Le poème d'une existence...

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Archive du journal au 09/10/2018.

Sommaire

Préface d'une aventure sans fin...

22 août 2012 à 3h03

Il était là ce garçon aux cheveux explosifs et aux yeux bizarrement verts.
Elle l’a aperçu et en fut amoureuse et feignais de tomber par terre.
Quelque jours avant elle se disait que Mlle X ne pourrait pas être elle.
Qu’il en avait une autre en tête, et reste à savoir qui était cette demoiselle.
Dont il avait parlé à son amie avec un surnom inconnu.
Elle en était sortie quelque peu déçue.
Par chance dieu voulut que ce jour soit le leurs.
Il l’a remarqua et vit dans ses yeux de magnifiques lueurs.
Une couleur de printemps et un sourire d’ange.
Le pauvre garçon succomba sous l’avalanche.
Provoquée par cette maitresse des charmes et envouteuse qu’il n’avait pas vu venir.
Elle emporta son regard partout où elle allait.
Ses yeux la nettoyèrent de haut en bas comme un coup de balais.
Il ne se rendit pas compte qu’elle le regardait du coin de l’œil.
Et puis ils engagèrent la discussion en parlant de tout de rien de Kalmar…
Puis ils rigolèrent, elle lui fait une bise qui resta marquée.
Que sa chère mère en rentrant avait remarqué.
Puis ils passèrent une vingtaine de jours à discuter.
Ils devinrent aussi proche que des inséparables en liberté.
Elle lui demanda un petit ours , et lui , lui proposa un échange un baiser.
Il fut surpris de voir qu'elle en fut heureuse et qu'elle accepta volontiers.
Ils rêvaient de voyage , à Prague , Riga et en Laponie.
Entre eux était née une grande harmonie.
Qui grandissait chaque jour un peu plus.
Et qui se renforçait à chaque passage de cumulus.
Il assumait ses défauts , et elle surmontait les siens.
Ils s'acceptèrent tel qu'ils sont et ne changèrent rien.
Il la faisait rêver, elle le faisait chavirer.
Il lui racontait ses voyages , lui apprit la vie.
Elle lui rendit le sourire, et le sorti de son agonie.
Par une soiré du deux au trois mars , ils n'en pouvaient plus.
Estimant qu'ils avaient assez attendu,
Ils se déclarèrent leurs amour.
Et se lièrent pour toujours.
Son coeur battait à la chamade qu'elle essayait de ralentir.
Et lui étouffé de lire et de voir la beauté de ses dires.
Le bonheur les engloutis tout deux et les emporta autre-part.
Ils savaient qu'un jour eux deux allaient faire ce grand départ.
Le départ vers leurs destiné.
Leur avenir qui est lié.
Il n'était écrit nul part que ça allait être rose tout les jours.
Mais ils se promirent de surmonter chaque orage , vent et manque d'amour.
Ensemble ils vécurent les plus beaux instants de leurs vie.
Et je raconterai chacun de ses moments dans mes récits.
Racontant la passion charnelle dans laquelle ils vivent.
L'amour délicat parfois , et sauvage quelque fois, dont jamais ils ne se privent...

Chapitre I : La fresque et le premier baiser...

22 août 2012 à 3h39

Le 03/03/2012, fut une journée palpitante pour nos deux concubins éprit de cet amour de délice.
Elle était sa Pénélope et lui son Ulysse...
Ce jour là , elle était sortie avec ses camarades féminines.
Elle leurs annonça discrètement la nouvelle avec son regard de maline.
Elle répliquèrent en disant que c'était pas inattendu et que ça se voyait dans ses yeux.
Que c'était clair que l'amour s'était installé entre eux deux.
Après un long tour les demoiselles se rendirent au rendez-vous.
Devant le conservatoire elles se tenaient debout.
Les amoureux on prévu d'aller au concert de leurs amis .
Ils y retrouvèrent tout le beau monde qu'ils connaissent.
Mais ils se consacrèrent à partager leur tendresse.
Une fois rentrés ils montèrent en haut et s'assirent au noir.
Un peu timide au début , il n'osa pas lui faire voir,
à quel point il pouvait user sur elle son pouvoir.
Elle lui prit la main et ne la lâcha pas et la gâta en caresse.
Il se senti à l'aise , en oublia le concert et se consacra à son altesse.
Elle pausa sa tête sur son épaule et lui embrassait le cou.
Il sentit qu'il perdait le contrôle et tout d'un coup,
Il se mit à l'embrasser un peu partout.
Puis lui jeta chaque minute une bise sur les lèvres.
Elle sentit monter en elle une extrême fièvre.
Puis elle vit en bas arriver sa famille.
Son cousin l'aperçu et en fit mine de rien.
Elle s'en foutait car elle se sentait tellement bien.
Mais à un moment elle trouva préférable de changer de place.
Ils s'en allèrent de l'autre coté de cet espace.
Les musiciens jouèrent ensuite un morceau de jazz envoûtant.
Et eux se lancèrent des regards encore plus ensorcelant.
Ils s'assirent et discutèrent un peu.
Il lui fit remarquer la jolie fresque mural, à ces mots s'en suivit leur premier baiser langoureux.
Il l'attrapa par le cou et l'embrassa doucement.
Ensuite il pénétra sa langue qu'il roula dedans longuement.
Mlle ne le laissa pas un seul instant respirer.
Le pauvre s'en est retrouvé essoufflé.
Mais le plaisir fut intense et inégalé.
Malheureusement il fut gâché par la venue d'une personne non attendue.
Le frère aîné de la demoiselle débarqua là-bas.
Ses amies montèrent en courant pour a prévenir et lui dire de descendre en bas
Elle lui fit une petite bise et s'en alla blanche de peur et toute tremblante.
Mais finalement il ne lui a rien dit et se fut un moment de détente.
Alors elle resta un moment en bas avec son frère.
Puis lui demanda si elle pouvait aller dire au revoir à son "amie" en haut qu'elle avait laissé en solitaire.
Il céda après mainte demande.
Et elle s'empressa de monter dans cette pièce immensément grande.
Elle ne trouva malheureusement pas son bien-aimé.
Qui était dehors et espérait son arrivée.
Elle le trouva debout sur le seuil de la porte avec un ami.
Elle l'embrassa puis s'excusa et il répondit tant pis.
Ils s'étaient câliné avant qu'elle ne soit rentrée pour éviter le regard maléfique de son frère.
Leur amour était énorme cela était tellement clair.
Elle passa un après midi qui restera gravé dans sa mémoire...C

Chapitre II : La promenade sans fin...

22 août 2012 à 16h04

Une fois que la cloche de midi eut retenti.
Mlle s'empressa de sortir pour rejoindre son compagnon chéri.
C'était dans l'après midi du huit mars que nos deux amoureux se retrouvèrent.
La voilà partie en chemin et le vit debout l'attendant.
Elle marcha très vite vers lui tout en l'admirant.
Elle lui prit la main et devant il s'avança.
La serra contre lui et l'embrassa.
Il la rendait dans tout ses états et la faisait chavirer.
Avec elle, il était lui même et de son amour il s'enivrait.
Puis ils partirent main dans la main ne sachant pas où s'asseoir.
Ils cherchèrent un petit coin à l'abri des regards.
Ils allèrent acheter quelque confiseries à déguster.
Puis ils se promenèrent et après un moment ils cessèrent de marcher.
Ils n'avaient jamais fait d'aussi longue promenade.
Main dans la main en se racontant des charades.
Des histoires, blagues , mots doux et rêves.
Leur amour était immatériel, éternel et sans trêve.
Puis ils s'assirent à l'ombre et il l'a saisi dans ses bras.
Elle lui caressait les cheveux , qu'elle trouvait mille fois plus doux qu'un pelage d'angora.
Il lui raconta la vie , lui raconte l'amour.
Il lui promit le bonheur , et de l'aimer pour toujours.
Puis elle lui offrit un doux baiser.
Et lui se mit à la caresser.
Jusqu'à ce que son téléphone retentisse et c'était sa mère au bout du file.
Elle lui dit qu'on l'attendait et qu'il fallait qu'elle file.
Il l'accompagna jusqu'à chez elle avant de repartir.
Il l'embrassa et lui dit qu'il l'aimer avant de s'en aller.
Elle s'empressa de rentrer pour l'admirer par la fenêtre marcher.
Il monta dans cet voiture dont il redescendra Mercredi.
Pendant son absence elle se remémorait ce qu'il lui dit,
Tout en restant allongée sur son lit.
Ce qu'ils firent, et ce qu'ils rêvaient de faire.
Elle l'aimait tellement qu'elle en avait parlé à sa mère.
Pour elle ce genre de choses fut une première.
Et voilà comment se déroula cette drôle de sortie.
Ce souvenir restera gravé dans leurs coeurs pour la vie...

Chapitre III : Froid glacial...amour qui réchauffe

22 août 2012 à 22h29

Ce jour-là les parents de la jeune fille étaient partis.
Elle en profita pour , en douce, faire une sortie.
Le temps était maussade et gris.
ça ne la gênait pas , elle l'adorait ainsi.
Elle s'en alla retrouver,
Ce merveilleux garçon qu'elle nomme "mon bien-aimé".
Après mangé ils s'en allèrent déguster un bon café.
Ah le café , un breuvage qui les a lié , qui est leur préféré.
Ils se retrouvèrent dans l'endroit seul à seul , tout deux .
Va savoir à quel plaisir se sont adonné nos amoureux!
Il l'a saisi par la taille.
Elle sentit des papillons dans ses entrailles.
Il la serra contre lui très fort.
Elle trouva son torse de tout confort.
Puis il l'embrassa tout doucement sur le cou.
Elle se mit à frissonner d'un seul coup.
Après avoir réglé l'addition il s'en allèrent rejoindre leurs amis.
Dans un autre endroit peu fréquenté et pas très loin d'ici.
En chemin pour prendre un taxi.
Le froid tortura la jeune fille.
Galant comme il est , il ôta sa veste et la lui mise.
Elle en était totalement surprise.
De son charme , elle était sous l'emprise.
De sa grâce elle était conquise.
Mais elle ne supportait de le voir à son tour trembler de froid.
Il refusa de reprendre la veste et dit qu'il n'en a pas le droit.
Parce qu'il s'était promit de se sacrifier pour elle quelque soit la situation.
Elle en était toute retournée, elle rougit de par la sensation.
Une fois là-bas, ils montèrent en premier en attendant leurs amis.
C'était vide , ils s'assirent en haut et s'embrassèrent sauvagement.
Un merveilleux baiser qui dura un long moment.
Puis une fois leurs amis arrivé,
Ils proposèrent de les marier.
Histoire de rigoler.
Alors deux de leurs amis prirent les rôles du prêtre et du témoin.
Et un autre ami en guise de demoiselle d'honneur, néanmoins,
Elle rêvait qu'il devienne son véritable conjoint.
On se servit de capsules de canettes comme alliances.
Jusqu'à aujourd'hui ils les cachent avec bienveillance.
Ils s'embrassèrent intensément ce jour-là.
Elle était sa reine, il était son roi.
Puis il l'accompagna pour qu'elle rentre.
Elle prit un taxi et lui en avait mal au ventre.
Il ne digérait pas de la voir partir à chaque fois.
Il rêvait de vivre avec elle dans un palais dont il serait le roi.
Il savait que ce jour la allait venir.
Ils s'aimaient jusqu'à en mourir.
Tout ce qu'il fallait c'était de la patience.
Ils faisaient preuve de persévérance.
ça allait porter ses fruits.
ils s'aimeront jusqu'à l'infini...