L'écriture : un baume pour le coeur ?

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La conscience obscure

31 octobre 2007 à 23h55

La conscience obscure, la conscience marginale, c'est l'inconscient

Le subconscient rejaillit en fonction des besoins quotidiens, des peurs quotidiennes, des besoins et peurs ayant la plupart du temps un lien de cause à effet, et quand cela arrive, l’individu l’accepte ou le repousse.

Ouvrir la porte au subconcient, c'est accepter d’être son compagnon, que le subconscient soit votre guide, c’est l'accepter et choisir d’avancer avec lui. Le rejeter est un retour en arrière. Sub=sous=arrière. Conscience obscure. C’est passé de l’autre côté, du côté sombre. Littéralement, le blanc et le noir, le bien et le mal, le jour et la nuit.

Quand l’inconscient prend le dessus, il dicte vos pas, il devient votre guide. Et étrangement, il possède une force extraordinaire. Celle de chambouler toute votre existence. Il devient partenaire du destin. L’être humain est faible, ignorant, oublieux et impuissant face à lui même. Quand bien même, on laisse penser qu’il peut atteindre les esprits, les cœurs, quand il a un discours poignant envers la personne qu’il a face à lui ; et pourtant, il est l’exception, incapable de le faire face à la personne qu'il connait le mieux : lui-même.

L’inconscient serait-il la partie protectrice qui est en chacun de nous ? L’inconscient nous protège –t-il de la vérité ?

Devrions nous dire que les lettres font des mots, mais qu'à leurs tours les mots font des maux.

A l'inverse, peut-on dire que l'’écriture est un baume pour le cœur ?

C'est mon défi, le défi de ce journal. C'est notre défi. Mon journal qui devient aujourd'hui mon partenaire pour répondre à cette question.

L.N