Ecrire soulage les maux

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Archive du journal au 11/10/2018.

Sommaire

L'enfance.

12 mars 2013 à 14h51

L'enfance, une belle époque d'ignorance, l'époque où ma vie était simple. L'époque où les parents peuvent te mentir raconter des histoires incroyable ! On y crois, nous, enfant naïf que l'on est. L'époque où on entend nos parents hurler parler fort sans que cela nous fasse mal car pour nous c'est pas grave.
Mon enfance était belle, pure, insouciante. J'ai partageais cette époque merveilleuse en compagnie de ma grande soeur et mon grand frère. J'étais la petite dernière, la mignonne petite fille pourri gâtée, j'étais parfaite pour mes parents mais aux yeux de mon frère et ma soeur j'étais juste une gamine capricieuse, cafteuse, méchante, égoïste, cruelle.
J'étais une fillette grande, mince, brune aux yeux verts avec quelques taches de rousseurs, bonne à l'école, élève modèle chouchoute des profs. Ma mère voyais en moi une réussite qu'elle n'a pas eu avec ces deux autres enfants totale.
Ma grande soeur et mon grand frère n'étaient pas bon à l'école, et enchaînés les bagarres avec les copains et les fugues. Alors forcément quand on a 7 ans et que toutes les attentions sont pour nous, et que mes exigences étaient tolérées, cela provoques des conflits fraternels.
Jusqu'au jour où..

De l'enfance au cauchemard

12 mars 2013 à 15h22

Jusqu'au jour où ma mère me montra son ventre en disant "Tu vas être grande soeur ". Mon monde s'est écroulé, oui je sais c'est mesquin de se dire qu'un petit être qui n'a rien demandé va rentrer pourrir dans ma vie. Mais quand on est l'ange de ces parents, on ne veux pas que ça s'arrête.
Le jour J fatidique arriva à mes 8 ans. Ma petite soeur pointa son nez. Je me suis senti délaissée, abandonnée, trahis. Mon grand frère et ma grande soeur se moquais de moi "Alors tu as vu ce que ça fais de se faire fâcher " disais l'un, " T'es plus la préférée " disais l'autre et malgré tout ce qu'ils ont subis à cause de moi, on s'amusait bien ensemble. Je n'aimais pas beaucoup ma petite soeur, j'étais vraiment jalouse pas proche d'elle. Alors je commença à écrire sur des bouts de papiers ma haine, ma colère, ma tristesse.. Je me focalisée sur mes leçons et mes devoirs à l'école, j'ai toujours aimée l'école, je n'avais pas beaucoup d'amie mais je trouvais passionnant d'apprendre, je voulais toujours en savoir plus, montrer ma véritable valeur pour que mes parents ne m'oublis pas soit fière de moi.
Avec le temps, je m'entendais de mieux en mieux avec mon frère et mes soeur et mes parents s'entendais de moins en moins, quand on a dix ans, nous commençons à comprendre les choses on ne veux pas les comprendre. Notre mère avais fais ces valises et nous a mis dans la voiture mon frère et mes soeurs, ne comprenant pas, je suis descendu pour rejoindre mon père, ne voulant pas le lâcher ma mère fut résignés à revenir sur ces pas.
Nous déménagions peu de temps après..

Le cauchemard

12 mars 2013 à 15h51

Nouvelle maison, nouvelle vie, nouvelle école, nouveaux voisins..
J'avais 11 ans quand je rentra au collège, ce fut tout de suite une claque, les adolescents sont vraiment des enculés méchants. Ils veulent ta place au réfectoire alors que tu es toute seule, que tout le monde te regarde dévisage, heureusement mon frère qui à deux ans de plus que moi me protégé car les autres élèves le respecté tout l'inverse de moi.
Voila le collège, nouveaux profs, nouveaux amis aussi perdu que moi, nouveaux devoirs. Enfin voila une vie d'ado tout à fait banale.
Je m'habituais à mon nouveau village, aux nouveaux habitants et touristes qui passais, je devint de plus en plus sociable grâce au coup de main que j'apportais à l'épicerie que tenait mes parents. Mon grand frère se lié d'amitié avec un petit voisin. Ma mère s'entendais bien avec le papa de se petit voisin un peu trop à mon goût ...

Les grandes vacances, moment de repos, de tranquillité, d'ennui.. Mon père avais pris pour habitude de dormir au canapé du salon je ne connaissait pas à l'époque le pourquoi du comment Une nuit, je vis un cauchemard éveillé.. Ma mère était sur des genoux pas ce de mon père, le visage collé à un autre visage pas celui de mon père. Le voisin et ma mère me regardait sans gêne, sans honte, sans culpabilité. Mon regard se jeta sur mon père qui dormais paisiblement dans la pièce voisine..

Ma mère partis avec le voisin nous avec laissant mon père seul avec une épicerie destinée à la faillite, laissant mon père se noyer dans le chagrin l'alcool. Ma mère nous avais trahis mon père et moi, je décida de ne pas la suivre dans son aventure qui n'est pas la première. Je resta avec mon père qui se laisser sombrer mourir dans l'alcool et produit illicites en tout genre. J'allais toujours au collège quand j'y pensais. L'épicerie avais fermer mais les bonnes barres de chocolats et tous les produits caloriques y était toujours. Voila j'avais 12 ans, 1m63 pour 70 kilos, mes notes à l'école devinrent catastrophique, mon caractère aussi. . Je n'adressais plus la parole à ma mère et j'essayais de faire la cuisine pour mon père qui ne voulais plus rien faire de sa vie. Je détestais ma mère, elle avais achever tuer mon père.

Le mieux pour moi

12 mars 2013 à 16h05

Mon père trouva une nouvelle compagne, aussi drogué que lui, n'arrivant pas à gérer ces deux adolescents ayant eu leur crise à la quarantaine, je préféra ravaler ma haine et partis chez ma mère, c'était le mieux pour moi, pour mon avenir scolaire, oui à 12 ans j'avais une certaine maturité et heureusement.

C'était chouette chez ma mère, c'était stable du moins je retournais au collège mais vu le retard que j'avais pris je n'arrivais pas à remonter la pente et les notes, on voyager beaucoup avec le conjoint de ma mère. Et lors d'un de ces voyages, je rencontra quelqu'un d'extra ordinaire, il était grand, brun, les yeux bleus, et aussi perdu que moi. Mon coeur à fais BOUM, le sien aussi, malgré ces 500 km qui nous séparé, nous étions heureux, il a embelli sauver ma vie.
Chaque vacance je le retrouvé et c'était l'extase, les petits bisous, l'attention que mes parents ne me donner plus, il me l'a donner. Oui c'était mon premier amour, le grand A, ça a était 1 an et demi de ma vie les plus forte que j'ai pu connaître malgré que je n'avais que 12 ans. A 13 ans et demi, ce garçon là et moi, nous avons décider involontairement de tout arrêter et de poursuivre nos chemins..

13 Ans

12 mars 2013 à 16h23

Mes 13 ans est le pire âge que je puisse avoir.
A 13 ans le corps change.
A 13 ans la poitrine commence à arriver.
A 13 ans on est toujours vulnérable.
A 13 ans on ne comprend pas.
A 13 ans il a joué avec moi, je le déteste, je le hais.
A 13 ans tu passe le brevet. Tu es censé étudier, tu n'es pas censé vivre ce genre de choses !!
A 13 ans j'ai réussi à m'entouré d'amis qui m’ont empêcher d'essayer de mettre encore une fois fin à mes jours, grâce à leur gentillesse et la confiance qu'elles m'ont apportée et qu'elle m'apporte toujours..
Avec ces amies j'ai réussi à découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas, la folie.. Bon la drogue aussi.
Je m'évadais dans un monde qui enlevé la douleur que j'avais dans la triste réalité.
Je ne les remercierais jamais assez du bonheur qu'elles ont pu m'apporter durant ce dure passage dans ma vie.
Quand à lui j'aimerais qu'il crève de mes propres mains !
Et j'aurais aimé avoir le courage de dire à ma mère qu'a 13 ans, les ados ne mentent pas toujours, car si cette galère à bien continué, c'est de sa faute, car elle n'a pas réussi à me croire.
Dans la vie quand on appelle au secours et que ta propre mère n'est pas là pour te tendre la main tu veux juste mourir car la mort elle même n'est pas aussi douloureuse ..

Le lycée

19 mars 2013 à 20h37

Le lycée, 3 ans de ma vie que j'ai vécu intensément. 3 ans de ma vie d'internat, c'était parfait malgré tout.
Il y ' a eu des hauts comme des bas.
J'ai rencontrés des amis géniaux, on en a fais des coups farfelus : Ramener un cochon d'inde, fumer avant de rentrer en cours, sniffer de l'eau écarlate, passer des soirées de folie, vomir suite à un apéro. Oui c'était débile mais les fous rire qu'on s'est taper était juste magique.
A la fin de la deuxième année, je suis partis vivre chez mon père, je ne supportais plus l'enculé qui m'a pourri la vie vivre sous le même toit de ma mère et de son conjoint. Mon père n'a jamais changé mais j'était plus heureuse chez lui.
Durant les années lycée, j'ai aimée un garçon. Nous avons eu deux mois à se chercher mutuellement pour finir par sortir ensemble, notre relation à durée un an et demi. Il étais physiquement maigre, les yeux noirs, grand et peu attirant. Mais je l'aimais est l'amour est aveugle, il me rendais heureuse.
Mais l'amour ne rend pas aveugle longtemps, le garçon doux, gentil se transformais de plus en plus à quelqu'un d’égoïste et arrogant sa vrai nature. Oui monsieur étais riche, ne connaissais pas la misère donc monsieur me voyais comme une fille dégueulasse, car je ne suivais pas la mode, car je n'avais pas de classe, ni de sac à mains, car j'avais des kilos en trop. Je le hais, je le déteste ! Sur les 1 an et demi que j'ai passée avec lui, il ma bien pourri 8 mois avec le genre de phrase qui t'arracherais le cœur avec la vitesse d'un escargot. "Je ne te désire plus car tu es grosse" "Me tiens pas la mains, tu me fais honte" Ouais un connard, mais quand on aime, on fais tout pour garder cette personne, même si elle nous fais mal...
Je décida de mettre fin à cette relation avec beaucoup de mal, mais la liberté de dire tout ce qu'on à sur le cœur à été tellement forte, tellement soulageante que je ne regrette pas du tout ce choix. Par la suite, j'ai rencontrais Franck, un garçon aussi pathétique qu'efféminé et j'en suis tombé amoureuse. Il se foutais totalement de ma gueule mais je fermais les yeux. Il m'avais attiré dans cette mousse lors d'une soirée en boîte, il me plus pour son incroyable sens de l'humour. Mais voilà, l'amour fais place à la haine, il à réussi à m'avoir deux fois dans son piège, piège où j'ai sauter à pied joint !! Il souffrira, je crois que j'aurais besoin de rien faire, à force de jouer avec les cœurs et les sentiments des gens, ça fini par se retourner. Il me tarde sincèrement qu'il souffre !!

Le lycée continua, et se termina.. Sans le BAC pour moi..

Appollo

25 mars 2013 à 21h55

Appollo c'est c'était mon poney. Je l'es eu le 13 novembre 2010, il avais 9 mois, mesurais 96 cm il etait si mignon, rigolo, adorable petit qu'on pouvais le faire rentrer dans la maison.
J'étais sa maman, il était mon bébé.
Une connasse personne de ma famille me l'a enlever.. le 20 novembre 2011...
J'ai besoin de l'exprimer car ce poney, je les élevé, vu grandir et aimer.
J'ai la rage, l'envie de pleurer car sont absences pèse.
Les souvenirs que j'ai de lui sont si intenses, si magnifiques que les photos ne signifies rien comparée à ce que mon coeur à encrée en lui.
Appollo De Orossen, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais
Pas un adieu, juste un au revoir ♥

L'après lycée.

25 mars 2013 à 22h32

Voila, au jour d'aujourd'hui, depuis juin, je suis chez moi à rien foutre. Je passe ma vie enfermée chez moi derrière mon PC, je me demande quand est ce que mon père s’apercevra que j'ai besoin de lui..
J'ai 18 ans, pas le permis, à la recherche d'emploi pour me payer le permis et me trouver un chouette appartement. Mais quand on à pas de scooter, ni de permis, pour trouver du travail. C'est assez contraignant.. Surtout quand on habite un petit village.
Le moral baisse, mais heureusement je peux compter sur des personnes incroyables ! On va les nommer O, A, N et E. O, A et N m’accueille chez eux pour tout m'expliquer sur la vie active, E m'encourage à persévérer.
Mon père ne veux pas que je travail ( il n'aurais plus l'argent qu'il a grâce a moi ) Il est tellement radin, égoïste, hypocrite, menteurs, arrogants pas cool avec moi qu'il m'achève chaque jour un peu plus..

12 avril 2013 à 22h16

Regarde là bon sang. Elle ne peut pas vivre sans toi. Elle est si naïve, qu'elle pourrait passer sa vie à attendre après toi. Son sourire est si peu crédible qu'on pourrait presque en rire. Prends lui la main, emmène là où l'amour n'est pas un crime. Tu es le seul à la rendre si rayonnante. T'es le plus important pour elle, et ça faut que tu le sache. Quand elle me parles de toi, c'est yeux brillent, elle à souvent les larmes aux yeux, rien qu'en parlant de toi, alors imagine quand elle penses à toi, réagit, elle t'aime.

J.

6 juin 2013 à 15h43

L'avoir des heures au téléphone, entendre la chaleur de sa voix à travers cet appareil de communication.
L'écouter me dire son savoir si intense, j'aime apprendre la vie avec lui, j'aime sa façon de voir les choses.
L'entendre rire aux propres ânerie qu'il dit, rire avec lui. L'aider tant bien que mal.
C'est une drogue si pur et si bonne. Je n'arrive pas à me passer de lui, il m'obsède, il m'attire, il me rend la vie belle.
Je suis perdu dans se paradis qu'il m'offre sans se rendre compte. Je suis perdu quand il me parle d'autre fille mais je ne lui dit pas, la peur de le perdre ou de lui montrer mon attirance envers lui me rend folle.
Ne faire comme si de rien étais. Il ne se passe rien. C'est un ami. Cache tes sentiments, tes picotements dans le vendre quand il t'appel par surprise. Cache tout ou tu risques de le perdre en tant qu'ami.. Oui je préfère ne rien dire et savourer sa voix chaque jour.

♥ ♥ ♥

15 juillet 2013 à 16h12

Voila, au jour d'aujourd'hui je suis heureuse. Il est là avec moi, pas que dans mon esprit ni dans mon cœur, il est dans mes bras, dans mes yeux, sur mes lèvres. Il est partout, il m'rend dingue c'est fou ça. Lui qui est si beau avec un savoir impressionnant, lui que toute les filles regardent, il est avec moi ! Moi la fille banale ! Il me rend belle, il me parle et surtout IL M'ECOUTE !! Wahou mon petit nuage se transforme chaque jour en un tapis de 1000m² de cotons moelleux. J'en reviens pas, que l'on partage tout et n'importe quoi. Je fond quand ces yeux s'enfonce dans les miens, je frissonne quand ces mains caresse ma tailles, je suis protégée quand ces bras me compresse contre son torse.
Si c'est un rêve, j'vous en supplie ! Ne me réveillez pas !

La roue a enfin tournée !

26 août 2013 à 9h49

En deux mois, j'ai pris dix ans mentalement. Je comprend enfin les choses de la vie, enfin le pourquoi du comment. Et ça grâce à mon Ju'.. Oui je roucoule toujours dans un paradis à ces côtés. Il a cette facilité d'avoir une patience et une obstination pour que j'avance en mon égard que j'admire profondément. Je vais enfin avoir un boulot, enfin le permis, enfin le commencement d'un avenir meilleur ! A dans 10 ans les gens, on verra qui pleurera !!

Sinon en amitié, j'ai mis fin à 12 ans d'amitié. Bon visiblement ça ne l'empêche pas de vivre donc j'essais de faire de même, tant pis.. J'aimerais tellement lui demander comment elle va, si tout va bien pour elle. J'ai un coeur d'artichaut et un jour je paierais de trop aimer..

Où j'en suis

20 novembre 2013 à 19h22

Au jour d'aujourd'hui, je vis une vie incroyablement pleine de rebondissement. Qui aurais cru, qu'un jour, je puisse savourer le souffle d'un petit vent frais annonçant l'hiver. Ah oui l'hiver arrive, je le vois et je le sens à chaque fois que je me promène à la recherche d'un emploi afin d'être à 100% bien dans ma peau. Oui des personnes n'ont pas cru en moi, m'ont blessée, m'ont enterrée. Pour quelle raison ? Bonne question ! Mais je les pardonnes, ils ne méritent même plus mon attention. Ces pseudos amies qui soit disant seront la pour toute la vie et plus.. ne sont que des piètres menteurs.

Et puis j'me dit qu'après tout, si il peuvent vivrent sans moi, je peux vivre sans eux. Je progresse, j'avance, je murie car celui que je considère comme à présent "Le Bon" ne me décourage pas en disant que ma vie sera de la merde. Il fait tout le contraire, il m'aide, m'encourage et se fache pour me booster afin de m'épanouir. Oui j'admet que sans lui je serais incapable d'avoir fais ça, j'ai besoin de lui car ces bras sont le plus protecteur de tout les boucliers, sa voix la plus belle des mélodies, sans lui je suis rien, je ne suis plus ce que je suis, il me donne une raison valable de vivre
Je ferais tous mon necessaire afin que mon homme soit le plus heureux du monde à mes côtés et soit fière de moi.

Je l'aime d'une force !!
Le bonheur vraiment, j'avance, je ne survit plus, je vis tout simplement !!
Aimer c'est aussi souffrir, souffrir de savoir si cet amour est aussi sincère et réciproque..
Je prend le risque de souffrir, car ça en vaut la peine.

Je l'aime à m'en faire exploser le coeur !!