la pensée

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 27/12/2014.

Sommaire

loveuse

8 décembre 2008 à 20h56

pense à moi comme je pense à toi, aime moi comme je t'aime, fait de moi ce que je ferais de toi. Je veux être avec toi mon amour toi seule sait à quel point je tiens à toi, toi seule sait ce que je pense car toi seule a eu le droit d'entrer dans ma tête. Mon cœur j'ai tant de choses à te dire, tant de choses que je veux faire qu'avec toi. Mon bébé je suis a toi et tu ne peux même pas me toucher, tu ne peux pas m'embrasser, tu ne peux pas m'aimer comme je le voudrais. Tu es loin de moi mon cœur, c'est dure de se l'avouer, de se dire que l'on ne vivra jamais ce dont on a envie de vivre, que la distance sera toujours entre nous et qu'elle le restera. Je t'aime mon ange... tu es la seule à m'avoir complètement changée, tu m'a fait tourner la tête, tu ma rendu folle de toi, accroc comme jamais je n'ai aimé autant quelqu'un. C'est peut-être que je t'aime trop, que je me fait du mal en pensant a toi car c'est la seule chose que je peux faire mon cœur je sais que tu m'aimes que ce que tu penses est exactement comme moi... et le plus dure c'est que je ne peux pas en parler, jamais je pourrais avouer que je t'aime, que je suis complètement amoureuse d'une fille, de toi ma puce, jamais je pourrais, c'est trop dur pour moi. J'ai peur de la réaction de mes proches, surtout de mes amis, ils ne me comprendrons pas. Tu es mon amour caché, c'est un lourd secret a porter et très difficile à surmonter puisque même si on se donne de l'espoir toutes les deux, je sais au fond de moi que je ne te verrais jamais, que j'ai jamais aimé aussi fort mais que cela n'aura eu aucun intérêt du moins aucun intérêt positif puisque je me fait du mal. Pourquoi ne pas arrêter tout de suite alors? pourquoi continuer à se parler, à se donner de l'espoir? tout simplement parce qu'il est trop tard, parce que le mal est fait, je ne peux plus me passer de toi mon cœur, j'attends tous les jours de te voir, de voir ton magnifique sourire qui me fait du bien, de t'appeler pour entendre ta voix qui me réchauffe le cœur et qui le fait battre même si pour finir on ne se dit pas grand choses...

--> ecrit le 17/11/08

la vue de l'intérieur

8 décembre 2008 à 21h25

''Une journée, c'est un levé de soleil, le temps qui reflète l'humeur du jour, un sentiment, une pensée...
Je suis dans cette journée, je dois m'y mettre ! mais je n'y arrive pas il y a des jours comme sa... je ne vois pas les choses de la même manière que tout le monde est-ce peut-être un simple sentiment ou une réalité? je me sens mise a l'écart, peut-être de mon plein gré mais je ne comprends pas, je suis en train d'écrire, je regarde attentivement ce qu'il se passe autour de moi, une classe, un cours, et moi, je me sens survolé cette pièce comme si ma présence n'était pas remarquée comme mon esprit à quitté l'ambiance et s'est enfermé dans une boite où de l'extérieur je regarde, j'observe et je fais des analyses selon mon état d'esprit, quand je jette un regard sur la classe, je vois des élèves qui ne font pas que suivre un cours, j'entends des conversations, j'observe des regards, des gestes, des attitudes et dans le fond, en dehors de cette bulle je peux percevoir le prof faire son cours comme si tout le monde était concentré alors que ce n'est pas le cas. Une sensation étrange ma envahie à l'instant, lors d'une intervention d'un élève qui proposa une réponse complètement à coté de la plaque et les autres élèves se sont mis à rire et d'une puissance incontrôlable mon esprit s'est éveillé et ma coupé de toute envie d'écrire, comme une sensation de surprise, de peur, comme un sursaut... ''

--> écrit le 18/11/08

signe du temps

8 décembre 2008 à 21h48

Comme si le temps s'était arrêté, comme si encore une fois mon esprit s'était échappé, je me trouvais dans ce cours et même aussi en dehors. J'exprime ce sentiment comme étrange et quotidien chez moi... Ce cours, cet exercice que nous avons à faire mais que moi j'ai déjà fait, comme si le temps s'était arrêté alors que moi je travaillais! Rapidement et dès la fin je regardais les personnes autour de moi qui eux n'avaient pas terminés; certains ne comprenais pas, d'autres travaillaient en silence et puis comme moi un ou deux élèves se trouvaient dans leurs pensées...

--> écrit le 19/11/08