En 10 minutes...

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 17/02/2008.

Sommaire

14 Mars 2007 à 23h05
Question de style...
17 Mars 2007 à 20h43
Il n'y a pas d'amis...
3 Mai 2007 à 14h37
Il n'y a pas d'amis... seulement des moments d'amitiés.
12 Mai 2007 à 12h11
De la difficulté de vivre en couple
10 Juin 2007 à 19h10
Et il fait encore la gueule...
3 Juillet 2007 à 1h49
Esotérisme
4 Juillet 2007 à 0h23
Je crois en Dieu ?
6 Juillet 2007 à 1h43
On n'apprend jamais de ses erreurs
23 Septembre 2007 à 14h48
Belle mère... Jolie maman ?

Question de style...

Mercredi 14 Mars 2007 à 23h05

Il y a parfois des questions qu'il vaut mieux éviter de se poser de peur de devoir y répondre... Je veux dire que des fois il vaut mieux aussi éviter de poser aux gens des questions qui exigeraient une réponse par forcément espérées. Tiens, par exemple, je me suis demandée pas plus tard que tout à l'heure en nettoyant la salle de bain si j'étais heureuse. Et je me suis trouvée complètement ridicule de me poser une telle question alors que j'étais en train de nettoyer les chiottes. Car la réponse allait forcément être, à ce moment précis : NON ! Alors que somme toute, quand j'y pense, j'ai pas vraiment de quoi être malheureuse. J'ai pas vraiment de quoi être heureuse non plus. Ou alors peut être que je suis trop exigente et que j'en demande beaucoup trop aux gens qui sont autour de moi. Peut être après tout que je suis pas heureuse certes, mais en suis-je malheureuse pour autant ? Non pas forcément ! Mais il me semble quand même que j'ai déjà été plus heureuse que ça auparavant. Je me souviens qu'il n'y a pas si longtemps que ça, je souriais au soleil au volant de ma voiture en rentrant chez moi et en me disant : putain ce que la vie est belle, alors que je n'avais rien de plus. J'avais moins d'argent, j'avais pas de copain, je faisais exactement le même boulot, je voyais les mêmes amis... Alors que s'est-il passé entre temps ? Je suis en train de lire un livre dont l'héroïne se persuade au fil des pages qu'elle n'est pas faite pour être avec un homme, que ça ne marche pas, que sa vie est mieux comme ça... Et en lisant ces lignes je me demande franchement, sincèrement, si je suis pas cette héroïne ! J'ai quelque chose d'elle c'est sûr. Et en même temps, je ne me vois plus envisager la vie sans lui ! Et en même temps il n'est peut être pas forcément responsable de mon mal être du moment. Il en fait parti certes. Mais... Il n'est pas le tout. Au final, y a-t-il des moments de vie où on est apte au bonheur et des moments de mort où le bonheur ne peut exister ? Et puis après tout, le bonheur, c'est peut être pas ce qu'on croit. C'est peut être pas ça... Certains disent qu'il n'existe pas, mais il n'existe peut être pas sous la forme qu'on veut bien lui donner. Peut être qu'en fait, c'est pas si fort que ça le bonheur. Je sais pas. Et je sais encore moins pourquoi ça fait 10 minutes que j'essaie de savoir ce que c'est. Il me semble que s'il était là, on saurait ce qu'il est. Non décidément en ce moment, je suis inapte à vivre bien. J'arrive pas à relativiser les évènements. Mais patience, tout passe et avec le temps... ça passera aussi. Bonheur attention, je pars à ta recherche !

Il n'y a pas d'amis...

Samedi 17 Mars 2007 à 20h43

Il n'y a pas d'ami... juste des moments d'amitié. Ce n'est pas de moi. Je ne sais plus de qui c'est. Mais y a des moments où je trouve ça très vrai. On a beau nous leurrer avec les grandes idées sur l'amitié. Qu'elle dure toute la vie, alors que l'amour ne dure pas. Elle est tout aussi éphèmère que l'amour... On croit qu'elle dure plus longtemps mais c'est pas vrai si on met bout à bout les moments passé ensemble. On nous dit qu'un ami c'est pour la vie. Bullshit ! Seul le jour de sa mort, on sera capable de dire qui a été notre véritable ami et je suis pas sûre qu'à la mienne, il y en ait beaucoup ! L'amitié ! Voilà le grand mot ! Comme si on était sûr qu'elle allait nous sauver du désespoir lorsqu'on perd le grand amour... Alors que le grand amour lui, il a peut être été éphémère mais il a été là ! Et puis tout le monde se dit ami mais lorsque le couple fait son apparition, finalement, on les voit de moins en moins. Aujourd'hui, à l'instant T, je dis que la personne qui compte le plus pour moi c'est lui. Car c'est avec lui que je compte faire ma vie. Mes amis passeront... Ne se souviendront plus de moi d'ici 10 ans. Peut être qu'ils auront oublié jusqu'à mon nom de famille, alors que 10 ans plus tôt on se jurait une amitié éternelle, que rien ne se mettrait entre nous et qu'on serait toujours là l'un pour l'autre ! Bullshit, bullshit et encore bullshit ! C'est pas vrai tout ça. Une illusion d'amitié pour tromper une réelle solitude, mais pas plus. Je ne suis pas dupe. J'ai plus envie d'être dupe. J'ai plus envie de croire aux merveilles qui finiront un jour en déception. Je n'en ai déjà que trop eu. L'amitié... chacun se dit ami, mais fou qui s'y repose, rien n'est plus commun que le nom, rien n'est plus beau que la chose.
A méditer !

Il n'y a pas d'amis... seulement des moments d'amitiés.

Jeudi 3 Mai 2007 à 14h37

L'amitié... ce mot me parait tout à coup très surfait. On se dit ami, on dit s'aimer mais j'ai finalement toujours l'impression qu'on ne fait ça que pour se sentir moins seul dans la joie comme dans la peine. Surtout dans la peine d'ailleurs. Lorsque je les regarde toutes autour de moi... c'est comme si au lieu de m'élever, elles m'enfonçaient encore plus la tête sous l'eau. Elles ont décidé que je n'allais pas bien. Et elles feront tout pour me le faire croire. Comme s'il fallait qu'on soit toutes dans le même bateau du malheur. Au lieu d'apaiser les tensions, au lieu de faire en sorte que les choses aillent mieux, elles s'insinuent sournoisement dans mon cerveau pour empirer les choses. Je vois leur manège et je suis déçue. Je pensais que nous étions sortis de ces gamineries maintenant. Apparemment non ! Le loup ne prend plus l'apparence du mouton. Il prend l'apparence d'une bonne amie. Longtemps, je me suis dit que je ne me laisserai plus prendre dans ce piège de l'amitié... Mais on apprend jamais de ces erreurs. On recommence invariablement, inlassablement les mêmes conneries. Et avec joie en plus. On saute à pieds joints dedans. Et rien ne nous en détourne. Même pas les premières trahisons. Ne plus parler. Ne plus rien dire. Ne plus être l'élément de communication. Ne plus rien faire. Juste être... et voir... Je suis déçue. Car je constate une fois de plus, que je suis seule face à moi-même avec personne en face qui comprend et qui me suit. Je suis déçue de moi-même pour y avoir cru, encore une fois. Déçue de ma faiblesse de ne pouvoir vivre seule. Plus d'un mois plus tard... je constate que j'en suis toujours au même point !

De la difficulté de vivre en couple

Samedi 12 Mai 2007 à 12h11

Depuis que j'ai quitté l'homme qui a partagé ma vie pendant 8 ans, enfin, depuis qu'il m'a quitté plutôt, je ne crois plus vraiment à la vie de couple. J'ai refait un test, mais non... J'ai plus la foi. Je n'y crois plus vraiment... L'amour oui, mais vivre ensemble non. C'est un vrai calvaire. Un tue-l'amour en puissance.
Vivre avec l'homme ok, mais vivre avec ses chaussettes sales, avec sa vaisselle sale, avec ses affaires dissimulées un peu partout et évidemment ce n'est jamais l'homme qui passe le plus de temps à ranger tout ça. L'homme, ça ne l'embête pas lui, que ce soit le bordel. Et apparemment ça l'embête encore moins que ce soit toujours la même personne qui range ! Oh, et puis cette manie qu'ils ont de me prendre pour leur mère, c'est assez infernal.
Aussi, j'en reviens vraiment à ce que je pensais avant de l'avoir rencontré. L'amour oui, mais sur le même palier. Dans la même maison c'est trop risqué. J'en viens donc à me dire que le meilleur moyen de vivre en couple, c'est de ne pas vivre ensemble. Ou alors d'avoir une énorme maison et de la partager en deux. Chacun son coin, chacun son bordel, chacun son ménage et chacun son rangement. En général, quand j'expose ça aux hommes, ils ne sont pas trop d'accord avec ma vision des choses... Tu penses... ils ont tellement d'avantage à perdre !
C'est bien malheureux, mais au fur et à mesure que j'avance en âge, je me dis que finalement rien à changé. La France est autant vieillotte et archaïque qu'avant. Certaines lois ont changées, mais au fond les mentalités sont restées les mêmes. Et les femmes qui se sont battues hier pour nos droits sont devenues ces mères qui élèvent leur garçon toujours aussi mal et qui mènent la vie de leur fille à la dure. Rien ne change...

Et il fait encore la gueule...

Dimanche 10 Juin 2007 à 19h10

Tout ça parce que j'ai osé lui dire que je n'étais pas sa bonne mais sa femme ! Tous les prétextes sont bons pour me tirer une moue de six pieds de longs et je commence à le vivre assez mal ! Je ne supporte plus tout ça !
Je pourrais, je crois écrire des lignes de "j'en ai marre" tellement j'en ai marre justement ! A quoi ça sert tout ça, je vous demande bien, puisque de toutes façons, un jour où l'autre il faut bien se le dire, tout ça sera fini !
J'ai plus envie de croire à tout ça !
Je vais aller me lire le livre que B. m'a prêté ! "Ce crétin de prince charmant" ! Quel beau titre non ?

Esotérisme

Mardi 3 Juillet 2007 à 1h49

Je reviens vers mes premières amours. La Magie. Qui croit en la magie ? Personne. Tout le monde. Oui, enfin quand je dis magie, je ne pense pas à Merlin ou à Harry Potter. Je pense à tout ce qui entoure l'ésotérisme. La méditation, la wicca, la cabale, la divination, les guérisons, l'herboristerie, les plantes... tout ce que tout le monde croit et tout ce que tout le monde ne croit pas. C'est des épisodes récurents dans ma vie ce retour à ça. Ca revient chaque fois que je me sens redevenir seule et libre. En ce moment, je tombe souvent sur ce thème. Sans le chercher. Sans le vouloir. Il est là. Un site. Un livre. Une discussion. Ca m'amuse. Mais je laisse vite retomber le sujet car il me fait peur. D'après T, tant que j'aurai peur, je ne progresserai pas sur ce chemin car je me faire des portes toute seule. J'aime écouter T me parler de ça. Il me fascine. Mon conscient n'y croit pas un mot mais aimerait sérieusement y croire. Comme dans les contes pour enfants. On ne croit pas à ce crétin de Prince charmant pourtant on continue de le chercher et on continue à être déçues. Bref... Pour l'instant le sujet s'approche de moi tout seul et j'avoue que je ne le repousse pas. Au contraire. Puisqu'il m'intéresse. Et puis, je dois dire que j'ai le temps d'y penser puisque l'homme qui est censé m'aimer me laisse seule, même lorsqu'il est à côté de moi. C'est comme ça ! Je n'ai rien à dire puisque tout a été dit. Je n'ai plus rien à protéger puisque je suis seule à le faire. Alors vivons comme avant, comme lorsqu'on avait le temps, lorsqu'il n'y avait que moi. Il faut que je retrouve ce bouquin sur la méditation. Ca me ferait du bien d'en refaire un peu. Histoire de changer mon état d'esprit qui s'acharne à essayer de rattraper l'irrattrapable alors que le plus important n'est pas là. Le plus important c'est moi. Et puisqu'il ne s'en occupe pas... Alors il faudra bien que je le fasse pour lui. Je verra ça demain. Je m'en occuperai demain. Demain... Un autre jour pour tout recommencer. Après tout, il n'y a pas mieux n'est ce pas qu'un jour comme demain pour reprendre les choses en mains. Voilà, il me reste 15 secondes pour vous dire au revoir alors... Au Revoir.

Je crois en Dieu ?

Mercredi 4 Juillet 2007 à 0h23

On vient de me donner un sujet tout trouvé pour ce soir ! N'aurais-je jamais pensé qu'un Dieu pouvait vouloir être tout proche de moi ! Dure question. Dure réponse. Dire oui serait à mon sens très prétentieux. Qui suis-je moi pour espérer croire qu'un Dieu puisse s'intéresser à l'infiniment petit que je suis ? Mais dire non ne serait pas vrai non plus. Le petit bonhomme à Barbe blanche assis sur un nuage à regarder nos faits et gestes, je m'y refuse. Si Dieu existe, j'espère qu'il a mieux à faire... Agnostique ? Déiste ? Je me rapproche de Voltaire sur ce point là ! "L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer, Que cette horloge existe et n'ait point d'horloger". Maintenant de là à savoir qui est cet horloger ! Je ne peux répondre. Et puis au final, est-ce vraiment important ? Je pense que les hommes pêchent par orgueil tous les jours en parlant au nom et à la place de Dieu. Qui sommes-nous pour ça. Je crois en une entité supérieure. Je crois qu'il y a quelques choses. Mais quoi ? Mais qui ? Je crois en tout ce qui nous dépasse pourtant. Donc je devrais croire en Dieu. C'est mettre un visage sur un Dieu qui me dérange plus que d'y croire. Je pense que nous sommes capable de beaucoup de chose rien que par la force de notre esprit. Je crois aux choses inexplicables. Je ne suis pas comme Saint Thomas moi. J'aime croire en ce que je ne vois pas ! C'est bien plus marrant. Et bien plus troublant ! C'est pour ça que je veux croire à l'ésotérisme, aux bienfaits de la méditation, aux pouvoirs que nous avons tous à l'intérieur et que nous ne développons pas ! Je veux croire en tout ça... Et puis si ça n'existe pas, j'aurai perdu quoi ? Rien. Puisque ça n'existe pas. Je crois que j'ai besoin de magie dans ma vie. Histoire d'espérer la rendre encore plus jolie. Si tout avait une explication, ce Tout perdrait son charme ! Comme les êtres... Une fois qu'on les connait... ils perdent un peu de leur attrait car ils ne sont plus aussi parfaits qu'on ne les imaginait auparavant. En fait, je veux vivre dans un rêve... Il y aurait beaucoup plus de possibilités.... Bonne nuit à tous.

On n'apprend jamais de ses erreurs

Vendredi 6 Juillet 2007 à 1h43

Finalement oui. On n'apprend jamais de ses erreurs. Jamais ! On recommence invariablement les mêmes choses, on change juste les éléments. On change juste les gens, les prénoms. Depuis que le monde est monde, on refait tout, pareil, comme avant. On se rend compte des erreurs qu'on fait avec les gens pour refaire les mêmes avec d'autres. On défait des couples pour refaire exactement les mêmes. On change juste de point de vue. Avec lui, avec elle, ça sera différent ! Foutaise. Avec lui, avec elle, il y aura la même lutte pour le pouvoir, la même soif d'avoir le dernier mot, la même certitude d'avoir raison, la même croyance que c'est de l'autre que vient la faute. On refait sans cesse le même scénario, même après s'être promis 10 millions de fois qu'on ne nous y reprendrait plus jamais ! Oui... Rien ne change, tout se transforme mais les faits sont là... et ils restent bien là ! Doit-on s'en accomoder ? Même le père, la mère, refait les mêmes erreurs avec l'enfant. Les mêmes erreurs qu'il, qu'elle s'était juré(e) de ne pas refaire après avoir regardé son propre père, sa propre mère faire avec lui, avec elle. Non, décidément rien ne change... Et même moi, je n'ai pas réussi à réussir ce que j'avais moi même raté trois ans auparavant. Toutes mes belles idées, mes illusions, mes excellences d'illuminations ont disparu fasse à la beauté d'une expérience nouvelle qui s'avère n'être que ce qui a déjà été. Pourtant, j'avais cru... Oui pourtant cette fois, j'avais cru que ça serait différent. Je rêvais de complicité, d'union, de force, de pacte, d'osmose... et je me retrouve avec la division, l'acharnement, la distance... toutes ces choses que je connais tant ! J'avais cru qu'on pouvait croire. "J'ai rêvé qu'on pouvait aimer, au souffle du vent... J'avais rêvé du mot aimer"

Belle mère... Jolie maman ?

Dimanche 23 Septembre 2007 à 14h48

Je crois que je me demanderai toujours si je peux faire confiance à ma belle mère. Et je parle de n'importe quelle belle mère. De celle de maintenant ou de celle de plus tard. Les femmes entretiennent avec leur fils des rapports assez particuliers. Il ne faut pas les toucher. Comment les hommes arrivent-ils à s'affirmer dans leur virilité alors que leurs mères sont toujours en train de les défendre comme s'ils ne pouvaient le faire tout seul. Je ne suis pas sûre que ma belle mère prendrait mon parti même si elle savait que j'ai raison. Je ne suis pas sûre finalement qu'elle puisse être un jour mon allier. Elle restera toujours sa mère. Et je resterai toujours celle qui lui a pris son fils. Et pourtant, je l'aime bien. Et je pense qu'elle m'aime bien. Mais elle ne m'aime bien que tant que je ne lui fais pas de l'ombre. Tant que je me tiens à ma place de seconde femme dans la vie de son fils. Je ne suis pas sûre que cette relation puisse aboutir sur une vraie relation un jour. Je ne suis pas sûre que je pourrais un jour lui demander son aide, ou sa compréhension. Elle restera à jamais entre nous. C'est assez difficile finalement à expliquer ce sentiment d'être avec et contre à la fois. Et je ne suis pas sûre de ne pas reproduire exactement les mêmes choses si un jour moi aussi je suis la mère d'un garçon. Et je pense que s'il devait choisir un jour entre sa mère et moi, il choisirait sa mère comme la majorité des hommes. Je pensais être tombée sur un de ceux qui était différent mais finalement on retrouve toujours les mêmes travers chez les hommes. Chez les femmes aussi d'ailleurs. Personne n'est différent. On est tous plus ou moins le clone de ceux qui nous entoure et je ne comprends pas comment ça se fait qu'on continue d'espérer envers et contre tout de tomber sur cette perle rare qui n'existe pas. La perle rare n'est pas rare, elle n'est tout simplement qu'illusoire. Rien ne change... On refait inexorablement les mêmes erreurs... En étant en plus persuadés que cette fois ci, on ne se trompe pas. Mais plus j'avance dans cette relation, plus je retrouve ce qui n'allait pas dans l'ancienne. Il me prend pour sa mère mais je n'en ai que les désavantages, car je n'en ai pas la crédibilité, ni la considération. Je ne suis pas sure que l'être humain soit fait pour vivre à deux. On finit toujours par se bouffer l'un l'autre, on finit toujours par ne plus s'écouter, on finit toujours par ne plus faire d'effort pour garder l'autre. Je ne suis pas sure que la vie à deux soit la réponse actuelle au déficit de la vie de couple. Peut être après tout que la vie de couple doit se faire chacun de son côté, en ne vivant que le meilleur. Ca parait égoïste, mais on ne nous a pas appris à vivre ensemble. 10 minutes. c'est fini.