Flying over rainbow skies

Un journal de Journal Intime.com

Archive du journal au 23/02/2008.

Sommaire

24 Octobre 2007 à 23h49
Contusion
26 Octobre 2007 à 9h59
Découverte
29 Octobre 2007 à 9h27
Découverte
3 Novembre 2007 à 15h57
La marée
12 Novembre 2007 à 23h18
Une fin appelée
16 Novembre 2007 à 20h20
Dans la nuit
20 Novembre 2007 à 21h20
Une envie
23 Novembre 2007 à 17h35
Symbolisme?
26 Novembre 2007 à 13h48
Le noyau
2 Décembre 2007 à 13h16
Fraicheur matinale
5 Décembre 2007 à 9h59
Petit conte
11 Décembre 2007 à 19h48
Le fil de la vie
14 Décembre 2007 à 11h26
Soledad
20 Décembre 2007 à 15h33
Très belle formulation
21 Décembre 2007 à 17h03
Tu vas encore lui faire peur
31 Décembre 2007 à 23h05
Vie pourite: zut de zut
1 Janvier 2008 à 20h55
La carotte en plein désespoir dérive et se perds...
4 Janvier 2008 à 21h01
Plus de point de repère
14 Février 2008 à 20h17
La fameuse Saint Valentin
23 Février 2008 à 16h51
un soleil noir

Contusion

Mercredi 24 Octobre 2007 à 23h49

Je l'ai senti me transpercer dans sa course effreinée. Il m'a touché au ventre, déjà ce liquide rougeatre s'écoule peu à peu. Ma main fait pression afin d'essayer de retenir la vie qui s'échappe. Rien n'y fait , je m'envole. Mon coprs n'est qu'un champ de ruine, totalement à la dérive, en perdition, aucun traitement capable de me soulager. Il y a des jours où la souffrance est tellement intense que sur le coup on se dit, "pitiée, laissez moi mourrir". On se décourage donc et pourtant j'espère bien que tout à une solution. Je connais aujourd'hui la cause de ce mal: l'anxiétée, la peur, le sentiment de rejet, la solitude.

Découverte

Vendredi 26 Octobre 2007 à 9h59

Pour sauver les meubles, moi qui en fait partie, Faudrait beaucoup de main d'oeuvre et puis ça prendrais des nuits Et pas des nuits d'amour, passées dans le même lit Pourtant on y est toujours bouffés par l'ennui.

Et pour sauver les meubles, faudrait sortir du placard Car à force de voir trop noir on ne sait plus qui pleure Et pendant que toi tu meubles à en pisser de rire, comme un violon stérile qui détruit ma bonne humeur.

Et c'est le ventre ouvert, et les tripes à l'air, Que je pédale dans du gruyère... Tant que c'est pas à l'envers et que je sais encore quoi faire, Tout ne vas pas vraiment de travers.

Et pour sauver les meubles faudrais se lever tot le matin, Mais nous on entend dja rien, Pas même le voisin qui beugle, Faudrais ptetre prendre exemple et pourquoi pas tout vendre pour S'aimer à tout pendre sur un nuage de cendre.

Et c'est le ventre ouvert, et les tripes à l'air, que je pédale dans du gruyère... Tant que c'est pas à l'envers et que je sais encore quoi faire, tout ne vas pas vraiment de travers.

Mais pour sauver les meubles, faudrait ptetr déja qu'y en ait, Moi jme sens un peu seule au fond de ton, Grenier

Et c'est le ventre ouvert et les tripes à l'air Que je patauge, que je patauge, que je patauge dans la bière

Et c'est le ventre ouvert, et les tripes à l'air, que je pédale dans du gruyère... Tant que c'est pas à l'envers et que je sais encore quoi faire, tout ne vas pas vraiment de travers.

Mell, "pour sauver les meubles"

Découverte

Lundi 29 Octobre 2007 à 9h27

Ouoh ! J'ai le ventre qui se tord A l'idée de voir mon corps se vider De son plein gré du tien qu' j'avais serré trop fort Comme ces regrets dont j'embrasse l'enfer du décor Et ne crois pas qu'ça m'plait

Mais j'allais pas rester sans rien dire Alors j'ai perdu l'équilibre Depuis qu' tu m'as scié les jambes Avec tes silences rasoirs Le vague à l'âme, j' vais me rasseoir Car j'm'emmerde à pas y croire A n'plus pouvoir bouger et à ne rien recevoir

Allez quoi ! Donne-moi un peu du feu de tes yeux

J'veux que mes tripes transpirent mon cœur en sueur Et pis même pas peur du pire, même pas peur J'veux que mes tripes transpirent mon cœur en sueur Et pis même pas peur du pire, même pas peur du pire !

Toi tu m'files du rêve sans risque Et des bisous sans bourrasque Mais putain qu'est-ce que c'est triste ! Ouah ! Qu'est-ce que c'est flasque ! Tu sais, moi Quand j'te vois, j'mouille pas que ma chemise Ouais ! J'ai pas trop envie d'inventer nos souvenirs C'est sûrement pas pour ça qu'j'm'en veux C'est bien pour ça que m'en vais

J'voulais qu'nos tripes transpirent nos cœurs en sueur Et pis même pas peur du pire, même pas peur J'voulais qu'nos tripes transpirent nos cœurs en sueur Et pis, même pas peur du pire, même pas peur du pire

Arrête de foutre de l'eau dans ton vin Mets plutôt d'l'eau vie dans l'mien Ouah ! J'ai soif de sensations De sentiments en ébullition Et je n'demande qu'à boire tes petits mots, J'essaierai pour une fois d'avaler comme il faut Pas de travers, pas à l'envers

Je veux qu'nos tripes transpirent ton cœur en sueur Et pis, même pas peur du pire, même pas peur Que mes tripes transpirent nos cœurs en sueur Et puis, même pas peur du pire, même pas peur Que nos tripes transpirent ton cœur en sueur Et pis, même pas peur, Ouah ! même pas peur ! Que nos tripes transpirent ton cœur en sueur Et puis... Tant pis !

Mell, Même pas peur "Voitures à pédales" 2006

La marée

Samedi 3 Novembre 2007 à 15h57

Une minute transit par le froid, puis de nouveau j'avance porté par le vent. J'entends toujours ce mot d'amour qui tangue; désarmée de ne pouvoir l'effacer j'essaie de ne plus l'écouter. J'ai trop d'eau dans le coeur pour pouvoir cesser de pleurer. Et à qui je pardonne? Aller viens on va oublier ces leurres en dansant au pied de la mer; marée montante. Aller viens on va sauter, on va plonger jusqu'à ce que les vagues nous recrachent. J'ai effacé les cris de mon coeur qui tremble.

Une fin appelée

Lundi 12 Novembre 2007 à 23h18

Les blessures les plus dures à porter sont celles qui émanent d'être tellement aimés que c'est comme s'ils fesaient parti de notre chair, comme si le monde entier s'arrêtait ou nous montrait du doigt sans comprendre.

Dans la nuit

Vendredi 16 Novembre 2007 à 20h20

Laisse la magie des rêves t'emporter, ça y est elle t'aspire et tu n'y pourras rien. Tes membres sont ensevelis sous une quantité improbable d'autres corps. La plupart d'entre eux sont décharnés, écorchés ou en état avancé de décomposition. Toi tu ne comprends pas, tu essais de soulever cette masse immense et étouffante. Tu n'y parviens pas et l'air se raréfie. Tu perds alors tout espoir et cesse de te battre pour te laisser comme eux sombrer dans un sommeil éternel. Tu comprends alors la signification de cette bizarerie. Tu es toi même dans la vie réelle en train de dépérir, personne ne prends au sérieu tes appels de détresse. Tu sens que ton corps est en train de mourrir, tu te sens mourrir. Et pourtant personne n'arrive à te croire, à comprendre ces symptomes. Personne. C'est ça la plus grande des solitudes.

Une envie

Mardi 20 Novembre 2007 à 21h20

Le soleil déjà bas laissait apparaitre une palette de couleurs extraordinaires. Ce légé rose me transportait totalement, d'ailleur la brise légère me donnait l'impression de quasi voler à travers ces doux nuages.

C'est la fin d'un court plaisir parce que la beauté, rien ne peut assez bien la capter. Elle est appréciable. Elle est unique

Symbolisme?

Vendredi 23 Novembre 2007 à 17h35

On retourne ça dans tous les sens dans sa tête, on change toutes les deux minutes de décision, on se pose des millions de questions parce qu'on est incapable d'être fixée. On se torture indéfiniment en gardant tout pour soi pendant que votre entourage rigole et vit dans l'insouciance. On se tait parce qu'on a peur qu'en disant tout on perde tout en définitif on est seule. On pleure quand les autres s'amusent.

Le noyau

Lundi 26 Novembre 2007 à 13h48

Heureuse par un petit matin d'été dont un ami fait le bonheur, quelle est belle la vie.

Quand s'en est fini des malheurs, la place de son sourire gagne tout l'horizon. Il nous plonge bien au delà de cette chanson et du temps qui nous persécute.

Un petit baiser doux, un à la confiture d'amour, non ça n'engage à rien du tout. Pourtant on en devient vite amoureuse. Il n'y a plus que ces petits baisers maladroits qui vous touchent.

C'est la découverte d'un nouveau chemin. C'est un clair de lune qui s'épanoui au bord de ses yeux.

Fraicheur matinale

Dimanche 2 Décembre 2007 à 13h16

Se sentir vraiment trop seule pour devoir assumer tout ça de front... J'ai plus de courage, peut être encore assez pour lundi mais pas au dela. Toujours cette caractéristique de penser en premier lieu au bien être des autres en me reléguant au second plan. Là j'ai vraiment besoin de petites marques d'attention, qu'on me serre dans ces bras; hormis le vent glacial, personne ne le fera. La solitude ça a parfois du bon, ou bien au contraire ça vous rend dingue.

Petit conte

Mercredi 5 Décembre 2007 à 9h59

C'est l'histoire d'une petite carotte, toute jolie, avec pleins de rondeurs et pleine d'amour à donner aux autres. La carotte s'en allait souvent pour découvrir le monde extérieur, tout se passait bien, elle en apprenanait chaques jours d'avantage. Un jour cependant la malchance voulu qu'elle tombe sur une horde de petits pois terriblement musclés et armés jusqu'aux yeux. La carotte d'abord prisonnière finie vendue au marché entre uen scarole et un gros celeri à moitié moisi. Elle fut recueillie avec de nombreuses autres carottes, mais le destin voulu qu'une fois encore elle connaisse la peine.

Elle finie seule, comme la dernière carotte au fond d'une boite de conserve.

Le fil de la vie

Mardi 11 Décembre 2007 à 19h48

Je rêvais de voyager, mais restait captive de cette boule en verre. Mise sous cloche, prisonnière ne connaissant rien à ce qui se passait sur terre; j'entendis un jour le vent me chuchotter cette histoire:

L'astre de la clareté écoutait les plaintes émaner de toutes ces bouches. Ce gros bavard voyait l'ampleur du problème mais n'avais pas la solution.

Aille aille, jamais hurler contre les guerres, contre la folie du genre humain ne sauvera le monde. Crier sans s'arrêter, sans trouver une issue; on pourrait le faire sans fin. Chacuns d'entre nous a ses problèmes, desfois la vie c'est galère. Mais j'ai un message pour toi:

"Tout va bien aller".

Soledad

Vendredi 14 Décembre 2007 à 11h26

Un sale refrain qui fait grincer les dents. C'est la petite chançon des jeunes filles sans amour. Il y a celui qui donne, celui qui trahit. Chantons la cruelle idylle des jeunes filles qui tombent sur la bouche des amoureux cruels.

Cruelle romance. Sans srupules, c'est pour pas cher l'exécution facile. Cinglants reproches d'un homme indifférent au saquage. Le menton plein d'arrogance ils vous envoient valser.

Très belle formulation

Jeudi 20 Décembre 2007 à 15h33

"Quand on perds un être cher, pafois le corps est tellement triste que l'amour est un poison." tiré du réveillon des bonnes.

Tu vas encore lui faire peur

Vendredi 21 Décembre 2007 à 17h03

Tais toi mon coeur. Je connais trop souvent ces mots qui font mal. Toutes ces traces des blesures anciennes qui ne cicatrisent pas. Je connais seulement des histoires d'amour aux fins déchirantes. C'est le moment de foutre à la poubelle ce coeur rouillé par les larmes. Tu te réveille avec des idées à la con. Un accident d'amour.

Je suis pas la personne dont on peut être fière

Vie pourite: zut de zut

Lundi 31 Décembre 2007 à 23h05

Géniale soirée: je me suis cognée très fort dans le bord d'un mur ( et oui ça sert d'allumer la lumière même pour deux pas), j'ai vomi toute la soirée et j'ai fini en nettoyant mes draps parce que mon enculé de chient était aller pisser dessus, pour couroner le tout je passe pas la soirée avec la personne que j'aurais aimé, nan c'est vrai que cc'est mieu de s'enmerdre toute seule chez soi... Vie de merde. Oh une fenêtre, bonne idée, je saute!

La carotte en plein désespoir dérive et se perds...

Mardi 1 Janvier 2008 à 20h55

Je dis pas que c'est pas marrant de parler d'amour ou de ce que j'ai dans le coeur. Je dis pas que c'est pas marrant de compter les blessures profondes qu'on m'a infligé. Je dis pas que c'est pas marrant une situation délicate dans laquelle on se trouve, les fesses entre deux chaises. Je dis pas que c'est pas marrat de chanter cette chanson, ni de manquer de courage.

Un manque habituel me parcours, comme pour chacuns de ses départs, de ses aurevoirs.

Depuis ces deux jours. Si vous saviez tout ce que je vois. Une jeune fille qui se retourne sans cesse dans son lit se réveillant en sueur et le charchant dans la pièce. Un personne d'une sensibilitée déroutante qui pense trop et surtout à lui en son abscence. Rechercher ne serait-ce qu'un peut de sa présence chaques jours qui filent. C'est un choix de se dire qu'on ne peut rien y faire. J'imagine ce que je veux sans l'atteindre.

Le complot est là, je me soumet gentillement.

Plus de point de repère

Vendredi 4 Janvier 2008 à 21h01

Marcher dans un brouillard plus qu'épais et ne pas pouvoir prédire ce que chacun de mes mot aura pour effet. Normal? Frustrant? Peu importe, nous devons toujours moduler notre attitude ainsi que nos mots en fonction de chaques personnes, de chaques situations. Le monde est donc basé totalement sur les faux semblants et la capacité de s'addapter Pourtant des presonnes n'y arrivent pas et c'est bien à cause de nous qu'ils souffrent. De plus le monde humain est tel que beaucoup de personnes sont incapables d'accepter la différence et rejettent les autres. Idiot? Nous sommes d'accord et pourtant rien ne changera la bétise humaine

La fameuse Saint Valentin

Jeudi 14 Février 2008 à 20h17

Parlons en hein :D Je commencerais donc par "relater" une conversation que j'ai pu avoir avec Valentin, cette fête est clairement devenue une fin commerciale pour gagner un maximum d'argent. A la base comme me l'a justement fait remarqué Valentin, le jour de la Saint-Valentin a longtemps été célébré comme étant la fête des célibataires et non des couples. Le jour de la fête, les jeunes filles célibataires se dispersaient aux alentours de leurs villages et se cachaient en attendant que les jeunes garçons célibataires les trouvent. À l'issue de ce cache-cache géant, les couples formés étaient amenés à se marier dans l'année. Ceci permettait de développer la démographie et stimuler l'expansion des villages.

Voila donc l'avancée et la transformation de cette fête. Exemple: j'ai vu une connaissance aujourd'hui et elle a du dépenser plus de 200 euros pour offrir des cadeaux à son ami, et en retour son ami lui a fait cadeau d'un ordinateur portable. Le geste reste beau, ils se sont fait des beaux cadeaux mais celà selon moi va un peu dans l'exès :) On peut se faire de beaux cadeaux sans qu'il n'y ait d'occasion, juste pour le plaisir d'apporter quelque chose à l'autre sans attendre de retour. :) Chacun à sa manière de vivre et de voir les choses, mais parfois de simple mots restent le plus magnifiques des cadeaux.

 désepoir :)

un soleil noir

Samedi 23 Février 2008 à 16h51

Ya des filles qui sont jalouses, d'autres des petites pestes et d'autre encore qui te pourrissent la vie pendant une année entière, qui manipulent ceux que tu aimes le le plus; mais la vie est ainsi faite ya pas de justice partout, pas d'amour à tous les coins de rue mais le désespoir te gagne, alors la c'est la fin