Carnage...

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Carnage, la princesse Déchu.

22 juillet 2010 à 15h13

Tout commence ce 25 Décembre 1995, Aurais-je était le cadeau de noël de mes parents? Surement pas...Ma mère, ayant des problème de santé, n'as pas pu survivre a l'accouchement. Mon père, était trop triste...Il avait de la haine envers moi. Je m'appelle Hebi, Hebi Ozawa, et aujourd'hui j'ai 14 ans. Après le suicide de mon père il y a 10 ans, je suis allé chez ma tante est mon oncle qui ont une soeur Kyoko Ozawa, que je considère comme ma soeur. Je ne suis pas rentré directement a l'école car après ce drame que j'ai vécue...Je me suis renfermée sur moi-même et je suis devenue agressif. Je n'ai pas changée d'ailleurs, mais je suis quand même allez a l'école pour X raison. Tout le monde avait peur de moi, je m'habillée qu'en noir, je ne souriez jamais, je ne riais jamais. Jusqu'au jour ou je rencontras Ciel, un jeune garçon tout aussi froid que moi. Je l'ai vue la première fois dans un conflit dans a cour, il traité un petit de moins que rien, et il s'apprêtait a le frapper. Sans avoir conscience de se que je fesait, je me mit a courir devant le petit et c'est moi qui me suis pris le coup. J'ai bien vue dans le regard de Ciel, de la méchanceté mais surtout de la tristesse...Comme mon propre regard. Quelque seconde après la cloche sonne, pendant les cours je ne pensée qu'a lui! je voulais tout savoir de lui. Alors a la cantine je pris mon courage a deux mains et lui demandas son nom. Sans détourné son regard de son assiette, il me répondit "Ciel"...Sans rien ajouté. Depuis, on ne sais plus revu, c'était maintenant les vacances et je l'avait oubliée. Je rentrée maintenant au collège. La rentré se passa normalement, pour moi tout cas. Au collège, les gens sont différent. J'était leurs souffre-douleur étant donnée que je n'avait pas d'amis. Mais un jours, j'en avait marre! Sa fesait déjà 4 mois que sa durée. Un garçon de 3ème années commença a levé le poing pour me frapper, mais je réagit plus vite que lui et leva mon pied de façons a ce qu'il attérisse dans sa tête, je l'avait assommer. Quelque minutes plus tard, on m'avait jeté dans le bureau de la directrice.