Je suis désolée du fait d'avoir pleurer avant que tu partes. Tu m'as
vraiment mise à bout. Je pouvais plus me retenir, alors je suis
partie pleurer ailleurs. Vu le nombre de fois ou tu m'as dit dégage
puis reviens, ça a été qu'intensifier la chose lorsque S. à jeter ma
bague alors que tu refusais de me la donner. Je ne sais même pas
pourquoi je prends la peine de de t'écrire et de m'excuser. Peut
être que je t'aime un peu trop. "N'accorde pas trop d'importance à
une personne, alors que tu n'es qu'une option dans la sienne." Il
est bien vrai ce proverbe.. Je n'apparais que le Samedi dans ta vie,
et ça en été de même pour toi. Sauf que moi, je pense à toi la
semaine. Tu en prends jamais la peine de me répondre. Mes
messages comme pour mes appels. Mais tu sais que parfois ça fait
du bien d'avoir mal au cœur, d'avoir la gorge toute serrée à en
vouloir t'étouffer, et pleurer toutes les larmes de ton corps
jusqu'à l'épuisement total. Cette sensation de désarroi qui te
monte au cœur et qui te fais un de ces mal... Je pensais être
tombée sur quelqu'un de différent - même si l'on a fait que flirter -
mais encore une fois je me suis trompée. En aucun cas
j'insinuerais le fait que je regrette le fait de t'avoir rencontré, au
contraire, tu m'as ouvert les yeux. J'ai passé de très bons moment
avec toi. C'est fou comment tu me faisais rigoler, tu réussissais
toujours à me redonner le sourire, même si l'on s'était disputé la
veille ou quoi que ce soit. mais pas ce Samedi... Tu semblait
tellement ravi de t'en aller, alors que moi je commençais à perdre
mes moyens j'avais peur de ne plus te revoir. Ne plus t'apercevoir
derrière le comptoir,me regardant me rapprocher. Ce samedi
prochain, je pense, que ce sera sans toi, même si tu me l'avais
promis que tu reviendra.. Je réussis à te parler sans évoquer le fait
que tu sois si accroc au sexe. Je pourrais te faire un roman sur ce
que c'est le respect. Le respect d'accepter les choix de l'autre et de
ne pas s'emporter lorsque la personne refuse des choses. Tu n'as
pas la même valeur que moi, de ce que ce c'est de faire l'amour,
alors je ne vois pas l'intérêt de me rabaisser, en me disant que si
vraiment je t'aimais, j'aurai accepté.. Non ça ne se passe pas
comme ça. Je ne fais pas partie de ses filles qui disent oui à tout. Je
m'arrête là car je sais que je vais pas pouvoir m'arrêter si je
continue d'en parler. Et comme toutes les fois précédentes, je vais
m'énerver. A., je sais pas si tu m'as vraiment aimé, mais saches
que moi, si. Comme pour les autres je vais t'oublier - si c'est pas
déjà fait pour toi - avec un peu de mal, mais j'y arriverais. On est
déçu une fois, pourquoi pas deux.