Le journal d'Esseom à l'encre irréversible.

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Tout histoire a un commencement.

1 août 2012 à 16h16

Toute histoire a un commencement. Il n'y a pas de meilleure phrase à écrire pour le début de ce journal.

Je suis Esseom. Ceci n'est pas mon prénom. Juste un surnom pour garder l'anonymat. Je ne sais pas quoi dire. Je suis une grande rêveuse. J'ai donc la fâcheuse manie de confondre rêve et réalité.

J'écoute actuellement "All Yours" de Métric tout en pensant à quel point Tyler Hoechlin était adorable petit. (https://www.youtube.com/watch?v=SopLVaIxUJ0&feature=player_embedded#!)

Sincèrement, n'est il pas craquant ? Je sens mon petit coeur fondre comme neige au soleil.

Je ne sais pas quoi écrire. Je me suis inscris sur ce site pour me confier quand j'en ressens le besoin. Ce n'est pas le cas en ce moment. Donc je vous dis bises.

Et à bientôt.

Questions existentielles.

3 août 2012 à 20h00

Vous êtes vous déjà posés des questions du style "Pourquoi vit-on ?", "La vie a-t-elle un sens ?" ou même "A quoi je sers ?". Moi, je me pose souvent ce genre de questions. C'est vrai ça, pourquoi vit-on ? C'est une bonne question.

Quand j'étais petite, je me demandais pourquoi j'étais moi, Esseom, et non quelqu'un d'autre. Pourquoi j'étais pas cette fille là, avec de beaux cheveux.

Pourquoi suis-je moi et non quelqu'un d'autre ? Avant que j'arrive sur ce monde, on a choisis ? Le hasard ou le fruit d'une longue réflexion ? Pourquoi j'étais moi ?

J'aimerais bien vivre quelques heures dans la peau de quelqu'un d'autre. Laissez mon corps tout pourris ainsi que mon esprit. Mon âme quoi. Être quelqu'un d'autre. Ne plus être moi.

Je crois que je pète complètement les plombs là. Alors au lieu d'écrire des phrases philosophiques (qui me vaudraient peut être une bonne note en philosophie), je vais raconter ma vie.

Ça vous prends dès fois d'avoir mal à la tête sans raison ? Mal aux yeux ? Moi souvent. Tout à l'heure, j'avais l'impression qu'on me coupait le crâne en deux. C'est inquiétant. Je devrais peut être en parler à ma mère. Mais je n'en ai as envie.

Ce soir, c'était le début de la féria. O. y allée. Mais je ne voulais pas rester avec elle. Je suis vexée. Elle m'a remplacé, moi, et même N. Je suis jalouse. Je ne compte plus à ses yeux ? Elle préfère les autres ? Très bien. De toute façon, elle m'aurait lâché dans la soirée. N. ne va pas à la féria. Et tout un tas de personnes non plus. Moralité : je reste chez moi à rien faire, comme d'habitude.

R. y va. Juste à cause de lui, je regrette de ne pas y aller. Mais je le verrai demain. Je l'aime bien, mais il m'aurait forcément lâché dans la soirée de toute façon, et hors de question que je reste seule !

O. me manque en fait. Ça me rend triste qu'on ne soit plus aussi amies qu'avant. On s'entendait comme larron en foire. Et là, rien. Nada. Je sais que je n'ai pas été trop là pour elle, à partir des vacances. Où même en cours. Mais sincèrement, elle aussi n'a pas été une amie parfaite. Elle ne m'a pas aidé. Elle a essayé. Puis m'a lâché.

Je vais arrêter ici. J'ai l'impression, que malgré le surnom, et les initiales des personnes que je cite, on va me reconnaître. Ça me stresse. Mais j'ai trop besoin d'écrire. De me confier. Prions pour que personne ne devine qui est Esseom.

PS : Je ne peux plus supporter aucunes chansons des Beatles. Sauf "All you need is love". La folie a pris possession de moi, aucun doute maintenant !