est un con. Je le déteste. Après il s'étonne qu'on a pas de conversation normale.
J'ai, pour une fois, parlé à table. J'ai fait une petite blague, ça a fait rigoler ma mère, ma soeur mais pas lui. Il m'a engueulé, dit que c'était lui le chef dans cette maison, qu'à 14 ans, je pouvais rien dire. Bref, vous voyez le truc. Ma mère a essayé de me défendre, c'est partit en engueulade. Deux minutes après, mon père avait déjà oublié l'incident. Moi pas.
Je le déteste pour qui il est. Je déteste lui ressembler.
Car oui, ce qui fait le plus mal, c'est que je lui ressemble physiquement très fort, qu'on a le même regard et je suppose que j'ai le même caractère.

Je peux vous dire que je souffre chaque jour...

Va au diable espèce de connard.

One day.

29 novembre 2012 à 21h03

C'est one cool chanson. J'ai un peu de peps. J'ai un excellent bulletin. Jonathan et moi, on s'est reparlés. Je pense que, comme je l'ai toujours dit, ça sera difficile de l'oublier. Tant pis. Encore un mois et on se revoit. Ca c'est arrangé avec mon papa. Pour cette fois, j'oublie. Rien à dire sur ma vie. Je me suis inscrite sur Twitter pour voir, je teste toujours. J'ai pas vraiment compris l'intérêt de ce truc mais bon. L'examen de Grec sera sûrement un sans fautes.

Je vais bien.

Bref.

2 décembre 2012 à 20h31

Bref, j'ai étudié tout le weekend,je suis sûre d'avoir réussi mon examen de Grec avec plus de 80% et je m'ennuie.
En période d'examens, j'ai pas le temps d'écrire, ni le temps de lire, mais bien le temps de chanter, d'écouter James Arthur de X Factor en chialant (presque) et d'enfin oublier Skieur. J'ai pas trop pensé à lui, je progresse. Un court petit texte pour dire que dans deux semaines, je suis enfin en vacances.
Que mes parents me font chier.
Que j'ai eu un excellent bulletin de TJ.
Que malgré tout, je me suis quand même imaginée nos retrouvailles pour la millième fois. Que comme je suis en examens, je vais dormir à 21heures.
Que je suis une psychopathe car j'observe mes voisins d'en face par la fenêtre.
Que je me suis découvert une nouvelle passion : chanter (Ô X Factor, tu me fais rêver).
Que jeudi, c'est la Saint-Nicolas et que grâce à ma soeur, je reçois des cadeaux.
Que je l'aime, j'ai été voir son profil et je lui ai parlé pendant le weekend.
Bref.

Vive les vacances de Noël et surtout...

Vive le ski.

No Life.

7 décembre 2012 à 23h15

On va dire qu'il ne se passe rien dans ma vie. Ce sont les examens.
Je suis une No Life quoi !
Et le pire dans tout ça, c'est que même l'image de Skieur ne me ravive plus. Je veux l'oublier et j'avoue que par moments, ça fait mal.
Bref.

Elisa.

8 décembre 2012 à 21h55

Elisa, je t'aime. Dis-moi tout, fais-moi confiance. Ne te fous pas de ma gueule, ceci n'est pas un journal intime.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime.

(Ou pas).

Feelings.

28 décembre 2012 à 14h23

Depuis combien de temps n'ai-je plus écrit ? Longtemps, c'est sûr. Mais j'étais tellement occupée. Je voulais écrire un nouveau journal intime pour monsieur Vdl, pour lui prouver que moi aussi, j'ai du talent. Parce que s'il n'aime pas comment j'écris, mon âme d'écrivaine sera endommagée à jamais. Ecrire, c'est ma vie. Je passe ma vie à imaginer des scénarios pour mes prochains films. Je n'en dort plus. Ça me prends toute ma place. Bref.
J'ai eu un superbe bulletin. JE suis première de classe avec une moyenne de 87.5% et Veste et moi, on forme le duo de choc. Mon titulaire m'adore, mes amis trouvent ma nouvelle coupe de cheveux géniale et noël c'est bien passé.
Mais je m'en fous.
Demain, à 7.45 AM exactement, je reverrais son visage. Je le reverrais pour la première fois depuis un an. Et j'ai peur.
Je n'en dors plus. J'ai mal au ventre depuis ce matin. Je ne veux pas quitter mon lit. Je veux disparaître sous les couvertures et jouer au RPG toute la nuit pour oublier. Mais depuis peu, le mot "amour" me trotte dans la tête. Rien de grave. Juste un truc TRES grave.

On passe au cinéma. A partir de maintenant, je suis fan de Keira Knightley et de Guillaume Canet. Je me suis matté une bonne partie de leurs films et je n'en resterais pas là. Plus tard, ils joueront dans mes films. Et Veste et moi, on sera connues par tout le monde et on gagnera plein de prix. Et on aura chacune un beau mari qu'on aime d'un vrai amour.

Parce que l'amour me pose un problème. Je me pose tant de questions auxquelles je n'ai aucune réponse. Comme d'habitude. Et je stresse.

Je veux grandir. Mais j'ai peur de la mort. Je veux partir. Mais j'ai peur de l'inconnu. Je veux l'amour. Mais l'amour est si rare. Car oui, selon moi, selon mes théories et mon esprit de gamine, l'amour, le vrai, est presque introuvable. Combien de personnes sur cette terre ont une âme soeur ? Ont un amour sans que cet amour se transforme en affection avec le temps ? Mes parents, mes oncles, mes tantes et mes grands-parents portent tous une affection pour leur conjoint. Mais moi je veux l'amour. Le vrai. Celui qui ne disparait jamais.

Et j'ai peur de ne pas le rencontrer. J'ai peur. Je stresse. 7H45. Seigneur.

7H45
7H45
7H45

Et je saurais si une étincelle, ne fut-ce qu'un petite, aura survécu à ce que j'ai tant aimé chez mon Skieur.

7H45.

Deception.

14 janvier 2013 à 18h28

Une semaine depuis la rentrée.
Deux semaines que je suis rentrée du ski.
Trois semaines que je n'ai plus écrit.
Quatre semaines avant les prochaines vacances.
Cinq semaines avant mon anniversaire.

Rien n'a survécu. Ni mon amour, ni le sien. Ni nos regards. Ni nos tremblements. Ni nos sourires. Ni nos slows. Ni aucun amour. Rien. Oui, j'ai pleuré. J'ai beaucoup pleuré. J'étais dévastée. Mais le jour suivant, tout mes sentiments avaient disparus et ne reviendront jamais.

Fin du chapitre Jonathan. Début d'une nouvelle vie.

Lost in some weird world.

21 janvier 2013 à 19h47

Lost in some weird world. That's what I am. Lost. Perdue dans mon monde, si vous préférez. Et je sais pas quoi faire. J'ai juste envie que quelqu'un m'aime comme j'ai aimé Jonathan.
Que j'ai su oublier. Dieu soit loué. Bref.

Jeune fille pas trop laide, blonde et sympathique cherche un jeune homme pas trop laid, aux beaux yeux, drôle de préférence, possédant un coeur un peu romantique et m'aimant comme elle est. Pas besoin de prince charmant, juste un gars qui peut l'écouter parler toute la journée de cinéma, sans lui dire de la fermer. Un peu de politesse et de bon sens sont les bienvenus. Pour plus d'informations, cherchez dans un monde parallèle, elle devrait se trouver quelque part entre Pluton et Saturne.

Prince charmant, si, comme Blanche Neige le dit, tu viendras un jour, ne tardes pas. Je suis assez impatiente de caractère.

Power.

1 mai 2013 à 12h20

Bien bien. Me revoilà, après plus de trois mois. Me revoilà en force et en vigueur. En forme. Me revoilà pour parler de ma fantastique vie qui n'a absolument rien d'excitant.

Depuis le chapitre du Skieur, je n'ai plus écrit. Ce n'était pas parce que je n'avais plus la force. Foutaises. En fait, depuis le "Vent du siècle", ma vie n'est que bonheur (ok, j'exagère un peu quand même). En fait, je me rends compte que tout va bien. Ma vie est vide, je vis, je bois, je mange et tout le reste. Je passe mes journées à écrire sur la vie. Je passe mes soirées à inventer des scénarios de films qui me conduiront aux oscars. Si j'y arrive. Mais je ne baisserai pas les bras.

Depuis le chapitre Skieur, j'ai relu mon journal en diagonale pour me rendre compte qu'en fait, je l'aimais vraiment beaucoup. Mais l'amour n'est qu'une illusion parmi tant d'autres, non ? Il est avec sa copine depuis un an maintenant et, honnêtement, je suis contente pour lui qu'il ai trouvé une fille. Moi, j'suis seule mais contente aussi. Les garçons, c'est pas trop mon registre. Et moi, je suis pas trop leur registre non plus. J'attends seulement sans désespérer qu'un type bien me déclare sa flamme.
En attendant, mon grand amour, c'est le cours de Néerlandais (et un peu/beaucoup de Français aussi). Je vis pour aller à ces deux cours. Ils m'apportent tout ce dont j'ai besoin (mélange d'humour, de trucs intéressants et d'interros vicieuses auxquelles j'adore répondre, peu importe le résultat). Les cours sont géniaux, mais les professeurs encore plus. Mr Mozart. C'est mon professeur préféré. Il est drôle, il est vraiment méchant et il m'aime bien parce que je suis attentive à son cours. C'est parfait, non ? J'espère l'avoir l'année prochaine. Un professeur comme ça, on n'en a pas tous les ans.
En deuxième place, il y a Mr Chen. Mr Chen, il est drôle, il est vietnamien. Il est sympa aussi. Son cours est vraiment chouette même si ça ne m'intéresse pas toujours. Je dois dire que j'ai bien rigolé, au voyage de classe, à Londres. Pauvre Mme Mouboubou, on se moquait toujours d'elle avec les autres professeurs. Ce voyage était vraiment génial, tout compte fait.

Que dire d'autre ? Rien. Je suis dans une période où tout est relativisé. Où on comprend qu'on ne vit qu'une fois et que c'est ça qui vous pousse à fumer pour la première fois, boire une bonne gorgée de Jack Daniels ou monte sur le toit de la maison avec votre cousin. Je ne me soucie que de peu de choses et je fais ce dont j'ai envie. Il est onze heures, j'ai envie de regarder un film ; je le fais. Qui se soucie que je m'endorme en cours, le lendemain (mis à part certains professeurs). J'ai une interro mais je ne veux pas étudier. Pourquoi étudierai-je ? (Ça ne m'est pas encore arrivé, je tiens à la préciser. Mes résultats scolaires sont trop importants pour que je joue avec ça. Hé oui, vous ne connaissez pas mes parents assez sévères, je suppose ?!). Bref. Tout va bien avec tout le monde. Ou tout ne va pas. C'est relatif aussi. Je suis tellement enfermée dans ma bulle, dans ma chambre, à faire ce que je veux qu'en fait, je n'en ai vraiment rien à faire de ce qu'il se passe dehors. Je ne sais pas si je regretterai ce comportement, plus tard. Je sais juste que je ne vais pas me faire chier à faire ce que les autres veulent que je fasse. A devenir ce que les autres veulent que je devienne.